Interview Exclusive : Le Pr Ali DOUMMA se prononce sur la révision du Guide d’évaluation des enseignants-chercheurs et chercheurs (GEE-CC) 2024-2028


Pr Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains (CCI), des Concours d’Agrégation et de l’Ordre international des palmes académiques du CAMES (OIPA/CAMES).


Le CAMES vient de lancer la 46e session des CCI. La nouveauté de cette année est la mise en œuvre de l’édition révisée du Guide d’évaluation des enseignants-chercheurs et chercheurs (GEE-CC) 2024-2028.


1. Pouvez-vous nous décrire le processus de candidature aux CCI ?

Merci beaucoup pour l’occasion que m’offre « Lundi CAMES » de m’adresser aux différents acteurs intervenant dans le processus de candidature aux CCI. La première étape pour un candidat est de se rendre sur le site du CAMES pour télécharger le guide d’évaluation et les formulaires actualisés pour la 46e session des CCI. Il doit bien s’approprier ce guide d’évaluation des CCI et s’approcher des experts CTS de son institution pour bénéficier de l’encadrement nécessaire dans la constitution de son dossier. Je rappelle aux candidats que la préparation du dossier de candidature est un processus de longue haleine. N’est pas candidat qui veut, mais est candidat celui qui est prêt. Et pour cela, il faut du temps. La préparation du dossier commence dès le lendemain de son recrutement dans son institution ou de son inscription sur une liste d’aptitude du CAMES.

Sur la base des dispositions communes et des critères spécifiques du CTS dont il relève, le candidat constitue son dossier physique complet, dont un (1) exemplaire est déposé exclusivement et obligatoirement dans son institution, qui est le soumissionnaire de la candidature. La version numérisée (en format PDF) de ce dossier physique est mise en ligne sur la plateforme CCI du CAMES, ouverte du 15 décembre 2023 au 15 février 2024 à 23 h 59 GMT.

Une fois transmis, le dossier est ensuite examiné par la commission institutionnelle locale afin de vérifier sa conformité selon les normes du CAMES. À l’issue du processus d’examen des dossiers, la commission institutionnelle dresse et soumet au responsable de l’institution (Recteur/Président/Directeur Général) la liste définitive des dossiers conformes. Cette liste est validée ou ajustée, signée et transmise au CAMES par le responsable de l’institution, seul habilité à transmettre la liste au CAMES.

La validation de la candidature est notifiée au candidat par le CAMES par l’envoi d’un accusé de réception. Seuls les candidats dont les candidatures ont été validées par l’institution reçoivent les accusés de réception. J’insiste sur cet aspect, car il nous est arrivé à plusieurs reprises que des candidats, ne recevant pas d’accusé de réception, nous contactent pour les réclamer. Après vérification, on s’est toujours rendu compte que leurs noms ne figuraient pas sur les listes validées. Des situations comme celle-ci surviennent lorsque les candidats ne transmettent pas leurs dossiers à la commission institutionnelle locale. À cet effet, les commissions sont invitées à veiller à ce que tous les candidats de leur institution aient transmis leurs dossiers avant la fermeture de la plateforme.

C’est l’occasion pour moi de rassurer les candidats sur toutes les conditions de sécurité (confidentialité, disponibilité et intégrité) qui entourent le dossier. En effet, aucune personne physique ou entité institutionnelle n’est autorisée à ajouter, modifier ou supprimer un élément de la version en ligne du dossier de candidature, qui par ailleurs est en lecture seule. De plus, l’environnement numérique proposé garantit la confidentialité des échanges, mais le candidat porte la responsabilité de ses paramètres d’accès à la plateforme du CAMES.

Nous attirons également l’attention des responsables d’institution sur le respect du délai de traitement des dossiers et la transmission de la liste définitive des dossiers au CAMES, qui doit impérativement se faire entre le 16 février et le 1er mars 2024. Tout retard dans la transmission de la liste définitive aura des conséquences sur le délai donné aux rapporteurs pour évaluer les dossiers ou sur le lancement des travaux. Nous sollicitons la compréhension et la collaboration des responsables d’institution à cet effet.


