Appel à contributions pour Ouvrage collectif : Théorie générale de la gouvernance politique

Le Programme thématique de recherche (PTR) Gouvernance et Développement (PTRC-GD) lance un Appel à contribution pour un ouvrage collectif sur le thème :  » Théorie générale de la gouvernance politique « 

1/ Argumentaire

Dans un souci d’amélioration constante et de valorisation innovante de la recherche, le Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC) « ambitionne en général, dans ses sept (7) orientations stratégiques, et en particulier dans les actions suivantes : mettre en place un système d’information pour les programmes, améliorer la gouvernance des programmes ; soutenir et valoriser la formation ; promouvoir le développement des écoles et formations doctorales dans l’espace ; accroitre l’impact de la recherche »

En application d’une des recommandations de la dernière Assemblée des membres des Programmes Thématiques de Recherche du CAMES (PTRC), le Secrétaire Général du CAMES a pris un Arrêté portant nomination des membres des Bureaux des PTRC et de leurs points focaux nationaux, conformément aux différents consensus dégagés dans chacun des PTRC, lors des 4ème Journées Scientifiques du CAMES (JSDC-4), tenues à Ouidah, au Bénin en décembre 2019. Cet acte devenait nécessaire pour donner de la légitimité aux différents animateurs des PTRC tant au niveau national qu’international. En effet le concept de PTRC ne tient que dès lors qu’il existe bien une coordination,  dans un domaine donné de la recherche,  à la fois au plan national et international.

C’est en cela que se trouve la pertinence et la spécificité de la recherche menée dans le cadre des PTRC et, par voie de conséquence, de la qualité des résultats attendus. Dans ce contexte, le PTRC-GD lance le projet d’un ouvrage collectif sur la théorie générale de la gouvernance, sous la forme d’outils d’aide à la décision.

Toute organisation humaine est portée, de manière consciente ou inconsciente, par une forme de gouvernance. Il est désormais de notoriété médiatique que partout dans le monde, les organisations humaines, qu’elles soient privées, publiques ou civiques, prennent elles-mêmes la barre pour se gouverner. La valorisation du concept de gouvernance ces dernières années est sans doute liée à la prise en compte du pouvoir politique dans l’analyse économique d’une part, et du lien entre l’État, la société civile et le marché d’autre part.

Avant d’être un ensemble de connaissances systématisées en vue de la gestion d’un domaine quelconque de l’existence humaine, la gouvernance est essentiellement le rassemblement mesuré des éléments qui, se tenant chacun en son lieu propre, permettent la cohésion de l’ensemble, dans un mouvement harmonieux. Elle est le site de l’innovation sociétale et du dynamisme de développement humain, car elle est structurée autour des pratiques interdépendantes et des représentations des acteurs impliqués dans le processus de prise de décision, et de l’action des divers niveaux de pouvoir.

Gouverner, du point de vue étymologique, est synonyme de naviguer. Il s’agit de conduire les mécanismes, les processus, les relations et les institutions au moyen desquels les groupes humains articulent leurs intérêts, exercent leurs droits et assument leurs obligations. En ce sens, la gouvernance, en quelque domaine que ce soit, implique toujours le cheminement guidé d’une société, selon au moins trois dimensions de l’existence, à savoir la dimension identitaire, la dimension matérielle et la dimension organisationnelle.

Du point de vue identitaire, toute société assume une dénomination et une histoire, occupe un territoire délimité, territoire qu’il porte sous forme de représentation mentale ou de conscience d’appartenance à un lieu. C’est par cette représentation mentale que le groupe humain s’approprie son lieu d’existence et fait valoir son identité au regard des autres.

Du point de vue matériel, la gouvernance d’une société prend en compte l’épanouissement dans l’espace et le temps, de sorte que la mesure (en termes de qualité et de quantité) d’une gouvernance s’effectue avec des indices spatiotemporels.  

 Du point de vue de l’organisation, la gouvernance comporte des traditions et des institutions par lesquelles l’autorité est exercée au niveau politique, économique, administrative, et le cadre réglementaire, dans la gestion des affaires d’un groupe humain.

La théorie générale de la gouvernance à exposer dans cet ouvrage a un objectif englobant, celui de la recherche fondamentale. Il s’agit d’analyser et d’interpréter, de manière scientifique et normative, les principes qui permettent aux êtres humains de conduire leurs activités individuelles, politiques, économiques, sociales et culturelles dans le monde en général, et en Afrique en particulier. Si le monde s’entend comme l’ensemble constitué par les activités humaines et les biens consommables d’une part, les représentations mentales (images-souhaits) qui conditionnent et orientent les groupes humains d’autre part, habiter le monde appelle sa gestion et sa transformation.

