Appel à contributions pour Ouvrage collectif : Théorie générale de la gouvernance politique

Le Programme thématique de recherche (PTR) Gouvernance et Développement (PTRC-GD) lance un Appel à contribution pour un ouvrage collectif sur le thème :  » Théorie générale de la gouvernance politique « 

1/ Argumentaire

Dans un souci d’amélioration constante et de valorisation innovante de la recherche, le Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC) « ambitionne en général, dans ses sept (7) orientations stratégiques, et en particulier dans les actions suivantes : mettre en place un système d’information pour les programmes, améliorer la gouvernance des programmes ; soutenir et valoriser la formation ; promouvoir le développement des écoles et formations doctorales dans l’espace ; accroitre l’impact de la recherche »

En application d’une des recommandations de la dernière Assemblée des membres des Programmes Thématiques de Recherche du CAMES (PTRC), le Secrétaire Général du CAMES a pris un Arrêté portant nomination des membres des Bureaux des PTRC et de leurs points focaux nationaux, conformément aux différents consensus dégagés dans chacun des PTRC, lors des 4ème Journées Scientifiques du CAMES (JSDC-4), tenues à Ouidah, au Bénin en décembre 2019. Cet acte devenait nécessaire pour donner de la légitimité aux différents animateurs des PTRC tant au niveau national qu’international. En effet le concept de PTRC ne tient que dès lors qu’il existe bien une coordination,  dans un domaine donné de la recherche,  à la fois au plan national et international.

C’est en cela que se trouve la pertinence et la spécificité de la recherche menée dans le cadre des PTRC et, par voie de conséquence, de la qualité des résultats attendus. Dans ce contexte, le PTRC-GD lance le projet d’un ouvrage collectif sur la théorie générale de la gouvernance, sous la forme d’outils d’aide à la décision.

Toute organisation humaine est portée, de manière consciente ou inconsciente, par une forme de gouvernance. Il est désormais de notoriété médiatique que partout dans le monde, les organisations humaines, qu’elles soient privées, publiques ou civiques, prennent elles-mêmes la barre pour se gouverner. La valorisation du concept de gouvernance ces dernières années est sans doute liée à la prise en compte du pouvoir politique dans l’analyse économique d’une part, et du lien entre l’État, la société civile et le marché d’autre part.

Avant d’être un ensemble de connaissances systématisées en vue de la gestion d’un domaine quelconque de l’existence humaine, la gouvernance est essentiellement le rassemblement mesuré des éléments qui, se tenant chacun en son lieu propre, permettent la cohésion de l’ensemble, dans un mouvement harmonieux. Elle est le site de l’innovation sociétale et du dynamisme de développement humain, car elle est structurée autour des pratiques interdépendantes et des représentations des acteurs impliqués dans le processus de prise de décision, et de l’action des divers niveaux de pouvoir.

Gouverner, du point de vue étymologique, est synonyme de naviguer. Il s’agit de conduire les mécanismes, les processus, les relations et les institutions au moyen desquels les groupes humains articulent leurs intérêts, exercent leurs droits et assument leurs obligations. En ce sens, la gouvernance, en quelque domaine que ce soit, implique toujours le cheminement guidé d’une société, selon au moins trois dimensions de l’existence, à savoir la dimension identitaire, la dimension matérielle et la dimension organisationnelle.

Du point de vue identitaire, toute société assume une dénomination et une histoire, occupe un territoire délimité, territoire qu’il porte sous forme de représentation mentale ou de conscience d’appartenance à un lieu. C’est par cette représentation mentale que le groupe humain s’approprie son lieu d’existence et fait valoir son identité au regard des autres.

Du point de vue matériel, la gouvernance d’une société prend en compte l’épanouissement dans l’espace et le temps, de sorte que la mesure (en termes de qualité et de quantité) d’une gouvernance s’effectue avec des indices spatiotemporels.  

