Appel à contributions : Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique


Le Programme Thématique de Recherche (PTR) Langues, Sociétés, Cultures et Civilisations (LSCC) lance un appel à contributions sur thème « Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique ».


Le PTR LSCC rassemble en réseaux, les enseignants-chercheurs et les chercheurs de l’espace CAMES en une communauté de sujets (F. Jullien, 2016). Ainsi, face aux défis de notre temps, ils introduisent leurs initiatives dans le monde afin d’y porter une vision des universités. En effet, dans un contexte où l’Humain paraît réductible aux paradigmes d’efficacité, de rentabilité, de rapidité et de performance, il devient urgent que les Sciences Humaines et Sociales fournissent aux décideurs politiques et aux acteurs sociaux, des outils théoriques, méthodologiques et pratiques aptes à édifier des citoyens complets,  c’est-à-dire des citoyens volontaires, inventifs, rationnels et empathiques.

1/ Équipe de coordination :

  • Professeure Céline Yolande KOFFIE-BIKPO, UFHB, Coordinatrice du PTR-LSCC
  • Professeure Aimée-Danielle LEZOU KOFFI, UFHB, Coordinatrice adjointe du PTR-LSCC
  • Docteur Antoine Fobah KACOU, UFHB, Chargé de la communication, kakoufoba@outlook.fr

2/ Termes de références

Les élections constituent l’un des moyens, pour les communautés, de se doter des meilleurs représentants ou dirigeants. Pour y parvenir, les populations et leurs représentants devraient être animés par une conception noble du pouvoir (celle de maintenir la paix et la cohésion sociale dans la durée) soutenue par une certaine éthique. Or, dans l’Afrique moderne ou contemporaine, l’on constate une rupture avec cette vision. Les élections politiques riment trop souvent avec angoisse, incertitude et instabilité. Les joutes électorales débouchent fatalement sur des conflits, des crises. Comment expliquer une telle faillite ? Le diagnostic et l’analyse de la situation imposent de prendre en compte certaines considérations historiques, socio- culturelles et politiques. D’un point de vue historique, contrairement à l’idée reçue d’une importation de la démocratie, de ses procédures et de ses corollaires, la requête du suffrage démocratique n’est pas étrangère à certains systèmes politiques africains traditionnels. Avant l’importation des systèmes occidentaux de participation, et plus particulièrement du vote, il n’était pas exceptionnel de rencontrer des formules de contrôle du pouvoir ou de prise de décision de type démocratique par le peuple :

« La plupart des nations africaines avant la colonisation étaient constituées en royaumes dont l’organisation n’était pas éloignée de celle de la monarchie parlementaire britannique. Les affaires de la cité se réglaient autour « des arbres à palabres » avec la participation des populations ou leurs représentants : c’était le temps de légiférer, de décider, de juger… Dès lors, on peut sans équivoque établir un parallèle entre la structure des « chefs traditionnels et notables » et celle des « chefs d’État et notables ». Le pouvoir était délégué, les peuples étaient associés à la gestion des royaumes »

Biléou Sakpane-Gbati (2011).

De même, l’organisation politique chez les peuples Kru de Côte d’Ivoire est caractérisée par un système démocratique où le chef est élu et les décisions, soumises à des débats publics. Les sociétés pastorales sahélo – sahariennes, Peuls et Touaregs notamment ; pratiquaient des modes de gouvernance qui consacrent la participation des différents clans à la désignation des dirigeants. Elles disposaient également de mécanismes de sanctions. Les bons chefs régnaient plus longtemps alors que ceux défaillants se faisaient vite détrôner pour préserver l’intérêt général. Sur le plan des considérations socio-culturelles, les représentations liées au pouvoir pourraient élucider l’énigme. Ainsi, analysant le rapport au pouvoir dans certaines sociétés Bantoues, l’on identifie, par exemple, le paradigme de « l’homme fort » où le chef est un conquérant qui doit être craint :

« Un chef faible était renversé et la chefferie changeait de main et/ou de lignée. La pratique de coups d’État n’était donc pas absente. Le pouvoir s’arrachait aux différents prétendants. La légitimité d’un chef était fonction de sa capacité à tenir son royaume d’une main de fer. Sa crainte était fonction de sa force de frappe »

Kakdeu (2020).