2. Quelles sont les principales modifications apportées au guide d’évaluation des CCI ?

Le nouveau guide des CCI a pris en compte de nombreuses recommandations émises lors des différentes sessions des Comités Consultatifs Interafricains par les Comités Techniques Spécialisés (CTS), tout en répondant à l’objectif de notre institution d’adapter notre référentiel d’évaluation aux normes et standards internationaux. La version révisée du guide a augmenté certains critères existants (thèses et mémoires encadrés, production scientifique, etc.) et introduit de nouveaux critères (services rendus à la communauté, services à la société, exigence de communications scientifiques, etc.). Des mesures ont également été prises pour simplifier certaines formalités pour les candidats et les institutions.

De manière générale, les modifications majeures ont porté, entre autres, sur les points suivants :

  • Exigence de deux (02) thèses dirigées ou quatre (04) thèses co-dirigées pour la LFPT/LAFDR (contre respectivement 01 et 02 dans l’ancienne version du guide). Le guide précise clairement les conditions de direction ou de co-direction de thèse, et nous invitons les candidats ainsi que les commissions institutionnelles à s’y conformer. Par exemple, la co-direction peut être admise en cas d’ouverture récente d’une école doctorale (page 20 du GEC/C).
  •  Exigence de quatre (4) mémoires de Master ou BAC + 5 pour la LAFMC/LAFMR (contre trois [3] dans l’ancienne version du guide). Les acteurs ont certainement remarqué que, pour les maîtres-assistants/chargés de recherche, seule la voie du co-encadrement est privilégiée par cette nouvelle version du guide. L’encadrement (seul) des mémoires Bac + 4 par les maîtres-assistants ou l’encadrement (seul) des mémoires BAC + 5 par les maîtres-assistants titulaires de HDR ne sont plus d’actualité.
  • L’augmentation du nombre de publications, de fiches techniques, de documents de vulgarisation/valorisation exigés pour l’inscription sur les différentes listes d’aptitudes selon les CTS. Pour les publications, le guide prévoit d’étendre les exigences d’indexation aux CTS LSH, SJP et SEG à partir de la 47e session 2025 des CCI.
  • Exigence de communications dans l’évaluation des enseignants-chercheurs et chercheurs (LAFMC/LAFMR/LAFPT/LAFDR). Précisons que pour la LAFMA/LAFCR, les communications ne peuvent être prises en compte que dans l’attribution de la cote. Pour cela, je demande aux candidats de se référer aux critères spécifiques, dans la mesure où les critères d’attribution de la cote sont définis par CTS et par grade, sauf évidemment pour LAFPT/LAFDR.
  • La possibilité donnée aux responsables d’institution d’authentifier ou de certifier conformes tous les documents à caractère académique sur présentation des originaux, au même titre que les légalisations. Rappelons que les décrets et les arrêtés ministériels ne sont plus à légaliser.
  • La possibilité donnée aux responsables d’institution de délivrer un acte faisant foi d’acte d’individualité des candidats en cas de discordance entre les noms et prénoms sur tout document figurant dans le dossier. Il faut rappeler que chaque année, des institutions écrivent au CAMES pour qu’on les autorise à délivrer cet acte en raison de la difficulté pour certains candidats de les avoir dans leurs pays.
  • La possibilité donnée aux institutions de contrôler désormais la qualité des mémoires et thèses avec l’exigence d’un certificat de non-plagiat avec un taux de similitude inférieur à 20 % pour chaque thèse de doctorat et chaque mémoire BAC+5 soutenus à partir du 1er janvier 2022. Il faut souligner que les articles ne sont pas concernés par cette disposition. C’est l’occasion pour moi d’exhorter toutes les institutions de notre espace à se doter d’un logiciel anti-plagiat en vue de se conformer à cette exigence.
  • Avec ce guide révisé, la promotion de la pédagogie universitaire dans nos institutions sera désormais renforcée, notamment avec l’exigence d’une Attestation de formation pédagogique, dispensée en présentiel ou intégrant les deux modalités. Nous attirons l’attention des responsables d’institution que cette attestation doit être délivrée par une université ou une institution spécialisée en formation pédagogique (ex. : Écoles Normales ou Facultés des Sciences de l’Éducation) à la suite d’une formation pour les candidats à la LAFMA.
  • Il sera désormais exigé à chaque candidat de justifier son volume horaire statutaire en fournissant un Acte administratif indiquant la charge horaire en rapport avec son grade.
  • Avec ce guide révisé, l’implication des enseignants-chercheurs et chercheurs dans la vie de leurs institutions et dans la vie de la société est valorisée avec la prise en compte des services rendus à la communauté universitaire pour les enseignants ou scientifique pour les chercheurs.
  •  Le formulaire des titres et travaux est désormais le même pour toutes les listes d’aptitude (de LAFMA/LAFCR à LAFPT/LAFDR) (formulaire unique) et subdivisé en quatre parties. La partie effort consenti pour impulser la recherche est désormais transférée au niveau de l’attestation des charges pédagogiques/institutionnelles et de recherche qui, par conséquent, a été aussi modifiée. En outre, les candidats sont invités à bien lire cette partie pour voir les modifications apportées au niveau des éléments à prendre en compte dans l’analyse des travaux.

