Le 20 décembre 2024, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ a reçu en audience une délégation du Réseau international des établissements privés de l’Enseignement supérieur de l’espace CAMES (RIDEPES).

Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ avec à ses côtés le Directeur des Programmes en charge des Évaluations, Pr Ali DOUMMA, a reçu une délégation conduite par le Secrétaire Général du RIDEPES, Monsieur Issa COMPAORE, accompagné du Président de l’Association des établissements privés d’enseignement supérieur (AEPES) du Mali, Monsieur Mamadou DIALLO. Cette délégation était composée de Responsables d’établissements privés du Burkina Faso et du Mali. Il s’est agi pour les participants de traduire au Secrétaire Général du CAMES toute la gratitude du réseau pour le soutien de l’Institution. Les discussions ont également porté sur la redynamisation du RIDEPES.
Pour rappel, le RIDEPES a été créé en 2014, avec l’appui du CAMES, afin de promouvoir un Enseignement supérieur de qualité qui prend en compte les défis et besoins des pays. Les actions du réseau ont permis de contribuer à mieux positionner le secteur privé dans le système éducatif de nos différents pays. Depuis la COVID 19, le réseau a cependant connu une période de léthargie. Il s’agissait donc de présenter au CAMES un projet de redynamisation de ses activités.

A la sortie de l’audience, Monsieur Issa COMPAORE s’est dit satisfait de la qualité des échanges et des résolutions prises pour la redynamisation du réseau.
« Nous sommes venus ce matin avec une délégation du Mali et des collègues du Burkina Faso, pour présenter au Secrétaire Général du CAMES, notre ambition de redynamisation des activités du RIDEPES, qui est un partenaire stratégique du CAMES. Notre démarche a été très bien saluée par le CAMES qui nous a témoigné, comme de par le passé, son soutien et son accompagnement afin que le RIDEPES reprenne très rapidement ses activités et joue pleinement son rôle dans les Etats membres du CAMES, en relevant ensemble les défis de l’Enseignement supérieur tels que l’employabilité, la digitalisation…» a-t-il précisé.
