Appel à contributions pour Ouvrage collectif : Théorie générale de la gouvernance politique

Le Programme thématique de recherche (PTR) Gouvernance et Développement (PTRC-GD) lance un Appel à contribution pour un ouvrage collectif sur le thème :  » Théorie générale de la gouvernance politique « 

1/ Argumentaire

Dans un souci d’amélioration constante et de valorisation innovante de la recherche, le Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC) « ambitionne en général, dans ses sept (7) orientations stratégiques, et en particulier dans les actions suivantes : mettre en place un système d’information pour les programmes, améliorer la gouvernance des programmes ; soutenir et valoriser la formation ; promouvoir le développement des écoles et formations doctorales dans l’espace ; accroitre l’impact de la recherche »

En application d’une des recommandations de la dernière Assemblée des membres des Programmes Thématiques de Recherche du CAMES (PTRC), le Secrétaire Général du CAMES a pris un Arrêté portant nomination des membres des Bureaux des PTRC et de leurs points focaux nationaux, conformément aux différents consensus dégagés dans chacun des PTRC, lors des 4ème Journées Scientifiques du CAMES (JSDC-4), tenues à Ouidah, au Bénin en décembre 2019. Cet acte devenait nécessaire pour donner de la légitimité aux différents animateurs des PTRC tant au niveau national qu’international. En effet le concept de PTRC ne tient que dès lors qu’il existe bien une coordination,  dans un domaine donné de la recherche,  à la fois au plan national et international.

C’est en cela que se trouve la pertinence et la spécificité de la recherche menée dans le cadre des PTRC et, par voie de conséquence, de la qualité des résultats attendus. Dans ce contexte, le PTRC-GD lance le projet d’un ouvrage collectif sur la théorie générale de la gouvernance, sous la forme d’outils d’aide à la décision.

Toute organisation humaine est portée, de manière consciente ou inconsciente, par une forme de gouvernance. Il est désormais de notoriété médiatique que partout dans le monde, les organisations humaines, qu’elles soient privées, publiques ou civiques, prennent elles-mêmes la barre pour se gouverner. La valorisation du concept de gouvernance ces dernières années est sans doute liée à la prise en compte du pouvoir politique dans l’analyse économique d’une part, et du lien entre l’État, la société civile et le marché d’autre part.

Avant d’être un ensemble de connaissances systématisées en vue de la gestion d’un domaine quelconque de l’existence humaine, la gouvernance est essentiellement le rassemblement mesuré des éléments qui, se tenant chacun en son lieu propre, permettent la cohésion de l’ensemble, dans un mouvement harmonieux. Elle est le site de l’innovation sociétale et du dynamisme de développement humain, car elle est structurée autour des pratiques interdépendantes et des représentations des acteurs impliqués dans le processus de prise de décision, et de l’action des divers niveaux de pouvoir.

Gouverner, du point de vue étymologique, est synonyme de naviguer. Il s’agit de conduire les mécanismes, les processus, les relations et les institutions au moyen desquels les groupes humains articulent leurs intérêts, exercent leurs droits et assument leurs obligations. En ce sens, la gouvernance, en quelque domaine que ce soit, implique toujours le cheminement guidé d’une société, selon au moins trois dimensions de l’existence, à savoir la dimension identitaire, la dimension matérielle et la dimension organisationnelle.

Du point de vue identitaire, toute société assume une dénomination et une histoire, occupe un territoire délimité, territoire qu’il porte sous forme de représentation mentale ou de conscience d’appartenance à un lieu. C’est par cette représentation mentale que le groupe humain s’approprie son lieu d’existence et fait valoir son identité au regard des autres.

Du point de vue matériel, la gouvernance d’une société prend en compte l’épanouissement dans l’espace et le temps, de sorte que la mesure (en termes de qualité et de quantité) d’une gouvernance s’effectue avec des indices spatiotemporels.  

 Du point de vue de l’organisation, la gouvernance comporte des traditions et des institutions par lesquelles l’autorité est exercée au niveau politique, économique, administrative, et le cadre réglementaire, dans la gestion des affaires d’un groupe humain.

