Appel à contributions : Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique


Le Programme Thématique de Recherche (PTR) Langues, Sociétés, Cultures et Civilisations (LSCC) lance un appel à contributions sur thème « Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique ».


Le PTR LSCC rassemble en réseaux, les enseignants-chercheurs et les chercheurs de l’espace CAMES en une communauté de sujets (F. Jullien, 2016). Ainsi, face aux défis de notre temps, ils introduisent leurs initiatives dans le monde afin d’y porter une vision des universités. En effet, dans un contexte où l’Humain paraît réductible aux paradigmes d’efficacité, de rentabilité, de rapidité et de performance, il devient urgent que les Sciences Humaines et Sociales fournissent aux décideurs politiques et aux acteurs sociaux, des outils théoriques, méthodologiques et pratiques aptes à édifier des citoyens complets,  c’est-à-dire des citoyens volontaires, inventifs, rationnels et empathiques.

1/ Équipe de coordination :

  • Professeure Céline Yolande KOFFIE-BIKPO, UFHB, Coordinatrice du PTR-LSCC
  • Professeure Aimée-Danielle LEZOU KOFFI, UFHB, Coordinatrice adjointe du PTR-LSCC
  • Docteur Antoine Fobah KACOU, UFHB, Chargé de la communication, kakoufoba@outlook.fr

2/ Termes de références

Les élections constituent l’un des moyens, pour les communautés, de se doter des meilleurs représentants ou dirigeants. Pour y parvenir, les populations et leurs représentants devraient être animés par une conception noble du pouvoir (celle de maintenir la paix et la cohésion sociale dans la durée) soutenue par une certaine éthique. Or, dans l’Afrique moderne ou contemporaine, l’on constate une rupture avec cette vision. Les élections politiques riment trop souvent avec angoisse, incertitude et instabilité. Les joutes électorales débouchent fatalement sur des conflits, des crises. Comment expliquer une telle faillite ? Le diagnostic et l’analyse de la situation imposent de prendre en compte certaines considérations historiques, socio- culturelles et politiques. D’un point de vue historique, contrairement à l’idée reçue d’une importation de la démocratie, de ses procédures et de ses corollaires, la requête du suffrage démocratique n’est pas étrangère à certains systèmes politiques africains traditionnels. Avant l’importation des systèmes occidentaux de participation, et plus particulièrement du vote, il n’était pas exceptionnel de rencontrer des formules de contrôle du pouvoir ou de prise de décision de type démocratique par le peuple :

« La plupart des nations africaines avant la colonisation étaient constituées en royaumes dont l’organisation n’était pas éloignée de celle de la monarchie parlementaire britannique. Les affaires de la cité se réglaient autour « des arbres à palabres » avec la participation des populations ou leurs représentants : c’était le temps de légiférer, de décider, de juger… Dès lors, on peut sans équivoque établir un parallèle entre la structure des « chefs traditionnels et notables » et celle des « chefs d’État et notables ». Le pouvoir était délégué, les peuples étaient associés à la gestion des royaumes »

Biléou Sakpane-Gbati (2011).

De même, l’organisation politique chez les peuples Kru de Côte d’Ivoire est caractérisée par un système démocratique où le chef est élu et les décisions, soumises à des débats publics. Les sociétés pastorales sahélo – sahariennes, Peuls et Touaregs notamment ; pratiquaient des modes de gouvernance qui consacrent la participation des différents clans à la désignation des dirigeants. Elles disposaient également de mécanismes de sanctions. Les bons chefs régnaient plus longtemps alors que ceux défaillants se faisaient vite détrôner pour préserver l’intérêt général. Sur le plan des considérations socio-culturelles, les représentations liées au pouvoir pourraient élucider l’énigme. Ainsi, analysant le rapport au pouvoir dans certaines sociétés Bantoues, l’on identifie, par exemple, le paradigme de « l’homme fort » où le chef est un conquérant qui doit être craint :

« Un chef faible était renversé et la chefferie changeait de main et/ou de lignée. La pratique de coups d’État n’était donc pas absente. Le pouvoir s’arrachait aux différents prétendants. La légitimité d’un chef était fonction de sa capacité à tenir son royaume d’une main de fer. Sa crainte était fonction de sa force de frappe »

Kakdeu (2020).

