#Interview : Coronavirus, crise de notre intelligence collective ou véritable opportunité pour nous réinventer et innover ?

Docteur Alain CAPO-CHICHI est spécialiste de la prospective et de l’innovation, Membre associé de la Chaire UNESCO sur les TICs de l’université de Bordeaux et ancien Coordonnateur Chargé de l’innovation du Programme thématique de recherche TIC du CAMES. Il est également officier de l’Ordre des palmes académiques du CAMES.

Dr Alain CAPO-CHICHI

Question 1 : Dr Alain CAPO-CHICHI, quelle lecture faites-vous de la situation de crise à laquelle fait face le monde aujourd’hui ? En quoi consiste une crise en réalité et comment est-ce qu’elle se manifeste ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Une crise peut se caractériser par une situation, un vécu de blocages, de souffrances, d’incertitudes. Elle est visible actuellement dans la mesure où nous observons que nos marchés, nos aéroports, nos maquis sont fermés ; nos déplacements limités, notre vie sociale régulée, l’activité économique bloquée, le nombre de morts et de personnes infectées en constante augmentation : on parle de près de soixante mille (65.000) morts et près d’un million (1.000.000) de personnes infectées. Il s’agit d’une crise mondiale, car elle touche presque tous les pays et ce n’est que la partie visible de la crise. Il y a une autre partie invisible qui apparaîtra à court, moyen ou long terme.

De mémoire d’homme, c’est la plus grave crise après la Deuxième Guerre mondiale. Cette crise déjà sanitaire va entraîner des crises économique, sociale, humanitaire, sécuritaire et même politique. En tant que spécialiste de la prospective, il importe de sensibiliser les différents acteurs, les individus, les entreprises et même les gouvernements, afin qu’ils anticipent et planifient, car la crise va entraîner des bouleversements profonds sur au moins une dizaine d’années.


Question 2 : Actuellement près de la moitié de l’humanité est confinée. C’est littéralement du jamais vu. Beaucoup se posent des questions sur la durée de cette pandémie. Vous qui avez un regard d’expert, dites-nous quelles sont les projections possibles ? Est-ce qu’après deux semaines de confinement la vie peut reprendre son cours normal ou redoutez-vous un prolongement ? Et surtout qu’est-ce qui va annoncer la fin de la crise, est-ce un vaccin ? Un remède ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Cette crise comporte beaucoup de zones d’incertitudes, ce qui fait que même les chercheurs, les spécialistes les plus réputés n’arrivent pas à envisager son épilogue de façon précise. Les prospectivistes ne peuvent donc faire que des scénarios, des projections. Mais, sachons tous déjà une chose : c’est que la crise ne va pas durer deux (2) semaines comme vous le dites. Elle aura au moins trois phases : une phase immédiate que nous vivons actuellement et qui va durer entre trois (3) et dix-huit (18) mois, une phase à moyen terme qui durera entre dix-huit (18) mois et trois (03) ans et une phase irréversible sur le long terme.

Sur la phase sur le long terme, c’est qu’il y aura un changement radical du comportement des gens après la crise, notamment avec la distanciation sociale que la crise entraîne. Les chercheurs parlent d’innovation sociale. On parle par exemple déjà de télétravail, de téléenseignement, de la télémédecine et même après la crise, plus rien ne sera comme avant dans ces domaines.

La phase immédiate de la crise qui est visible, va être la période où les gouvernements vont chercher à maîtriser l’évolution de la maladie (ce que nous appelons la gestion des incidents), c’est-à-dire en cherchant à en limiter les conséquences, limiter le nombre de morts, l’influence en termes de perte d’activité économique, etc…, plutôt que de chercher à résoudre la crise, en s’attaquant à sa cause.

Il s’agit en effet de cette phase où les Chefs d’État sont intervenus et ont pris des mesures de confinement, de régularisation, des décisions importantes pour limiter les effets de la crise.

Cette phase de court terme va durer entre trois (3) et dix-huit (18) mois, le temps de trouver un vaccin ou un remède efficace ; mais encore une fois, elle risque d’être dramatique.