Une autre réalité de l’Afrique traditionnelle est celles des lignées destinées à la gouvernance. Sur la base de ce modèle féodal, certaines communautés et par ricochet certains chefs d’États se disent destinés au pouvoir et peinent à accepter l’alternance.

Indépendamment de ces représentations, des pratiques sociopolitiques comme les détournements de deniers publics, l’impunité et autres scandales dans la sphère politique ont présenté les responsabilités étatiques comme « un gâteau à partager ». Les postes électifs ou nominatifs sont généralement perçus comme une situation de rente menant à l’enrichissement illicite. Dès lors, des biais entachent les processus électoraux et débouchent sur des crises voire des conflits. Ce sont : les découpages électoraux arbitraires, les commissions électorales dites indépendantes sujettes à caution, la modification opportuniste des lois fondamentales, l’État civil et le problème des pièces d’identités, les cartes d’électeurs distribuées arbitrairement, le bourrage des urnes, la mauvaise répartition des bureaux de vote ou leur création fictive, le refus d’accréditer des observateurs étrangers, etc. Et que dire des discours à fort ancrage identitaire et qui riment avec ethnie, liens de parenté ou toute autre considération socioculturelle ? Oserions-nous enfin aborder la question sensible du système néocolonial dans lequel l’indépendance réelle et la souveraineté des ex-colonies font débat ?

Malgré tout, l’Afrique post conférences nationales (1990) a expérimenté une vague de transitions démocratiques avec le retour au multipartisme et au principe des élections libres et transparentes. Elle a ainsi replacé la question du vote au centre de la politique africaine. Dans certains cas, encore rares malheureusement, les partis au pouvoir perdent des élections. L’alternance est recherchée et les résultats sont acceptés même s’ils sont défavorables aux sortants comme on a pu le constater au Bénin, au Congo, à Madagascar, au Nigeria, et au Sénégal. Les décisions du juge électoral sont respectées comme au  Mali où la Cour Suprême a annulé l’ensemble des élections législatives de 1997. Ce sont là, autant d’événements qui attestent d’une évolution sensible dans les comportements politiques vis-à-vis de la pratique électorale, du droit et de son juge et d’une nouvelle vision du politique en Afrique. Malgré ces notes optimistes, les élections restent encore problématiques sur le continent africain.

Aussi, dans un souci d’amélioration constante et de valorisation de la recherche sur l’ensemble de l’espace CAMES , le Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC) « ambitionne en général, dans ses sept (7) orientations stratégiques, et en particulier dans les actions suivantes : mettre en place un système d’information pour les programmes, améliorer la gouvernance des programmes ; soutenir et valoriser la formation ; promouvoir le développement des écoles et formations doctorales dans l’espace ; accroitre l’impact de la recherche ». Dans ce cadre, le programme thématique de recherche (PTR) Langues, Sociétés, Cultures et Civilisations (LSCC) lance le projet : « Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique ».

Il s’agit pour les universitaires de mener des recherches approfondies autour des dix axes identifiés.