Sans être exhaustif, voici quelques modifications majeures contenues dans le guide révisé. Il y en a d’autres que nous invitons les acteurs à découvrir en s’appropriant ce référentiel.


3. Comment ces changements vont-ils impacter la qualité de l’enseignement et de la recherche dans notre espace ?

L’un des objectifs visés à travers la révision du guide des CCI est d’adapter le référentiel d’évaluation des enseignants-chercheurs et chercheurs du CAMES aux normes et standards internationaux. Je pense qu’avec ces nouveaux critères d’évaluation, toutes les conditions permettant d’améliorer les aptitudes pédagogiques et les compétences scientifiques des enseignants-chercheurs et chercheurs de notre espace sont désormais réunies. De plus, l’implication des enseignants-chercheurs et chercheurs dans la vie de nos institutions ainsi que dans la vie de la société sera plus perceptible. Ce qui, sans nul doute, impactera positivement la qualité de l’enseignement supérieur et de la recherche dans l’espace commune.


4. Quels conseils donneriez-vous aux candidats pour les aider à constituer leurs dossiers de candidature en conformité avec les nouveaux critères ?

Je conseille vivement aux candidats de se familiariser pleinement avec cette nouvelle version du guide et de s’assurer d’utiliser les formulaires CAMES actualisés pour préparer leur dossier. Ils doivent également prendre en compte les observations et conseils des commissions institutionnelles établies à cet effet. En cas de difficultés, les services compétents du CAMES sont disponibles pour toute assistance. Deux adresses électroniques ont été créées pour toute assistance technique ou relative aux procédures :


5. Comment les universités peuvent-elles soutenir leurs enseignants-chercheurs dans ce processus ?

Les institutions d’enseignement supérieur et/ou de recherche doivent créer toutes les conditions nécessaires pour accompagner les enseignants-chercheurs et chercheurs dans ce processus. Cela peut inclure la mise en place d’une commission institutionnelle fonctionnelle conformément aux conditions fixées par le CAMES. De plus, ces institutions doivent veiller au renforcement des capacités de leur personnel dans la préparation des dossiers, notamment par l’organisation de sessions de formation.


6. Chaque année, le CAMES émet des recommandations à l’attention des différentes parties aux CCI. Pourquoi est-il important de respecter les recommandations du CAMES ?

Les CTS émettent chaque année des recommandations à l’attention des différents acteurs (candidats, institutions d’enseignement supérieur et de recherche, CAMES, etc.). Ces recommandations visent à améliorer la compréhension du guide et à aider les acteurs à mieux préparer les dossiers de candidature aux CCI. Elles peuvent être appliquées directement par les parties concernées lors des sessions suivantes. Les recommandations qui nécessitent des modifications substantielles du guide seront soumises aux instances du CAMES pour intégration dans une version révisée ou prises en compte dans le prochain processus de révision prévu dans cinq ans.