Elle sera dramatique, car déjà, il y a plusieurs morts, plusieurs entreprises fermées, des familles qui n’arrivent plus à se nourrir et donc, va entraîner d’autres formes de crises, notamment les divorces, les violences, même les bouleversements humanitaires, sécuritaires et politiques sur le moyen terme de la crise.


Question 3 : La crise sanitaire a également entrainé une crise économique monumentale. Ainsi, devons-nous opérer des changements notables dans nos habitudes, dans nos projets pour s’adapter à cette situation. Dites-nous, quelles dispositions doivent prendre par exemple les entreprises, les étudiants pendant et après la crise ?  

Dr Alain CAPO CHICHI : La première disposition à prendre et la plus importante, est d’accepter et de composer avec la crise. Comprendre la crise, ses enjeux et s’y adapter rapidement. Ne dites surtout pas que la crise va être passagère et conjoncturelle. Elle va être durable et mondiale. Donc, un bon chef d’entreprise, un jeune étudiant et toute personne doivent se projeter en avant, pendant et après cette crise-là. Il faudra analyser ses forces et faiblesses et voir les mesures à prendre vis-à-vis de ses activités, de son organisation, de ses produits, de ses clients, de ses employés et examiner les compatibilités internes au regard des changements imposés par la crise, pour aborder des questions de continuité ou de changement d’activités, d’adaptation du personnel, de chômage technique ou de licenciement du personnel par exemple. Il s’agit en somme d’anticiper sur les évolutions de son secteur, de son pays et du monde. Les chefs d’entreprises et leurs agents doivent collaborer pour s’adapter à la crise, afin de ne pas subir collectivement. La crise sera difficile, mais ceux qui vont survivre sont ceux qui auront compris la crise et sauront en faire une opportunité.

Oui, dans chaque crise, il y a des opportunités, lesquelles sont dans les zones d’incertitudes et une crise est pleine d’incertitudes. C’est comme quand il y a un décès dans une famille tout le monde ne pleure pas de la même manière. Il y a une opportunité pour le vendeur de cercueils, les creuseurs de tombe, les organisateurs de funérailles, etc. Les chefs d’entreprises et leurs salariés doivent savoir que ce ne sont pas eux qui gouvernent leurs propres entreprises, mais c’est plutôt le marché, l’économie, les tendances technologiques, la loi de l’offre et de la demande qui les gouvernent.

Moi, j’ai bien aimé l’histoire du jeune entrepreneur dans une rue d’Abidjan qui a rapidement compris qu’il faut vendre des feuilles et racines intégrant de la quinine plutôt que de continuer à proposer des cartes de recharge. Donc, aujourd’hui, nous devons nous demander de quoi le marché a besoin et s’adapter. Aujourd’hui, les gens ont besoin de masques, de tests rapides du COVID-19, de nourritures à distance, d’étudier à distance, de se distraire à distance et même d’entretenir une relation à distance. En clair comment chaque entreprise rend compatible ses activités avec la distanciation sociale, cette mesure sans contact direct.


Question 4 : Concrètement, que faites-vous par exemple comme adaptation dans vos entreprises et que pourra faire un jeune entrepreneur qui tient un restaurant ou une boite de nuit, maintenant que les rassemblements sont interdits comment pourrait-il s’adapter ?

Dr Alain CAPO CHICHI : Si je dois prendre mon exemple, je dirige plusieurs entreprises dans plusieurs pays et nous sommes fortement dans le secteur de l’éducation. Les premières mesures qu’ont prises les gouvernements dans les pays où nous sommes installés, consistent en la fermeture des écoles et universités. Mais je peux vous assurer que du fait que nous ayons anticipé, nous faisons partie des 1 % d’établissements qui continuent d’enseigner à distance aujourd’hui. Nos étudiants ont été formés pour recevoir les cours à distance.

Nous avons énormément investi pour acheter plusieurs équipements, ce qui permet à nos étudiants de ne pas risquer une année blanche si la crise perdurait. Nos agents sont en télétravail parce que nous avons mis le dispositif adapté : une culture, une organisation, des équipements et un progiciel de gestion intégrée qui facilite le travail collaboratif et le contrôle du temps du travail à distance. Il a fallu aussi diagnostiquer nos activités qui se faisaient en contact avec les individus, pour les rendre compatibles avec le mode de distance.

