#Interview : Coronavirus, crise de notre intelligence collective ou véritable opportunité pour nous réinventer et innover ?

Docteur Alain CAPO-CHICHI est spécialiste de la prospective et de l’innovation, Membre associé de la Chaire UNESCO sur les TICs de l’université de Bordeaux et ancien Coordonnateur Chargé de l’innovation du Programme thématique de recherche TIC du CAMES. Il est également officier de l’Ordre des palmes académiques du CAMES.

Dr Alain CAPO-CHICHI

Question 1 : Dr Alain CAPO-CHICHI, quelle lecture faites-vous de la situation de crise à laquelle fait face le monde aujourd’hui ? En quoi consiste une crise en réalité et comment est-ce qu’elle se manifeste ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Une crise peut se caractériser par une situation, un vécu de blocages, de souffrances, d’incertitudes. Elle est visible actuellement dans la mesure où nous observons que nos marchés, nos aéroports, nos maquis sont fermés ; nos déplacements limités, notre vie sociale régulée, l’activité économique bloquée, le nombre de morts et de personnes infectées en constante augmentation : on parle de près de soixante mille (65.000) morts et près d’un million (1.000.000) de personnes infectées. Il s’agit d’une crise mondiale, car elle touche presque tous les pays et ce n’est que la partie visible de la crise. Il y a une autre partie invisible qui apparaîtra à court, moyen ou long terme.

De mémoire d’homme, c’est la plus grave crise après la Deuxième Guerre mondiale. Cette crise déjà sanitaire va entraîner des crises économique, sociale, humanitaire, sécuritaire et même politique. En tant que spécialiste de la prospective, il importe de sensibiliser les différents acteurs, les individus, les entreprises et même les gouvernements, afin qu’ils anticipent et planifient, car la crise va entraîner des bouleversements profonds sur au moins une dizaine d’années.


Question 2 : Actuellement près de la moitié de l’humanité est confinée. C’est littéralement du jamais vu. Beaucoup se posent des questions sur la durée de cette pandémie. Vous qui avez un regard d’expert, dites-nous quelles sont les projections possibles ? Est-ce qu’après deux semaines de confinement la vie peut reprendre son cours normal ou redoutez-vous un prolongement ? Et surtout qu’est-ce qui va annoncer la fin de la crise, est-ce un vaccin ? Un remède ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Cette crise comporte beaucoup de zones d’incertitudes, ce qui fait que même les chercheurs, les spécialistes les plus réputés n’arrivent pas à envisager son épilogue de façon précise. Les prospectivistes ne peuvent donc faire que des scénarios, des projections. Mais, sachons tous déjà une chose : c’est que la crise ne va pas durer deux (2) semaines comme vous le dites. Elle aura au moins trois phases : une phase immédiate que nous vivons actuellement et qui va durer entre trois (3) et dix-huit (18) mois, une phase à moyen terme qui durera entre dix-huit (18) mois et trois (03) ans et une phase irréversible sur le long terme.

Sur la phase sur le long terme, c’est qu’il y aura un changement radical du comportement des gens après la crise, notamment avec la distanciation sociale que la crise entraîne. Les chercheurs parlent d’innovation sociale. On parle par exemple déjà de télétravail, de téléenseignement, de la télémédecine et même après la crise, plus rien ne sera comme avant dans ces domaines.

La phase immédiate de la crise qui est visible, va être la période où les gouvernements vont chercher à maîtriser l’évolution de la maladie (ce que nous appelons la gestion des incidents), c’est-à-dire en cherchant à en limiter les conséquences, limiter le nombre de morts, l’influence en termes de perte d’activité économique, etc…, plutôt que de chercher à résoudre la crise, en s’attaquant à sa cause.

Il s’agit en effet de cette phase où les Chefs d’État sont intervenus et ont pris des mesures de confinement, de régularisation, des décisions importantes pour limiter les effets de la crise.

Cette phase de court terme va durer entre trois (3) et dix-huit (18) mois, le temps de trouver un vaccin ou un remède efficace ; mais encore une fois, elle risque d’être dramatique.