 Du point de vue de l’organisation, la gouvernance comporte des traditions et des institutions par lesquelles l’autorité est exercée au niveau politique, économique, administrative, et le cadre réglementaire, dans la gestion des affaires d’un groupe humain.

La théorie générale de la gouvernance à exposer dans cet ouvrage a un objectif englobant, celui de la recherche fondamentale. Il s’agit d’analyser et d’interpréter, de manière scientifique et normative, les principes qui permettent aux êtres humains de conduire leurs activités individuelles, politiques, économiques, sociales et culturelles dans le monde en général, et en Afrique en particulier. Si le monde s’entend comme l’ensemble constitué par les activités humaines et les biens consommables d’une part, les représentations mentales (images-souhaits) qui conditionnent et orientent les groupes humains d’autre part, habiter le monde appelle sa gestion et sa transformation.

La notion de théorie générale se justifie par le fait que nous posons la gouvernance comme un phénomène humain, en vue de le décrire, de l’expliquer, de le comprendre, d’évaluer et de prédire le devenir des sociétés humaines, selon trois moments, considérés comme des lois à partir desquelles la théorie est déduite. Il s’agit de la loi du fondement, de la loi de l’évaluation et de la loi systémique.

La loi du fondement de la gouvernance générale poursuit trois objectifs :

  1. Établir les normes éthiques de l’action de gouverner ou de diriger politiquement une société ou l’éthique de la gouvernance politique. Une telle éthique normative fonde l’art de gouverner, c’est-à-dire l’ensemble des habiletés politiques et administratives, ainsi que des pratiques juridiques et coutumières qui permettent de faire fonctionner l’État, ses organes et ses institutions, et tout autre type de société ;
  2. Formuler une éthique de la constitution à partir de laquelle le régime politique trouve sa nature propre, les gouvernants tirent leur légitimité, et l’interprétation que ces gouvernants font du texte fondateur dans leur pratique de tous les jours.
  3. Proposer une métaphysique de la division des pouvoirs aux différents organes de l’État qui assurent la direction du pays, c’est-à-dire les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires tous ensemble.

La loi de l’évaluation de la gouvernance vise à :

Examiner la distribution des droits, des obligations et des pouvoirs qui soutiennent les organisations humaines ; étudier des modes de coordination qui sous-tendent les diverses activités d’une organisation et qui en assurent la cohérence ; explorer des sources de dysfonctionnement organisationnel ou d’inadaptation à l’environnement qui aboutissent à une performance limitée; établir des points de référence, la création d’outils et le partage de connaissances, afin d’aider les organisations à se renouveler lorsque leur système de gouvernance accuse des lacunes ; proposer le calcul de l’indice de la gouvernance générale (IGG) sur la base de l’indice de la moralité des gouvernants (IMG) et de l’indice de la gouvernance nationale (IGN).

La loi systémique de la gouvernance générale vise à :

Établir le principe de gouvernement par la base, à travers lequel le système gouverné commande le système gouvernant, en un gouvernement populaire ou direct. Une telle loi a pour objet d’insérer un gouvernementalisme au sein du parlementarisme. En effet, l’histoire des idées politiques enseigne que le rapport entre un citoyen et son gouvernement est basé sur une relation de nature contractuelle entre un mandant et son mandataire, de sorte que là où le mandataire a été dûment et démocratiquement élu, le citoyen ne devrait pas être fondé à contester son gouvernement tant que celui-ci opèrerait dans la légitimité et la légalité.

 Nous introduisons le concept de gouvernement populaire, qui consiste à fonder le pouvoir exécutif à partir du peuple. Cela implique la prise en compte des éléments suivants dans les textes fondamentaux : la doctrine et l’institution ; les niveaux ou espaces d’application ; les acteurs impliqués ou les parties prenantes ; la dimension historique et culturelle du groupe humain ou du pays.