3/ Axes et responsables

  • Axe 1 : Les dynamiques électorales en Afrique post conférences nationales (Essohanam Batchana, essobatchana@gmail.com,  Université de Lomé, Togo)
  • Axe 2 : Autour du pouvoir : questionner l’Afrique traditionnelle (Alain Sissao, alainsis@gmail.com,  INSS/CNRST, Burkina Faso)
  • Axe 3 : Démocratie, Médias et systèmes de gouvernance (André Tassou, tassou_andre@yahoo.frtassouandre@gmail.com, Université Yaoundé 1, Cameroun)
  • Axe 4 : Évaluation des mécanismes régionaux de gestion et de prévention des crises (Jean François Owaye, jfow2012@gmail.com,  UOB, Gabon)
  • Axe 5 : Éthique et élections (Marcel N’guimbi, nguimarc@gmail.com,  Université Marien N’Gouabi, Congo Brazza)
  • Axe 6 : Rhétorique des élections (Nanourougo Coulibaly,  coulyna@yahoo.fr,  UFHB, Côte d’Ivoire)
  • Axe 7 : La problématique du genre dans les processus électoraux (Yvette Onibon Doubogan, yvette.onibon@gmail.com, Université de Parakou, Bénin,)
  • Axe 8 : Identités (ethnique, culturelle, religieuse) et enjeux électoraux (Patrice Correa, patrice.correa@ugb.edu.sn, UGB, St Louis,  Sénégal)
  • Axe 9 : Gouvernance de la paix et de la sécurité dans un contexte de vulnérabilités lié au terrorisme  (Boubacar Diallo,  londiori@hotmail.com, UAM, Niamey, Niger)
  • Axe 10 : Les problématiques de la souveraineté des états et des processus d’intégration régionale (Hervé Kombieni, hervekombieni@yahoo.fr, UAC, Bénin)

Les enseignants-chercheurs et chercheurs intéressés par les problématiques identifiées pourront entrer en contact, par voie de mail, avec les responsables d’axes ou le responsable de la communication (Docteur Antoine Fobah KACOU : kakoufoba@outlook.fr).


Biographie

  • BONIFACE P. & VEDRINE H., 2009, Atlas des crises et conflits, Paris : Armand Colin & Fayard
  • CEDEAO, 2012, Les Systèmes de conflits en Afrique de l’Ouest : le cas de la bande sahélo – saharienne,
  • DARRACQ Vincent & Magnani Victor, 2011, ‘’Les Elections en Afrique un mirage démocratique’’, in Politique Étrangère, Cairn.info, pages 839-850,
  • EWANGUI Céphas Germain, 2013, Démocratie et élections en Afrique, Paris : L’Harmattan
  • OSTROM Elinor, 1990, Governing the commons: The evolution of institutions for collective actions, Cambridge actions, Cambridge University Press
  • QUANTIN Patrick et al, 2004, Voter en Afrique : comparaisons et différenciations, Paris : L’Harmattan.
  • SAKPANE-GBATI Biléou, 2011, « La démocratie à l’africaine », Revue Éthique publique, vol. 13, n° 2, Dialogues pour réinventer la démocratie, https://doi.org/10.4000/ethiquepublique.679
  • SIEGLE J & COOK Candace, 2020, Evaluation des élections de 2020 en Afrique, Centre d’Études Stratégiques de l’Afrique.