La théorie générale de la gouvernance à exposer dans cet ouvrage a un objectif englobant, celui de la recherche fondamentale. Il s’agit d’analyser et d’interpréter, de manière scientifique et normative, les principes qui permettent aux êtres humains de conduire leurs activités individuelles, politiques, économiques, sociales et culturelles dans le monde en général, et en Afrique en particulier. Si le monde s’entend comme l’ensemble constitué par les activités humaines et les biens consommables d’une part, les représentations mentales (images-souhaits) qui conditionnent et orientent les groupes humains d’autre part, habiter le monde appelle sa gestion et sa transformation.

La notion de théorie générale se justifie par le fait que nous posons la gouvernance comme un phénomène humain, en vue de le décrire, de l’expliquer, de le comprendre, d’évaluer et de prédire le devenir des sociétés humaines, selon trois moments, considérés comme des lois à partir desquelles la théorie est déduite. Il s’agit de la loi du fondement, de la loi de l’évaluation et de la loi systémique.

La loi du fondement de la gouvernance générale poursuit trois objectifs :

  1. Établir les normes éthiques de l’action de gouverner ou de diriger politiquement une société ou l’éthique de la gouvernance politique. Une telle éthique normative fonde l’art de gouverner, c’est-à-dire l’ensemble des habiletés politiques et administratives, ainsi que des pratiques juridiques et coutumières qui permettent de faire fonctionner l’État, ses organes et ses institutions, et tout autre type de société ;
  2. Formuler une éthique de la constitution à partir de laquelle le régime politique trouve sa nature propre, les gouvernants tirent leur légitimité, et l’interprétation que ces gouvernants font du texte fondateur dans leur pratique de tous les jours.
  3. Proposer une métaphysique de la division des pouvoirs aux différents organes de l’État qui assurent la direction du pays, c’est-à-dire les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires tous ensemble.

La loi de l’évaluation de la gouvernance vise à :

Examiner la distribution des droits, des obligations et des pouvoirs qui soutiennent les organisations humaines ; étudier des modes de coordination qui sous-tendent les diverses activités d’une organisation et qui en assurent la cohérence ; explorer des sources de dysfonctionnement organisationnel ou d’inadaptation à l’environnement qui aboutissent à une performance limitée; établir des points de référence, la création d’outils et le partage de connaissances, afin d’aider les organisations à se renouveler lorsque leur système de gouvernance accuse des lacunes ; proposer le calcul de l’indice de la gouvernance générale (IGG) sur la base de l’indice de la moralité des gouvernants (IMG) et de l’indice de la gouvernance nationale (IGN).

La loi systémique de la gouvernance générale vise à :

Établir le principe de gouvernement par la base, à travers lequel le système gouverné commande le système gouvernant, en un gouvernement populaire ou direct. Une telle loi a pour objet d’insérer un gouvernementalisme au sein du parlementarisme. En effet, l’histoire des idées politiques enseigne que le rapport entre un citoyen et son gouvernement est basé sur une relation de nature contractuelle entre un mandant et son mandataire, de sorte que là où le mandataire a été dûment et démocratiquement élu, le citoyen ne devrait pas être fondé à contester son gouvernement tant que celui-ci opèrerait dans la légitimité et la légalité.

 Nous introduisons le concept de gouvernement populaire, qui consiste à fonder le pouvoir exécutif à partir du peuple. Cela implique la prise en compte des éléments suivants dans les textes fondamentaux : la doctrine et l’institution ; les niveaux ou espaces d’application ; les acteurs impliqués ou les parties prenantes ; la dimension historique et culturelle du groupe humain ou du pays.

Les résultats de l’analyse du concept de gouvernance dans cet ouvrage sont articulés aux donnés du développement humain. La notion de développement ne prend un sens que par rapport à des jugements de valeur qu’il est préférable d’expliquer, car elle implique une comparaison : le développement n’apparaît comme tel que dans une opposition ou un jeu de contraste avec le sous-développement, qui serait son niveau inférieur. Il y aurait ainsi un niveau inférieur, sous le développement, caractérisé par une insuffisance sociétale globale de bien-être. Mais quel serait le critère de l’accession au développement ? Est-il possible d’envisager, au niveau purement théorique, un état de société développé ? 