La notion de théorie générale se justifie par le fait que nous posons la gouvernance comme un phénomène humain, en vue de le décrire, de l’expliquer, de le comprendre, d’évaluer et de prédire le devenir des sociétés humaines, selon trois moments, considérés comme des lois à partir desquelles la théorie est déduite. Il s’agit de la loi du fondement, de la loi de l’évaluation et de la loi systémique.

La loi du fondement de la gouvernance générale poursuit trois objectifs :

  1. Établir les normes éthiques de l’action de gouverner ou de diriger politiquement une société ou l’éthique de la gouvernance politique. Une telle éthique normative fonde l’art de gouverner, c’est-à-dire l’ensemble des habiletés politiques et administratives, ainsi que des pratiques juridiques et coutumières qui permettent de faire fonctionner l’État, ses organes et ses institutions, et tout autre type de société ;
  2. Formuler une éthique de la constitution à partir de laquelle le régime politique trouve sa nature propre, les gouvernants tirent leur légitimité, et l’interprétation que ces gouvernants font du texte fondateur dans leur pratique de tous les jours.
  3. Proposer une métaphysique de la division des pouvoirs aux différents organes de l’État qui assurent la direction du pays, c’est-à-dire les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires tous ensemble.

La loi de l’évaluation de la gouvernance vise à :

Examiner la distribution des droits, des obligations et des pouvoirs qui soutiennent les organisations humaines ; étudier des modes de coordination qui sous-tendent les diverses activités d’une organisation et qui en assurent la cohérence ; explorer des sources de dysfonctionnement organisationnel ou d’inadaptation à l’environnement qui aboutissent à une performance limitée; établir des points de référence, la création d’outils et le partage de connaissances, afin d’aider les organisations à se renouveler lorsque leur système de gouvernance accuse des lacunes ; proposer le calcul de l’indice de la gouvernance générale (IGG) sur la base de l’indice de la moralité des gouvernants (IMG) et de l’indice de la gouvernance nationale (IGN).

La loi systémique de la gouvernance générale vise à :

Établir le principe de gouvernement par la base, à travers lequel le système gouverné commande le système gouvernant, en un gouvernement populaire ou direct. Une telle loi a pour objet d’insérer un gouvernementalisme au sein du parlementarisme. En effet, l’histoire des idées politiques enseigne que le rapport entre un citoyen et son gouvernement est basé sur une relation de nature contractuelle entre un mandant et son mandataire, de sorte que là où le mandataire a été dûment et démocratiquement élu, le citoyen ne devrait pas être fondé à contester son gouvernement tant que celui-ci opèrerait dans la légitimité et la légalité.

 Nous introduisons le concept de gouvernement populaire, qui consiste à fonder le pouvoir exécutif à partir du peuple. Cela implique la prise en compte des éléments suivants dans les textes fondamentaux : la doctrine et l’institution ; les niveaux ou espaces d’application ; les acteurs impliqués ou les parties prenantes ; la dimension historique et culturelle du groupe humain ou du pays.

Les résultats de l’analyse du concept de gouvernance dans cet ouvrage sont articulés aux donnés du développement humain. La notion de développement ne prend un sens que par rapport à des jugements de valeur qu’il est préférable d’expliquer, car elle implique une comparaison : le développement n’apparaît comme tel que dans une opposition ou un jeu de contraste avec le sous-développement, qui serait son niveau inférieur. Il y aurait ainsi un niveau inférieur, sous le développement, caractérisé par une insuffisance sociétale globale de bien-être. Mais quel serait le critère de l’accession au développement ? Est-il possible d’envisager, au niveau purement théorique, un état de société développé ? 

En son essence propre, le développement doit conduire à la question de l’avenir et du devenir des sociétés humaines, en tant que réalité plurielle qui intègre tous les aspects de l’être au monde, avec le souci d’éliminer la pauvreté, et permettre la prospérité de tous les pays du monde. Pour échapper à la tentation de compenser le réalisme politique par un idéalisme moral, il s’agit de penser la gouvernance politique autrement, en indiquant la trace du désintéressement de soi qui clignote toujours et déjà dans l’économie historiquement ambiguë des négociations politique.

2/ Axes de réflexion

  1. Approche philosophique et éthique de la gouvernance politique
  2. Approche territoriale et sociale de la gouvernance politique
  3. Approche économique et financière de la gouvernance politique
  4. La gouvernance des Universités à l’épreuve du COVID-19.

3/ Modalités de soumission

Les propositions d’articles seront envoyées sous la forme complète, avec un résumé d’environ 400 mots en Français et en Anglais, accompagné d’une présentation de(s) (l’) auteur(e)(s) (statuts, institution de rattachement, thèmes de recherche, adresse électronique), au Manager Gouvernance Politique : claver.boundja@umng.cg ; avec copie au Coordonnateur du PTRC-GD : bahhenri@yahoo.fr .

