Droit de réponse à la tribune de Dandi GNAMOU sur Fasozine.com

Le journal en ligne www.fasozine.com a publié, le 28 juillet 2019, une tribune polémique et fallacieuse sur le CAMES — http://www.fasozine.com/tribune/7143-enseignement-superieur-le-cames-sur-la-sellette.html — dont l’auteure est Dandi GNAMOU, Enseignante-chercheure à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin), récemment frappée par la décision No SO/CM/CAMES/2019-10 du Conseil des Ministres du CAMES, pour manquements aux dispositions du Code d’éthique et de déontologie de notre Institution commune.

Dans ce droit de réponse, publié le 16 septembre 2019, le CAMES apporte des éclaircissements sur les différents propos de l’auteure qui cherche visiblement à jeter un discrédit sur notre Institution commune, et les actions entreprises sur instructions du Conseil des Ministres, en vue de sa modernisation juridique.

Par ce droit de réponse, le CAMES ne cherche pas à polémiquer, mais à éclairer l’opinion publique — les enseignants-chercheurs et chercheurs ainsi que les autorités étatiques sur les allégations qui lui sont faites.


À propos de la prétendue illégalité des mesures adoptées par la 36e session du Conseil des Ministres du CAMES

Les décisions  du Conseil des Ministres du CAMES tenu le 30 mai 2019 à Cotonou au Bénin, présidé par le Pr Jacques FAME DONGO, Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur du Cameroun, signataire à ce titre des actes de la session, et co-présidé par le  Pr Alkassoum MAÏGA, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Burkina Faso, Vice-Président statutaire,  n’ont pas fini de susciter des réactions. 

Une tribune polémique a été ainsi publiée dans un journal burkinabé en ligne, Fasozine.com, le 28 juillet 2019. L’auteure, Madame Dandi GNAMOU,  s’y livre à une critique acerbe de certaines décisions adoptées par cette Instance suprême de l’auguste institution. Elle invoque leur caractère inopportun et illégal en se fondant sur la procédure suivie et sur les règles de fond adoptées.

Il importe d’apporter des éclaircissements et précisions face à cette critique qui, à n’en point douter, manque d’objectivité, de rigueur et de pertinence et participe plutôt à entretenir l’obscurantisme et à tromper le grand public. 

En ce qui concerne la procédure suivie, l’auteure fait valoir d’abord que certaines décisions du Conseil des Ministres du CAMES ont été adoptées avant l’entrée en vigueur des modifications apportées à la Convention portant statut du CAMES ; tel serait le cas du « Règlement intérieur du Conseil des Ministres adopté par Résolution n° 2019-013, mais prévu par la Résolution n° 2019-15 » ; selon l’auteure, « Elle (sic) porte un numéro antérieur à celle (sic) dont elle (sic) doit faire application ».

Dans l’esprit de l’auteure, la Résolution considérée comme mode d’adoption des décisions du Conseil des Ministres n’existe que depuis la révision de la Convention portant statut du CAMES en 2019 à Cotonou au Bénin. De ce fait, selon l’auteure, la Résolution portant adoption du Règlement intérieur des sessions ministérielles ne pouvait pas intervenir avant l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-015 portant révision de ladite Convention.

Une telle analyse procède d’une méconnaissance des textes de l’organisation et des pratiques institutionnelles en vigueur depuis la création du CAMES. La discussion sur l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-15, relative à la révision de la Convention portant statut du CAMES, n’aurait de sens que si le Règlement intérieur du Conseil des Ministres trouvait son fondement dans cette Résolution. Or, tel n’est pas le cas.

L’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-013 trouve son fondement dans les articles 10 et 11 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES. Il résulte de la combinaison de ces articles que le Conseil des Ministres, qui a compétence notamment pour adopter les Résolutions concernant les politiques d’Enseignement supérieur et de la Recherche ainsi que  pour examiner et approuver les comptes rendus des travaux du Comité des experts, y compris les propositions de résolutions et de recommandations, adopte ses décisions par consensus.

