#Interview : Coronavirus, crise de notre intelligence collective ou véritable opportunité pour nous réinventer et innover ?

Docteur Alain CAPO-CHICHI est spécialiste de la prospective et de l’innovation, Membre associé de la Chaire UNESCO sur les TICs de l’université de Bordeaux et ancien Coordonnateur Chargé de l’innovation du Programme thématique de recherche TIC du CAMES. Il est également officier de l’Ordre des palmes académiques du CAMES.

Dr Alain CAPO-CHICHI

Question 1 : Dr Alain CAPO-CHICHI, quelle lecture faites-vous de la situation de crise à laquelle fait face le monde aujourd’hui ? En quoi consiste une crise en réalité et comment est-ce qu’elle se manifeste ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Une crise peut se caractériser par une situation, un vécu de blocages, de souffrances, d’incertitudes. Elle est visible actuellement dans la mesure où nous observons que nos marchés, nos aéroports, nos maquis sont fermés ; nos déplacements limités, notre vie sociale régulée, l’activité économique bloquée, le nombre de morts et de personnes infectées en constante augmentation : on parle de près de soixante mille (65.000) morts et près d’un million (1.000.000) de personnes infectées. Il s’agit d’une crise mondiale, car elle touche presque tous les pays et ce n’est que la partie visible de la crise. Il y a une autre partie invisible qui apparaîtra à court, moyen ou long terme.

De mémoire d’homme, c’est la plus grave crise après la Deuxième Guerre mondiale. Cette crise déjà sanitaire va entraîner des crises économique, sociale, humanitaire, sécuritaire et même politique. En tant que spécialiste de la prospective, il importe de sensibiliser les différents acteurs, les individus, les entreprises et même les gouvernements, afin qu’ils anticipent et planifient, car la crise va entraîner des bouleversements profonds sur au moins une dizaine d’années.


Question 2 : Actuellement près de la moitié de l’humanité est confinée. C’est littéralement du jamais vu. Beaucoup se posent des questions sur la durée de cette pandémie. Vous qui avez un regard d’expert, dites-nous quelles sont les projections possibles ? Est-ce qu’après deux semaines de confinement la vie peut reprendre son cours normal ou redoutez-vous un prolongement ? Et surtout qu’est-ce qui va annoncer la fin de la crise, est-ce un vaccin ? Un remède ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Cette crise comporte beaucoup de zones d’incertitudes, ce qui fait que même les chercheurs, les spécialistes les plus réputés n’arrivent pas à envisager son épilogue de façon précise. Les prospectivistes ne peuvent donc faire que des scénarios, des projections. Mais, sachons tous déjà une chose : c’est que la crise ne va pas durer deux (2) semaines comme vous le dites. Elle aura au moins trois phases : une phase immédiate que nous vivons actuellement et qui va durer entre trois (3) et dix-huit (18) mois, une phase à moyen terme qui durera entre dix-huit (18) mois et trois (03) ans et une phase irréversible sur le long terme.

Sur la phase sur le long terme, c’est qu’il y aura un changement radical du comportement des gens après la crise, notamment avec la distanciation sociale que la crise entraîne. Les chercheurs parlent d’innovation sociale. On parle par exemple déjà de télétravail, de téléenseignement, de la télémédecine et même après la crise, plus rien ne sera comme avant dans ces domaines.

La phase immédiate de la crise qui est visible, va être la période où les gouvernements vont chercher à maîtriser l’évolution de la maladie (ce que nous appelons la gestion des incidents), c’est-à-dire en cherchant à en limiter les conséquences, limiter le nombre de morts, l’influence en termes de perte d’activité économique, etc…, plutôt que de chercher à résoudre la crise, en s’attaquant à sa cause.

Il s’agit en effet de cette phase où les Chefs d’État sont intervenus et ont pris des mesures de confinement, de régularisation, des décisions importantes pour limiter les effets de la crise.