Elle sera dramatique, car déjà, il y a plusieurs morts, plusieurs entreprises fermées, des familles qui n’arrivent plus à se nourrir et donc, va entraîner d’autres formes de crises, notamment les divorces, les violences, même les bouleversements humanitaires, sécuritaires et politiques sur le moyen terme de la crise.


Question 3 : La crise sanitaire a également entrainé une crise économique monumentale. Ainsi, devons-nous opérer des changements notables dans nos habitudes, dans nos projets pour s’adapter à cette situation. Dites-nous, quelles dispositions doivent prendre par exemple les entreprises, les étudiants pendant et après la crise ?  

Dr Alain CAPO CHICHI : La première disposition à prendre et la plus importante, est d’accepter et de composer avec la crise. Comprendre la crise, ses enjeux et s’y adapter rapidement. Ne dites surtout pas que la crise va être passagère et conjoncturelle. Elle va être durable et mondiale. Donc, un bon chef d’entreprise, un jeune étudiant et toute personne doivent se projeter en avant, pendant et après cette crise-là. Il faudra analyser ses forces et faiblesses et voir les mesures à prendre vis-à-vis de ses activités, de son organisation, de ses produits, de ses clients, de ses employés et examiner les compatibilités internes au regard des changements imposés par la crise, pour aborder des questions de continuité ou de changement d’activités, d’adaptation du personnel, de chômage technique ou de licenciement du personnel par exemple. Il s’agit en somme d’anticiper sur les évolutions de son secteur, de son pays et du monde. Les chefs d’entreprises et leurs agents doivent collaborer pour s’adapter à la crise, afin de ne pas subir collectivement. La crise sera difficile, mais ceux qui vont survivre sont ceux qui auront compris la crise et sauront en faire une opportunité.

Oui, dans chaque crise, il y a des opportunités, lesquelles sont dans les zones d’incertitudes et une crise est pleine d’incertitudes. C’est comme quand il y a un décès dans une famille tout le monde ne pleure pas de la même manière. Il y a une opportunité pour le vendeur de cercueils, les creuseurs de tombe, les organisateurs de funérailles, etc. Les chefs d’entreprises et leurs salariés doivent savoir que ce ne sont pas eux qui gouvernent leurs propres entreprises, mais c’est plutôt le marché, l’économie, les tendances technologiques, la loi de l’offre et de la demande qui les gouvernent.

Moi, j’ai bien aimé l’histoire du jeune entrepreneur dans une rue d’Abidjan qui a rapidement compris qu’il faut vendre des feuilles et racines intégrant de la quinine plutôt que de continuer à proposer des cartes de recharge. Donc, aujourd’hui, nous devons nous demander de quoi le marché a besoin et s’adapter. Aujourd’hui, les gens ont besoin de masques, de tests rapides du COVID-19, de nourritures à distance, d’étudier à distance, de se distraire à distance et même d’entretenir une relation à distance. En clair comment chaque entreprise rend compatible ses activités avec la distanciation sociale, cette mesure sans contact direct.


Question 4 : Concrètement, que faites-vous par exemple comme adaptation dans vos entreprises et que pourra faire un jeune entrepreneur qui tient un restaurant ou une boite de nuit, maintenant que les rassemblements sont interdits comment pourrait-il s’adapter ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Si je dois prendre mon exemple, je dirige plusieurs entreprises dans plusieurs pays et nous sommes fortement dans le secteur de l’éducation. Les premières mesures qu’ont prises les gouvernements dans les pays où nous sommes installés, consistent en la fermeture des écoles et universités. Mais je peux vous assurer que du fait que nous ayons anticipé, nous faisons partie des 1 % d’établissements qui continuent d’enseigner à distance aujourd’hui. Nos étudiants ont été formés pour recevoir les cours à distance.

Nous avons énormément investi pour acheter plusieurs équipements, ce qui permet à nos étudiants de ne pas risquer une année blanche si la crise perdurait. Nos agents sont en télétravail parce que nous avons mis le dispositif adapté : une culture, une organisation, des équipements et un progiciel de gestion intégrée qui facilite le travail collaboratif et le contrôle du temps du travail à distance. Il a fallu aussi diagnostiquer nos activités qui se faisaient en contact avec les individus, pour les rendre compatibles avec le mode de distance.

