Droit de réponse à la tribune de Dandi GNAMOU sur Fasozine.com

Le journal en ligne www.fasozine.com a publié, le 28 juillet 2019, une tribune polémique et fallacieuse sur le CAMES — http://www.fasozine.com/tribune/7143-enseignement-superieur-le-cames-sur-la-sellette.html — dont l’auteure est Dandi GNAMOU, Enseignante-chercheure à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin), récemment frappée par la décision No SO/CM/CAMES/2019-10 du Conseil des Ministres du CAMES, pour manquements aux dispositions du Code d’éthique et de déontologie de notre Institution commune.

Dans ce droit de réponse, publié le 16 septembre 2019, le CAMES apporte des éclaircissements sur les différents propos de l’auteure qui cherche visiblement à jeter un discrédit sur notre Institution commune, et les actions entreprises sur instructions du Conseil des Ministres, en vue de sa modernisation juridique.

Par ce droit de réponse, le CAMES ne cherche pas à polémiquer, mais à éclairer l’opinion publique — les enseignants-chercheurs et chercheurs ainsi que les autorités étatiques sur les allégations qui lui sont faites.


À propos de la prétendue illégalité des mesures adoptées par la 36e session du Conseil des Ministres du CAMES

Les décisions  du Conseil des Ministres du CAMES tenu le 30 mai 2019 à Cotonou au Bénin, présidé par le Pr Jacques FAME DONGO, Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur du Cameroun, signataire à ce titre des actes de la session, et co-présidé par le  Pr Alkassoum MAÏGA, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Burkina Faso, Vice-Président statutaire,  n’ont pas fini de susciter des réactions. 

Une tribune polémique a été ainsi publiée dans un journal burkinabé en ligne, Fasozine.com, le 28 juillet 2019. L’auteure, Madame Dandi GNAMOU,  s’y livre à une critique acerbe de certaines décisions adoptées par cette Instance suprême de l’auguste institution. Elle invoque leur caractère inopportun et illégal en se fondant sur la procédure suivie et sur les règles de fond adoptées.

Il importe d’apporter des éclaircissements et précisions face à cette critique qui, à n’en point douter, manque d’objectivité, de rigueur et de pertinence et participe plutôt à entretenir l’obscurantisme et à tromper le grand public. 

En ce qui concerne la procédure suivie, l’auteure fait valoir d’abord que certaines décisions du Conseil des Ministres du CAMES ont été adoptées avant l’entrée en vigueur des modifications apportées à la Convention portant statut du CAMES ; tel serait le cas du « Règlement intérieur du Conseil des Ministres adopté par Résolution n° 2019-013, mais prévu par la Résolution n° 2019-15 » ; selon l’auteure, « Elle (sic) porte un numéro antérieur à celle (sic) dont elle (sic) doit faire application ».

Dans l’esprit de l’auteure, la Résolution considérée comme mode d’adoption des décisions du Conseil des Ministres n’existe que depuis la révision de la Convention portant statut du CAMES en 2019 à Cotonou au Bénin. De ce fait, selon l’auteure, la Résolution portant adoption du Règlement intérieur des sessions ministérielles ne pouvait pas intervenir avant l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-015 portant révision de ladite Convention.

Une telle analyse procède d’une méconnaissance des textes de l’organisation et des pratiques institutionnelles en vigueur depuis la création du CAMES. La discussion sur l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-15, relative à la révision de la Convention portant statut du CAMES, n’aurait de sens que si le Règlement intérieur du Conseil des Ministres trouvait son fondement dans cette Résolution. Or, tel n’est pas le cas.

L’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-013 trouve son fondement dans les articles 10 et 11 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES. Il résulte de la combinaison de ces articles que le Conseil des Ministres, qui a compétence notamment pour adopter les Résolutions concernant les politiques d’Enseignement supérieur et de la Recherche ainsi que  pour examiner et approuver les comptes rendus des travaux du Comité des experts, y compris les propositions de résolutions et de recommandations, adopte ses décisions par consensus.

D’ailleurs, le Règlement intérieur que la Résolution n° SO-CM/2019-013 abroge et remplace a été adopté, à Ouagadougou, par Résolution du Conseil des Ministres le 17 avril 1989. Au vu de ce qui précède, il est aisé d’admettre que cet aspect de l’analyse de l’auteure est erroné, fallacieux et vise à entretenir la confusion sur le fonctionnement des instances supérieures du CAMES et la légalité de leurs actes, pour trouver une justification imaginaire à une situation somme toute personnelle.