Cette phase de court terme va durer entre trois (3) et dix-huit (18) mois, le temps de trouver un vaccin ou un remède efficace ; mais encore une fois, elle risque d’être dramatique.

Elle sera dramatique, car déjà, il y a plusieurs morts, plusieurs entreprises fermées, des familles qui n’arrivent plus à se nourrir et donc, va entraîner d’autres formes de crises, notamment les divorces, les violences, même les bouleversements humanitaires, sécuritaires et politiques sur le moyen terme de la crise.


Question 3 : La crise sanitaire a également entrainé une crise économique monumentale. Ainsi, devons-nous opérer des changements notables dans nos habitudes, dans nos projets pour s’adapter à cette situation. Dites-nous, quelles dispositions doivent prendre par exemple les entreprises, les étudiants pendant et après la crise ?  

Dr Alain CAPO CHICHI : La première disposition à prendre et la plus importante, est d’accepter et de composer avec la crise. Comprendre la crise, ses enjeux et s’y adapter rapidement. Ne dites surtout pas que la crise va être passagère et conjoncturelle. Elle va être durable et mondiale. Donc, un bon chef d’entreprise, un jeune étudiant et toute personne doivent se projeter en avant, pendant et après cette crise-là. Il faudra analyser ses forces et faiblesses et voir les mesures à prendre vis-à-vis de ses activités, de son organisation, de ses produits, de ses clients, de ses employés et examiner les compatibilités internes au regard des changements imposés par la crise, pour aborder des questions de continuité ou de changement d’activités, d’adaptation du personnel, de chômage technique ou de licenciement du personnel par exemple. Il s’agit en somme d’anticiper sur les évolutions de son secteur, de son pays et du monde. Les chefs d’entreprises et leurs agents doivent collaborer pour s’adapter à la crise, afin de ne pas subir collectivement. La crise sera difficile, mais ceux qui vont survivre sont ceux qui auront compris la crise et sauront en faire une opportunité.

Oui, dans chaque crise, il y a des opportunités, lesquelles sont dans les zones d’incertitudes et une crise est pleine d’incertitudes. C’est comme quand il y a un décès dans une famille tout le monde ne pleure pas de la même manière. Il y a une opportunité pour le vendeur de cercueils, les creuseurs de tombe, les organisateurs de funérailles, etc. Les chefs d’entreprises et leurs salariés doivent savoir que ce ne sont pas eux qui gouvernent leurs propres entreprises, mais c’est plutôt le marché, l’économie, les tendances technologiques, la loi de l’offre et de la demande qui les gouvernent.

Moi, j’ai bien aimé l’histoire du jeune entrepreneur dans une rue d’Abidjan qui a rapidement compris qu’il faut vendre des feuilles et racines intégrant de la quinine plutôt que de continuer à proposer des cartes de recharge. Donc, aujourd’hui, nous devons nous demander de quoi le marché a besoin et s’adapter. Aujourd’hui, les gens ont besoin de masques, de tests rapides du COVID-19, de nourritures à distance, d’étudier à distance, de se distraire à distance et même d’entretenir une relation à distance. En clair comment chaque entreprise rend compatible ses activités avec la distanciation sociale, cette mesure sans contact direct.


Question 4 : Concrètement, que faites-vous par exemple comme adaptation dans vos entreprises et que pourra faire un jeune entrepreneur qui tient un restaurant ou une boite de nuit, maintenant que les rassemblements sont interdits comment pourrait-il s’adapter ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Si je dois prendre mon exemple, je dirige plusieurs entreprises dans plusieurs pays et nous sommes fortement dans le secteur de l’éducation. Les premières mesures qu’ont prises les gouvernements dans les pays où nous sommes installés, consistent en la fermeture des écoles et universités. Mais je peux vous assurer que du fait que nous ayons anticipé, nous faisons partie des 1 % d’établissements qui continuent d’enseigner à distance aujourd’hui. Nos étudiants ont été formés pour recevoir les cours à distance.