En son essence propre, le développement doit conduire à la question de l’avenir et du devenir des sociétés humaines, en tant que réalité plurielle qui intègre tous les aspects de l’être au monde, avec le souci d’éliminer la pauvreté, et permettre la prospérité de tous les pays du monde. Pour échapper à la tentation de compenser le réalisme politique par un idéalisme moral, il s’agit de penser la gouvernance politique autrement, en indiquant la trace du désintéressement de soi qui clignote toujours et déjà dans l’économie historiquement ambiguë des négociations politique.

2/ Axes de réflexion

  1. Approche philosophique et éthique de la gouvernance politique
  2. Approche territoriale et sociale de la gouvernance politique
  3. Approche économique et financière de la gouvernance politique
  4. La gouvernance des Universités à l’épreuve du COVID-19.

3/ Modalités de soumission

Les propositions d’articles seront envoyées sous la forme complète, avec un résumé d’environ 400 mots en Français et en Anglais, accompagné d’une présentation de(s) (l’) auteur(e)(s) (statuts, institution de rattachement, thèmes de recherche, adresse électronique), au Manager Gouvernance Politique : claver.boundja@umng.cg ; avec copie au Coordonnateur du PTRC-GD : bahhenri@yahoo.fr .

Les articles, en plus d’être rédigés selon les normes du CAMES en Lettres et Sciences Humaines, doivent avoir la structure suivante :

  1. Introduction
  2. Méthode
  3. Résultats
  4. Discussion
  5. Conclusion
  6. Références bibliographiques

4/ Calendrier

  • Ouverture de l’appel à contributions : 7 février 2020
  • Date limite de réception des propositions : 31 juillet 2020
  • Notification aux auteurs : 8 août 2020
  • Publication : 0ctobre 2020, Collection Études Africaines, Série Politique,   l’Harmattan-France.

5/ Frais de participation

Sont à déterminer après la publication, selon la facture de l’Harmattan (plus ou moins 30 000 Fcfa, qui donnent droit à  un exemplaire de la version papier et électronique de l’ouvrage).

