Le Comité de pilotage du projet d’appui à l’assurance qualité de l’enseignement supérieur et de la recherche dans l’espace UEMOA a tenu sa 2e et dernière réunion, le lundi 30 juillet 2018 au siège du CAMES, à Ouagadougou.
Cette rencontre avait pour objectif de dresser le bilan de la deuxième phase du projet et de définir les perspectives de sa pérennisation, à quelques mois de sa fin.
À cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES a réitéré les remerciements de son Institution à l’endroit de l’UEMOA, partenaire stratégique du CAMES dans la mise en œuvre de son Programme Assurance qualité de l’Enseignement Supérieur, axe 4 du Plan stratégique de développement.
« Depuis six années déjà, le partenariat UEMOA-CAMES a permis de construire, de fortifier et de rendre réel le Programme Assurance qualité du CAMES, qui a reçu par la suite l’adhésion d’autres partenaires stratégiques, aux niveaux continental et international », a dit le Pr Bertrand Mbatchi.
Faut-il le rappeler, dans le cadre du projet, plusieurs outils et référentiels qualité ont été élaborés pour renforcer le CAMES dans son rôle d’Agence régionale d’assurance qualité et d’accréditation et d’Institution-conseil de ses États membres. Ces outils sont disponibles en téléchargement libre sur le site du CAMES : https://goo.gl/zZhRGW.
« Les référentiels et les outils développés dans le cadre du projet UEMOA-CAMES s’adressent aux Institutions d’enseignement supérieur et de recherche de nos États membres. Il faut qu’on sente un changement dans ces institutions, à l’heure où les statistiques montrent que la pression sur les structures d’enseignement supérieur et de recherche est de plus en plus forte », a dit Monsieur Emmanuel Cheick Oumar BARRY, Chef de la Division Enseignement Supérieur de la Commission de l’UEMOA.
« Avec nos partenaires, nous devons mettre en commun nos efforts dans le domaine de l’assurance qualité, pour assurer une adéquation entre la qualité, l’accès à la formation et l’employabilité des diplômés dans nos Institutions d’enseignement supérieur et de recherche », a conclu Monsieur BARRY.