Nous avons énormément investi pour acheter plusieurs équipements, ce qui permet à nos étudiants de ne pas risquer une année blanche si la crise perdurait. Nos agents sont en télétravail parce que nous avons mis le dispositif adapté : une culture, une organisation, des équipements et un progiciel de gestion intégrée qui facilite le travail collaboratif et le contrôle du temps du travail à distance. Il a fallu aussi diagnostiquer nos activités qui se faisaient en contact avec les individus, pour les rendre compatibles avec le mode de distance.

Le paiement par exemple qui se faisait au comptant peut se faire aujourd’hui directement sur nos plateformes sans intervention et sans contact. J’ai demandé également à tous mes collaborateurs qui offraient des activités qui nécessitaient un contact direct de réadapter leurs outils et méthodes, de manière à être efficace à distance. Cela passe par l’accompagnement, la formation, la démission ou le chômage technique. Nous avons aussi adapté nos activités pour conquérir de nouveaux clients et créer de nouveaux produits. Vous savez que nous fabriquons déjà des ordinateurs, des téléphones, mais nous avons décidé de fabriquer aujourd’hui et très rapidement des masques, des respirateurs, des outils de test rapide de COVID-19, etc. Nous sommes une entreprise de taille moyenne.

Prenons l’exemple d’une petite entreprise telle qu’un restaurant par exemple. Dans les mesures prises par le gouvernement, votre restaurant est fermé et vos activités sont bloquées par le couvre-feu. Si vous dites que la crise est ponctuelle, alors vous aller laisser le restaurant avec le loyer à payer, les employés à payer ou au chômage technique et au bout de deux à trois mois, vous finirez par déclarer la faillite alors que dans le même temps, vos clients, même de leurs maisons, cherchent à manger. Vos collaborateurs cherchent à travailler, vous avez des ustensiles de cuisine et tout est aux arrêts.

La meilleure posture serait de réorganiser votre activité, même votre mode de résidence, de manière à continuer à vendre même à distance. Cela peut vous amener à changer de résidence à votre cuisinier, à changer ses horaires de travail, le packaging, le système de commande et de livraison, les modes de paiement, etc.

Vos serveurs peuvent devenir des marketeurs à distance, pour proposer vos plats en ligne.

Ils doivent aussi accepter de se former et s’adapter rapidement pour ne pas basculer en chômage technique. La crise va durer, peut-être que je dois compléter de nouveaux produits : assister les gens pour préparer à distance ou bien envoyer le cuisinier dans les familles pour une ou deux heures de cuisine. La crise va durer, donc, il faut de nouveaux produits, de nouvelles alliances pour se créer une opportunité.


Question 5 : Comme on le dit souvent, c’est en temps de crise que se créent les plus grandes opportunités. Comment peut-on transformer la crise du Coronavirus en une véritable opportunité pour la jeunesse africaine ?

Dr Alain CAPO CHICHI : C’est une opportunité parce que l’Afrique a une population majoritairement jeune. Les personnes de plus de 65 ans représentent moins de 5 % de la population alors qu’elles sont les plus touchées par la maladie. La crise va ralentir les importations, ce qui peut être une opportunité pour la production locale. La crise a obligé plusieurs personnes à rentrer au village, ce qui va favoriser le développement de nos régions qui vont avoir des ressources humaines plus qualifiées. Mais la révolution importante de la crise qui va bénéficier à l’Afrique, c’est le fait que je ne sois plus obligé d’aller en France, aux États-Unis, au Canada pour travailler. Le monde du travail a adopté le télétravail et les États africains, les jeunes africains doivent se positionner sur les nouveaux métiers qui peuvent faire qu’ils vont se retrouver à gagner 100 fois le salaire minimum de leur pays tout en étant sur place. Pour ce faire, ils doivent s’intéresser aux tendances technologiques, notamment la réalité augmentée, l’intelligence artificielle, le Bigdata, l’internet des objets, le cloud, la mobilité. Ces tendances sont simples et accessibles dans nos pays, mais vont accompagner la mutation des métiers actuels (85 % des métiers de demain).