Les résultats de l’analyse du concept de gouvernance dans cet ouvrage sont articulés aux donnés du développement humain. La notion de développement ne prend un sens que par rapport à des jugements de valeur qu’il est préférable d’expliquer, car elle implique une comparaison : le développement n’apparaît comme tel que dans une opposition ou un jeu de contraste avec le sous-développement, qui serait son niveau inférieur. Il y aurait ainsi un niveau inférieur, sous le développement, caractérisé par une insuffisance sociétale globale de bien-être. Mais quel serait le critère de l’accession au développement ? Est-il possible d’envisager, au niveau purement théorique, un état de société développé ? 

En son essence propre, le développement doit conduire à la question de l’avenir et du devenir des sociétés humaines, en tant que réalité plurielle qui intègre tous les aspects de l’être au monde, avec le souci d’éliminer la pauvreté, et permettre la prospérité de tous les pays du monde. Pour échapper à la tentation de compenser le réalisme politique par un idéalisme moral, il s’agit de penser la gouvernance politique autrement, en indiquant la trace du désintéressement de soi qui clignote toujours et déjà dans l’économie historiquement ambiguë des négociations politique.

2/ Axes de réflexion

  1. Approche philosophique et éthique de la gouvernance politique
  2. Approche territoriale et sociale de la gouvernance politique
  3. Approche économique et financière de la gouvernance politique
  4. La gouvernance des Universités à l’épreuve du COVID-19.

3/ Modalités de soumission

Les propositions d’articles seront envoyées sous la forme complète, avec un résumé d’environ 400 mots en Français et en Anglais, accompagné d’une présentation de(s) (l’) auteur(e)(s) (statuts, institution de rattachement, thèmes de recherche, adresse électronique), au Manager Gouvernance Politique : claver.boundja@umng.cg ; avec copie au Coordonnateur du PTRC-GD : bahhenri@yahoo.fr .

Les articles, en plus d’être rédigés selon les normes du CAMES en Lettres et Sciences Humaines, doivent avoir la structure suivante :

  1. Introduction
  2. Méthode
  3. Résultats
  4. Discussion
  5. Conclusion
  6. Références bibliographiques

4/ Calendrier

  • Ouverture de l’appel à contributions : 7 février 2020
  • Date limite de réception des propositions : 31 juillet 2020
  • Notification aux auteurs : 8 août 2020
  • Publication : 0ctobre 2020, Collection Études Africaines, Série Politique,   l’Harmattan-France.

5/ Frais de participation

Sont à déterminer après la publication, selon la facture de l’Harmattan (plus ou moins 30 000 Fcfa, qui donnent droit à  un exemplaire de la version papier et électronique de l’ouvrage).