Le paiement par exemple qui se faisait au comptant peut se faire aujourd’hui directement sur nos plateformes sans intervention et sans contact. J’ai demandé également à tous mes collaborateurs qui offraient des activités qui nécessitaient un contact direct de réadapter leurs outils et méthodes, de manière à être efficace à distance. Cela passe par l’accompagnement, la formation, la démission ou le chômage technique. Nous avons aussi adapté nos activités pour conquérir de nouveaux clients et créer de nouveaux produits. Vous savez que nous fabriquons déjà des ordinateurs, des téléphones, mais nous avons décidé de fabriquer aujourd’hui et très rapidement des masques, des respirateurs, des outils de test rapide de COVID-19, etc. Nous sommes une entreprise de taille moyenne.

Prenons l’exemple d’une petite entreprise telle qu’un restaurant par exemple. Dans les mesures prises par le gouvernement, votre restaurant est fermé et vos activités sont bloquées par le couvre-feu. Si vous dites que la crise est ponctuelle, alors vous aller laisser le restaurant avec le loyer à payer, les employés à payer ou au chômage technique et au bout de deux à trois mois, vous finirez par déclarer la faillite alors que dans le même temps, vos clients, même de leurs maisons, cherchent à manger. Vos collaborateurs cherchent à travailler, vous avez des ustensiles de cuisine et tout est aux arrêts.

La meilleure posture serait de réorganiser votre activité, même votre mode de résidence, de manière à continuer à vendre même à distance. Cela peut vous amener à changer de résidence à votre cuisinier, à changer ses horaires de travail, le packaging, le système de commande et de livraison, les modes de paiement, etc.

Vos serveurs peuvent devenir des marketeurs à distance, pour proposer vos plats en ligne.

Ils doivent aussi accepter de se former et s’adapter rapidement pour ne pas basculer en chômage technique. La crise va durer, peut-être que je dois compléter de nouveaux produits : assister les gens pour préparer à distance ou bien envoyer le cuisinier dans les familles pour une ou deux heures de cuisine. La crise va durer, donc, il faut de nouveaux produits, de nouvelles alliances pour se créer une opportunité.


Question 5 : Comme on le dit souvent, c’est en temps de crise que se créent les plus grandes opportunités. Comment peut-on transformer la crise du Coronavirus en une véritable opportunité pour la jeunesse africaine ?

Dr Alain CAPO CHICHI : C’est une opportunité parce que l’Afrique a une population majoritairement jeune. Les personnes de plus de 65 ans représentent moins de 5 % de la population alors qu’elles sont les plus touchées par la maladie. La crise va ralentir les importations, ce qui peut être une opportunité pour la production locale. La crise a obligé plusieurs personnes à rentrer au village, ce qui va favoriser le développement de nos régions qui vont avoir des ressources humaines plus qualifiées. Mais la révolution importante de la crise qui va bénéficier à l’Afrique, c’est le fait que je ne sois plus obligé d’aller en France, aux États-Unis, au Canada pour travailler. Le monde du travail a adopté le télétravail et les États africains, les jeunes africains doivent se positionner sur les nouveaux métiers qui peuvent faire qu’ils vont se retrouver à gagner 100 fois le salaire minimum de leur pays tout en étant sur place. Pour ce faire, ils doivent s’intéresser aux tendances technologiques, notamment la réalité augmentée, l’intelligence artificielle, le Bigdata, l’internet des objets, le cloud, la mobilité. Ces tendances sont simples et accessibles dans nos pays, mais vont accompagner la mutation des métiers actuels (85 % des métiers de demain).