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𝟒𝟕𝐞̀𝐦𝐞 𝐬𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐂𝐂𝐈: 𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒 𝐞𝐧 𝐬𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞𝐧𝐚Dans le cadre de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES, prévue du 7 au 16 juillet 2025, une équipe du CAMES conduite par le Directeur des Programmes en charge des CCI, des Concours d'Agrégation et de l'OIPA, Pr Ali DOUMMA, séjourne depuis le 30 juin 2024 à N'Djamena au Tchad, en vue de s'enquérir des conditions de préparation de cet important évènement.A cet effet, la délégation a eu une séance de travail avec le Comité local d'organisation, ce 1er juillet 2025, dans les locaux de l'Université de N'Djamena.La visite des sites retenus pour les différentes cérémonies officielles et les travaux des Comités Techniques Spécialisés, ainsi que les sites d'hébergement a précédé cette séance qui a permis de faire le point de l'organisation de ce Programme phare du CAMES.Introduisant la séance de travail, le Président du Comité local d'organisation, par ailleurs Président de l'Université de N'Djamena, Dr (MC) MAHAMAT SALEH DAOUSSA HAGGAR, a remercié l'équipe du CAMES pour sa disponibilité constante et son accompagnement dans le cadre de l'organisation de cet important événement.Prenant la parole à sa suite, Pr Ali DOUMMA, Directeur des Programmes du CAMES est revenu sur la visite préléminaire et les points d'attention de l'organisation. Il a félicité toute l'équipe pour le professionnalisme dans la préparation de cet événement majeur. Il s'est dit plus que satisfait de la qualité de l'organisation constatée.Rendez-vous est pris pour le démarrage des travaux du premier Comité Technique Spécialisé Lettres et Sciences Humaines (CTS LSH), ce 2 juillet 2025. ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗼𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗱’𝗮𝗰𝗰𝗼𝗿𝗱 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Le lundi 23 juin 2025, le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation du Sénégal, Dr Abdourahmane DIOUF et le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ ont procédé à la signature officielle du protocole d’accord relatif à l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), dont la phase présentielle se déroulera, du 10 au 21 novembre 2025, à Dakar, au Sénégal. En mission de travail au Sénégal du 23 au 27 juin 2025, la délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, accompagné du Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’Ordre International des Palmes Académiques, Pr Ali DOUMMA, a été reçue en audience par le Ministre, dans les locaux dudit Ministère.A l’entame de cette audience, le Ministre, Dr Abdourahmane DIOUF, s’est dit honoré par la visite du Secrétaire Général du CAMES. Il a réitéré sa reconnaissance au CAMES pour la grande confiance accordée au Gouvernement de la République du Sénégal pour l’organisation de ce 22ème Concours d’Agrégation des SJPEG. Il a par ailleurs rassuré le Secrétaire Général du CAMES, de toutes les dispositions prises par son ministère en vue d’assurer la parfaite organisation de cet important Programme statutaire du CAMES.Le Professeur Souleymane KONATÉ a précisé que cette visite avait pour principal objet d’échanger de vive voix avec Monsieur le Ministre et ses collaborateurs sur l’état d’avancement de l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des SJPEG, à environ trois mois du début des premières épreuves, en ligne, du Concours. « À cet effet, nous souhaitons rencontrer le Comité local d’organisation et visiter les infrastructures prévues pour accueillir l’événement au sein de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar », a-t-il ajouté.www.lecames.org/le-senegal-et-le-cames-signent-le-protocole-daccord-sur-lorganisation-du-22eme-co... ... See MoreSee Less