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Le CAMES
𝗖𝗹𝗼̂𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗘́𝗾𝘂𝗶𝘃𝗮𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗗𝗶𝗽𝗹𝗼̂𝗺𝗲𝘀 (𝗣𝗥𝗘𝗗/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦)La 40ème session du Programme Reconnaissance et Équivalence des Diplômes (PRED) du CAMES s’est tenue en ligne, du 24 au 28 novembre 2025. Les travaux ont réuni les membres des trois Commissions d’accréditation autour de l’analyse de 203 programmes de formation, soumis par 49 Institutions d’Enseignement supérieur et de Recherche issues de neuf (9) pays de l’espace CAMES (Burkina Faso, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Mali, Niger, Sénégal, Tchad, Togo) et de la France. Le vendredi 28 novembre 2025 a abrité la clôture de cette session sous la présidence du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ.Cette cérémonie de clôture a réuni les membres du directoire du CAMES, le Président Coordonnateur général des Commissions, les Présidents des Commissions d’accréditation, les membres des Commissions d’accréditation et les membres du Secrétariat général du CAMES, en visioconférence. Elle s’est articulée autour de la lecture du rapport général de la session et des recommandations des travaux, ainsi que de l’allocution de clôture du Secrétaire Général du CAMES.Ainsi, le Président Coordonnateur général des Commissions, Professeur Amadou BOUREIMA, par ailleurs Président de la Commission II « Lettres, Sciences Humaines et Grandes Écoles », a présenté à l’assistance les détails des travaux qui se sont tenus en Commissions et en plénières, le long de cette semaine d’analyse et de réflexion. Pour chaque Commission, le Président Coordonnateur général a signifié les nombres des dossiers analysés, les avis favorables et défavorables émis par ces Commissions en s’appuyant sur les référentiels et les rapports des évaluations externes (évaluation des dossiers par les experts disciplinaires et visites sur site des panels d’experts). À l’issue des travaux de toutes les Commissions, sur les 𝟮𝟬𝟯 programmes de formations soumis, 𝟭𝟴𝟲 ont été approuvés par les experts réunis, soit un taux d’approbation global de 𝟵𝟭,𝟲𝟯%.Ce taux a été jugé satisfaisant par le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, qui dans son allocution de clôture, est revenu sur le travail abattu par les membres des Commissions. Il a par ailleurs réaffirmé l’engagement du CAMES à soutenir l’amélioration continue des systèmes d’Enseignement supérieur et de Recherche, notamment à travers la mise en œuvre des deux premiers axes de son Plan Stratégique de Développement 2024-2028.Cette cérémonie a également été l’occasion de présenter des recommandations émises par les différentes Commissions à l’issue des travaux, et précédemment présentées au Secrétaire Général du CAMES lors de la réunion bilan organisée avec les Présidents de Commissions, le 27 novembre 2025.En rappel, 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻, présentés lors de cette cérémonie, 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝘃𝗶𝘀𝗼𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝘀𝘂𝘀𝗰𝗲𝗽𝘁𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 jusqu’à leur transmission au Comité Consultatif Général (CCG), pour la vérification du respect des procédures. Ils seront, par la suite, soumis au Conseil des Ministres du CAMES, instance décisionnelle, qui procédera à leur annexion à la Convention de Lomé de 1972. Dès lors, les programmes de formation accrédités seront reconnus dans tout l’espace CAMES.𝗦𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗥𝗘𝗗/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Les résultats sont répartis selon les catégories suivantes :- par type d’offre- par type de demande- par niveau d’étude- par Commission et par payswww.lecames.org/cloture-de-la-40eme-session-du-programme-reconnaissance-et-equivalence-des-diplom... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀-𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗖𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗝𝗼𝘀𝗲𝗽𝗵 𝗞𝗜-𝗭𝗘𝗥𝗕𝗢 𝗼𝘂𝘁𝗶𝗹𝗹𝗲́𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝗲 𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝗮𝘁𝗲𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜-𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La journée du 𝟮𝟳 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 a revêtu un caractère particulier au sein de l’Université Joseph KI-ZERBO de Ouagadougou. Les Enseignants-chercheurs et Chercheurs de cette Institution, candidats à la prochaine session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, étaient réunis dans le cadre d’une séance de formation pour une meilleure appropriation du montage des dossiers de candidature et une prise en main de la plateforme d’inscription aux CCI-CAMES. Cette séance de formation a été animée 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜, 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗠𝗔 𝗲𝘁 𝗠. 