Une autre réalité de l’Afrique traditionnelle est celles des lignées destinées à la gouvernance. Sur la base de ce modèle féodal, certaines communautés et par ricochet certains chefs d’États se disent destinés au pouvoir et peinent à accepter l’alternance.

Indépendamment de ces représentations, des pratiques sociopolitiques comme les détournements de deniers publics, l’impunité et autres scandales dans la sphère politique ont présenté les responsabilités étatiques comme « un gâteau à partager ». Les postes électifs ou nominatifs sont généralement perçus comme une situation de rente menant à l’enrichissement illicite. Dès lors, des biais entachent les processus électoraux et débouchent sur des crises voire des conflits. Ce sont : les découpages électoraux arbitraires, les commissions électorales dites indépendantes sujettes à caution, la modification opportuniste des lois fondamentales, l’État civil et le problème des pièces d’identités, les cartes d’électeurs distribuées arbitrairement, le bourrage des urnes, la mauvaise répartition des bureaux de vote ou leur création fictive, le refus d’accréditer des observateurs étrangers, etc. Et que dire des discours à fort ancrage identitaire et qui riment avec ethnie, liens de parenté ou toute autre considération socioculturelle ? Oserions-nous enfin aborder la question sensible du système néocolonial dans lequel l’indépendance réelle et la souveraineté des ex-colonies font débat ?

Malgré tout, l’Afrique post conférences nationales (1990) a expérimenté une vague de transitions démocratiques avec le retour au multipartisme et au principe des élections libres et transparentes. Elle a ainsi replacé la question du vote au centre de la politique africaine. Dans certains cas, encore rares malheureusement, les partis au pouvoir perdent des élections. L’alternance est recherchée et les résultats sont acceptés même s’ils sont défavorables aux sortants comme on a pu le constater au Bénin, au Congo, à Madagascar, au Nigeria, et au Sénégal. Les décisions du juge électoral sont respectées comme au  Mali où la Cour Suprême a annulé l’ensemble des élections législatives de 1997. Ce sont là, autant d’événements qui attestent d’une évolution sensible dans les comportements politiques vis-à-vis de la pratique électorale, du droit et de son juge et d’une nouvelle vision du politique en Afrique. Malgré ces notes optimistes, les élections restent encore problématiques sur le continent africain.

Aussi, dans un souci d’amélioration constante et de valorisation de la recherche sur l’ensemble de l’espace CAMES , le Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC) « ambitionne en général, dans ses sept (7) orientations stratégiques, et en particulier dans les actions suivantes : mettre en place un système d’information pour les programmes, améliorer la gouvernance des programmes ; soutenir et valoriser la formation ; promouvoir le développement des écoles et formations doctorales dans l’espace ; accroitre l’impact de la recherche ». Dans ce cadre, le programme thématique de recherche (PTR) Langues, Sociétés, Cultures et Civilisations (LSCC) lance le projet : « Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique ».

Il s’agit pour les universitaires de mener des recherches approfondies autour des dix axes identifiés.