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𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗮𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹Dans le cadre des préparatifs du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), la délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Professeur Souleymane KONATÉ, accompagné du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA, a effectué une mission de travail à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, site retenu par les autorités sénégalaises pour l’organisation de ce Concours. À l’issue de la signature du protocole d’accord relatif à l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), intervenue le lundi 23 juin 2025, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a saisi l’opportunité de cette mission pour rendre une visite de courtoisie au Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Professeur Alioune Badara KANDJI. Cette audience a eu lieu le 24 juin 2025 en présence du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA.Une séance de travail avec le Comité local d’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des SJPEG a également eu lieu, le 25 juin 2025, dans les locaux de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Après une visite du site retenu pour l’organisation du Concours, les deux délégations ont échangé sur les aspects pratiques de l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion prévu à Dakar en novembre 2025.La journée du 26 octobre 2025, a elle, été consacrée à une séance de travail avec le Professeur Claude LISHOU, Expert du CAMES ayant mené l’étude de faisabilité de l’AVI-CAMES, dont les résultats ont été validés par le dernier Conseil des Ministres.www.lecames.org/une-delegation-du-cames-en-mission-de-travail-au-senegal/ ... See MoreSee Less
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𝗣𝗥𝗘𝗗-𝗔𝗤-𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 / 𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗖𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 – 𝗥𝗲𝗰𝗿𝘂𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱’𝗘𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝘀 𝗲𝗻 𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́Dans le cadre du renforcement de ses dispositifs d’Assurance Qualité dans l’Enseignement supérieur et la Recherche, le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) lance un appel à candidatures en vue de constituer une base de données d’Experts en Assurance Qualité, ouverte à l’ensemble des pays membres de l’espace CAMES ainsi qu’à l’international.À cet effet, nous vous invitons à soumettre votre 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲, 𝗮𝘂 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘁𝗮𝗿𝗱 𝗹𝗲 𝟭𝟱 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱, via le formulaire en ligne accessible à l’adresse suivante :pred.cames.online/web/admins/participant/collecte-donneesLes informations recueillies permettront de constituer un vivier d’Experts mobilisables pour des missions d’évaluation, d’appui technique et de renforcement de capacités, tant au niveau régional qu’international.Pour toute information complémentaire veuillez nous contacter à l’adresse suivante : 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗮𝗰𝘁@𝗹𝗲𝗰𝗮𝗺𝗲𝘀.𝗼𝗿𝗴.Le Secrétariat général du CAMES vous remercie pour l’intérêt que vous porterez à cet appel et pour votre engagement au service de la qualité dans l’Enseignement supérieur.www.lecames.org/pred-aq-cames-appel-a-candidatures-recrutement-dexperts-en-assurance-qualite/ ... See MoreSee Less