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𝐑𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑺𝒄𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆𝒔 𝑬́𝒄𝒐𝒏𝒐𝒎𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑺𝒄𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆𝒔 𝑷𝒐𝒍𝒊𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 ... See MoreSee Less
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𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑫𝒓𝒐𝒊𝒕 𝑷𝒓𝒊𝒗𝒆́ ... See MoreSee Less
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𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘀-𝗮𝗱𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚La première épreuve du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) se poursuit en ligne jusqu’au 28 octobre 2025. Les candidats participent à cette phase initiale depuis les Centres d’examen nationaux situés dans les pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Mali, Niger, Sénégal, Togo. D’une durée d’une heure, dont quinze minutes de présentation par le candidat, cette épreuve consiste en une discussion entre le Jury et le candidat autour des travaux de ce dernier. À l’issue de cette première étape, les postulants déclarés sous-admissibles seront conviés à participer aux deux autres épreuves du Concours. Ces dernières se dérouleront en présentiel à Dakar du 10 au 21 novembre 2025 à l’Université Cheikh Anta Diop.Chiffres clés du Concours : 215 candidats / 12 pays concernés / 41 IESR / 37 membres de Jury.Découvrez les premiers résultats des sous admissibilités par section du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES :- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 » : sur 65 candidats, 38 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 » : sur 20 candidats, 10 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique). - 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗽𝗿𝗶𝘃𝗲́ » : sur 40 candidats, 17 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰 » : sur 46 candidats, 24 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 » : les 5 candidats ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 » : sur 39 candidats, 19 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).Consultez les listes : www.lecames.org/premiers-resultats-de-sous-admissibilite-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶Le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗕𝗼𝘂𝗿𝗲́𝗺𝗮 𝗞𝗔𝗡𝗦𝗔𝗬𝗘, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, a été reçu dans la matinée du 𝟮𝟰 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 au siège du CAMES. Accompagné d’une forte délégation, le Ministre a eu un entretien de travail avec le Directoire du Secrétariat général. Les échanges ont porté sur des questions d’intérêt commun relatives au fonctionnement de l’Institution et à la mise en œuvre de ses Programmes statutaires, notamment l’Atelier sur la Stratégie de redynamisation de la Recherche dans l’espace CAMES que Bamako abritera en janvier 2026. Cette rencontre a offert aux deux parties, une excellente opportunité d’examiner les aspects pratiques et organisationnels de cet important rendez-vous scientifique.Dans l’entretien qui a réuni le directoire du CAMES et le Ministre de l’Enseignement supérieur en visite au CAMES, le Professeur Ali DOUMMA, assurant l’intérim du Secrétaire Général du CAMES, a, au nom de ce dernier, remercié et exprimé sa profonde gratitude pour cette visite de courtoisie et de travail. Il a également souhaité, au nom de l’ensemble du personnel du Secrétariat général, la bienvenue à la délégation ministérielle, qui marque par sa présence toute l’attention et l’intérêt portés à l’Institution.Ces échanges ont été suivis par une rencontre conviviale entre le personnel et la délégation ministérielle. Cette rencontre a été l’occasion pour le Professeur Ali DOUMMA, de rendre hommage à ces femmes et à ces hommes qui, par leur engagement et leur dévouement, contribuent à maintenir haut le flambeau du CAMES et à assurer la continuité de ses missions au service de la communauté scientifique africaine.Prenant à sa suite la parole, le Ministre a exprimé sa profonde gratitude pour l’accueil chaleureux qui lui a été réservé. Il a souligné le rôle central que joue le CAMES dans la promotion de la Recherche et de l’Enseignement supérieur dans l’espace africain. « 𝘑𝘦 𝘳𝘦𝘱𝘢𝘳𝘴 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘴𝘢𝘵𝘪𝘴𝘧𝘢𝘪𝘵, 𝘤𝘢𝘳 𝘫’𝘢𝘪 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦́ 𝘪𝘤𝘪 𝘥𝘦𝘴 𝘩𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘱𝘢𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯𝘯𝘦́𝘴 𝘦𝘵 𝘦𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦́𝘴. 