𝗚𝘂𝗶𝗹𝗹𝗮𝘂𝗺𝗲 𝗡𝗜𝗞𝗜𝗘𝗠𝗔, 𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.L’ouverture de cette séance de formation a été présidée par Mme Emilienne OUATTARA, Vice-présidente chargée de la professionnalisation et des relations Université – Entreprise et modérée par Mme Christelle NADEMBEGA, Directrice des Relations Internationales et de la promotion des Enseignants. Cette ouverture sommaire a été articulée autour du mot d’ouverture de la Vice-présidente et du mot du Directeur des Programmes du CAMES.Ainsi, Mme OUATTARA, après avoir souhaité la bienvenue au Directeur des Programmes, au nom du Président de l’Université, a salué sa grande disponibilité. Elle a tenu à exprimer toute la gratitude de la communauté universitaire à l’endroit du Directeur des Programmes pour cet engagement pour le succès des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Elle a clos ses propos en exhortant les participants à une pleine concentration dans l’objectif final de réitérer le taux de 100%, habituellement enregistré par l’Institution.Le Directeur des Programmes, Pr Ali DOUMMA, prenant la parole à sa suite, a souligné l’intérêt du CAMES à accompagner les Institutions pour la promotion de carrière des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Il a relevé que ces formations entrent dans la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024-2028, dans lequel le renforcement des capacités tant des Commissions Institutionnelles Locales, que des candidats, tient une place importante. Il a donc réaffirmé la disponibilité du CAMES à toute Institution qui manifesterait le besoin d’organiser ce type de formations. Il a enfin annoncé le programme de cette séance de formation articulée autour de deux grandes parties : les éléments constitutifs du dossier de candidature pour les Comités Consultatifs Interafricains ainsi que l’évaluation en tant que tel, et la prise en main pratique de la plateforme E-CAMES d’inscription à ces CCI.www.lecames.org/les-enseignants-chercheurs-et-chercheurs-de-luniversite-joseph-ki-zerbo-outilles-... ... See MoreSee Less
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𝗥𝗲́𝘁𝗿𝗼𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 : 𝗳𝗼𝗰𝘂𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀Dans le cadre de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), trente-sept (37) membres du Jury, éminents experts dans leurs différentes spécialités, ont conduit les évaluations des aptitudes pédagogiques, scientifiques et académiques des candidats des six Sections, aux fonctions d’Enseignants du supérieur. Ils ont mis leur expertise au service de ce processus, le long des trois épreuves du Concours : la première épreuve organisée à distance du 18 au 28 octobre 2025, les deuxième et troisième épreuves organisées en présentiel à Dakar, du 10 au 21 novembre 2025.Nous vous invitons à les découvrir à travers les albums des Sections. et les interviews accordées à la rédaction du Lundi CAMES. Ces interviews ont été l’occasion pour ces membres de Jury de partager leurs avis sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur, les qualités attendues des candidats et des conseils pour les candidats et futurs candidats.Bonne découverte !www.lecames.org/retrospective-sur-le-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg-focus-sur-les-membres-d... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗥𝗲𝘃𝘂𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗠𝗮𝘁𝗶𝗲̀𝗿𝗲 (𝗦𝗦𝗠) 𝗱𝗲́𝘀𝗼𝗿𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗶𝗻𝗱𝗲𝘅𝗲́𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗦𝗖𝗢𝗣𝗨𝗦Après son indexation par International Scientific Indexing (𝗜𝗦𝗜), la 𝙎𝙚́𝙧𝙞𝙚 𝙎𝙘𝙞𝙚𝙣𝙘𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙎𝙩𝙧𝙪𝙘𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙈𝙖𝙩𝙞𝙚̀𝙧𝙚 (𝙎𝙎𝙈) 𝙙𝙚𝙨 𝙍𝙚𝙫𝙪𝙚 𝙍𝘼𝙈𝙍𝙚𝙎 de la Conférence des Recteurs des Universités Francophone d’Afrique et de l’Océan Indien (CRUFAOCI), vient d’être intégrée à la base de données 𝗦𝗖𝗢𝗣𝗨𝗦.Cette reconnaissance marque une étape majeure : Sciences des Structures et de la Matière dépasse désormais le cadre régional et acquiert une véritable visibilité internationale. La revue enregistre déjà des soumissions en provenance de pays tels que l’Inde, l’Azerbaïdjan et le Kirghizistan, témoignant de l’intérêt croissant qu’elle suscite au sein de la communauté scientifique mondiale.𝗤𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗲𝘀 :- Journal : Sciences des Structures et de la Matière- URL : publication.lecames.org/index.php/mat- ISSN : 2630-1180 (Electronic)- DOI-Prefix : 10.70974/mat2630- Abstracting : Google Scholar; CrossRef- Indexing : International Scientific Indexing (www.isindexing.com/isi/); Scopus (www.scopus.com/sourceid/21101321974?origin=resultslist)- Frequency : At least 2 Issues /Year (Continuous publication)- Language : English; French.