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𝗟𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Au total, 215 candidats, tous Maîtres-Assistants du CAMES, ont pris part à la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), tenue en bimodale. À l’issue des trois épreuves d’évaluation menées par un Jury international composé de 𝟯𝟳 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀, 𝟴𝟲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘀 — 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝟳𝟰 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝟭𝟮 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 —, ont été inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de Maître de Conférences Agrégé du CAMES, dans leurs spécialités respectives. Le 𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟰𝟬%, se révèle supérieur à celui enregistré lors de la 21ème session (32,21%), confirmant une progression notable des performances globales. Ce taux est ainsi le deuxième de l’histoire du Concours, après celui obtenu lors de la 19ème Session du Concours en 2019 à Ouagadougou, qui était de 41,22%.𝗗𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲𝘇 𝗰𝗶-𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀.. par genre ; . par Section ;. par Université ;. par Pays.www.lecames.org/les-resultats-definitifs-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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𝗗𝗿 (𝗠𝗖𝗔) 𝗖𝗵𝗲𝗶𝗸𝗵 𝗠𝗯𝗮𝗰𝗸𝗲́ 𝗗𝗜𝗢𝗣, 𝘀𝗮𝗰𝗿𝗲́ 𝗹𝗮𝘂𝗿𝗲́𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗖𝗼𝗿𝗶𝘀 𝗕𝗮𝗻𝗸 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹Dr (MCA) Cheikh Mbacké DIOP, Enseignant-chercheur à l’Université Alioune Diop de Bambey (UADB), au Sénégal, par ailleurs 𝗺𝗮𝗷𝗼𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻, est le lauréat du Prix Coris Bank International du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion.Cette distinction honorifique a été proclamée à l’occasion de la cérémonie de clôture du Concours d’Agrégation des SJPEG, qui s’est déroulée le vendredi 21 novembre 2025, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le lauréat a reçu son chèque géant de deux millions de Francs CFA et son attestation, des mains du Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle et technique du Sénégal, M. Amadou Moustapha Ndieck SARRE et du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ.Le « Prix Coris Bank International pour la Promotion de l’Excellence et de la Responsabilité sociale », récompense le meilleur lauréat du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG). Cette distinction est accordée à l’issue d’un processus de sélection rigoureux fondé sur l’examen approfondi des dossiers des majors des différentes Sections de Jury. Ce processus s’appuie sur des critères précis mettant en valeur l’excellence scientifique des candidats, notamment à travers la qualité de leurs travaux de Recherche et les distinctions reçues, leurs diplômes complémentaires en sus des exigences du CAMES, ou encore leurs productions de didacticiels et/ou d’ouvrages.Dr (MCA) Cheikh Mbacké DIOP est Enseignant-chercheur à l’Unité de Formation et de Recherche (UFR) Économie, Management et Ingénierie Juridique (ECOMIJ) de l’UADB, où il occupe actuellement les fonctions de Directeur Adjoint.www.lecames.org/dr-mca-cheikh-mbacke-diop-sacre-laureat-de-la-7eme-edition-du-prix-coris-bank-int... ... See MoreSee Less
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𝗗𝗲𝘀 𝗱𝗶𝘀𝘁𝗶𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗵𝗼𝗻𝗼𝗿𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗜𝗣𝗔/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝟭𝟬 𝗿𝗲́𝗰𝗶𝗽𝗶𝗲𝗻𝗱𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗮𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹Une cérémonie solennelle de réception dans l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES (OIPA/CAMES) a été organisée, en marge de la cérémonie de clôture de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES, tenue le 21 novembre 2025, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.𝗗𝗶𝘅 (𝟭𝟬) 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀-𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗖𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗧𝗼𝗴𝗼, ont ainsi été décorés aux Grades de Chevaliers et d’Officiers de l’Ordre International des Palmes Académiques (OIPA/CAMES). Ils ont reçu leurs distinctions honorifiques des mains du Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES et Grand Chancelier de l’OIPA/CAMES. Ces décorations leur sont décernées en reconnaissance de leur contribution à l’essor de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche dans leurs pays respectifs et au sein de l’espace CAMES.