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𝗖𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗶𝗻𝗮𝘂𝗴𝘂𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂𝘅 𝗗𝗼𝗰𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 𝗨𝗝𝗞𝗭Les Doctoriales 2025 de l’Université Joseph KI-ZERBO (UJKZ) se sont tenues du 11 au 13 juin 2025, à Ouagadougou, sous le patronage du Professeur Jean François Silas KOBIANÉ, Président de l’UJKZ, et le parrainage du Docteur (Directeur de Recherche) Paco SÉRÉMÉ, Président de l’Académie Nationale des Sciences, des Arts et des Lettres du Burkina Faso (ANSAL BF). A l’occasion de cet évènement académique de portée régionale, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été invité à prononcer la conférence inaugurale sur le thème des Doctoriales « 𝙍𝙚𝙘𝙝𝙚𝙧𝙘𝙝𝙚 𝙨𝙘𝙞𝙚𝙣𝙩𝙞𝙛𝙞𝙦𝙪𝙚 𝙚𝙣 𝙩𝙚𝙢𝙥𝙨 𝙙𝙚 𝙘𝙧𝙞𝙨𝙚 : 𝙀𝙣𝙟𝙚𝙪𝙭 𝙚𝙩 𝙋𝙚𝙧𝙨𝙥𝙚𝙘𝙩𝙞𝙫𝙚𝙨 ». ... See MoreSee Less
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𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗲𝘅𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝘃𝗲 : 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗗𝗲́𝗼𝗻𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Président de la #Commission_d’Éthique_et_de_Déontologie_du_CAMES ((CED-CAMES) , Professeur Habibou ABARCHI, a été l’invité de la rédaction du Lundi CAMES.Dans cette interview, il revient sur les attributions et les missions essentielles de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES. Il y expose le mode de fonctionnement de l’Instance, rappelle certaines dispositions du Code d’Éthique et de Déontologie, et précise les sanctions applicables en cas de manquement aux règles établies. Les modalités de saisine de la Commission, les principales actions menées à ce jour, ainsi que les perspectives d’avenir de l’organe ont également été abordées au cours de cet échange riche et instructif.𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄𝘓𝘢 𝘊𝘰𝘮𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘌́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘋𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘢 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘧𝘰𝘯𝘥𝘢𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘴𝘵𝘳𝘪𝘤𝘵 𝘳𝘦𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦̀𝘨𝘭𝘦𝘴 𝘥’𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘢𝘱𝘱𝘭𝘪𝘤𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘢𝘶𝘹 𝘪𝘯𝘴𝘵𝘢𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘲𝘶’𝘢𝘶𝘹 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘰𝘯𝘯𝘦𝘭𝘴 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘢𝘪𝘯𝘴𝘪 𝘲𝘶’𝘢̀ 𝘭’𝘦𝘯𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘪𝘱𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘦́𝘳𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘗𝘳𝘰𝘨𝘳𝘢𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘭’𝘐𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯.𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦𝘹𝘢𝘮𝘪𝘯𝘦𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘥𝘰𝘴𝘴𝘪𝘦𝘳 𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦́ 𝘢̀ 𝘴𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦, 𝘯𝘰𝘵𝘢𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘦𝘶𝘹 𝘳𝘦𝘭𝘢𝘵𝘪𝘧𝘴 𝘢𝘶𝘹 𝘤𝘢𝘴 𝘱𝘳𝘦́𝘴𝘶𝘮𝘦́𝘴 𝘥𝘦 𝘱𝘭𝘢𝘨𝘪𝘢𝘵, 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘭𝘴𝘪𝘧𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘰𝘶 𝘥’𝘢𝘭𝘵𝘦́𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘥𝘰𝘤𝘶𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘮𝘪𝘴 𝘢𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚. 𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘦́𝘨𝘢𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘢𝘴𝘴𝘶𝘳𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘰𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘵 𝘭𝘢 𝘷𝘶𝘭𝘨𝘢𝘳𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘊𝘰𝘥𝘦 𝘥’𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘪𝘷𝘦 𝘱𝘳𝘦́𝘷𝘦𝘯𝘵𝘪𝘷𝘦.𝘗𝘢𝘳 𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴, 𝘭𝘢 𝘊𝘰𝘮𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘴𝘦 𝘴𝘢𝘪𝘴𝘪𝘳 𝘥’𝘰𝘧𝘧𝘪𝘤𝘦 𝘰𝘶 𝘦̂𝘵𝘳𝘦 𝘴𝘢𝘪𝘴𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘢𝘤𝘵𝘦 𝘰𝘶 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘱𝘳𝘪𝘯𝘤𝘪𝘱𝘦𝘴 𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘢𝘶𝘹 𝘷𝘢𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘦𝘶𝘵 𝘦𝘵 𝘥𝘦́𝘧𝘦𝘯𝘥 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚.𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗛𝗮𝗯𝗶𝗯𝗼𝘂 𝗔𝗕𝗔𝗥𝗖𝗛𝗜 ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝗼𝗶𝘁 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗱𝗲 𝗕𝗮𝗺𝗯𝗲𝘆 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗭𝗶𝗴𝘂𝗶𝗻𝗰𝗵𝗼𝗿Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a reçu en audience, le 17 juin 2025, Professeur Alassane DIEDHIOU, Recteur de l’Université de Ziguinchor et Professeur Ibrahima FAYE, Recteur de l’Université de Bambey, dans le cadre de la visite officielle de ces Responsables d’Institution au CAMES.Ces deux Responsables d’Institutions, ont tenu à effectuer cette mission spéciale à Ouagadougou afin de rencontrer l’équipe dirigeante du CAMES. Il s’agissait en effet, pour les deux Recteurs des Universités de Ziguinchor et de Bambey, d’échanger avec l’Institution régionale que constitue le CAMES sur des pistes de collaboration et de travail au niveau régional pour leurs Institutions, s’imprégner du fonctionnement du CAMES et établir un contact plus rapproché avec son équipe dirigeante.Le Secrétaire Général du CAMES s’est dit honoré par cette visite, qui fait suite à celles récentes des Recteurs de l’UCAD et de l’USSEIN, illustrant ainsi tout l’engagement des Universités sénégalaises auprès du CAMES et pour l’excellence dans l’Enseignement supérieur et la Recherche.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-recoit-en-audience-les-recteurs-des-universites-de... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗗𝗼𝘀𝘀𝗼 𝗮𝘂 𝗡𝗶𝗴𝗲𝗿 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Professeur Zibo GARBA a été reçu, le mercredi 17 juin 2025 en audience par le Secrétaire Général du CAMES en présence du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, des Comités Consultatifs Interafricains et de l’Ordre International des Palmes Académiques, Pr Ali DOUMMA.Il s’est agi pour Professeur GARBA de présenter ses civilités au Secrétaire Général du CAMES et de discuter des activités de son Université avec l’équipe dirigeante du CAMES. Il a également saisi cette occasion pour transmettre ses chaleureuses félicitations à l’équipe dirigeante pour les réalisations et la bonne mise en œuvre des Programmes de l’Institution, cela au bénéfice du monde académique et scientifique de l’espace CAMES. www.lecames.org/le-recteur-de-luniversite-de-dosso-au-niger-recu-au-cames/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗣𝗧𝗥 𝗕𝗶𝗼𝗱𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘁𝗲𝗻𝘂 𝘀𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗖𝗼𝗹𝗹𝗼𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 (𝗖𝗦𝗕𝗶𝗼-𝟭)Le premier colloque scientifique du Programme Thématique de Recherche (PTR) Biodiversité du CAMES s’est tenu du 17 au 19 juin 2025 à Thiès (Sénégal). Le thème général du colloque était « 𝘋𝘦́𝘧𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘳𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘣𝘪𝘰𝘥𝘪𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘵𝘦́ 𝘧𝘢𝘤𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘦𝘯𝘫𝘦𝘶𝘹 𝘴𝘦́𝘤𝘶𝘳𝘪𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 ». Il a réuni 242 participants dont 69 en présentiel et 173 en ligne provenant de 9 pays de l’espace CAMES (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Niger, République Démocratique du Congo, Sénégal et Togo), des Comores et de la Suisse. Ce colloque coorganisé par le PTR Biodiversité en collaboration avec l’Université Iba Der THIAM de Thiès au Sénégal, a été placé sous la présidence scientifique du Professeur Etotépé SOGBOHOSSOU.Ce colloque s’est déroulé en cinq principales étapes, avec notamment une cérémonie officielle d’ouverture, une conférence inaugurale et des sessions parallèles, une session plénière pour le fonctionnement du PTR Biodiversité et une cérémonie de clôture.www.lecames.org/le-ptr-biodiversite-du-cames-tenu-son-premier-colloque-scientifique-csbio-1/ ... See MoreSee Less
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