Droit de réponse à la tribune de Dandi GNAMOU sur Fasozine.com

Le journal en ligne www.fasozine.com a publié, le 28 juillet 2019, une tribune polémique et fallacieuse sur le CAMES — http://www.fasozine.com/tribune/7143-enseignement-superieur-le-cames-sur-la-sellette.html — dont l’auteure est Dandi GNAMOU, Enseignante-chercheure à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin), récemment frappée par la décision No SO/CM/CAMES/2019-10 du Conseil des Ministres du CAMES, pour manquements aux dispositions du Code d’éthique et de déontologie de notre Institution commune.

Dans ce droit de réponse, publié le 16 septembre 2019, le CAMES apporte des éclaircissements sur les différents propos de l’auteure qui cherche visiblement à jeter un discrédit sur notre Institution commune, et les actions entreprises sur instructions du Conseil des Ministres, en vue de sa modernisation juridique.

Par ce droit de réponse, le CAMES ne cherche pas à polémiquer, mais à éclairer l’opinion publique — les enseignants-chercheurs et chercheurs ainsi que les autorités étatiques sur les allégations qui lui sont faites.


À propos de la prétendue illégalité des mesures adoptées par la 36e session du Conseil des Ministres du CAMES

Les décisions  du Conseil des Ministres du CAMES tenu le 30 mai 2019 à Cotonou au Bénin, présidé par le Pr Jacques FAME DONGO, Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur du Cameroun, signataire à ce titre des actes de la session, et co-présidé par le  Pr Alkassoum MAÏGA, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Burkina Faso, Vice-Président statutaire,  n’ont pas fini de susciter des réactions. 

Une tribune polémique a été ainsi publiée dans un journal burkinabé en ligne, Fasozine.com, le 28 juillet 2019. L’auteure, Madame Dandi GNAMOU,  s’y livre à une critique acerbe de certaines décisions adoptées par cette Instance suprême de l’auguste institution. Elle invoque leur caractère inopportun et illégal en se fondant sur la procédure suivie et sur les règles de fond adoptées.

Il importe d’apporter des éclaircissements et précisions face à cette critique qui, à n’en point douter, manque d’objectivité, de rigueur et de pertinence et participe plutôt à entretenir l’obscurantisme et à tromper le grand public. 

En ce qui concerne la procédure suivie, l’auteure fait valoir d’abord que certaines décisions du Conseil des Ministres du CAMES ont été adoptées avant l’entrée en vigueur des modifications apportées à la Convention portant statut du CAMES ; tel serait le cas du « Règlement intérieur du Conseil des Ministres adopté par Résolution n° 2019-013, mais prévu par la Résolution n° 2019-15 » ; selon l’auteure, « Elle (sic) porte un numéro antérieur à celle (sic) dont elle (sic) doit faire application ».

Dans l’esprit de l’auteure, la Résolution considérée comme mode d’adoption des décisions du Conseil des Ministres n’existe que depuis la révision de la Convention portant statut du CAMES en 2019 à Cotonou au Bénin. De ce fait, selon l’auteure, la Résolution portant adoption du Règlement intérieur des sessions ministérielles ne pouvait pas intervenir avant l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-015 portant révision de ladite Convention.

Une telle analyse procède d’une méconnaissance des textes de l’organisation et des pratiques institutionnelles en vigueur depuis la création du CAMES. La discussion sur l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-15, relative à la révision de la Convention portant statut du CAMES, n’aurait de sens que si le Règlement intérieur du Conseil des Ministres trouvait son fondement dans cette Résolution. Or, tel n’est pas le cas.

L’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-013 trouve son fondement dans les articles 10 et 11 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES. Il résulte de la combinaison de ces articles que le Conseil des Ministres, qui a compétence notamment pour adopter les Résolutions concernant les politiques d’Enseignement supérieur et de la Recherche ainsi que  pour examiner et approuver les comptes rendus des travaux du Comité des experts, y compris les propositions de résolutions et de recommandations, adopte ses décisions par consensus.