3/ Axes et responsables

  • Axe 1 : Les dynamiques électorales en Afrique post conférences nationales (Essohanam Batchana, essobatchana@gmail.com,  Université de Lomé, Togo)
  • Axe 2 : Autour du pouvoir : questionner l’Afrique traditionnelle (Alain Sissao, alainsis@gmail.com,  INSS/CNRST, Burkina Faso)
  • Axe 3 : Démocratie, Médias et systèmes de gouvernance (André Tassou, tassou_andre@yahoo.frtassouandre@gmail.com, Université Yaoundé 1, Cameroun)
  • Axe 4 : Évaluation des mécanismes régionaux de gestion et de prévention des crises (Jean François Owaye, jfow2012@gmail.com,  UOB, Gabon)
  • Axe 5 : Éthique et élections (Marcel N’guimbi, nguimarc@gmail.com,  Université Marien N’Gouabi, Congo Brazza)
  • Axe 6 : Rhétorique des élections (Nanourougo Coulibaly,  coulyna@yahoo.fr,  UFHB, Côte d’Ivoire)
  • Axe 7 : La problématique du genre dans les processus électoraux (Yvette Onibon Doubogan, yvette.onibon@gmail.com, Université de Parakou, Bénin,)
  • Axe 8 : Identités (ethnique, culturelle, religieuse) et enjeux électoraux (Patrice Correa, patrice.correa@ugb.edu.sn, UGB, St Louis,  Sénégal)
  • Axe 9 : Gouvernance de la paix et de la sécurité dans un contexte de vulnérabilités lié au terrorisme  (Boubacar Diallo,  londiori@hotmail.com, UAM, Niamey, Niger)
  • Axe 10 : Les problématiques de la souveraineté des états et des processus d’intégration régionale (Hervé Kombieni, hervekombieni@yahoo.fr, UAC, Bénin)

Les enseignants-chercheurs et chercheurs intéressés par les problématiques identifiées pourront entrer en contact, par voie de mail, avec les responsables d’axes ou le responsable de la communication (Docteur Antoine Fobah KACOU : kakoufoba@outlook.fr).


Biographie

  • BONIFACE P. & VEDRINE H., 2009, Atlas des crises et conflits, Paris : Armand Colin & Fayard
  • CEDEAO, 2012, Les Systèmes de conflits en Afrique de l’Ouest : le cas de la bande sahélo – saharienne,
  • DARRACQ Vincent & Magnani Victor, 2011, ‘’Les Elections en Afrique un mirage démocratique’’, in Politique Étrangère, Cairn.info, pages 839-850,
  • EWANGUI Céphas Germain, 2013, Démocratie et élections en Afrique, Paris : L’Harmattan
  • OSTROM Elinor, 1990, Governing the commons: The evolution of institutions for collective actions, Cambridge actions, Cambridge University Press
  • QUANTIN Patrick et al, 2004, Voter en Afrique : comparaisons et différenciations, Paris : L’Harmattan.
  • SAKPANE-GBATI Biléou, 2011, « La démocratie à l’africaine », Revue Éthique publique, vol. 13, n° 2, Dialogues pour réinventer la démocratie, https://doi.org/10.4000/ethiquepublique.679
  • SIEGLE J & COOK Candace, 2020, Evaluation des élections de 2020 en Afrique, Centre d’Études Stratégiques de l’Afrique.

5 days ago

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27 avril 1960 - 27 avril 2024. 64 ans ! Bonne fête de l'indépendance à la République Togolaise 🇹🇬, membre fondateur du #cames. #HappyIndependanceDay 🇹🇬 ... See MoreSee Less
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𝐋𝐞 𝐏𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐑𝐞́𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐂𝐞𝐧𝐭𝐫𝐚𝐟𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞, 𝐏𝐫 𝐅𝐚𝐮𝐬𝐭𝐢𝐧 𝐀𝐫𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐓𝐎𝐔𝐀𝐃𝐄́𝐑𝐀, 𝐚 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐫𝐝𝐞́ 𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐮𝐝𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐝𝐞́𝐥𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 #𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒Le Professeur Faustin Archange TOUADÉRA, Président de la République Centrafricaine, Chef de l’État et Grand-Croix de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES, a accordé, en fin d’après-midi du 25 avril 2024, une audience à l’équipe dirigeante du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), conduite par son Secrétaire Général, le Professeur Souleymane KONATÉ.Accompagnée du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Professeur Jean-Laurent SYSSA-MAGALÉ, et du Recteur de l’Université de Bangui, le Professeur Gérard GREZENGUET, la délégation a présenté la gratitude de la communauté académique des 19 pays membres du CAMES au Président Faustin Archange TOUADÉRA, tout en recueillant ses conseils et orientations.𝐋𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐮𝐢𝐭𝐞 : www.lecames.org/le-president-de-la-republique-centrafricaine-pr-faustin-archange-touadera-a-accor...#enseignementsuperieur #recherche #Centrafrique #lecamesquenousvoulons© Source/images : La Renaissance ... See MoreSee Less
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7 days ago