D’ailleurs, le Règlement intérieur que la Résolution n° SO-CM/2019-013 abroge et remplace a été adopté, à Ouagadougou, par Résolution du Conseil des Ministres le 17 avril 1989. Au vu de ce qui précède, il est aisé d’admettre que cet aspect de l’analyse de l’auteure est erroné, fallacieux et vise à entretenir la confusion sur le fonctionnement des instances supérieures du CAMES et la légalité de leurs actes, pour trouver une justification imaginaire à une situation somme toute personnelle.

L’auteure fait ensuite observer de manière factuelle inexacte que « l’autorisation des parlements nationaux est impérative (…) », que « créer une organisation internationale sur la base d’un traité en forme simplifiée est inadéquat (…) » et que « pour modifier un traité fondateur, il faut un autre traité (…) ». Les propos tendant à faire accréditer l’idée que le CAMES, pour avoir été créé en violation « des basiques du droit des traités et de l’État de droit », n’a jamais eu d’existence légale n’engagent que l’auteure qui les a tenus et qui, pourtant, a toujours bénéficié des prérogatives attachées à son titre d’agrégée obtenu dans le cadre des programmes du CAMES, notamment celui du Concours d’agrégation.

Cela dit, au-delà de l’amalgame entre procédures de création d’une organisation internationale et processus de modification d’un traité relatif au Statut d’une organisation déjà créée, il y a lieu de relever que l’observation révèle curieusement une grave méconnaissance des textes du CAMES, pour une personne qui a été à maintes reprises sollicitée comme expert au sein de l’Institution. En effet, c’est l’article 26 de la Convention portant Statut du CAMES, qui prévoit les modalités de  sa révision. Il résulte de ce texte que cette Convention peut être amendée ou révisée à la demande d’un État signataire, que le projet d’amendement doit recueillir l’avis favorable de deux autres États membres avant d’être remis au Secrétaire Général, que ledit projet est soumis au Conseil des Ministres et qu’il est adopté à la majorité des 2/3 des États membres. La procédure ainsi décrite débouche sur l’adoption, par le Conseil des Ministres, d’une Résolution validant les modifications ainsi apportées. Cette règle prévue par l’article 26 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES est traditionnellement consacrée par le droit des Traités. En effet, c’est le Traité fondateur qui prévoit les modalités de sa révision ainsi que les organes compétents pour y procéder.

S’agissant des règles de fond, l’auteure considère que du fait de l’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-015, le CAMES serait passé d’une organisation de coopération à une organisation supranationale, avec  pour effet de conférer à son Secrétaire Général « un pouvoir de légation… un pouvoir règlementaire autonome qui peut s’étendre à l’adoption de règlement d’exécution » et de faire du « Conseil des Ministres un parlement qui légifère dans le domaine de l’enseignement supérieur ».

L’idée selon laquelle le CAMES se transforme en organisation supranationale comparable à l’UEMOA avec la possibilité de prendre des « décisions qui s’imposeront aux États et s’appliqueront directement aux individus sans une internalisation préalable » est, de toute évidence, une vue de l’esprit. En effet le CAMES a toujours été une structure supranationale, à caractère spécifique. Il suffit pour s’en convaincre de se référer à ses textes fondamentaux.

Aux termes de l’article 6 de la Convention portant statut du CAMES, chaque programme du CAMES est régi par une Convention ou un Accord négocié et signé par les États qui acceptent d’en faire partie. Il en résulte que la signature par un État d’un Accord ou d’une Convention sous l’égide du CAMES implique l’engagement d’accepter et d’exécuter les obligations qui en découlent. En application des stipulations des Accords ou Conventions signés par les États dans le domaine de l’enseignement supérieur, le CAMES peut prendre des actes pour la réalisation des politiques communes.

C’est pour prendre en compte cette réalité que la Résolution n° SO-CM/2019-015 modifiant la Convention, a prévu deux types d’actes qui, bien que présentant des similitudes avec ceux qu’adoptent traditionnellement les organisations supranationales telles que l’UEMOA, n’en ont ni la même nature ni le même régime juridique.

Les actes émanant du CAMES, contrairement aux règlements et directives de l’UEMOA cités par l’auteure, ne sont pas formulés pour constituer un ordre juridique autonome mais plutôt pour harmoniser la position des États membres en vue de la réalisation de certains programmes et/ou la structuration des organes et instances du CAMES. Ces actes sont de deux ordres : les Directives et les Règlements.