7. Quels messages clés souhaitez-vous transmettre aux candidats de la 46e session des CCI et aux membres des Commissions institutionnelles ?

Je tiens à souligner l’importance pour les candidats et les responsables des commissions de maîtriser les nouvelles dispositions du guide des CCI. Il est primordial de se référer exclusivement au guide des CCI pour toute question relative à l’évaluation des enseignants-chercheurs et chercheurs par le CAMES. De plus, je souhaite attirer l’attention des animateurs des commissions institutionnelles sur leurs responsabilités en ce qui concerne la qualité des dossiers des candidats de leurs institutions. Ils doivent savoir que toute insuffisance constatée au niveau du dossier transmis par un candidat ne sera plus uniquement imputable au candidat lui-même, mais également à la commission institutionnelle. Il est en effet fréquent d’entendre que la commission n’a pas correctement effectué son travail lorsque les membres des CTS se retrouvent face à des dossiers mal préparés.

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Le CAMES
𝗟𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗗𝗲́𝗼𝗻𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗲 𝗲𝗻 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘅𝘁𝗿𝗮𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲Les 23 et 24 avril 2025, la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED) du CAMES a tenu sa session extraordinaire en présentiel au siège de l’Institution à Ouagadougou (Burkina Faso) et en ligne pour certains membres. Les travaux ont été dirigés par Pr Habibou ABARCHI, Président de la Commission.La cérémonie d’ouverture de cette session a eu lieu le 23 avril 2025 autour des interventions du Secrétaire Général du CAMES et du Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED).Le mot de bienvenue du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été l’occasion pour lui, de rappeler d’entrée de jeu, l’importance de la CED. « La CED est l’organe de veille éthique, indispensable à la crédibilité et à la respectabilité de notre Institution commune », a-t-il souligné. Il a par ailleurs rappelé que « la présence active des membres témoigne de leur attachement au CAMES et à leur mission de garant de ses valeurs fondamentales que sont : l’éthique, l’intégrité, l’impartialité, l’excellence et le service à la communauté scientifique africaine et malgache ». En revenant sur les points inscrits à l’ordre du jour, le Secrétaire Général a salué l’initiative « louable et ambitieuse » de création des cellules d’éthique et de déontologie au sein des Institutions d’Enseignement Supérieur et de Recherche (IESR) des pays membres du CAMES. En effet, cette initiative vise à renforcer, au niveau institutionnel, la culture éthique dans la conduite des missions universitaires et scientifiques. Abordant la question de la mise en place des organes d’éthique et de déontologie au sein des IESR des pays membres, le Président de la CED, Pr Habibou ABARCHI, a précisé que ces structures auront vocation à devenir des corps avant-gardistes en matière d’éthique universitaire, adaptés à la réalité de chaque contexte institutionnel. Ces cellules agiraient comme interfaces de proximité entre les établissements et la CED, permettant une gestion plus efficace, réactive et contextualisée des enjeux éthiques. Pour garantir le succès de ce projet structurant, il a invité les conseillers et personnes ressources de la CED à prendre toutes les dispositions idoines afin d’assurer sa mise en œuvre efficace et son ancrage durable au sein des communautés universitaires.www.lecames.org/la-commission-dethique-et-de-deontologie-du-cames-sest-reunie-en-session-extraord... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮 𝗮𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le mardi 22 avril 2025, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a reçu en audience une délégation d’Enseignants-chercheurs de l’Université de N’Djaména (Tchad), en mission au Burkina Faso dans le cadre d’un partenariat interuniversitaire. Cette mission vise à s’inspirer du Programme de Nutrition de l’Université Joseph KI-ZERBO pour la mise en place d’un projet similaire au sein de cette Institution d’Enseignement et de Recherche du Tchad.La rencontre s’est tenue en présence du Directeur des Programmes en charge des Enseignements et des Évaluations du CAMES, Pr Ali DOUMMA. La délégation tchadienne, accompagnée du Pr Aly SAWADOGO, Enseignant-chercheur à l’Université Joseph KI-ZERBO, était composée de : Pr FOUMSOU LHAGADANG, Professeur Titulaire de Gynécologie et d’Obstétrique, Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé Humaine ; Pr ABDELSALAM Tidjani, Professeur Titulaire de Nutrition, Microbiologie et Sécurité Alimentaire, Chef du Département de Santé Publique et Dr Mahamat Béchir, Maître de Conférences, Enseignant-chercheur.Les échanges ont essentiellement porté sur les préparatifs de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, dont la tenue en présentiel est prévue au Tchad en juillet 2025.