- Authors guidelines: publication.lecames.org/index.php/mat/about/submissions#authorGuidelines Editor-in-Chief: David BOA (E-mail: boadavid.sfa@univ-na.ci / boadavidfr@yahoo.fr; WhatsApp number: +225 01 51 06 49 42).www.lecames.org/la-revue-sciences-des-structures-et-de-la-matiere-ssm-desormais-indexee-dans-scopus/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Au total, 215 candidats, tous Maîtres-Assistants du CAMES, ont pris part à la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), tenue en bimodale. À l’issue des trois épreuves d’évaluation menées par un Jury international composé de 𝟯𝟳 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀, 𝟴𝟲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘀 — 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝟳𝟰 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝟭𝟮 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 —, ont été inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de Maître de Conférences Agrégé du CAMES, dans leurs spécialités respectives. Le 𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟰𝟬%, se révèle supérieur à celui enregistré lors de la 21ème session (32,21%), confirmant une progression notable des performances globales. Ce taux est ainsi le deuxième de l’histoire du Concours, après celui obtenu lors de la 19ème Session du Concours en 2019 à Ouagadougou, qui était de 41,22%.𝗗𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲𝘇 𝗰𝗶-𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀.. par genre ; . par Section ;. par Université ;. par Pays.www.lecames.org/les-resultats-definitifs-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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𝗗𝗿 (𝗠𝗖𝗔) 𝗖𝗵𝗲𝗶𝗸𝗵 𝗠𝗯𝗮𝗰𝗸𝗲́ 𝗗𝗜𝗢𝗣, 𝘀𝗮𝗰𝗿𝗲́ 𝗹𝗮𝘂𝗿𝗲́𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗖𝗼𝗿𝗶𝘀 𝗕𝗮𝗻𝗸 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹Dr (MCA) Cheikh Mbacké DIOP, Enseignant-chercheur à l’Université Alioune Diop de Bambey (UADB), au Sénégal, par ailleurs 𝗺𝗮𝗷𝗼𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻, est le lauréat du Prix Coris Bank International du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion.Cette distinction honorifique a été proclamée à l’occasion de la cérémonie de clôture du Concours d’Agrégation des SJPEG, qui s’est déroulée le vendredi 21 novembre 2025, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le lauréat a reçu son chèque géant de deux millions de Francs CFA et son attestation, des mains du Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle et technique du Sénégal, M. Amadou Moustapha Ndieck SARRE et du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ.Le « Prix Coris Bank International pour la Promotion de l’Excellence et de la Responsabilité sociale », récompense le meilleur lauréat du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG). Cette distinction est accordée à l’issue d’un processus de sélection rigoureux fondé sur l’examen approfondi des dossiers des majors des différentes Sections de Jury. Ce processus s’appuie sur des critères précis mettant en valeur l’excellence scientifique des candidats, notamment à travers la qualité de leurs travaux de Recherche et les distinctions reçues, leurs diplômes complémentaires en sus des exigences du CAMES, ou encore leurs productions de didacticiels et/ou d’ouvrages.Dr (MCA) Cheikh Mbacké DIOP est Enseignant-chercheur à l’Unité de Formation et de Recherche (UFR) Économie, Management et Ingénierie Juridique (ECOMIJ) de l’UADB, où il occupe actuellement les fonctions de Directeur Adjoint.www.lecames.org/dr-mca-cheikh-mbacke-diop-sacre-laureat-de-la-7eme-edition-du-prix-coris-bank-int... ... See MoreSee Less
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𝗗𝗲𝘀 𝗱𝗶𝘀𝘁𝗶𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗵𝗼𝗻𝗼𝗿𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗜𝗣𝗔/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝟭𝟬 𝗿𝗲́𝗰𝗶𝗽𝗶𝗲𝗻𝗱𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗮𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹Une cérémonie solennelle de réception dans l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES (OIPA/CAMES) a été organisée, en marge de la cérémonie de clôture de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES, tenue le 21 novembre 2025, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.𝗗𝗶𝘅 (𝟭𝟬) 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀-𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗖𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗧𝗼𝗴𝗼, ont ainsi été décorés aux Grades de Chevaliers et d’Officiers de l’Ordre International des Palmes Académiques (OIPA/CAMES). Ils ont reçu leurs distinctions honorifiques des mains du Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES et Grand Chancelier de l’OIPA/CAMES. Ces décorations leur sont décernées en reconnaissance de leur contribution à l’essor de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche dans leurs pays respectifs et au sein de l’espace CAMES.