𝘎𝘳𝘢̂𝘤𝘦 𝘢̀ 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘪𝘭, 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘳𝘢𝘺𝘰𝘯𝘯𝘦𝘳 𝘦𝘵 𝘥’𝘩𝘰𝘯𝘰𝘳𝘦𝘳 𝘴𝘢 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯. 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘷𝘢𝘪𝘯𝘤𝘶 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘮𝘢𝘪𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘶𝘯𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘣𝘰𝘯𝘯𝘦𝘴 𝘮𝘢𝘪𝘯𝘴 », a-t-il ajouté. www.lecames.org/visite-de-courtoisie-des-ministres-maliens-et-togolais-en-charge-de-lenseignement... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝘂𝗲́ 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗧𝗼𝗴𝗼En marge du Forum National de la Recherche Scientifique et des Innovations Technologiques (FRSIT), tenu à Ouagadougou, le Secrétariat général du CAMES a eu l’honneur d’accueillir, les 23 et 24 octobre 2025, les Ministres en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche du Togo et du Mali, en visite de courtoisie au sein de l’Institution. Les délégations ministérielles ont été chaleureusement reçues par l’équipe de direction du Secrétariat général, conduite par le Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains (CCI), des Concours d’Agrégation et de l’Ordre International des Palmes Académiques (OIPA/CAMES), assurant l’intérim du Secrétaire Général du CAMES. Étaient également présents, le Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA et le Directeur des Affaires Administratives et Financières (DAAF) du CAMES, M. Issoufou SOULAMA. À l’issue des entretiens de travail, les délégations ont eu un échange convivial avec l’ensemble du personnel du Secrétariat général.𝗟𝗲 𝟮𝟯 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗚𝗮𝗱𝗼 𝗧𝗖𝗛𝗔𝗡𝗚𝗕𝗘𝗗𝗝𝗜, nouveau Ministre délégué auprès du Ministre de l’Éducation nationale, chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Togo, a honoré de sa présence le Secrétariat général du CAMES.Lors de son entretien avec l’équipe dirigeante, le Ministre a présenté l’objet de sa démarche. « 𝘈𝘺𝘢𝘯𝘵 𝘳𝘦́𝘤𝘦𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘳𝘪𝘴 𝘮𝘦𝘴 𝘧𝘰𝘯𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴, 𝘭’𝘰𝘤𝘤𝘢𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘮’𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘰𝘯𝘯𝘦́𝘦 𝘥’𝘦𝘧𝘧𝘦𝘤𝘵𝘶𝘦𝘳 𝘮𝘢 𝘱𝘳𝘦𝘮𝘪𝘦̀𝘳𝘦 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘰𝘧𝘧𝘪𝘤𝘪𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘢̀ 𝘖𝘶𝘢𝘨𝘢𝘥𝘰𝘶𝘨𝘰𝘶. 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘥𝘰𝘯𝘤 𝘷𝘦𝘯𝘶 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦́𝘤𝘩𝘢𝘯𝘨𝘦𝘳 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘙𝘦𝘴𝘱𝘰𝘯𝘴𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘨𝘳𝘢𝘯𝘥𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵𝘴 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘶𝘯𝘪𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵, 𝘯𝘰𝘵𝘢𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭’𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 7𝘦̀𝘮𝘦𝘴 𝘑𝘰𝘶𝘳𝘯𝘦́𝘦𝘴 𝘚𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 (𝘑𝘚𝘋𝘊) 𝘱𝘳𝘦́𝘷𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘮𝘢𝘳𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘤𝘩𝘢𝘪𝘯 𝘢𝘶 𝘛𝘰𝘨𝘰. 𝘊𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘳𝘦𝘯𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘭’𝘰𝘤𝘤𝘢𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘥𝘪𝘴𝘤𝘶𝘵𝘦𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘥𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́𝘴 𝘱𝘳𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘴𝘪𝘨𝘯𝘢𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘈𝘤𝘤𝘰𝘳𝘥 𝘥𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘦𝘯𝘢𝘳𝘪𝘢𝘵 𝘦𝘯 𝘷𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘵𝘦𝘯𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘪𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵𝘦 𝘮𝘢𝘯𝘪𝘧𝘦𝘴𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘲𝘶𝘪 𝘷𝘢 𝘳𝘦𝘨𝘳𝘰𝘶𝘱𝘦𝘳 𝘭’𝘦́𝘭𝘪𝘵𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘦𝘴𝘱𝘢𝘤𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘦𝘵 𝘥’𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘢̀ 𝘓𝘰𝘮𝘦́. », a-t-il précisé.Professeur Ali DOUMMA, assurant l’intérim du Secrétaire Général, a adressé au Ministre, ses chaleureuses félicitations pour sa nomination et a salué son engagement à renforcer la coopération entre le Togo et le CAMES. A l’issue de cet entretien, le Ministre a rencontré le personnel du Secrétariat général. Professeur TCHANGBEDJI, a exprimé sa joie d’avoir retrouvé ce qu’il a appelé « sa maison », le CAMES. « 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘦́𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘦́𝘮𝘶 𝘱𝘢𝘳 𝘭’𝘢𝘤𝘤𝘶𝘦𝘪𝘭 𝘤𝘩𝘢𝘭𝘦𝘶𝘳𝘦𝘶𝘹 𝘲𝘶𝘪 𝘮’𝘢 𝘦́𝘵𝘦́ 𝘳𝘦́𝘴𝘦𝘳𝘷𝘦́. 𝘓𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘪𝘣𝘶𝘦́ 𝘢̀ 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘴𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘢𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘥’𝘩𝘶𝘪. 𝘑𝘦 𝘳𝘦𝘱𝘢𝘳𝘴 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘢 𝘧𝘦𝘳𝘮𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘷𝘪𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘦𝘷𝘰𝘯𝘴, 𝘦𝘯𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦, 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘴𝘶𝘪𝘷𝘳𝘦 𝘭’œ𝘶𝘷𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘢𝘤𝘢𝘥𝘦́𝘮𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘦𝘯𝘵. 𝘜𝘯𝘪𝘴, 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘴𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘧𝘰𝘳𝘵𝘴, 𝘦𝘵 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘰𝘯𝘴 𝘩𝘪𝘴𝘴𝘦𝘳 𝘩𝘢𝘶𝘵 𝘭𝘦 𝘧𝘭𝘢𝘮𝘣𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘶 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘢𝘧𝘳𝘪𝘤𝘢𝘪𝘯. », a-t-il signifié avec émotion. www.lecames.org/visite-de-courtoisie-des-ministres-maliens-et-togolais-en-charge-de-lenseignement... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗹’𝗨𝗡𝗘𝗦𝗖𝗢 𝗲𝘁 𝗹’𝗜𝗥𝗗 𝗷𝗼𝗶𝗴𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝗳𝗳𝗼𝗿𝘁𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗢𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲Le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) et l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), a organisé avec succès, le 21 octobre 2025, un webinaire de haut niveau sur la Science Ouverte dans l’espace CAMES sur le thème « 𝘗𝘰𝘶𝘳𝘲𝘶𝘰𝘪 𝘦𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘰𝘶𝘵𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘭𝘢 𝘚𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘖𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭’𝘦𝘴𝘱𝘢𝘤𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 ? ». L’événement a rassemblé une centaine de Présidents et Recteurs d’Universités, Chercheurs, Responsables scientifiques et Experts issus des 19 pays membres du CAMES. Ce premier webinaire s’inscrit dans la perspective de la mise en place de la politique de Science Ouverte du CAMES.Dans son discours d’ouverture, Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES, représenté par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes responsable de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat, a souligné que cette initiative marque une étape importante dans la stratégie panafricaine de l’organisation. « 𝘓𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘢̀ 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘦𝘳𝘴 𝘴𝘢 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭 𝘢𝘶𝘱𝘳𝘦̀𝘴 𝘥𝘦𝘴 𝘌́𝘵𝘢𝘵𝘴 𝘮𝘦𝘮𝘣𝘳𝘦𝘴, 𝘦𝘯𝘵𝘦𝘯𝘥 𝘱𝘭𝘦𝘪𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘫𝘰𝘶𝘦𝘳 𝘴𝘢 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘰𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘚𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘖𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘦, 𝘥𝘦 𝘭’𝘐𝘯𝘵𝘦𝘭𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘈𝘳𝘵𝘪𝘧𝘪𝘤𝘪𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘴𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳𝘢𝘪𝘯𝘦𝘵𝘦́ 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘵𝘦𝘯𝘢𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘹𝘵𝘦. », a-t-il indiqué.