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Appel à candidatures pour le recrutement d’un (e) chargé (e) de communication du #CAMES Le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) porte à l’attention des États membres l’avis de recrutement d’un (e) chargé (e) de communication, à compter du 25 avril 2024, conformément au statut en vigueur de l’institution.𝗣𝗲́𝗿𝗶𝗼𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲 : du 25 avril au 25 juin 2024www.lecames.org/appel-a-candidature/ ... See MoreSee Less
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Un moment de collaboration et de co- construction scientifique de haut niveau ! Le séminaire régional organisé par l'AUF, en collaboration avec Le CAMES, sur la 𝑮𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒏𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒂 𝑺𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒖𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒓𝒆𝒄𝒉𝒆𝒓𝒄𝒉𝒆 a réuni des Directeurs généraux de la Recherche et de l’Innovation et des Recteurs et Vice-recteurs pour échanger et construire une approche commune de la gouvernance et de la structuration de la recherche basée sur le partage d’expérience.🤝Au total le séminaire a réuni une trentaine de participants en présentiel et une quarantaine en ligne venant du Bénin🇧🇯, Burkina Faso🇧🇫, Cabo Verde🇨🇻, Côte d’Ivoire🇨🇮, Gambie🇬🇲, Guinée🇬🇳, Mali, Niger🇳🇪, Togo🇹🇬 et le Sénégal🇸🇳 qui a accueilli cette première édition. 📜A l’issue du séminaire, une feuille de route régionale pour la gouvernance de la recherche et de l’innovation a été approuvée par l’ensemble des participants. Parmi les mesures phares recommandées, la création d’un réseau des Directeurs généraux de la recherche-innovation.💡Deux journées riches en échanges de bonnes pratiques, en transfert de compétences, en idées stimulantes et en engagement envers l'excellence académique francophone. Elles témoignent de la dynamique de la Francophonie scientifique en matière de gouvernance et structuration de la recherche. 📅 Prochain rendez-vous à ne pas manquer : L’Université d’été de la Francophonie scientifique de l’AIFS - Académie internationale de la Francophonie scientifique, à Rabat, fin 2024 !#GouvernanceUniversitaire #UDEF #FrancophonieScientifique ... See MoreSee Less
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𝐀𝐯𝐢𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐝’𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐦𝐚𝐧𝐢𝐟𝐞𝐬𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐞̂𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 (𝐑𝐞𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞)L’avis à manifestation d’intérêt lancé par la Délégation au Contrôle et à l’Éthique dans l’Enseignement supérieur (DCE) en décembre 2023 pour le recrutement d’universités/structures de recherche étrangères de bonne réputation et d’enseignants/chercheurs de grande notoriété pour un appui au contrôle de la qualité des enseignements et activités de recherche ainsi que l’évaluation des enseignants et chercheurs du supérieur au Bénin est relancé du 𝟏𝟏 𝐚𝐯𝐫𝐢𝐥 𝐚𝐮 𝟏𝟒 𝐣𝐮𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟒 𝐚̀ 𝟏𝟔𝐡 𝐚𝐮 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐭𝐚𝐫𝐝. Il est porté à la connaissance des universités ainsi que des enseignants et chercheurs désireux de candidater que les dossiers doivent être exclusivement déposés sur la plateforme gouvernementale à l’adresse : dce.presidence.bj/ami-relance.Aucun dossier ne peut être directement adressé à la DCE par courriel.Les dossiers de candidature sont téléchargeables à la même adresse : dce.presidence.bj/ami-relance. ... See MoreSee Less
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2 weeks ago