𝗚𝗿𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗖𝗛𝗘𝗩𝗔𝗟𝗜𝗘𝗥1. DIASSE Aminata, Professeur Titulaire de Classe Exceptionnelle de Chimie, Directrice de l’Institut Supérieur Professionnel (ISEP) de Matam, Sénégal.2. BADJI Mamadou, Professeur Titulaire de Classe Exceptionnelle d’Histoire du Droit, Recteur de l’Université Assane Seck de Ziguinchor, Sénégal.3. SAGNA Olivier Antoine, Enseignant Chercheur de Sciences de l’Information et de la Communication, Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), Directeur des Études et de la Coopération au MESRI, Sénégal.4. TOURE épouse KANE Ndèye Coumba, Professeur Titulaire des Universités de Classe Exceptionnelle de Bactériologie-Virologie Pharmaceutique, Recteur de l’Université Sine Saloum Elhadj Ibrahima Niass (USSEIN), Sénégal.5. FAYE Roger Marcelin, Professeur Titulaire d’Automatique et Informatique Industrielle, Vice-Recteur à la Recherche, à l’Innovation et au Partenariat, Université Amadou Mahtar MBOW, Sénégal.6. AGBODJI Akoété Ega, Professeur Titulaire en Sciences Économiques, Doyen de la Faculté Sciences Économiques et de Gestion de l’Université de Lomé, Togo.7. NIANG épouse DIENE Aminata, Professeur Titulaire de Géographie humaine, Directrice du Laboratoire Dynamiques Territoriales et Santé, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Sénégal.𝗚𝗿𝗮𝗱𝗲 𝗱’𝗢𝗙𝗙𝗜𝗖𝗜𝗘𝗥1. BA Cheikh Tidiane, Professeur Titulaire de Biologie et écologie animales à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Sénégal.2. DIAW Adama, Professeur Titulaire de Sciences Économiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis, Sénégal.3. KA Mamadou Mourtalla, Professeur Titulaire de Médecine interne, Médecin Colonel des armées, Sénégal.www.lecames.org/des-distinctions-honorifiques-de-loipa-cames-pour-10-recipiendaires-au-senegal-2/flic.kr/s/aHBqjCC7RD ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝗦𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗘́𝗾𝘂𝗶𝘃𝗮𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗗𝗶𝗽𝗹𝗼̂𝗺𝗲𝘀La 40ème Session du Programme Reconnaissance et Équivalence des Diplômes (PRED) a été officiellement lancée, en ligne, ce 𝟮𝟰 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱. La cérémonie d’ouverture s’est déroulée sous la présidence du Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, représentant le Secrétaire Général du CAMES. Etaient également présents, les Présidents et membres des trois Commissions spécialisées de la session d’accréditation, ainsi que des membres du Secrétariat général du CAMES.Cette cérémonie d’ouverture s’est articulée autour du mot d’ouverture du Professeur Souleymane KONATÉ, prononcé par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, de la lecture de quelques articles du Code d’ Éthique et de Déontologie du CAMES et d’une photo de famille virtuelle. Ainsi, après avoir souhaité la chaleureuse bienvenue à l’ensemble des participants, leur exprimant par la même occasion, la gratitude de l’Institution pour leur disponibilité et leur engagement au service du CAMES, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA a délivré le message du Secrétaire Général à l’assistance. Au nom du Secrétaire Général, il a donc rappelé le rôle essentiel du PRED, premier Programme statutaire de l’Institution, créé en 𝟭𝟵𝟳𝟮. En effet, le PRED est dédié à l’accréditation des formations dans l’espace CAMES et dans les pays tiers qui en formulent la demande. Ce Programme a connu, au fil du temps, une évolution notable, portée par les dynamiques internes et les besoins externes. Il a ainsi souligné l’importance de l’intégration de la dimension de l’Assurance Qualité au sein du PRED, en synergie avec les structures nationales des États membres. Le message d’orientation a exhorté les membres des Commissions à examiner chaque dossier conformément aux référentiels du PRED, en s’appuyant sur les rapports d’évaluation externe. Il a rappelé l’importance du respect du Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES, insistant sur la nécessité de décisions motivées et assorties de recommandations pertinentes.Au total, 203 Programmes de formation — dont 104 renouvellements et 99 nouvelles demandes —, issus de 49 établissements répartis dans dix pays (Burkina Faso, Congo, Côte d’Ivoire, France, Gabon, Mali, Niger, Sénégal, Tchad et Togo), seront examinés par les trois Commissions spécialisées : « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission I), « 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission II) et « 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission III).www.lecames.org/lancement-en-ligne-de-la-40eme-session-du-programme-reconnaissance-et-equivalence... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦À l’occasion de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES, qui se déroule actuellement à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), le Service de la Communication du CAMES est allé à la rencontre des membres des Jurys des six sections du Concours. 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 Les 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗦𝗲̀𝗱𝗮𝗴𝗯𝗮𝗻 𝗛𝘆𝗴𝗶𝗻 𝗙𝗮𝘂𝘀𝘁 𝗞𝗔𝗞𝗔𝗜 𝗱𝘂 𝗕𝗲́𝗻𝗶𝗻 𝗲𝘁 𝗬𝘃𝗲𝘀 𝗦𝗨𝗥𝗘𝗟 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲, ont partagé leur vision sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur. Ils sont également revenus sur le processus d’évaluation ainsi que sur les qualités fondamentales attendues des candidats. Ces deux éminents membres du Jury ont enfin formulé des conseils avisés destinés aussi bien aux candidats en compétition qu’à ceux qui envisagent de se présenter à de futures éditions, afin de les aider à aborder cette épreuve avec confiance et sérénité. ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦À l’occasion de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES, qui se déroule actuellement à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), le Service de la Communication du CAMES est allé à la rencontre des membres des Jurys des six sections du Concours.𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀Les 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝘆 𝗖𝗔𝗠𝗔𝗥𝗔 𝗱𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶, 𝗘𝗿𝗶𝗰 𝗚𝗔𝗦𝗣𝗔𝗥𝗜𝗡𝗜 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗕𝗹𝗮𝗶𝘀𝗲 𝗔𝗹𝗳𝗿𝗲𝗱 𝗡𝗚𝗔𝗡𝗗𝗢 𝗡𝗗𝗘𝗗𝗜 𝗱𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻, ont partagé leur vision sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur. Ils sont également revenus sur le processus d’évaluation ainsi que sur les qualités fondamentales attendues des candidats. Ces deux éminents membres du Jury ont enfin formulé des conseils avisés destinés aussi bien aux candidats en compétition qu’à ceux qui envisagent de se présenter à de futures éditions, afin de les aider à aborder cette épreuve avec confiance et sérénité. ... See MoreSee Less
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𝐋𝐚 𝐜𝐞́𝐫𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐥𝐨̂𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒, 𝐬𝐞 𝐭𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞 𝐯𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞𝐝𝐢 𝟐𝟏 𝐧𝐨𝐯𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝟏𝟓𝐡, 𝐚̀ 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐂𝐡𝐞𝐢𝐤𝐡 𝐀𝐧𝐭𝐚 𝐃𝐢𝐨𝐩.𝐂𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐜𝐞́𝐫𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞́𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐌. 𝐀𝐦𝐚𝐝𝐨𝐮 𝐌𝐨𝐮𝐬𝐭𝐚𝐩𝐡𝐚 𝐍𝐝𝐢𝐞𝐜𝐤 𝐒𝐀𝐑𝐑𝐄, 𝐌𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐄𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐭𝐞𝐜𝐡𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞.𝑺𝒖𝒊𝒗𝒆𝒛 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒏 𝒅𝒊𝒓𝒆𝒄𝒕 ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦À l’occasion de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES, qui se déroule actuellement à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), le Service de la Communication du CAMES est allé à la rencontre des membres des Jurys des six Sections du Concours.𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰Les 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗢𝘂𝗺𝗮𝗿𝗼𝘂 𝗡𝗔𝗥𝗘𝗬 𝗱𝘂 𝗡𝗶𝗴𝗲𝗿, 𝗣𝗲́𝗹𝗮𝗴𝗶𝗲 𝗧𝗛𝗘𝗢𝗨𝗔-𝗡'𝗗𝗥𝗜 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗼̂𝘁𝗲 𝗱'𝗜𝘃𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗼𝗶𝘀 𝗕𝗟𝗔𝗡𝗖 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲, membres du Jury de cette Section, ont partagé leur vision sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur. Ils sont également revenus sur le processus d’évaluation ainsi que sur les qualités fondamentales attendues des candidats. Ces deux éminents membres du Jury ont enfin formulé des conseils avisés destinés aussi bien aux candidats en compétition qu’à ceux qui envisagent de se présenter à de futures éditions, afin de les aider à aborder cette épreuve avec confiance et sérénité. ... See MoreSee Less
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