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-dune-delegation-de-luniversite-de-ndjamena-au-secretariat-ge... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗼𝘂-𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝗶 𝗜𝗠𝗢𝗥𝗢𝗨Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Professeur Abou-Bakari IMOROU, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 (𝗟𝗦𝗛) du CAMES.www.youtube.com/watch?v=qxATIn0hBiE𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄En termes de perspectives, au-delà de l’évaluation des dossiers CCI, nous allons nous mobiliser pour examiner sérieusement les demandes d’homologation des revues au niveau du CAMES. Nous accompagnerons les collègues responsables des revues afin qu’elles puissent, d’ici 2027, atteindre un niveau conforme aux exigences en matière d’indexation.Cette année, de nouveaux éléments sont entrés en jeu dans l’évaluation des dossiers, notamment l’évaluation pédagogique et les évaluations des enseignements dans les universités. Nous avons constaté une disparité dans la mise en œuvre de ces évaluations. Ce sujet sera donc inscrit à l’ordre du jour de la prochaine session, afin de déterminer concrètement les modalités d’application de ces évaluations.Par ailleurs, il ressort que, dans de nombreux pays, contrairement aux directives du CAMES, les commissions de validation des fiches techniques ne sont pas toujours mises en place. La prochaine session sera l’occasion de revenir sur cette question et d’inviter les collègues à soutenir les administrations universitaires ainsi que les Unités d’Enseignement ou de Recherche, pour que ces commissions soient mises en place.𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗼𝘂-𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝗶 𝗜𝗠𝗢𝗥𝗢𝗨. ... See MoreSee Less
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𝗣𝗿𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝘂𝘀𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻Le Secrétaire Général du CAMES a l’honneur de préciser aux Recteurs, Présidents, Directeurs Généraux des Institutions d’Enseignement supérieur des pays membres du CAMES, que 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗲 𝗱’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻°𝟬𝟯𝟳-𝟮𝟬𝟮𝟱/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦/𝗦𝗚/𝗗𝗣𝟭/𝗞𝗣 𝗱𝘂 𝟭𝟳 𝗺𝗮𝗿𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 relative à l’observance de l’année de pause est un document de portée générale qui 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝗻𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗲́𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.www.lecames.org/precision-sur-le-respect-de-lobservation-de-lannee-de-pause-aux-concours-dagregat... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗶𝗻𝘃𝗶𝘁𝗲́ 𝗱’𝗵𝗼𝗻𝗻𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟲𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗜𝗗𝗘𝗣𝗘𝗦La 𝟲𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗲́𝘀𝗲𝗮𝘂 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝗮𝗯𝗹𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗣𝗿𝗶𝘃𝗲́𝘀 𝗱’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗦𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 (𝗥𝗜𝗗𝗘𝗣𝗘𝗦) 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮̀ 𝗕𝗮𝗺𝗮𝗸𝗼, 𝗮𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶, 𝗱𝘂 𝟭𝟰 𝗮𝘂 𝟭𝟳 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱. Cette rencontre a constitué une étape importante pour l’Enseignement supérieur privé africain. Le 17 avril 2025, le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Pr Bouréma KANSAYE, a présidé la cérémonie d’ouverture de ces assises, en présence du Secrétaire Général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), Pr Souleymane KONATÉ. À cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES et le Ministre ont chacun pris la parole pour livrer, respectivement, une allocution de circonstance et le discours d’ouverture.Dans son allocution, et dans un contexte porteur de renouveau, Pr Souleymane KONATÉ a salué la relance du RIDEPES, qu’il a qualifié de levier important de l’intégration académique africaine. Il a également exprimé sa reconnaissance aux autorités maliennes pour leur engagement constant en faveur du CAMES.Rappelant que le RIDEPES est né en 2014 sous l’impulsion du CAMES, le Secrétaire Général a rendu un vibrant hommage à feu Pr Bertrand MBATCHI, son prédécesseur, pour avoir posé les fondations de ce réseau qui fédère aujourd’hui les établissements privés des 19 États membres du CAMES. Il a invité les membres de ce réseau à s’approprier pleinement les Programmes du CAMES, notamment le PRED, tout en les encourageant à contribuer à la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024–2028. Le Pr KONATÉ a conclu son intervention en soulignant la complémentarité entre les établissements publics et privés, réaffirmant que le CAMES œuvre au service de l’ensemble des Institutions d’Enseignement Supérieur et de Recherche (IESR).Dans son discours d’ouverture officiel de la session, Pr Bouréma KANSAYE a donné le ton de l’événement en insistant sur l’unité et l’ambition collective, illustrées dès l’entame de son propos par l’adage « Seul, on va vite. Ensemble, on va loin ». www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-invite-dhonneur-de-la-6eme-rencontre-du-ridepes/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶A Bamako, dans le cadre de la cérémonie d’ouverture de la 6ème Rencontre du RIDEPES, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a profité de l’occasion pour rendre une visite de courtoisie au Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Professeur Bouréma KANSAYE, dans la matinée du 17 𝒂𝒗𝒓𝒊𝒍 2025. Il était accompagné du Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat.Cette audience a principalement porté sur la présentation des civilités du CAMES au Ministre, et le renforcement de la coopération entre le CAMES et le Mali. Elle a été l’occasion pour le Professeur Souleymane KONATÉ d’exprimer sa profonde reconnaissance envers les autorités maliennes pour leur soutien constant au CAMES. Ce soutien se manifeste notamment par l’accueil de la rencontre du RIDEPES, seulement cinq mois après avoir abrité au Mali la 39ème session du Programme de Reconnaissance et d’Équivalence des Diplômes (PRED) couplée à un atelier majeur de formation en Assurance Qualité. Enfin, Pr Souleymane KONATÉ a salué la décision prise par le Ministre, selon laquelle le Mali ne reconnaîtra que les promotions par le CAMES ou par la voie nationale, des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Du fait de cette décision, aucune autre évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs, entreprise par d’autres organismes que le CAMES et l’État Malien, ne sera reconnue par le Mali.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-a-ete-recu-en-audience-par-le-ministre-de-lenseign... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲́ 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲𝘂𝘅𝗶𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗶𝘁𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗛𝗔𝗤𝗔𝗔𝟯 𝗮̀ 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́𝗟𝗲 𝟵 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗹’𝗛𝗼̂𝘁𝗲𝗹 𝗛𝗶𝗹𝘁𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́, le Directeur des Programmes du CAMES en charge de la Recherche, de l’Innovation et du Partenariat, Pr Saturnin ENZONGA YOCA, a participé à la deuxième réunion du Conseil consultatif de l’Initiative HAQAA3 (Harmonisation, Assurance Qualité et Accréditation de l’Enseignement Supérieur Africain, phase 3, 2023-2028). Il y représentait le CAMES qui fait partie de la structure de gouvernance de cette Initiative, en tant que membre du Comité de pilotage des partenaires stratégiques.La réunion visait à faire le point sur les avancées de l’Initiative HAQAA3, à formuler des orientations stratégiques pour son évolution, et à explorer les synergies possibles entre les partenaires. Après la présentation des avancées de HAQAA3, les échanges se sont structurés autour de trois blocs thématiques, chacun explorant les contributions actuelles des partenaires ainsi que les perspectives de collaboration en vue d’atteindre des objectifs communs. Il s’agissait notamment : (i) des données pour les politiques publiques et l’impact, (ii) des outils pour l’harmonisation et le renforcement de la confiance, (iii) des partenariats pour aujourd’hui et demain.www.lecames.org/le-cames-a-participe-a-la-deuxieme-reunion-du-conseil-consultatif-de-linitiative-... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗿𝗶𝘀 𝗽𝗮𝗿𝘁 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗭𝗟𝗘𝗖𝗔𝗙Le Secrétaire Général du CAMES a été représenté par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes du CAMES en charge de la Recherche, de l’Innovation et du Partenariat, à la toute première conférence dédiée à la mise à profit de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf) pour favoriser l’intégration de l’Enseignement supérieur. Cette importante rencontre, tenue, 𝗹𝗲𝘀 𝟳 𝗲𝘁 𝟴 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗥𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻 (𝗜𝗥𝗜𝗖) 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́ 𝗜𝗜, a réuni des Décideurs politiques, des Responsables universitaires, des Chercheurs et des Partenaires au développement venus d’Afrique et d’Europe. Co-organisée par l’Association OBREAL Global, l’Université Panafricaine et l’Association des Universités Africaines, cette rencontre a eu pour thème : « 𝙏𝙞𝙧𝙚𝙧 𝙥𝙖𝙧𝙩𝙞 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙕𝙤𝙣𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙞𝙗𝙧𝙚-𝙚́𝙘𝙝𝙖𝙣𝙜𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙞𝙣𝙚𝙣𝙩𝙖𝙡𝙚 𝙖𝙛𝙧𝙞𝙘𝙖𝙞𝙣𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡’𝙞𝙣𝙩𝙚́𝙜𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡’𝙀𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙪𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙪𝙧 ». Elle a constitué une étape déterminante dans le rapprochement entre l’intégration économique africaine et les ambitions du continent en matière d’Enseignement supérieur.Le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗘𝗡𝗭𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗬𝗢𝗖𝗔 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗹𝗲 𝗳𝗮𝗰𝗶𝗹𝗶𝘁𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗮𝗻𝗲𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝘀𝗰𝘂𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀, à savoir : le rôle de l’éducation dans la promotion de la ZLECAf ; et les enjeux de l’intégration de l’Enseignement supérieur à l’échelle continentale et régionale en Afrique.www.lecames.org/le-cames-a-pris-part-a-la-conference-sur-lenseignement-superieur-dans-la-zlecaf/ ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗠𝗔𝗟𝗔𝗠 𝗠𝗔𝗠𝗔𝗡 𝗡𝗮𝗳𝗶𝗼𝘂 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗻Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Pr MALAM MAMAN Nafiou Maman, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 ( 𝗖𝗧𝗦-𝗦𝗘𝗚).𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄.Nous avons pris la présidence il y a un an et, concrètement, j’ai participé à deux réunions. La première, qui s’est tenue en présentiel à Ouagadougou juste après notre élection, a été l’occasion pour nous de nous approprier pleinement la mission confiée : diriger les travaux, utiliser le Guide d’évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs dans le cadre des CCI, ainsi que le Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES, afin de mener efficacement les activités des CTS. Par la suite, nous nous sommes retrouvés en visioconférence avec nos collègues, lors de la 46ème session des CCI, consacrée à l’évaluation des dossiers. Le CTS SEG a enregistré un total de 122 dossiers, qui ont tous été examinés. Le taux de réussite s’est élevé à 66,39 %, soit 81 candidats inscrits, tandis que 33,61 %, soit 41 personnes, ont été ajournées. Nous avons présenté ces résultats lors de la réunion du CCG tenue au Gabon en juillet 2024. Nous y avons exposé les raisons des échecs enregistrés. Le CCG a bien compris notre analyse et a validé les résultats.Nous allons œuvrer, avec l’appui des collègues des différents pays, à sensibiliser tous ceux qui ont, ou auront, à évaluer des dossiers dans le cadre des CCI, à l’importance du strict respect du Guide. Nous voudrions aussi travailler avec les collègues, afin qu’ils s’approprient la méthode d’indexation et surtout de la preuve d’indexation. 𝗣𝗿 𝗠𝗔𝗟𝗔𝗠 𝗠𝗔𝗠𝗔𝗡 𝗡𝗮𝗳𝗶𝗼𝘂 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗻. ... See MoreSee Less
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