Le Secrétaire Général du CAMES a présenté dans le cadre du lancement de l’école doctorale de l’Université internationale de Libreville (UIL), le Code d’éthique et de déontologie du CAMES, qu’il considère comme la soupape de sécurité garantissant la qualité de la formation, de l’apprentissage, de la recherche, de l’innovation ou de toutes autres activités dans les secteurs de l’enseignement supérieur, de la recherche et l’innovation.

Figurant parmi les 7 panélistes retenus dans le cadre du lancement de l’École doctorale de l’Université internationale de Libreville, le Secrétaire Général du CAMES a présenté le Code d’éthique et de déontologie du CAMES (CED). Pour le Secrétaire Général, le CED constitue le premier référentiel qualité au CAMES. Il doit inspirer toutes les composantes des institutions d’enseignement supérieur et de recherche (IESR) ainsi que leurs tutelles.
Le Secrétaire Général du CAMES invite alors, les IESR et leurs tutelles à se doter de cette boussole, à défaut d’en créer, pour se bâtir et bâtir sur du roc et non sur du sable, comme le disent en substance les Saintes Écritures, s’agissant de la construction d’un édifice.
À la suite du Secrétaire Général, les intervenants ont plaidé pour que l’UIL tire profit des acquis d’expériences des autres, en s’arrimant au numérique pédagogique, en s’adossant sur les bonnes pratiques de qualité, de gouvernance, de management afin de permettre à ses diplômés d’intégrer plus facilement le tissu social à la sortie de l’institution.