L’auteure fait ensuite observer de manière factuelle inexacte que « l’autorisation des parlements nationaux est impérative (…) », que « créer une organisation internationale sur la base d’un traité en forme simplifiée est inadéquat (…) » et que « pour modifier un traité fondateur, il faut un autre traité (…) ». Les propos tendant à faire accréditer l’idée que le CAMES, pour avoir été créé en violation « des basiques du droit des traités et de l’État de droit », n’a jamais eu d’existence légale n’engagent que l’auteure qui les a tenus et qui, pourtant, a toujours bénéficié des prérogatives attachées à son titre d’agrégée obtenu dans le cadre des programmes du CAMES, notamment celui du Concours d’agrégation.

Cela dit, au-delà de l’amalgame entre procédures de création d’une organisation internationale et processus de modification d’un traité relatif au Statut d’une organisation déjà créée, il y a lieu de relever que l’observation révèle curieusement une grave méconnaissance des textes du CAMES, pour une personne qui a été à maintes reprises sollicitée comme expert au sein de l’Institution. En effet, c’est l’article 26 de la Convention portant Statut du CAMES, qui prévoit les modalités de  sa révision. Il résulte de ce texte que cette Convention peut être amendée ou révisée à la demande d’un État signataire, que le projet d’amendement doit recueillir l’avis favorable de deux autres États membres avant d’être remis au Secrétaire Général, que ledit projet est soumis au Conseil des Ministres et qu’il est adopté à la majorité des 2/3 des États membres. La procédure ainsi décrite débouche sur l’adoption, par le Conseil des Ministres, d’une Résolution validant les modifications ainsi apportées. Cette règle prévue par l’article 26 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES est traditionnellement consacrée par le droit des Traités. En effet, c’est le Traité fondateur qui prévoit les modalités de sa révision ainsi que les organes compétents pour y procéder.

S’agissant des règles de fond, l’auteure considère que du fait de l’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-015, le CAMES serait passé d’une organisation de coopération à une organisation supranationale, avec  pour effet de conférer à son Secrétaire Général « un pouvoir de légation… un pouvoir règlementaire autonome qui peut s’étendre à l’adoption de règlement d’exécution » et de faire du « Conseil des Ministres un parlement qui légifère dans le domaine de l’enseignement supérieur ».

L’idée selon laquelle le CAMES se transforme en organisation supranationale comparable à l’UEMOA avec la possibilité de prendre des « décisions qui s’imposeront aux États et s’appliqueront directement aux individus sans une internalisation préalable » est, de toute évidence, une vue de l’esprit. En effet le CAMES a toujours été une structure supranationale, à caractère spécifique. Il suffit pour s’en convaincre de se référer à ses textes fondamentaux.

Aux termes de l’article 6 de la Convention portant statut du CAMES, chaque programme du CAMES est régi par une Convention ou un Accord négocié et signé par les États qui acceptent d’en faire partie. Il en résulte que la signature par un État d’un Accord ou d’une Convention sous l’égide du CAMES implique l’engagement d’accepter et d’exécuter les obligations qui en découlent. En application des stipulations des Accords ou Conventions signés par les États dans le domaine de l’enseignement supérieur, le CAMES peut prendre des actes pour la réalisation des politiques communes.

C’est pour prendre en compte cette réalité que la Résolution n° SO-CM/2019-015 modifiant la Convention, a prévu deux types d’actes qui, bien que présentant des similitudes avec ceux qu’adoptent traditionnellement les organisations supranationales telles que l’UEMOA, n’en ont ni la même nature ni le même régime juridique.

Les actes émanant du CAMES, contrairement aux règlements et directives de l’UEMOA cités par l’auteure, ne sont pas formulés pour constituer un ordre juridique autonome mais plutôt pour harmoniser la position des États membres en vue de la réalisation de certains programmes et/ou la structuration des organes et instances du CAMES. Ces actes sont de deux ordres : les Directives et les Règlements.

Les Directives sont adoptées pour préciser les engagements que les États ont librement souscrits en vue de la réalisation des objectifs contenus dans les programmes ou pour déterminer les modalités de mise en œuvre des solutions communes dans les domaines prévus par l’article 4 de la Convention portant Statut du CAMES.