Les articles, en plus d’être rédigés selon les normes du CAMES en Lettres et Sciences Humaines, doivent avoir la structure suivante :

  1. Introduction
  2. Méthode
  3. Résultats
  4. Discussion
  5. Conclusion
  6. Références bibliographiques

4/ Calendrier

  • Ouverture de l’appel à contributions : 7 février 2020
  • Date limite de réception des propositions : 31 juillet 2020
  • Notification aux auteurs : 8 août 2020
  • Publication : 0ctobre 2020, Collection Études Africaines, Série Politique,   l’Harmattan-France.

5/ Frais de participation

Sont à déterminer après la publication, selon la facture de l’Harmattan (plus ou moins 30 000 Fcfa, qui donnent droit à  un exemplaire de la version papier et électronique de l’ouvrage).

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𝗣𝗹𝗲́𝗻𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 ... See MoreSee Less
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𝗣𝗹𝗲́𝗻𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 ... See MoreSee Less
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𝗣𝗹𝗲́𝗻𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 ... See MoreSee Less
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Les 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐨𝐫𝐢𝐚𝐥𝐞𝐬 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐝𝐞 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐉𝐨𝐬𝐞𝐩𝐡 𝐊𝐈-𝐙𝐄𝐑𝐁𝐎, se tiendront du 11 au 13 juin 2025 sous le thème: "𝑅𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑟𝑖𝑠𝑒: 𝐸𝑛𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑃𝑒𝑟𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠".Le 𝐒𝐞𝐜𝐫𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐆𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒, 𝐏𝐫 𝐒𝐨𝐮𝐥𝐞𝐲𝐦𝐚𝐧𝐞 𝐊𝐎𝐍𝐀𝐓𝐄́, prononcera à l'occasion de cet événement scientifique, la conférence inaugurale, le 11 juin 2025 sur le thème des Doctoriales.L'objectif général des Doctoriales 2025 est de renforcer les capacités des étudiants dans la conception et la rédaction de la thèse de doctorat.Cet événement scientifique verra la participation d'invités des Universités de Bamako, d'Antananarivo, d'Abdou Moumouni de Niamey et d'Abomey Calavi de Cotonou.Il est placé sous le patronage du Président de l'Université, 𝐏𝐫 𝐉𝐞𝐚𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐨𝐢𝐬 𝐒𝐢𝐥𝐚𝐬 𝐊𝐎𝐁𝐈𝐀𝐍𝐄 et le parrainage du Président de l'Académie Nationale des Sciences, des Arts et des Lettres du Burkina Faso, 𝐃𝐫 𝐏𝐚𝐜𝐨 𝐒𝐄𝐑𝐄𝐌𝐄. ... See MoreSee Less
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𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲𝗻𝗮 𝗮𝗰𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿𝗮 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 (𝗖𝗖𝗜) 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Du 7 au 16 juillet 2025, la ville de N’Djamena, au Tchad, accueillera les travaux de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES (#CCI_CAMES) . Cette session, marquant le retour au format présentiel des CCI, sera rythmée par les travaux des Comités Techniques Spécialisés (CTS), avec l’appui des Experts du Comité Technique de Vérification des Revues (CTVR) du CAMES. Une réunion ordinaire du Comité Consultatif Général (CCG) se tiendra également à cette occasion. Les Comités Consultatifs Interafricains du CAMES sont un cadre commun de gestion des carrières des Enseignants-chercheurs et Chercheurs des Universités et Centres de Recherche des États membres. Cet important Programme statutaire du CAMES est doté d’une Instance de veille, de supervision et de contrôle, le Comité Consultatif Général (CCG) et d’une Instance d’évaluation des aptitudes pédagogiques et/ou de Recherche des Enseignants-chercheurs et Chercheurs, les Comités Techniques Spécialisés (CTS).www.lecames.org/la-47eme-session-des-comites-consultatifs-interafricains-cci-du-cames-se-tiendra-... ... See MoreSee Less