𝗚𝗿𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗖𝗛𝗘𝗩𝗔𝗟𝗜𝗘𝗥1. DIASSE Aminata, Professeur Titulaire de Classe Exceptionnelle de Chimie, Directrice de l’Institut Supérieur Professionnel (ISEP) de Matam, Sénégal.2. BADJI Mamadou, Professeur Titulaire de Classe Exceptionnelle d’Histoire du Droit, Recteur de l’Université Assane Seck de Ziguinchor, Sénégal.3. SAGNA Olivier Antoine, Enseignant Chercheur de Sciences de l’Information et de la Communication, Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), Directeur des Études et de la Coopération au MESRI, Sénégal.4. TOURE épouse KANE Ndèye Coumba, Professeur Titulaire des Universités de Classe Exceptionnelle de Bactériologie-Virologie Pharmaceutique, Recteur de l’Université Sine Saloum Elhadj Ibrahima Niass (USSEIN), Sénégal.5. FAYE Roger Marcelin, Professeur Titulaire d’Automatique et Informatique Industrielle, Vice-Recteur à la Recherche, à l’Innovation et au Partenariat, Université Amadou Mahtar MBOW, Sénégal.6. AGBODJI Akoété Ega, Professeur Titulaire en Sciences Économiques, Doyen de la Faculté Sciences Économiques et de Gestion de l’Université de Lomé, Togo.7. NIANG épouse DIENE Aminata, Professeur Titulaire de Géographie humaine, Directrice du Laboratoire Dynamiques Territoriales et Santé, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Sénégal.𝗚𝗿𝗮𝗱𝗲 𝗱’𝗢𝗙𝗙𝗜𝗖𝗜𝗘𝗥1. BA Cheikh Tidiane, Professeur Titulaire de Biologie et écologie animales à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Sénégal.2. DIAW Adama, Professeur Titulaire de Sciences Économiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis, Sénégal.3. KA Mamadou Mourtalla, Professeur Titulaire de Médecine interne, Médecin Colonel des armées, Sénégal.www.lecames.org/des-distinctions-honorifiques-de-loipa-cames-pour-10-recipiendaires-au-senegal-2/flic.kr/s/aHBqjCC7RD ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝗦𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗘́𝗾𝘂𝗶𝘃𝗮𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗗𝗶𝗽𝗹𝗼̂𝗺𝗲𝘀La 40ème Session du Programme Reconnaissance et Équivalence des Diplômes (PRED) a été officiellement lancée, en ligne, ce 𝟮𝟰 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱. La cérémonie d’ouverture s’est déroulée sous la présidence du Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, représentant le Secrétaire Général du CAMES. Etaient également présents, les Présidents et membres des trois Commissions spécialisées de la session d’accréditation, ainsi que des membres du Secrétariat général du CAMES.Cette cérémonie d’ouverture s’est articulée autour du mot d’ouverture du Professeur Souleymane KONATÉ, prononcé par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, de la lecture de quelques articles du Code d’ Éthique et de Déontologie du CAMES et d’une photo de famille virtuelle. Ainsi, après avoir souhaité la chaleureuse bienvenue à l’ensemble des participants, leur exprimant par la même occasion, la gratitude de l’Institution pour leur disponibilité et leur engagement au service du CAMES, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA a délivré le message du Secrétaire Général à l’assistance. Au nom du Secrétaire Général, il a donc rappelé le rôle essentiel du PRED, premier Programme statutaire de l’Institution, créé en 𝟭𝟵𝟳𝟮. En effet, le PRED est dédié à l’accréditation des formations dans l’espace CAMES et dans les pays tiers qui en formulent la demande. Ce Programme a connu, au fil du temps, une évolution notable, portée par les dynamiques internes et les besoins externes. Il a ainsi souligné l’importance de l’intégration de la dimension de l’Assurance Qualité au sein du PRED, en synergie avec les structures nationales des États membres. Le message d’orientation a exhorté les membres des Commissions à examiner chaque dossier conformément aux référentiels du PRED, en s’appuyant sur les rapports d’évaluation externe. Il a rappelé l’importance du respect du Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES, insistant sur la nécessité de décisions motivées et assorties de recommandations pertinentes.Au total, 203 Programmes de formation — dont 104 renouvellements et 99 nouvelles demandes —, issus de 49 établissements répartis dans dix pays (Burkina Faso, Congo, Côte d’Ivoire, France, Gabon, Mali, Niger, Sénégal, Tchad et Togo), seront examinés par les trois Commissions spécialisées : « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission I), « 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission II) et « 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission III).www.lecames.org/lancement-en-ligne-de-la-40eme-session-du-programme-reconnaissance-et-equivalence... ... See MoreSee Less
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