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📢[Appel à manifestation d’intérêt 2024] : Atelier Publication scientifique – Université d’été de la Francophonie – 𝐉𝐞 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞 𝐦𝐨𝐧 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐥𝐞 !📢Doctorants, à vos manuscrits ! Vous avez une recherche passionnante et originale à partager, mais vous ne savez pas par où commencer pour la publier ? Rejoignez nos ateliers de formation à la publication scientifique.➕Plus d'informations ici : l.auf.org/AMI-aifs-mg💡𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 ? Pour tenter de faire partie des lauréats qui participeront au dispositif mondial de l’Université d’été de la Francophonie de l’@Académie internationale de la Francophonie scientifique, à Rabat (Maroc), fin 2024.📌𝐐𝐮𝐨𝐢 ? Ateliers interactifs et pratiques pour vous aider à mener votre recherche, rédiger votre article et le valoriser avec succès.📆𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 ? En Phase 1, l’atelier « Publication scientifique » sera dispensé du 27 au 28 mai 2024. Il se déroulera à Antananarivo, Madagascar. En Phase 2, pour les deux lauréat.e.s de l’AUF Afrique australe et Océan Indien, il est à noter que l’Université d’été de la Francophonie se déroulera à Rabat (Maroc), fin 2024 et que les frais de transport et de séjour seront pris en charge. 🧑‍🏫𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐪𝐮𝐢 ? Pour les #Doctorants de Madagascar 🔗𝐈𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐯𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 dès maintenant pour rejoindre la première cohorte qui représentera l’excellence de la publication francophone : l.auf.org/AMI-aifs-mg Agence Universitaire de la Francophonie#AIFS #AUF #AUFECO #doctorant #publicationscientifique #publicationfrancophone #francophones #PublicationsFrancophones #UDEF ... See MoreSee Less
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[📢 𝗚𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗦𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲]L'AUF - Afrique de l'Ouest, en partenariat avec Le CAMES, organise un séminaire régional à Dakar les 18 et 19 avril 2024 sur le thème de la « Gouvernance et structuration de la Recherche » en Afrique de l’Ouest. 👥 Participants : Les Directeurs Généraux de la Recherche de 1️⃣0️⃣ pays d’Afrique de l’Ouest ainsi que des responsables d’établissements universitaires de la sous-région.🎯 Objectifs :✔ Réfléchir sur l’organisation de la recherche scientifique en Afrique de l'Ouest✔ Échanger sur la vision de la Recherche et de l’Innovation, son rôle dans le développement durable et inclusif, ainsi que sur les moyens de créer un environnement propice au transfert de technologie et à l’innovation.Pour en savoir + 👉 l.auf.org/seminaireCette initiative s’inscrit dans le cadre du dispositif international mis en place par l' AIFS - Académie internationale de la Francophonie scientifique pour soutenir la gouvernance et la structuration de la recherche à l'échelle mondiale. ... See MoreSee Less
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Les Présidents des Comités Techniques Spécialisés ont tenu leur réunion statutaireLa réunion statutaire des Présidents des Comités Techniques Spécialisés (CTS) du CAMES s’est tenue les 12 et 13 avril 2024 à Ouagadougou (Burkina Faso). Cette rencontre, placée sous la conduite du Pr Ahmadou Aly MBAYE, Président du Comité Consultatif Général (CCG), et la supervision du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, s’inscrivait dans le cadre de la préparation de la 46e session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI).www.lecames.org/les-presidents-des-comites-techniques-specialises-ont-tenu-leur-reunion-statutaire/ ... See MoreSee Less
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Des émissaires de la Délégation au Contrôle et à l’Éthique dans l’Enseignement supérieur du Bénin reçus par le SG du CAMESLe 04 avril 2024, le Pr Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES, a reçu en audience des représentants de la Délégation au Contrôle et à l’Éthique dans l’Enseignement supérieur (DCE) du Bénin. La délégation était composée du Dr (MC) Cyrille GOUGBEDJI, Délégué Général Adjoint au Contrôle et à l’Éthique, et du Dr (MC) Rose Edwige FIAMOHE, Déléguée au Contrôle et à l’Éthique. Les échanges se sont déroulés en présence des Professeurs Ali DOUMMA et Saturnin ENZONGA YOCA, Directeurs de Programmes du CAMES, de M. Assalih JAGHFAR, Chargé de communication, ainsi que de M. Guillaume NIKIEMA, informaticien au CAMES.www.lecames.org/des-emissaires-de-la-delegation-au-controle-et-a-lethique-dans-lenseignement-supe... ... See MoreSee Less
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