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𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗝𝗼𝘀𝗲𝗽𝗵 𝗞𝗜-𝗭𝗘𝗥𝗕𝗢 (𝗨𝗝𝗞𝗭) 𝗲𝗻 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗮𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Secrétaire Général du CAMES a reçu, le 30 mai 2025, une délégation de l’Université Joseph KI-ZERBO (UJKZ), conduite par Pr Magloire SOMÉ, Président du comité scientifique des Doctoriales 2025 et membre de l’École Doctorale Lettres, Sciences humaines et Communication de ladite université. Cette délégation était composée, outre Pr SOMÉ, de Pr Balé BAYALA, Directeur de l’École Doctorale Sciences et Technologie, Pr Gabin KORBEOGO, Directeur de l’École Doctorale Lettres, Sciences Humaines et Communication, Pr Mahamadou DICKO, membre du comité scientifique, Pr Lamine ZERBO et Dre Valentine PALM, adjoints respectifs des deux Écoles Doctorales. Cette rencontre avec le Secrétaire Général du CAMES en présence des deux Directeurs des Programmes, Pr Ali DOUMMA et Pr Saturnin ENZONGA YOCA, 𝗮𝘃𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗼𝗯𝗷𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝟰𝗲̀𝗺𝗲 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗗𝗼𝗰𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗝𝗼𝘀𝗲𝗽𝗵 𝗞𝗜-𝗭𝗘𝗥𝗕𝗢 𝗲𝘁 𝗹’𝗶𝗻𝘃𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝘆 𝗽𝗿𝗼𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗶𝗻𝗮𝘂𝗴𝘂𝗿𝗮𝗹𝗲.Organisé par le collège d’Écoles Doctorales de l’UJKZ, cet événement scientifique se tiendra à Ouagadougou du 11 au 13 juin 2025, autour du thème « 𝘙𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘯 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴 𝘥𝘦 𝘤𝘳𝘪𝘴𝘦 : 𝘦𝘯𝘫𝘦𝘶𝘹 𝘦𝘵 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘪𝘷𝘦𝘴 ». Les Doctoriales rassembleront des doctorants, des Enseignants-chercheurs et Chercheurs autour d’échanges scientifiques et de partages d’expérience. www.lecames.org/visite-de-la-delegation-de-luniversite-joseph-ki-zerbo-ujkz/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗗𝗼𝘂𝗮𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲Le Secrétaire Général de l’Université de Douala au Cameroun, Professeur Henri Désiré MODI KOKO BEBEY, en mission à Ouagadougou, a été reçu en audience, le 30 mai 2025 par le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ. Cette rencontre s’est tenue en présence du Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des CCI, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA, et de M. Stéphane SOSSO, Assistant juridique du CAMES.Dépêché à Ouagadougou par le Recteur de l’Université de Douala, pour une mission de travail au CAMES, Pr Henri Désiré MODI KOKO BEBEY a profité de l’occasion, pour rencontrer le Secrétaire Général du CAMES entouré de ses collaborateurs afin d’échanger à bâtons rompus sur différents sujets d’intérêt pour son Institution. www.lecames.org/audience-accordee-au-secretaire-general-de-luniversite-de-douala/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗘𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 #𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦En marge des travaux du Comité des Experts de la 42ème session du #Conseil_des_Ministres_du_CAMES, qui s’est tenue du 19 au 23 mai 2025, les impressions de quelques Experts pays ont été recueillies par la rédaction du Lundi CAMES.Leurs impressions concernant la session, leurs attentes de départ, leurs recommandations ou encore leurs avis sur les points soumis à leurs attentions ont été les sujets abordés le long de ces interviews.Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre les interviews de : - 𝗣𝗿 𝗠𝗶𝗰𝗵𝗲𝗹𝗶𝗻𝗲 𝗔𝗚𝗔𝗦𝗦𝗢𝗨𝗡𝗢𝗡 𝗘𝗽𝘀𝗲 𝗗𝗝𝗜𝗣𝗢 𝗧𝗖𝗛𝗜𝗕𝗢𝗭𝗢, Formatrice et Conseillère au Centre Pédagogique Universitaire et d’Assurance Qualité, Experte du Bénin ; - 𝗗𝗿 (𝗠𝗖) 𝗢𝘀𝗰𝗮𝗿 𝗔𝗟𝗟𝗔𝗛𝗗𝗜𝗡, Directeur Général de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Expert de la Centrafrique - 𝗣𝗿 𝗚𝗻𝗶𝗱𝗼𝘂𝗯𝗮 𝗥𝗼𝗴𝗲𝗿 𝗟𝗔𝗡𝗢𝗨, Directeur Général de l’Enseignement supérieur, Expert du Burkina Faso ; - 𝗣𝗿 𝗠𝗮𝗵𝗮𝗺𝗮𝗱𝗼𝘂 𝗗𝗜𝗔𝗞𝗜𝗧𝗘, Recteur de l’Université des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako, Expert du Mali ; - 𝗣𝗿 𝗠𝗼𝘂𝘀𝘀𝗮 𝗛𝗔𝗠𝗜𝗗𝗢𝗨 𝗧𝗔𝗟𝗜𝗕𝗜, Secrétaire Général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation technologique, Expert du Niger ; - 𝗗𝗿 𝗢𝘂𝗺𝗮𝗿 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗕𝗢𝗨𝗬𝗔, Directeur Général de l’Enseignement supérieur, Expert de la Guinée. ... See MoreSee Less
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