D’ailleurs, le Règlement intérieur que la Résolution n° SO-CM/2019-013 abroge et remplace a été adopté, à Ouagadougou, par Résolution du Conseil des Ministres le 17 avril 1989. Au vu de ce qui précède, il est aisé d’admettre que cet aspect de l’analyse de l’auteure est erroné, fallacieux et vise à entretenir la confusion sur le fonctionnement des instances supérieures du CAMES et la légalité de leurs actes, pour trouver une justification imaginaire à une situation somme toute personnelle.

L’auteure fait ensuite observer de manière factuelle inexacte que « l’autorisation des parlements nationaux est impérative (…) », que « créer une organisation internationale sur la base d’un traité en forme simplifiée est inadéquat (…) » et que « pour modifier un traité fondateur, il faut un autre traité (…) ». Les propos tendant à faire accréditer l’idée que le CAMES, pour avoir été créé en violation « des basiques du droit des traités et de l’État de droit », n’a jamais eu d’existence légale n’engagent que l’auteure qui les a tenus et qui, pourtant, a toujours bénéficié des prérogatives attachées à son titre d’agrégée obtenu dans le cadre des programmes du CAMES, notamment celui du Concours d’agrégation.

Cela dit, au-delà de l’amalgame entre procédures de création d’une organisation internationale et processus de modification d’un traité relatif au Statut d’une organisation déjà créée, il y a lieu de relever que l’observation révèle curieusement une grave méconnaissance des textes du CAMES, pour une personne qui a été à maintes reprises sollicitée comme expert au sein de l’Institution. En effet, c’est l’article 26 de la Convention portant Statut du CAMES, qui prévoit les modalités de  sa révision. Il résulte de ce texte que cette Convention peut être amendée ou révisée à la demande d’un État signataire, que le projet d’amendement doit recueillir l’avis favorable de deux autres États membres avant d’être remis au Secrétaire Général, que ledit projet est soumis au Conseil des Ministres et qu’il est adopté à la majorité des 2/3 des États membres. La procédure ainsi décrite débouche sur l’adoption, par le Conseil des Ministres, d’une Résolution validant les modifications ainsi apportées. Cette règle prévue par l’article 26 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES est traditionnellement consacrée par le droit des Traités. En effet, c’est le Traité fondateur qui prévoit les modalités de sa révision ainsi que les organes compétents pour y procéder.

S’agissant des règles de fond, l’auteure considère que du fait de l’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-015, le CAMES serait passé d’une organisation de coopération à une organisation supranationale, avec  pour effet de conférer à son Secrétaire Général « un pouvoir de légation… un pouvoir règlementaire autonome qui peut s’étendre à l’adoption de règlement d’exécution » et de faire du « Conseil des Ministres un parlement qui légifère dans le domaine de l’enseignement supérieur ».

L’idée selon laquelle le CAMES se transforme en organisation supranationale comparable à l’UEMOA avec la possibilité de prendre des « décisions qui s’imposeront aux États et s’appliqueront directement aux individus sans une internalisation préalable » est, de toute évidence, une vue de l’esprit. En effet le CAMES a toujours été une structure supranationale, à caractère spécifique. Il suffit pour s’en convaincre de se référer à ses textes fondamentaux.

Aux termes de l’article 6 de la Convention portant statut du CAMES, chaque programme du CAMES est régi par une Convention ou un Accord négocié et signé par les États qui acceptent d’en faire partie. Il en résulte que la signature par un État d’un Accord ou d’une Convention sous l’égide du CAMES implique l’engagement d’accepter et d’exécuter les obligations qui en découlent. En application des stipulations des Accords ou Conventions signés par les États dans le domaine de l’enseignement supérieur, le CAMES peut prendre des actes pour la réalisation des politiques communes.

C’est pour prendre en compte cette réalité que la Résolution n° SO-CM/2019-015 modifiant la Convention, a prévu deux types d’actes qui, bien que présentant des similitudes avec ceux qu’adoptent traditionnellement les organisations supranationales telles que l’UEMOA, n’en ont ni la même nature ni le même régime juridique.

Les actes émanant du CAMES, contrairement aux règlements et directives de l’UEMOA cités par l’auteure, ne sont pas formulés pour constituer un ordre juridique autonome mais plutôt pour harmoniser la position des États membres en vue de la réalisation de certains programmes et/ou la structuration des organes et instances du CAMES. Ces actes sont de deux ordres : les Directives et les Règlements.