Les Directives sont adoptées pour préciser les engagements que les États ont librement souscrits en vue de la réalisation des objectifs contenus dans les programmes ou pour déterminer les modalités de mise en œuvre des solutions communes dans les domaines prévus par l’article 4 de la Convention portant Statut du CAMES.

Les Règlements, en ce qui les concerne, n’ont ni pour objet ni pour effet de créer des droits ou des obligations au profit ou à la charge des ressortissants des États membres. Comme le prévoit le nouvel article 20-4 de la Convention dans sa rédaction due à la révision de 2019, ils sont destinés uniquement aux organes et instances du CAMES dont ils fixent les modalités de fonctionnement. Cela dit, l’absence de textes ayant un effet direct dans l’ordre juridique interne des États ne s’oppose pas à ce que le CAMES mette en place des instances chargées de prononcer les sanctions appropriées contre les enseignants et chercheurs qui, dans le cadre des programmes auxquels ils participent, s’écartent de manière délibérée des règles d’éthique et de déontologie qui garantissent la qualité des évaluations.  

Le CAMES n’est pas devenu, au vu de ce qui précède, une organisation supranationale par l’effet de la Résolution adoptée lors du dernier Conseil des ministres. Il a toujours été et demeure cette organisation investie par ses fondateurs de la mission d’harmoniser les politiques des États dans les domaines de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

La Résolution de 2019 modifiant la Convention portant Statut du CAMES a eu le mérite de préciser la nature des actes qui doivent être accomplis pour atteindre les objectifs visés et déterminer l’identité des organes ou des instances habilités à les adopter. L’adoption de cette Résolution ne peut donc avoir pour effet de transférer les compétences du Conseil des Ministres au Secrétaire Général qui en tant qu’organe d’exécution, exerce une mission générale de représentation, dirige l’administration du CAMES, exécute les décisions du Conseil des Ministres et des instances académiques et scientifiques du CAMES et participe à la conception des programmes (cf. article 17 de la Convention portant Statut du CAMES).

En ce qui concerne le Conseil des Ministres, il reste l’Instance voulue dès l’origine par les fondateurs du CAMES, c’est-à-dire  investie de la mission d’adopter les textes par lesquels sont définies les solutions communes et appropriées aux problèmes posés par les systèmes d’éducation, les établissements d’Enseignement supérieur, les Institutions de Recherche, les diplômes délivrés, l’accueil des étudiants, l’éducation, la formation et la circulation des étudiants ainsi que la mobilité des enseignants et des chercheurs.

En conclusion, il est à regretter que l’auteure, bénéficiaire des programmes du CAMES, ignore curieusement les textes de l’Organisation, les modalités de fonctionnement de ses instances ainsi que ses pratiques institutionnelles spécifiques. Il peut néanmoins lui être accordé le bénéfice des circonstances atténuantes.

Les textes du CAMES n’étant pas publiés, l’auteur peut soutenir au moins qu’elle n’est pas censée les connaitre. Mais, avec la création d’un Journal officiel du CAMES en vue d’assurer la publication des textes produits dans le cadre de notre Organisation commune, un tel système de défense ne pourra plus être opposé par les enseignants ou chercheurs de mauvaise foi prompts à demander, en invoquant l’absence de mesure de publicité, que soit écartée la règle selon laquelle nul n’est censé ignorer la loi.

Pour la mémoire et la responsabilité collective, il convient de noter que ce Conseil des Ministres ordinaire a été précédé d’une réunion des Experts et a connu la participation de 13 pays membres sur les 19 que regroupe le CAMES.