Les Règlements, en ce qui les concerne, n’ont ni pour objet ni pour effet de créer des droits ou des obligations au profit ou à la charge des ressortissants des États membres. Comme le prévoit le nouvel article 20-4 de la Convention dans sa rédaction due à la révision de 2019, ils sont destinés uniquement aux organes et instances du CAMES dont ils fixent les modalités de fonctionnement. Cela dit, l’absence de textes ayant un effet direct dans l’ordre juridique interne des États ne s’oppose pas à ce que le CAMES mette en place des instances chargées de prononcer les sanctions appropriées contre les enseignants et chercheurs qui, dans le cadre des programmes auxquels ils participent, s’écartent de manière délibérée des règles d’éthique et de déontologie qui garantissent la qualité des évaluations.  

Le CAMES n’est pas devenu, au vu de ce qui précède, une organisation supranationale par l’effet de la Résolution adoptée lors du dernier Conseil des ministres. Il a toujours été et demeure cette organisation investie par ses fondateurs de la mission d’harmoniser les politiques des États dans les domaines de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

La Résolution de 2019 modifiant la Convention portant Statut du CAMES a eu le mérite de préciser la nature des actes qui doivent être accomplis pour atteindre les objectifs visés et déterminer l’identité des organes ou des instances habilités à les adopter. L’adoption de cette Résolution ne peut donc avoir pour effet de transférer les compétences du Conseil des Ministres au Secrétaire Général qui en tant qu’organe d’exécution, exerce une mission générale de représentation, dirige l’administration du CAMES, exécute les décisions du Conseil des Ministres et des instances académiques et scientifiques du CAMES et participe à la conception des programmes (cf. article 17 de la Convention portant Statut du CAMES).

En ce qui concerne le Conseil des Ministres, il reste l’Instance voulue dès l’origine par les fondateurs du CAMES, c’est-à-dire  investie de la mission d’adopter les textes par lesquels sont définies les solutions communes et appropriées aux problèmes posés par les systèmes d’éducation, les établissements d’Enseignement supérieur, les Institutions de Recherche, les diplômes délivrés, l’accueil des étudiants, l’éducation, la formation et la circulation des étudiants ainsi que la mobilité des enseignants et des chercheurs.

En conclusion, il est à regretter que l’auteure, bénéficiaire des programmes du CAMES, ignore curieusement les textes de l’Organisation, les modalités de fonctionnement de ses instances ainsi que ses pratiques institutionnelles spécifiques. Il peut néanmoins lui être accordé le bénéfice des circonstances atténuantes.

Les textes du CAMES n’étant pas publiés, l’auteur peut soutenir au moins qu’elle n’est pas censée les connaitre. Mais, avec la création d’un Journal officiel du CAMES en vue d’assurer la publication des textes produits dans le cadre de notre Organisation commune, un tel système de défense ne pourra plus être opposé par les enseignants ou chercheurs de mauvaise foi prompts à demander, en invoquant l’absence de mesure de publicité, que soit écartée la règle selon laquelle nul n’est censé ignorer la loi.

Pour la mémoire et la responsabilité collective, il convient de noter que ce Conseil des Ministres ordinaire a été précédé d’une réunion des Experts et a connu la participation de 13 pays membres sur les 19 que regroupe le CAMES.