Les Directives sont adoptées pour préciser les engagements que les États ont librement souscrits en vue de la réalisation des objectifs contenus dans les programmes ou pour déterminer les modalités de mise en œuvre des solutions communes dans les domaines prévus par l’article 4 de la Convention portant Statut du CAMES.

Les Règlements, en ce qui les concerne, n’ont ni pour objet ni pour effet de créer des droits ou des obligations au profit ou à la charge des ressortissants des États membres. Comme le prévoit le nouvel article 20-4 de la Convention dans sa rédaction due à la révision de 2019, ils sont destinés uniquement aux organes et instances du CAMES dont ils fixent les modalités de fonctionnement. Cela dit, l’absence de textes ayant un effet direct dans l’ordre juridique interne des États ne s’oppose pas à ce que le CAMES mette en place des instances chargées de prononcer les sanctions appropriées contre les enseignants et chercheurs qui, dans le cadre des programmes auxquels ils participent, s’écartent de manière délibérée des règles d’éthique et de déontologie qui garantissent la qualité des évaluations.  

Le CAMES n’est pas devenu, au vu de ce qui précède, une organisation supranationale par l’effet de la Résolution adoptée lors du dernier Conseil des ministres. Il a toujours été et demeure cette organisation investie par ses fondateurs de la mission d’harmoniser les politiques des États dans les domaines de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

La Résolution de 2019 modifiant la Convention portant Statut du CAMES a eu le mérite de préciser la nature des actes qui doivent être accomplis pour atteindre les objectifs visés et déterminer l’identité des organes ou des instances habilités à les adopter. L’adoption de cette Résolution ne peut donc avoir pour effet de transférer les compétences du Conseil des Ministres au Secrétaire Général qui en tant qu’organe d’exécution, exerce une mission générale de représentation, dirige l’administration du CAMES, exécute les décisions du Conseil des Ministres et des instances académiques et scientifiques du CAMES et participe à la conception des programmes (cf. article 17 de la Convention portant Statut du CAMES).

En ce qui concerne le Conseil des Ministres, il reste l’Instance voulue dès l’origine par les fondateurs du CAMES, c’est-à-dire  investie de la mission d’adopter les textes par lesquels sont définies les solutions communes et appropriées aux problèmes posés par les systèmes d’éducation, les établissements d’Enseignement supérieur, les Institutions de Recherche, les diplômes délivrés, l’accueil des étudiants, l’éducation, la formation et la circulation des étudiants ainsi que la mobilité des enseignants et des chercheurs.

En conclusion, il est à regretter que l’auteure, bénéficiaire des programmes du CAMES, ignore curieusement les textes de l’Organisation, les modalités de fonctionnement de ses instances ainsi que ses pratiques institutionnelles spécifiques. Il peut néanmoins lui être accordé le bénéfice des circonstances atténuantes.

Les textes du CAMES n’étant pas publiés, l’auteur peut soutenir au moins qu’elle n’est pas censée les connaitre. Mais, avec la création d’un Journal officiel du CAMES en vue d’assurer la publication des textes produits dans le cadre de notre Organisation commune, un tel système de défense ne pourra plus être opposé par les enseignants ou chercheurs de mauvaise foi prompts à demander, en invoquant l’absence de mesure de publicité, que soit écartée la règle selon laquelle nul n’est censé ignorer la loi.

Pour la mémoire et la responsabilité collective, il convient de noter que ce Conseil des Ministres ordinaire a été précédé d’une réunion des Experts et a connu la participation de 13 pays membres sur les 19 que regroupe le CAMES.