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𝗔𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗹𝗲𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗲̀𝗴𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲𝗿 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝗹𝗮 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗮𝘂 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝘀La Direction en charge des Finances du Secrétariat général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur – CAMES, organise 𝗱𝘂 𝟴 𝗮𝘂 𝟭𝟯 𝗱𝗲́𝗰𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗭𝗶𝗻𝗶𝗮𝗿𝗲́ (Burkina Faso), un atelier pour la relecture du Règlement financier et l’élaboration de la toute première nomenclature des pièces justificatives de l’Institution. L’ouverture de cet atelier interne, présidé par M. Issoufou SOULAMA, Directeur des Affaires Administratives et Financières du CAMES, s’est tenue le 8 décembre 2025.Cet atelier s'inscrit dans la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement 2024-2028 du CAMES (PSDC 2024-2028) dont l'axe 1 est entièrement dédié à l'amélioration de la gouvernance du CAMES. Il s'agit donc pour cette activité, de réviser le Règlement financier du CAMES et d’élaborer la nomenclature des pièces justificatives de l’Institution en accord avec son nouveau système de gestion financière et comptable. Pour cet exercice, les membres du service financier du CAMES, des représentants des différents services de l’Institution, des personnes ressources venues notamment de la Direction Générale du Budget, de la Direction des Affaires Immobilières et de l’Équipement du Ministère de l'Économie et des Finances du Burkina Faso, ou encore du cabinet ayant réalisé l'audit financier et comptable de l'Institution sur la période 2019-2022, ont été conviés à participer à cette semaine d’analyse et de réflexions.Pour l’ouverture des travaux, M. SOULAMA, prenant la parole au nom du Secrétaire Général du CAMES, a rappelé le contexte et les objectifs de la tenue de l’atelier. Il est ainsi revenu sur l’enjeu des documents à analyser ou à élaborer pour la bonne gouvernance de l’Institution. « Derrière les textes que nous allons parcourir en détails, se cachent les fondements mêmes d'une bonne gouvernance. C'est notre boussole commune, le socle de confiance qui nous lie à nos États membres et à nos partenaires. », a-t-il ainsi signifié. Il a également indiqué que cet atelier constitue une opportunité de moderniser les outils, de les adapter à la réalité de l’Institution, de clarifier les procédures et ainsi renforcer la crédibilité de l’Institution.Le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation, de l’Ordre International des Palmes Académiques, Pr Ali DOUMMA, a quant à lui, partagé aux participants des mots d’encouragement. Il a ainsi rappelé les grandes attentes de l’équipe de Direction pour cet atelier important pour la bonne gouvernance financière et la crédibilité de l’Institution. Une semaine durant, le Règlement financier du CAMES sera donc actualisé au regard des nouvelles réalités de l’Institution et une nomenclature des pièces justificatives, élaborée.www.lecames.org/atelier-de-relecture-du-reglement-financier-du-cames-la-gouvernance-financiere-au... ... See MoreSee Less
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𝗥𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗟𝗼𝗰𝗮𝗹 𝗱’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗠𝗺𝗲 𝗔𝗺𝗶𝗻𝗮𝘁𝗮 𝗖𝗜𝗦𝗦𝗘́ 𝗡𝗜𝗔𝗡𝗚Le Sénégal a accueilli du 10 au 21 novembre 2025, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), les épreuves en présentiel de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES. Cette organisation a été rendue possible grâce à la collaboration étroite entre le CAMES, le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et l’UCAD. L’engagement du Comité Local d’organisation présidé par Mme Aminata CISSÉ NIANG, Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP), a contribué fortement à la réussite de l’évènement. À la clôture de cette session, la Présidente du Comité Local d’organisation a accordé un entretien exclusif à la rédaction du Lundi CAMES. Elle y partage son appréciation de l’organisation, les défis rencontrés, les motifs de satisfaction et un message d’encouragement aux femmes souhaitant embrasser une carrière d’Enseignante-chercheure.Bonne lecture !𝟭. 𝗣𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿 ?Je m’appelle Aminata CISSÉ NIANG, Maître de Conférences Agrégée. Je suis privatiste, spécialisée en droit du travail. Je suis enseignante à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques depuis 2022.𝟮. 