« 𝘓𝘢 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘦, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘦́𝘲𝘶𝘪𝘵𝘢𝘣𝘭𝘦, 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘱𝘢𝘳𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘪𝘯𝘤𝘭𝘶𝘴𝘪𝘷𝘦, 𝘲𝘶𝘪 𝘳𝘦𝘭𝘪𝘦 𝘭𝘢 𝘙𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘦́𝘵𝘦́. 𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘮𝘦𝘵 𝘢̀ 𝘤𝘩𝘢𝘤𝘶𝘯 𝘥’𝘢𝘤𝘤𝘦́𝘥𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳, 𝘥𝘦 𝘭𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘦 𝘳𝘦́𝘶𝘵𝘪𝘭𝘪𝘴𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘴𝘦𝘳𝘷𝘪𝘤𝘦 𝘥𝘶 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘶𝘯. », a précisé Dr Dimitri SANGA, Directeur du Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique de l’Ouest, dans son allocution. Dans ses propos, il a tenu à rappeler l’importance de la Science Ouverte comme levier de justice cognitive et de développement durable.Dr Philippe CHARVIS, Directeur Délégué à la Science de l’IRD, a, quant à lui, mis en avant l’engagement historique de son Institution. « 𝘋𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘥𝘦 𝘵𝘳𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘢𝘯𝘴, 𝘭’𝘐𝘙𝘋 𝘴’𝘦𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘢𝘨𝘦́𝘦, 𝘤𝘰𝘱𝘳𝘰𝘥𝘶𝘪𝘵𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘊𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘥𝘶 𝘚𝘶𝘥. 𝘊𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘦𝘯𝘢𝘳𝘪𝘢𝘵 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘦𝘵 𝘭’𝘜𝘕𝘌𝘚𝘊𝘖 𝘷𝘪𝘴𝘦 𝘢̀ 𝘣𝘢̂𝘵𝘪𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘦́𝘤𝘰𝘴𝘺𝘴𝘵𝘦̀𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘙𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘴, 𝘴𝘰𝘭𝘪𝘥𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘶𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴. », a-t-il souligné.Le webinaire, modéré par Mme Kornelia TZINOVA de l’UNESCO et M. Zakari LIRÉ du CAMES, comportait deux sessions, dont une présentation sur la recommandation de l’UNESCO de 2021 et une table ronde sur les pratiques de Science Ouverte.Le CAMES, l’UNESCO et l’IRD ont convenu de poursuivre cette dynamique à travers un cycle de webinaires thématiques et des ateliers de renforcement de capacités. 𝗥𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲𝘀 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗲𝘀 :- Questionnaire post-webinaire (CAMES-UNESCO-IRD) : forms.gle/Ard4mupqY3HtD2dh9- Recommandation de l’UNESCO sur la science ouverte (2021) : unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000379949_freEn savoir plus : www.lecames.org/le-cames-lunesco-et-lird-joignent-leurs-efforts-pour-la-promotion-de-la-science-o... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗛𝗼𝗺𝗺𝗮𝗴𝗲 𝗮𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗝𝗲𝗮𝗻-𝗟𝗼𝘂𝗶𝘀 𝗔𝗯𝗱𝗼𝘂𝗿𝗮𝗵𝗶𝗺 𝗡𝗗𝗜𝗔𝗬𝗘Le Secrétariat général du CAMES exprime sa profonde tristesse à l’annonce du décès du Professeur Jean-Louis Abdourahim NDIAYE, survenu le 25 octobre 2025 à Dakar.Le Professeur Jean-Louis Abdourahim NDIAYE était Professeur Titulaire du CAMES en Parasitologie Mycologie à l’Unité de Formation et de Recherche des Sciences de la Santé de l’Université Iba Der Thiam de Thiès, où il officiait en tant que Vice-Recteur chargé de la Recherche, de l’Innovation scientifique et de la coopération. Ses travaux sur le paludisme ont été mondialement reconnus et ont contribué à l’avancée des connaissances dans le domaine. Professeur Jean-Louis Abdourahim NDIAYE était également un éminent membre du Programme Thématique de Recherche Santé du CAMES.Au nom de toute l’Institution, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, rend un hommage appuyé à l’illustre disparu et adresse, au nom du CAMES, ses sincères condoléances à sa famille biologique, à ses collègues, ainsi qu’à toute la communauté universitaire et scientifique du Sénégal.www.lecames.org/hommage-au-professeur-jean-louis-abdourahim-ndiaye/ ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑫𝒓𝒐𝒊𝒕 𝑷𝒖𝒃𝒍𝒊𝒄 ... See MoreSee Less
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𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑰𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒆𝒕 𝑺𝒄𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑮𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏 ... See MoreSee Less
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