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𝗥𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗶𝗺𝗮𝗴𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗳𝗼𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains CAMES (CCI CAMES) a été officiellement ouverte ce lundi 7 juillet 2025 à N’Djamena, au Tchad. La cérémonie solennelle a été présidée par Son Excellence l'Ambassadeur ALLAH MAYE HALINA, Premier ministre, Chef du Gouvernement de la République du Tchad, représentant Son Excellence le Maréchal MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État, Haut Patron de l’événement.Une succession d’allocutions officielles et des prestations artistiques, ont conféré à la cérémonie une dimension à la fois institutionnelle et culturelle.Cette ouverture a été précédée les 2 et 4 juillet 2025, des lancements respectifs des travaux des Comités Techniques Spécialisés Lettres et Sciences Humaines (CTS LSH) et Sciences Naturelles et Agronomie (CTS SNA). Nous vous souhaitons une bonne lecture de cette rétrospective. ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗧𝗰𝗵𝗮𝗱 𝗮𝗰𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗹’𝗲𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 : 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝘀𝘁 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝗲La 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES (CCI CAMES) est officiellement lancée ce lundi 7 juillet 2025, à N’Djaména au Tchad. La cérémonie solennelle d’ouverture a été présidée par Son Excellence l’Ambassadeur ALLAH-MAYE HALINA, Premier ministre, Chef du Gouvernement de la République du Tchad, représentant Son Excellence le Maréchal MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État, Haut Patron de l’évènement. Étaient présents à cette cérémonie, outre d’éminentes personnalités nationales et internationales, le Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation professionnelle du Tchad, Dr Tom ERDIMI; le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ ; le Président du Comité Consultatif Général du CAMES, Pr Félicien AVLESSI ; le Président du Comité local d’organisation de ces CCI, Dr (MC) MAHAMAT SALEH DAOUSSA HAGGAR ; et le Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES, Pr Habibou ABARCHI. Cette cérémonie s’est également déroulée en présence des membres des Comités Techniques Spécialisés du CAMES, des membres du Comité Technique de Vérification des Revues du CAMES, des membres du Secrétariat général du CAMES, ainsi que de plusieurs membres du Gouvernement du Tchad, des autorités diplomatiques, administratives, coutumières, religieuses et académiques, et d’un grand nombre d’Enseignants-chercheurs, de Chercheurs et d’étudiants tchadiens.Dans son allocution de bienvenue, le 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮, 𝗗𝗿 (𝗠𝗖) 𝗠𝗔𝗛𝗔𝗠𝗔𝗧 𝗦𝗔𝗟𝗘𝗛 𝗗𝗔𝗢𝗨𝗦𝗦𝗔 𝗛𝗔𝗚𝗚𝗔𝗥, en sa qualité de Président du Comité local d’organisation, a souhaité une chaleureuse bienvenue à l’ensemble des participants. «Vous avez quitté chez vous pour venir chez vous. Soyez en profondément rassurés », a-t-il affirmé. Il a tenu à saluer tout particulièrement le leadership éclairé et la détermination exemplaire du Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES. « Cher Professeur, votre nom est désormais associé à la revitalisation méthodique, ambitieuse et résolue du CAMES. Il a enfin adressé ses salutations distinguées au Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des CCI, qu’il a qualifié de véritable cheville ouvrière de ces assises.Au nom des membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES et de l’ensemble des Responsables des Institutions d’Enseignement supérieur et des Centres de Recherche, le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗙𝗲́𝗹𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗔𝗩𝗟𝗘𝗦𝗦𝗜, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗖𝗚, a exhortés à faire preuve des valeurs qui les caractérisent: « une objectivité à toute épreuve, une rigueur méthodique, une transparence absolue, et un strict respect des règles et des dispositions énoncées dans les documents de référence, que sont le Code d’Éthique et de Déontologie et le Guide d’Évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs 2024-2028». Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a, pour sa part, souligné avec force que la reprise en présentiel des Comités Consultatifs Interafricains, après une interruption depuis 2019, constitue bien plus qu’un simple retour au format habituel: « il s’agit d’une véritable renaissance du Programme, qui trouve une signification toute particulière à N’Djaména, terre de Toumaï, où fut signé, en 1976, l’accord initial instituant ce Programme phare du CAMES ».𝗟𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁, 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲, 𝗗𝗿 𝗧𝗼𝗺 𝗘𝗥𝗗𝗜𝗠𝗜, dans son discours de circonstance, a dès l’entame de son propos reconnu la place prépondérante du CAMES. « S’il est une organisation scientifique régionale qui suscite aujourd’hui l’admiration des savants du monde entier, transcende les frontières, rassemble les intelligences, dépasse les différences et rapproche les peuples, c’est bien le CAMES », a-t-il ainsi affirmé.L’allocution d’ouverture officielle de cette 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains, a été prononcée par le 𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲, 𝗖𝗵𝗲𝗳 𝗱𝘂 𝗚𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗧𝗰𝗵𝗮𝗱, 𝗦𝗼𝗻 𝗘𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗹’𝗔𝗺𝗯𝗮𝘀𝘀𝗮𝗱𝗲𝘂𝗿 𝗔𝗟𝗟𝗔𝗛-𝗠𝗔𝗬𝗘 𝗛𝗔𝗟𝗜𝗡𝗔. Il a rappelé d’entrée de jeu, l’intérêt de Son Excellence, le Maréchal MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État, pour la cause de l’Enseignement supérieur africain, qu’il considère comme la pierre angulaire du développement socio-économique durable du continent. Il a réaffirmé le soutien indéfectible du Gouvernement de la République du Tchad à l’Enseignement supérieur, avant d’ouvrir officiellement les travaux de la 47èmesession des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES.www.lecames.org/le-tchad-accueille-lexcellence-scientifique-la-47eme-session-des-comites-consulta... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été honoré, le 5 juillet 2025, de la visite de courtoisie du Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation professionnelle de la République du Tchad, Dr Tom ERDIMI. Présent au pays de Toumaï, dans le cadre de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES, qui se tiennent du 7 au 16 juillet 2025, Pr Souleymane KONATÉ a pu s’entretenir avec son Ministre de tutelle sur différents sujets.D’entrée de jeu, le 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, a tenu à présenter ses civilités au Ministre d’État avant de présenter une partie de l’équipe qui l’accompagne dont le 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀, 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗜𝗣𝗔/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗠𝗔, et le 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗔𝗳𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗔𝗱𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗙𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝘀, 𝗠. 𝗜𝘀𝘀𝗼𝘂𝗳𝗼𝘂 𝗦𝗢𝗨𝗟𝗔𝗠𝗔. Il a par ailleurs remercié chaleureusement le Ministre d’État pour l’accueil de cette 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES sur le sol tchadien. Dans son propos, le Secrétaire Général a tenu à rappeler que cette session marque le retour en présentiel des CCI, ce qui réjouit toute la communauté académique et scientifique. Il a également exprimé toute sa gratitude aux autorités tchadiennes tout en saluant la présence de Son Excellence le Premier ministre à la cérémonie d’ouverture qu’il présidera. Il a émis le souhait que la pleine réussite soit au rendez vous de cette grande messe scientifique qui contribuera à faire briller l’image du pays qui l’accueille avec chaleur.𝗗𝗿 𝗧𝗼𝗺 𝗘𝗥𝗗𝗜𝗠𝗜, accompagné du 𝗗𝗿 (𝗠𝗖) 𝗠𝗔𝗛𝗔𝗠𝗔𝗧 𝗦𝗔𝗟𝗘𝗛 𝗗𝗔𝗢𝗨𝗦𝗦𝗔 𝗛𝗔𝗚𝗚𝗔𝗥, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗹𝗼𝗰𝗮𝗹 𝗱’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜, s’est dit satisfait de voir ce Programme créé à N’Djaména être organisé sur le sol tchadien, 49 ans plus tard. Il a rappelé que le CAMES a bonne presse au Tchad, vu son ancienneté en tant qu’organisation internationale. « Vous êtes chez vous à N’Djaména dans tous les domaines », a-t-il assuré, rappelant toute la disponibilité et la mobilisation des hautes autorités du pays, de son Ministère et du Premier ministère pour tout besoin tout le long du séjour.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-ministre-detat-en-charge-de-lenseignement-superieur-de-la... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝗹𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛 𝗲𝘁 𝗦𝗡𝗔 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝘀N’Djaména, la capitale tchadienne, accueille la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, du 7 au 16 juillet 2025 à l’hôtel de l’Amitié. A cet effet, le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA CAMES, Pr Ali DOUMMA, a procédé au lancement des travaux du 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 (𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛), 𝗹𝗲 𝟮 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱 et ceux du 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗡𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗔𝗴𝗿𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲 (𝗖𝗧𝗦 𝗦𝗡𝗔), 𝗹𝗲 𝟰 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱.Ce démarrage anticipé des travaux de ces CTS se justifie par le grand nombre de dossiers de candidature enregistrés au niveau de ces deux CTS, avec notamment 𝟲𝟳𝟰 𝗱𝗼𝘀𝘀𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛 𝗲𝘁 𝟱𝟭𝟲 𝗱𝗼𝘀𝘀𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗧𝗦 𝗦𝗡𝗔.Les cérémonies de lancement des travaux de ces deux CTS se sont articulées autour du mot de bienvenue et d’orientation du Directeur des Programmes, d’un rappel des modalités pratiques d’utilisation de la plateforme numérique et d’informations diverses. Ainsi, dans son propos, le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, Pr Ali DOUMMA, après avoir souhaité la chaleureuse bienvenue aux Experts venus des pays de l’espace CAMES, a salué le retour en présentiel de cet important Programme du CAMES. Il a remercié les Experts présents, pour leur engagement constant à préserver la crédibilité de notre Institution commune à travers des évaluations objectives, impartiales et transparentes. Il a également salué les nombreux services qu’ils rendent à la communauté universitaire et scientifique de l’espace CAMES.Cette séance s’est poursuivie avec le rappel de l’utilisation de la plateforme numérique par l’informaticien du CAMES, M. Guillaume NIKIEMA. www.lecames.org/47eme-session-des-comites-consultatifs-interafricains-du-cames-les-travaux-des-ct... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗔𝘀𝘀𝗶𝘀𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗘𝗺𝗽𝗹𝗼𝘆𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗹’𝗘𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝘂𝗱𝗶𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗴𝗼Les « Assises sur l’Employabilité et l’Entrepreneuriat des Étudiants en République du Congo » se sont tenues les 30 juin et 1er juillet 2025, au Palais des Congrès de Brazzaville (Congo). Ces assises ont été organisées par le Ministère de l’Enseignement supérieur sous le haut patronage du Premier ministre, Chef du Gouvernement, M. Anatole Collinet MAKOSSO. Cet événement a réuni des décideurs politiques, des représentants des missions diplomatiques, des Partenaires Techniques et Financiers, des Responsables académiques, des acteurs du monde économique, des acteurs de la société civile ainsi que de nombreux étudiants. La Ministre de l’Enseignement supérieur, Professeure Delphine Édith EMMANUEL née ADOUKI, a assuré la coordination des travaux et veillé à la bonne conduite des échanges tout au long de ces assises.Parmi les moments forts de ces assises figurait la table ronde sur le thème « 𝘈𝘤𝘤𝘰𝘳𝘥𝘴 𝘦𝘵 𝘌𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘊𝘰𝘯𝘤𝘳𝘦𝘵𝘴 », organisée le 1er juillet 2025. Celle-ci a constitué un espace stratégique dédié à la formalisation des engagements Institutionnels et partenariaux.Parmi les moments forts de ces assises figurait la table ronde sur le thème « Accords et Engagements Concrets », organisée le 1er juillet 2025. Celle-ci a constitué un espace stratégique dédié à la formalisation des engagements Institutionnels et partenariaux.𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝗰𝗲𝘀 𝗮𝘀𝘀𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗦𝗮𝘁𝘂𝗿𝗻𝗶𝗻 𝗘𝗡𝗭𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗬𝗢𝗖𝗔, 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́. Il est intervenu notamment lors de la cérémonie d’ouverture pour délivrer le message de soutien du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, ainsi qu’au panel de discussion sur « 𝘓’𝘦𝘮𝘱𝘭𝘰𝘺𝘢𝘣𝘪𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦𝘴 𝘦́𝘵𝘶𝘥𝘪𝘢𝘯𝘵𝘴 : 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘔𝘺𝘵𝘩𝘦 𝘦𝘵 𝘙𝘦́𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́ », en qualité d’expert.www.lecames.org/le-cames-participe-aux-assises-sur-lemployabilite-et-lentrepreneuriat-des-etudian... ... See MoreSee Less
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