𝗣𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 ?J’ai été recrutée très rapidement après mes études, ici même à l’Université Cheikh Anta Diop. En dehors de l’enseignement et de la Recherche, j’ai présidé l’organe de régulation des médias que l’on appelait à l’époque le Haut Conseil de l’Audiovisuel, l’ancêtre du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA). Il s'agissait d'un mandat de 6 ans qui a renforcé mes capacités managériales et administratives. J’ai par la suite exercé deux mandats de Chef de département tout en continuant à enseigner.𝟯. 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗦𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 ?Beaucoup d’échos et de témoignages très élogieux, concernant l’organisation de cette 22ème Session me sont parvenus, et je dirais, sans aucune fausse modestie, que nous avons pu organiser ce Concours dans de bonnes conditions. Les Jurys comme les candidats ont travaillé dans de très bonnes conditions. Le défi de l’organisation a donc été relevé.www.lecames.org/retour-sur-le-concours-dagregation-sjpeg-du-cames-interview-de-la-presidente-du-c... ... See MoreSee Less
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𝗟'𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗲 (𝗧𝗿𝗮𝗶𝗻𝗜𝗤𝗔) 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 – 𝗽𝗿𝗼𝗹𝗼𝗻𝗴𝗲́ 𝗮𝘂 𝟭𝟰 𝗱𝗲́𝗰𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱L’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD), la Conférence des Recteurs d’Université d’Allemagne (HRK), le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) et l’Université de Potsdam (UP), située en Allemagne, lancent un appel conjoint à candidatures pour la formation « DIES Training on Internal Quality Assurance (TrainIQA) » dans les États membres du CAMES. La formation s’appuie sur cinq modules distincts, organisés au tour d’un manuel1 et de contenus en ligne, utilisables de manière flexible :𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟭: Conception de systèmes efficaces de gestion de la qualité ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟮 : Outils et procédures dédiés à l’Assurance Qualité ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟯 : Assurance Qualité de l’enseignement et de l’apprentissage ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟰 : Gestion de l’information ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟱 : Gestion de la qualité et ses liens avec l’Enseignement supérieur.𝗖𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗲́𝗱𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝘀𝗲́𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻Le dépôt de candidature s’effectuera exclusivement en ligne suivant la procédure ci-après, avant 14 décembre 2025. Inscrivez-vous sur www.afrique-qa.org/s/regafr26/fr.html en renseignant vos nom et adresse courriel.𝗧𝗲́𝗹𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝗿 𝗹'𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 : www.lecames.org/appel-a-candidatures-formation-sur-lassurance-qualite-interne-trainiqa-dans-les-e... ... See MoreSee Less
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𝗖𝗹𝗼̂𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗘́𝗾𝘂𝗶𝘃𝗮𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗗𝗶𝗽𝗹𝗼̂𝗺𝗲𝘀 (𝗣𝗥𝗘𝗗/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦)La 40ème session du Programme Reconnaissance et Équivalence des Diplômes (PRED) du CAMES s’est tenue en ligne, du 24 au 28 novembre 2025. Les travaux ont réuni les membres des trois Commissions d’accréditation autour de l’analyse de 203 programmes de formation, soumis par 49 Institutions d’Enseignement supérieur et de Recherche issues de neuf (9) pays de l’espace CAMES (Burkina Faso, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Mali, Niger, Sénégal, Tchad, Togo) et de la France. Le vendredi 28 novembre 2025 a abrité la clôture de cette session sous la présidence du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ.Cette cérémonie de clôture a réuni les membres du directoire du CAMES, le Président Coordonnateur général des Commissions, les Présidents des Commissions d’accréditation, les membres des Commissions d’accréditation et les membres du Secrétariat général du CAMES, en visioconférence. Elle s’est articulée autour de la lecture du rapport général de la session et des recommandations des travaux, ainsi que de l’allocution de clôture du Secrétaire Général du CAMES.Ainsi, le Président Coordonnateur général des Commissions, Professeur Amadou BOUREIMA, par ailleurs Président de la Commission II « Lettres, Sciences Humaines et Grandes Écoles », a présenté à l’assistance les détails des travaux qui se sont tenus en Commissions et en plénières, le long de cette semaine d’analyse et de réflexion. Pour chaque Commission, le Président Coordonnateur général a signifié les nombres des dossiers analysés, les avis favorables et défavorables émis par ces Commissions en s’appuyant sur les référentiels et les rapports des évaluations externes (évaluation des dossiers par les experts