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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗧𝗰𝗵𝗮𝗱 𝗮𝗰𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗹’𝗲𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 : 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝘀𝘁 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝗲La 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES (CCI CAMES) est officiellement lancée ce lundi 7 juillet 2025, à N’Djaména au Tchad. La cérémonie solennelle d’ouverture a été présidée par Son Excellence l’Ambassadeur ALLAH-MAYE HALINA, Premier ministre, Chef du Gouvernement de la République du Tchad, représentant Son Excellence le Maréchal MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État, Haut Patron de l’évènement. Étaient présents à cette cérémonie, outre d’éminentes personnalités nationales et internationales, le Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation professionnelle du Tchad, Dr Tom ERDIMI; le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ ; le Président du Comité Consultatif Général du CAMES, Pr Félicien AVLESSI ; le Président du Comité local d’organisation de ces CCI, Dr (MC) MAHAMAT SALEH DAOUSSA HAGGAR ; et le Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES, Pr Habibou ABARCHI. Cette cérémonie s’est également déroulée en présence des membres des Comités Techniques Spécialisés du CAMES, des membres du Comité Technique de Vérification des Revues du CAMES, des membres du Secrétariat général du CAMES, ainsi que de plusieurs membres du Gouvernement du Tchad, des autorités diplomatiques, administratives, coutumières, religieuses et académiques, et d’un grand nombre d’Enseignants-chercheurs, de Chercheurs et d’étudiants tchadiens.Dans son allocution de bienvenue, le 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮, 𝗗𝗿 (𝗠𝗖) 𝗠𝗔𝗛𝗔𝗠𝗔𝗧 𝗦𝗔𝗟𝗘𝗛 𝗗𝗔𝗢𝗨𝗦𝗦𝗔 𝗛𝗔𝗚𝗚𝗔𝗥, en sa qualité de Président du Comité local d’organisation, a souhaité une chaleureuse bienvenue à l’ensemble des participants. «Vous avez quitté chez vous pour venir chez vous. Soyez en profondément rassurés », a-t-il affirmé. Il a tenu à saluer tout particulièrement le leadership éclairé et la détermination exemplaire du Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES. « Cher Professeur, votre nom est désormais associé à la revitalisation méthodique, ambitieuse et résolue du CAMES. Il a enfin adressé ses salutations distinguées au Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des CCI, qu’il a qualifié de véritable cheville ouvrière de ces assises.Au nom des membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES et de l’ensemble des Responsables des Institutions d’Enseignement supérieur et des Centres de Recherche, le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗙𝗲́𝗹𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗔𝗩𝗟𝗘𝗦𝗦𝗜, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗖𝗚, a exhortés à faire preuve des valeurs qui les caractérisent: « une objectivité à toute épreuve, une rigueur méthodique, une transparence absolue, et un strict respect des règles et des dispositions énoncées dans les documents de référence, que sont le Code d’Éthique et de Déontologie et le Guide d’Évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs 2024-2028». Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a, pour sa part, souligné avec force que la reprise en présentiel des Comités Consultatifs Interafricains, après une interruption depuis 2019, constitue bien plus qu’un simple retour au format habituel: « il s’agit d’une véritable renaissance du Programme, qui trouve une signification toute particulière à N’Djaména, terre de Toumaï, où fut signé, en 1976, l’accord initial instituant ce Programme phare du CAMES ».𝗟𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁, 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲, 𝗗𝗿 𝗧𝗼𝗺 𝗘𝗥𝗗𝗜𝗠𝗜, dans son discours de circonstance, a dès l’entame de son propos reconnu la place prépondérante du CAMES. « S’il est une organisation scientifique régionale qui suscite aujourd’hui l’admiration des savants du monde entier, transcende les frontières, rassemble les intelligences, dépasse les différences et rapproche les peuples, c’est bien le CAMES », a-t-il ainsi affirmé.L’allocution d’ouverture officielle de cette 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains, a été prononcée par le 𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲, 𝗖𝗵𝗲𝗳 𝗱𝘂 𝗚𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗧𝗰𝗵𝗮𝗱, 𝗦𝗼𝗻 𝗘𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗹’𝗔𝗺𝗯𝗮𝘀𝘀𝗮𝗱𝗲𝘂𝗿 𝗔𝗟𝗟𝗔𝗛-𝗠𝗔𝗬𝗘 𝗛𝗔𝗟𝗜𝗡𝗔. Il a rappelé d’entrée de jeu, l’intérêt de Son Excellence, le Maréchal MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État, pour la cause de l’Enseignement supérieur africain, qu’il considère comme la pierre angulaire du développement socio-économique durable du continent. Il a réaffirmé le soutien indéfectible du Gouvernement de la République du Tchad à l’Enseignement supérieur, avant d’ouvrir officiellement les travaux de la 47èmesession des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES.www.lecames.org/le-tchad-accueille-lexcellence-scientifique-la-47eme-session-des-comites-consulta... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été honoré, le 5 juillet 2025, de la visite de courtoisie du Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation professionnelle de la République du Tchad, Dr Tom ERDIMI. Présent au pays de Toumaï, dans le cadre de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES, qui se tiennent du 7 au 16 juillet 2025, Pr Souleymane KONATÉ a pu s’entretenir avec son Ministre de tutelle sur différents sujets.D’entrée de jeu, le 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, a tenu à présenter ses civilités au Ministre d’État avant de présenter une partie de l’équipe qui l’accompagne dont le 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀, 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗜𝗣𝗔/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗠𝗔, et le 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗔𝗳𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗔𝗱𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗙𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝘀, 𝗠. 𝗜𝘀𝘀𝗼𝘂𝗳𝗼𝘂 𝗦𝗢𝗨𝗟𝗔𝗠𝗔. Il a par ailleurs remercié chaleureusement le Ministre d’État pour l’accueil de cette 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES sur le sol tchadien. Dans son propos, le Secrétaire Général a tenu à rappeler que cette session marque le retour en présentiel des CCI, ce qui réjouit toute la communauté académique et scientifique. Il a également exprimé toute sa gratitude aux autorités tchadiennes tout en saluant la présence de Son Excellence le Premier ministre à la cérémonie d’ouverture qu’il présidera. Il a émis le souhait que la pleine réussite soit au rendez vous de cette grande messe scientifique qui contribuera à faire briller l’image du pays qui l’accueille avec chaleur.𝗗𝗿 𝗧𝗼𝗺 𝗘𝗥𝗗𝗜𝗠𝗜, accompagné du 𝗗𝗿 (𝗠𝗖) 𝗠𝗔𝗛𝗔𝗠𝗔𝗧 𝗦𝗔𝗟𝗘𝗛 𝗗𝗔𝗢𝗨𝗦𝗦𝗔 𝗛𝗔𝗚𝗚𝗔𝗥, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗹𝗼𝗰𝗮𝗹 𝗱’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜, s’est dit satisfait de voir ce Programme créé à N’Djaména être organisé sur le sol tchadien, 49 ans plus tard. Il a rappelé que le CAMES a bonne presse au Tchad, vu son ancienneté en tant qu’organisation internationale. « Vous êtes chez vous à N’Djaména dans tous les domaines », a-t-il assuré, rappelant toute la disponibilité et la mobilisation des hautes autorités du pays, de son Ministère et du Premier ministère pour tout besoin tout le long du séjour.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-ministre-detat-en-charge-de-lenseignement-superieur-de-la... ... See MoreSee Less
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𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝗹𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛 𝗲𝘁 𝗦𝗡𝗔 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝘀N’Djaména, la capitale tchadienne, accueille la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, du 7 au 16 juillet 2025 à l’hôtel de l’Amitié. A cet effet, le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA CAMES, Pr Ali DOUMMA, a procédé au lancement des travaux du 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 (𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛), 𝗹𝗲 𝟮 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱 et ceux du 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗡𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗔𝗴𝗿𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲 (𝗖𝗧𝗦 𝗦𝗡𝗔), 𝗹𝗲 𝟰 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱.Ce démarrage anticipé des travaux de ces CTS se justifie par le grand nombre de dossiers de candidature enregistrés au niveau de ces deux CTS, avec notamment 𝟲𝟳𝟰 𝗱𝗼𝘀𝘀𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛 𝗲𝘁 𝟱𝟭𝟲 𝗱𝗼𝘀𝘀𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗧𝗦 𝗦𝗡𝗔.Les cérémonies de lancement des travaux de ces deux CTS se sont articulées autour du mot de bienvenue et d’orientation du Directeur des Programmes, d’un rappel des modalités pratiques d’utilisation de la plateforme numérique et d’informations diverses. Ainsi, dans son propos, le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, Pr Ali DOUMMA, après avoir souhaité la chaleureuse bienvenue aux Experts venus des pays de l’espace CAMES, a salué le retour en présentiel de cet important Programme du CAMES. Il a remercié les Experts présents, pour leur engagement constant à préserver la crédibilité de notre Institution commune à travers des évaluations objectives, impartiales et transparentes. Il a également salué les nombreux services qu’ils rendent à la communauté universitaire et scientifique de l’espace CAMES.Cette séance s’est poursuivie avec le rappel de l’utilisation de la plateforme numérique par l’informaticien du CAMES, M. Guillaume NIKIEMA. www.lecames.org/47eme-session-des-comites-consultatifs-interafricains-du-cames-les-travaux-des-ct... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗔𝘀𝘀𝗶𝘀𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗘𝗺𝗽𝗹𝗼𝘆𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗹’𝗘𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝘂𝗱𝗶𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗴𝗼Les « Assises sur l’Employabilité et l’Entrepreneuriat des Étudiants en République du Congo » se sont tenues les 30 juin et 1er juillet 2025, au Palais des Congrès de Brazzaville (Congo). Ces assises ont été organisées par le Ministère de l’Enseignement supérieur sous le haut patronage du Premier ministre, Chef du Gouvernement, M. Anatole Collinet MAKOSSO. Cet événement a réuni des décideurs politiques, des représentants des missions diplomatiques, des Partenaires Techniques et Financiers, des Responsables académiques, des acteurs du monde économique, des acteurs de la société civile ainsi que de nombreux étudiants. La Ministre de l’Enseignement supérieur, Professeure Delphine Édith EMMANUEL née ADOUKI, a assuré la coordination des travaux et veillé à la bonne conduite des échanges tout au long de ces assises.Parmi les moments forts de ces assises figurait la table ronde sur le thème « 𝘈𝘤𝘤𝘰𝘳𝘥𝘴 𝘦𝘵 𝘌𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘊𝘰𝘯𝘤𝘳𝘦𝘵𝘴 », organisée le 1er juillet 2025. Celle-ci a constitué un espace stratégique dédié à la formalisation des engagements Institutionnels et partenariaux.Parmi les moments forts de ces assises figurait la table ronde sur le thème « Accords et Engagements Concrets », organisée le 1er juillet 2025. Celle-ci a constitué un espace stratégique dédié à la formalisation des engagements Institutionnels et partenariaux.𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝗰𝗲𝘀 𝗮𝘀𝘀𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗦𝗮𝘁𝘂𝗿𝗻𝗶𝗻 𝗘𝗡𝗭𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗬𝗢𝗖𝗔, 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́. Il est intervenu notamment lors de la cérémonie d’ouverture pour délivrer le message de soutien du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, ainsi qu’au panel de discussion sur « 𝘓’𝘦𝘮𝘱𝘭𝘰𝘺𝘢𝘣𝘪𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦𝘴 𝘦́𝘵𝘶𝘥𝘪𝘢𝘯𝘵𝘴 : 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘔𝘺𝘵𝘩𝘦 𝘦𝘵 𝘙𝘦́𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́ », en qualité d’expert.www.lecames.org/le-cames-participe-aux-assises-sur-lemployabilite-et-lentrepreneuriat-des-etudian... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗦𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗲 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗖𝗲𝗻𝘁𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲 (𝟮𝟬𝟮𝟱–𝟮𝟬𝟮𝟵) : 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗿𝗲́𝗻𝗼𝘃𝗲́𝗲 𝗮𝘂 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗱𝗲́𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲La communauté scientifique et universitaire de la République Centrafricaine s’est réunie à Bangui pour l’atelier de 𝘃𝗮𝗹𝗶𝗱𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗹𝗮𝗻 𝗦𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗡𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 (𝗣𝗦𝗡𝗥𝗦𝗜𝗧) 𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗼𝗱𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱-𝟮𝟬𝟮𝟵, organisé sous l’égide du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique. Ce document constitue la première déclinaison opérationnelle de la Politique Nationale de Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique (PNRSIT), validée en septembre 2024. Il est le fruit d’une dynamique multisectorielle, inclusive, et s’aligne sur les principaux référentiels stratégiques tels que les Agendas 2030 des Nations Unies, Agenda 2063 et le STISA 2034 de l’Union Africaine, le PND 2024–2028 ainsi que les prospectives RCA 2050.www.lecames.org/strategie-nationale-de-recherche-en-republique-centrafricaine-2025-2029-vers-une-... ... See MoreSee Less
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