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𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐝𝐞𝐮𝐱𝐢𝐞̀𝐦𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒Les deuxième et troisième épreuves du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion se déroulent, à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, du 10 au 21 novembre 2025.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́ 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑫𝒓𝒐𝒊𝒕 𝑷𝒓𝒊𝒗𝒆́ ... See MoreSee Less
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𝗔̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Nous vous invitons à découvrir en images, les éminents experts chargés d’évaluer les aptitudes des candidats aux fonctions d’enseignants du supérieur, pour la Session 2025 du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Economiques et de Gestion du CAMES. Après la première épreuve organisée à distance du 18 au 28 octobre 2025, les trente-sept membres des Jurys sont réunis à Dakar pour évaluer les deuxième et troisième épreuves dédiées respectivement aux commentaires de texte ou de documents et aux leçons.𝗝𝘂𝗿𝘆 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 Les trente-huit (38) candidats de cette Section seront évalués par un Jury composé de sept (𝟬𝟳) membres, présidé par le Professeur Pam ZAHONOGO du Burkina Faso. Pour cette Section :• la 2ème épreuve porte sur un sujet de théorie économique.• la 3ème épreuve elle, porte, sur une matière d’économie générale choisie parmi les disciplines suivantes : politique économique, relations économiques internationales, histoire de la pensée et des faits économiques depuis 1870, économie du travail et des ressources humaines, économie du développement, économie de la santé, économie publique, statistique et économétrie, méthodes quantitatives.Retrouvez plus de détails sur les candidats et les Jurys dans la plaquette du Concours : www.lecames.org/wp-content/uploads/2025/11/Plaquette-22ème-Concours-dAgrégation-SJPEG-CAMES.pdf ... See MoreSee Less
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𝗔̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Nous vous invitons à découvrir en images, les éminents experts chargés d’évaluer les aptitudes des candidats aux fonctions d’enseignants du supérieur, pour la Session 2025 du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Economiques et de Gestion du CAMES. Après la première épreuve organisée à distance du 18 au 28 octobre 2025, les trente-sept membres des Jurys sont réunis à Dakar pour évaluer les deuxième et troisième épreuves dédiées respectivement aux commentaires de texte ou de documents et aux leçons.𝗝𝘂𝗿𝘆 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻Les dix-neuf (19) candidats de cette Section seront évalués par un Jury composé de sept (𝟬𝟳) membres, présidé par le Professeur Hervé NDOUME ESSINGONE du Gabon. Pour cette Section :• la 2ème épreuve porte sur un sujet de théorie de l’entreprise.• la 3ème épreuve elle, porte, sur une matière de gestion de l’entreprise parmi les suivantes : gestion financière, gestion comptable, gestion commerciale et marketing, gestion du personnel, gestion juridique et fiscale, gestion et systèmes d’information, techniques quantitatives de gestion.Retrouvez plus de détails sur les candidats et les Jurys dans la plaquette du Concours : www.lecames.org/wp-content/uploads/2025/11/Plaquette-22ème-Concours-dAgrégation-SJPEG-CAMES.pdf ... See MoreSee Less
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𝗔̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Nous vous invitons à découvrir en images, les éminents experts chargés d’évaluer les aptitudes des candidats aux fonctions d’enseignants du supérieur, pour la Session 2025 du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Economiques et de Gestion du CAMES. Après la première épreuve organisée à distance du 18 au 28 octobre 2025, les trente-sept membres des Jurys sont réunis à Dakar pour évaluer les deuxième et troisième épreuves dédiées respectivement aux commentaires de texte ou de documents et aux leçons.𝗝𝘂𝗿𝘆 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰 Les vingt-quatre (24) candidats de cette Section, seront évalués par un Jury composé de sept (7) membres, présidé par le Professeur Gérard PEKASSA NDAM du Cameroun. Pour cette Section :• la 2ème épreuve porte, au choix du candidat, sur l’une des disciplines suivantes : droit constitutionnel, droit administratif, droit international public.• la 3ème épreuve elle, porte, au choix du candidat, sur l’une des disciplines non retenues pour la 2ème épreuve ou sur l’une des disciplines suivantes : droit public économique (aspects interne et international), histoire des idées politiques et finances publiques.Retrouvez plus de détails sur les candidats et les Jurys dans la plaquette du Concours : www.lecames.org/wp-content/uploads/2025/11/Plaquette-22ème-Concours-dAgrégation-SJPEG-CAMES.pdf ... See MoreSee Less
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𝗔̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Nous vous invitons à découvrir en images, les éminents experts chargés d’évaluer les aptitudes des candidats aux fonctions d’enseignants du supérieur, pour la Session 2025 du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Economiques et de Gestion du CAMES. Après la première épreuve organisée à distance du 18 au 28 octobre 2025, les trente-sept membres des Jurys sont réunis à Dakar pour évaluer les deuxième et troisième épreuves dédiées respectivement aux commentaires de texte ou de documents et aux leçons.𝗝𝘂𝗿𝘆 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝗿𝗶𝘃𝗲́Les dix-sept (17) candidats sous-admissibles de cette Section seront évalués par un Jury composé de sept (𝟬𝟳) membres, présidé par le Professeur Mbissane NGOM du Sénégal. Pour cette Section : • la 2ème épreuve porte, au choix du candidat, sur l’une des disciplines suivantes : droit civil ou droit commercial ;• la 3ème épreuve, elle, porte, au choix du candidat, sur l’une des disciplines non retenues pour la 2ème épreuve ou sur l’une des disciplines suivantes : droit pénal et procédure pénale, droit judiciaire privé, droit social, droit international privé ou droit privé comparé.Retrouvez plus de détails sur les candidats et les Jurys dans la plaquette du Concours : www.lecames.org/wp-content/uploads/2025/11/Plaquette-22ème-Concours-dAgrégation-SJPEG-CAMES.pdf ... See MoreSee Less