disciplinaires et visites sur site des panels d’experts). À l’issue des travaux de toutes les Commissions, sur les 𝟮𝟬𝟯 programmes de formations soumis, 𝟭𝟴𝟲 ont été approuvés par les experts réunis, soit un taux d’approbation global de 𝟵𝟭,𝟲𝟯%.Ce taux a été jugé satisfaisant par le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, qui dans son allocution de clôture, est revenu sur le travail abattu par les membres des Commissions. Il a par ailleurs réaffirmé l’engagement du CAMES à soutenir l’amélioration continue des systèmes d’Enseignement supérieur et de Recherche, notamment à travers la mise en œuvre des deux premiers axes de son Plan Stratégique de Développement 2024-2028.Cette cérémonie a également été l’occasion de présenter des recommandations émises par les différentes Commissions à l’issue des travaux, et précédemment présentées au Secrétaire Général du CAMES lors de la réunion bilan organisée avec les Présidents de Commissions, le 27 novembre 2025.En rappel, 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻, présentés lors de cette cérémonie, 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝘃𝗶𝘀𝗼𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝘀𝘂𝘀𝗰𝗲𝗽𝘁𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 jusqu’à leur transmission au Comité Consultatif Général (CCG), pour la vérification du respect des procédures. Ils seront, par la suite, soumis au Conseil des Ministres du CAMES, instance décisionnelle, qui procédera à leur annexion à la Convention de Lomé de 1972. Dès lors, les programmes de formation accrédités seront reconnus dans tout l’espace CAMES.𝗦𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗥𝗘𝗗/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Les résultats sont répartis selon les catégories suivantes :- par type d’offre- par type de demande- par niveau d’étude- par Commission et par payswww.lecames.org/cloture-de-la-40eme-session-du-programme-reconnaissance-et-equivalence-des-diplom... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀-𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗖𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗝𝗼𝘀𝗲𝗽𝗵 𝗞𝗜-𝗭𝗘𝗥𝗕𝗢 𝗼𝘂𝘁𝗶𝗹𝗹𝗲́𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝗲 𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝗮𝘁𝗲𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜-𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La journée du 𝟮𝟳 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 a revêtu un caractère particulier au sein de l’Université Joseph KI-ZERBO de Ouagadougou. Les Enseignants-chercheurs et Chercheurs de cette Institution, candidats à la prochaine session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, étaient réunis dans le cadre d’une séance de formation pour une meilleure appropriation du montage des dossiers de candidature et une prise en main de la plateforme d’inscription aux CCI-CAMES. Cette séance de formation a été animée 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜, 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗠𝗔 𝗲𝘁 𝗠. 𝗚𝘂𝗶𝗹𝗹𝗮𝘂𝗺𝗲 𝗡𝗜𝗞𝗜𝗘𝗠𝗔, 𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.L’ouverture de cette séance de formation a été présidée par Mme Emilienne OUATTARA, Vice-présidente chargée de la professionnalisation et des relations Université – Entreprise et modérée par Mme Christelle NADEMBEGA, Directrice des Relations Internationales et de la promotion des Enseignants. Cette ouverture sommaire a été articulée autour du mot d’ouverture de la Vice-présidente et du mot du Directeur des Programmes du CAMES.Ainsi, Mme OUATTARA, après avoir souhaité la bienvenue au Directeur des Programmes, au nom du Président de l’Université, a salué sa grande disponibilité. Elle a tenu à exprimer toute la gratitude de la communauté universitaire à l’endroit du Directeur des Programmes pour cet engagement pour le succès des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Elle a clos ses propos en exhortant les participants à une pleine concentration dans l’objectif final de réitérer le taux de 100%, habituellement enregistré par l’Institution.Le Directeur des Programmes, Pr Ali DOUMMA, prenant la parole à sa suite, a souligné l’intérêt du CAMES à accompagner les Institutions pour la promotion de carrière des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Il a relevé que ces formations entrent dans la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024-2028, dans lequel le renforcement des capacités tant des Commissions Institutionnelles Locales, que des candidats, tient une place importante. Il a donc réaffirmé la disponibilité du CAMES à toute Institution qui manifesterait le besoin d’organiser ce type de formations. Il a enfin annoncé le programme de cette séance de formation articulée autour de deux grandes parties : les éléments constitutifs du dossier de candidature pour les Comités Consultatifs Interafricains ainsi que l’évaluation en tant que tel, et la prise en main pratique de la plateforme E-CAMES d’inscription à ces CCI.www.lecames.org/les-enseignants-chercheurs-et-chercheurs-de-luniversite-joseph-ki-zerbo-outilles-... ... See MoreSee Less
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𝗥𝗲́𝘁𝗿𝗼𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 : 𝗳𝗼𝗰𝘂𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀Dans le cadre de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), trente-sept (37) membres du Jury, éminents experts dans leurs différentes spécialités, ont conduit les évaluations des aptitudes pédagogiques, scientifiques et académiques des candidats des six Sections, aux fonctions d’Enseignants du supérieur. Ils ont mis leur expertise au service de ce processus, le long des trois épreuves du Concours : la première épreuve organisée à distance du 18 au 28 octobre 2025, les deuxième et troisième épreuves organisées en présentiel à Dakar, du 10 au 21 novembre 2025.Nous vous invitons à les découvrir à travers les albums des Sections. et les interviews accordées à la rédaction du Lundi CAMES. Ces interviews ont été l’occasion pour ces membres de Jury de partager leurs avis sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur, les qualités attendues des candidats et des conseils pour les candidats et futurs candidats.Bonne découverte !www.lecames.org/retrospective-sur-le-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg-focus-sur-les-membres-d... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗥𝗲𝘃𝘂𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗠𝗮𝘁𝗶𝗲̀𝗿𝗲 (𝗦𝗦𝗠) 𝗱𝗲́𝘀𝗼𝗿𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗶𝗻𝗱𝗲𝘅𝗲́𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗦𝗖𝗢𝗣𝗨𝗦Après son indexation par International Scientific Indexing (𝗜𝗦𝗜), la 𝙎𝙚́𝙧𝙞𝙚 𝙎𝙘𝙞𝙚𝙣𝙘𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙎𝙩𝙧𝙪𝙘𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙈𝙖𝙩𝙞𝙚̀𝙧𝙚 (𝙎𝙎𝙈) 𝙙𝙚𝙨 𝙍𝙚𝙫𝙪𝙚 𝙍𝘼𝙈𝙍𝙚𝙎 de la Conférence des Recteurs des Universités Francophone d’Afrique et de l’Océan Indien (CRUFAOCI), vient d’être intégrée à la base de données 𝗦𝗖𝗢𝗣𝗨𝗦.Cette reconnaissance marque une étape majeure : Sciences des Structures et de la Matière dépasse désormais le cadre régional et acquiert une véritable visibilité internationale. La revue enregistre déjà des soumissions en provenance de pays tels que l’Inde, l’Azerbaïdjan et le Kirghizistan, témoignant de l’intérêt croissant qu’elle suscite au sein de la communauté scientifique mondiale.𝗤𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗲𝘀 :- Journal : Sciences des Structures et de la Matière- URL : publication.lecames.org/index.php/mat- ISSN : 2630-1180 (Electronic)- DOI-Prefix : 10.70974/mat2630- Abstracting : Google Scholar; CrossRef- Indexing : International Scientific Indexing (www.isindexing.com/isi/); Scopus (www.scopus.com/sourceid/21101321974?origin=resultslist)- Frequency : At least 2 Issues /Year (Continuous publication)- Language : English; French.- Authors guidelines: publication.lecames.org/index.php/mat/about/submissions#authorGuidelines Editor-in-Chief: David BOA (E-mail: boadavid.sfa@univ-na.ci / boadavidfr@yahoo.fr; WhatsApp number: +225 01 51 06 49 42).www.lecames.org/la-revue-sciences-des-structures-et-de-la-matiere-ssm-desormais-indexee-dans-scopus/ ... See MoreSee Less
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2 weeks ago

Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Au total, 215 candidats, tous Maîtres-Assistants du CAMES, ont pris part à la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), tenue en bimodale. À l’issue des trois épreuves d’évaluation menées par un Jury international composé de 𝟯𝟳 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀, 𝟴𝟲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘀 — 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝟳𝟰 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝟭𝟮 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 —, ont été inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de Maître de Conférences Agrégé du CAMES, dans leurs spécialités respectives. Le 𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟰𝟬%, se révèle supérieur à celui enregistré lors de la 21ème session (32,21%), confirmant une progression notable des performances globales. Ce taux est ainsi le deuxième de l’histoire du Concours, après celui obtenu lors de la 19ème Session du Concours en 2019 à Ouagadougou, qui était de 41,22%.𝗗𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲𝘇 𝗰𝗶-𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀.. par genre ; . par Section ;. par Université ;. par Pays.www.lecames.org/les-resultats-definitifs-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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