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𝗔𝘂 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗮𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 : 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗶𝗺𝗮𝗴𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝗻 𝗹𝗼𝗴𝗲Dans le cadre du Concours, les candidats sont invités à tirer au sort, le sujet de la 2ème épreuve de commentaire de texte ou de documents (pour les sciences juridiques et politiques) ou de théorie (pour les sciences économiques ou de gestion). Ils devront par la suite, préparer leur propos sur une durée de huit (08) heures, avant de se présenter devant le Jury, pour trente (30) minutes d’exposé. Au préalable, les différents ouvrages ont été validés par le Jury et disposés dans la loge pour les besoins de la préparation des candidats.Nous vous plongeons dans l’univers très studieux des loges du Concours, en images. ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 (𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚) 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗗𝗮𝗸𝗮𝗿Le Sénégal accueille, du 10 au 21 novembre 2025, au sein de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), les épreuves en présentiel de la 22ème Session du Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES. Au total, 113 candidats, répartis en six (06) sections, issus du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, du Congo, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Mali, du Niger, du Sénégal, du Tchad et du Togo, seront évalués par 37 éminents membres de Jury. La cérémonie solennelle d’ouverture de cette session, s’est tenue le 𝟭𝟬 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, sous la présidence du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Sénégal, Pr Daouda NGOM.Cet événement solennel s’est déroulé en présence du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, du Président par intérim du Comité Consultatif Général du CAMES, Pr Gérard GRESENGUET, du Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES, Pr Habibou ABARCHI, du Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Pr Alioune Badara KANDJI, du Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’UCAD, par ailleurs Présidente de la Commission Locale d’Organisation, Pr Aminata CISSÉ NIANG, du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Pr Ali DOUMMA, du Président Coordonnateur général des Jurys du Concours, Pr Pam ZAHONOGO. Des membres du Gouvernement, des Représentants d’Institutions, les membres des Jurys, les candidats du Concours et d’illustres personnalités du monde académique ont également répondu présent à cette importante cérémonie.Les allocutions au programme, ont tour à tour, marqué de leur empreinte de solennité cet évènement. Ainsi, Pr Alioune Badara KANDJI, dans son allocution de bienvenue a exprimé toute la fierté de son Institution, d’abriter cette prestigieuse rencontre scientifique.Le Président par intérim du CCG, Pr Gérard GRESENGUET, a lui, rappelé dans son propos, que depuis 1983, ce Concours constitue un levier essentiel de promotion des Enseignants-chercheurs de l’espace CAMES. Parlant de l’impact du Concours, Pr Souleymane KONATÉ a rappelé que « 𝘧𝘢𝘤𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘦́𝘧𝘪𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘮𝘱𝘰𝘳𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘹𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘮𝘱𝘰𝘴𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘨𝘦́𝘰𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘪𝘢𝘭𝘦, 𝘪𝘭 𝘥𝘦𝘷𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘳𝘶𝘤𝘪𝘢𝘭 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘯𝘧𝘰𝘳𝘤𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘭𝘰𝘤𝘢𝘭𝘦𝘴 𝘯𝘦́𝘤𝘦𝘴𝘴𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘶𝘯𝘦 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘶𝘯𝘪𝘦, 𝘧𝘰𝘳𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘱𝘳𝘰𝘴𝘱𝘦̀𝘳𝘦. 𝘗𝘭𝘶𝘴 𝘲𝘶’𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘪𝘮𝘱𝘭𝘦 𝘦́𝘷𝘢𝘭𝘶𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴, 𝘤𝘦 𝘊𝘰𝘯𝘤𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘳𝘦𝘱𝘳𝘦́𝘴𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘶𝘯 𝘪𝘯𝘷𝘦𝘴𝘵𝘪𝘴𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘦́𝘨𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘴 𝘌́𝘵𝘢𝘵𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘧𝘰𝘳𝘮𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦𝘴 𝘩𝘶𝘮𝘢𝘪𝘯𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘩𝘢𝘶𝘵 𝘯𝘪𝘷𝘦𝘢𝘶, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭’𝘦́𝘥𝘪𝘧𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘶𝘯𝘦 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘰𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘥𝘦́𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘳𝘦𝘱𝘰𝘴𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳». Dans son discours d’ouverture, le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la République du Sénégal, Professeur Daouda NGOM, a souligné l’importance stratégique de l’Enseignement supérieur et de la Recherche comme leviers essentiels du développement du continent africain. Cette cérémonie s’est achevée dans une atmosphère empreinte de solennité et de convivialité et scelle ainsi le lancement officiel de cette 22ème Session du Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES, placée sous le signe du savoir, du mérite, de l’excellence et de l’intégration académique africaine.www.lecames.org/les-epreuves-en-presentiel-du-22eme-concours-dagregation-en-sciences-juridiques-p... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰 𝗲𝘁 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝗿𝗶𝘃𝗲́ 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻À l’issue de la cérémonie d’ouverture officielle de la 22ème Session du Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion, le Secrétariat général du CAMES s’est entretenu, en présence du Président du Comité Consultatif Général et de celui de la Commission d’Éthique et de Déontologie, avec les membres des différents Jurys des Sections Sciences Économiques, Sciences de Gestion, Droit Public et Droit Privé. Cette rencontre a été placée sous la présidence du Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ et la modération du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA.Cette rencontre d’échange et de discussions a été organisée afin de tirer les leçons préliminaires du déroulement de la première épreuve et de partager les orientations du Secrétariat général et des personnes ressources, aux membres des Jurys. Il s’est agi également de recueillir leurs questions, recommandations et suggestions dans un esprit d’amélioration continue du processus d’évaluation. Ainsi, le Président par intérim du Comité Consultatif Général du CAMES, Professeur Gérard GRESENGUET, dans son propos, a rappelé la mission du Comité Consultatif Général, organe de supervision académique du CAMES. Il a également félicité les experts présents pour la qualité du travail abattu dans leurs Institutions respectives. À sa suite, le Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie, Professeur Habibou ABARCHI, s’adressant aux membres des Jurys, a rappelé la mission préventive de la CED à travers cette rencontre et sa présence au Concours. Pr Pam ZAHONOGO, Président Coordonnateur des Jurys, citant le Secrétaire Général, a évertué ses collègues à une évaluation rigoureuse sans être rigide. Il les a encouragés à conduire ces évaluations avec rigueur, impartialité pour répondre de manière idoine aux grandes attentes des Universités vis-à-vis de ce Concours. Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, prenant la parole à son tour, a remercié l’engagement des différents membres des Jurys au nom de toute la communauté universitaire et scientifique. Des échanges sous la modération du Directeur des Programmes, Pr Ali DOUMMA, ont été l’occasion de soulever quelques points d’intérêt et partager des pistes de solution face aux défis évoqués. www.lecames.org/le-secretariat-general-du-cames-rencontre-les-membres-des-jurys-des-sections-scie... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝗮𝗾𝘂𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 (𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚) 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) vous invite à découvrir la plaquette du 22ème Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG). Ce document met en lumière l’organisation, les acteurs et les principales informations de cette 22ème Session du Concours.La plaquette présente notamment :- les messages officiels du Président de la République du Sénégal, du Secrétaire Général du CAMES et du Recteur de l’UCAD ;l’historique et les actions phares du CAMES, témoignant des progrès accomplis ;- les statistiques du Concours de 1983 à 2023, retraçant quarante années d’excellence académique ;- la présentation du Concours et de son règlement général ;- la liste des candidats et des membres du jury, ainsi que la répartition des salles ;- la 7ème édition du Prix Coris Bank, récompensant le meilleur lauréat de toutes les Sections du Concours ;- et enfin, le Programme officiel du Concours, détaillant les différentes étapes et cérémonies de cette Session.www.lecames.org/publication-de-la-plaquette-du-22eme-concours-dagregation-des-sciences-juridiques... ... See MoreSee Less
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2 days ago

Le CAMES
𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹À Dakar, dans le cadre de la 22ème Session du Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion, qui se tient du 10 au 21 novembre 2025 à l’Université Cheikh Anta Diop, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, accompagné du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA, a rendu une visite de courtoisie au Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Sénégal, Professeur Daouda NGOM, Ministre de tutelle du CAMES. Cette rencontre a également vu la présence de Professeur Alioune Badara KANDJI, Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.Cette visite de courtoisie s’est tenue le 𝟳 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, à quelques jours de la cérémonie d’ouverture officielle de cette 22ème Session du Concours d’Agrégation, placée sous la présidence du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation.Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, présentant l’objet de la visite, a tenu à exprimer au Ministre, ses civilités et ses remerciements pour l’accueil de cette Session du Concours d’Agrégation SJPEG. Cette visite était également le lieu de recueillir les observations de Ministre du tutelle quant à la tenue de la Session du Concours, abritée par l’UCAD.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-secretaire-general-du-cames-au-ministre-de-lenseignement-... ... See MoreSee Less
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