Le paiement par exemple qui se faisait au comptant peut se faire aujourd’hui directement sur nos plateformes sans intervention et sans contact. J’ai demandé également à tous mes collaborateurs qui offraient des activités qui nécessitaient un contact direct de réadapter leurs outils et méthodes, de manière à être efficace à distance. Cela passe par l’accompagnement, la formation, la démission ou le chômage technique. Nous avons aussi adapté nos activités pour conquérir de nouveaux clients et créer de nouveaux produits. Vous savez que nous fabriquons déjà des ordinateurs, des téléphones, mais nous avons décidé de fabriquer aujourd’hui et très rapidement des masques, des respirateurs, des outils de test rapide de COVID-19, etc. Nous sommes une entreprise de taille moyenne.

Prenons l’exemple d’une petite entreprise telle qu’un restaurant par exemple. Dans les mesures prises par le gouvernement, votre restaurant est fermé et vos activités sont bloquées par le couvre-feu. Si vous dites que la crise est ponctuelle, alors vous aller laisser le restaurant avec le loyer à payer, les employés à payer ou au chômage technique et au bout de deux à trois mois, vous finirez par déclarer la faillite alors que dans le même temps, vos clients, même de leurs maisons, cherchent à manger. Vos collaborateurs cherchent à travailler, vous avez des ustensiles de cuisine et tout est aux arrêts.

La meilleure posture serait de réorganiser votre activité, même votre mode de résidence, de manière à continuer à vendre même à distance. Cela peut vous amener à changer de résidence à votre cuisinier, à changer ses horaires de travail, le packaging, le système de commande et de livraison, les modes de paiement, etc.

Vos serveurs peuvent devenir des marketeurs à distance, pour proposer vos plats en ligne.

Ils doivent aussi accepter de se former et s’adapter rapidement pour ne pas basculer en chômage technique. La crise va durer, peut-être que je dois compléter de nouveaux produits : assister les gens pour préparer à distance ou bien envoyer le cuisinier dans les familles pour une ou deux heures de cuisine. La crise va durer, donc, il faut de nouveaux produits, de nouvelles alliances pour se créer une opportunité.


Question 5 : Comme on le dit souvent, c’est en temps de crise que se créent les plus grandes opportunités. Comment peut-on transformer la crise du Coronavirus en une véritable opportunité pour la jeunesse africaine ?

Dr Alain CAPO CHICHI : C’est une opportunité parce que l’Afrique a une population majoritairement jeune. Les personnes de plus de 65 ans représentent moins de 5 % de la population alors qu’elles sont les plus touchées par la maladie. La crise va ralentir les importations, ce qui peut être une opportunité pour la production locale. La crise a obligé plusieurs personnes à rentrer au village, ce qui va favoriser le développement de nos régions qui vont avoir des ressources humaines plus qualifiées. Mais la révolution importante de la crise qui va bénéficier à l’Afrique, c’est le fait que je ne sois plus obligé d’aller en France, aux États-Unis, au Canada pour travailler. Le monde du travail a adopté le télétravail et les États africains, les jeunes africains doivent se positionner sur les nouveaux métiers qui peuvent faire qu’ils vont se retrouver à gagner 100 fois le salaire minimum de leur pays tout en étant sur place. Pour ce faire, ils doivent s’intéresser aux tendances technologiques, notamment la réalité augmentée, l’intelligence artificielle, le Bigdata, l’internet des objets, le cloud, la mobilité. Ces tendances sont simples et accessibles dans nos pays, mais vont accompagner la mutation des métiers actuels (85 % des métiers de demain).


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𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗦.𝗘.𝗠. 𝗖𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗘𝗡𝗚𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗡𝗚𝗨𝗘𝗠𝗔 𝗢𝗡𝗚𝗨𝗘𝗡𝗘, 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗘́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗽𝗼𝗿𝘁𝘀, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝗗𝘂 𝟵 𝗮𝘂 𝟭𝟯 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, une mission de travail a été menée en République de Guinée Équatoriale par une délégation du CAMES, conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, avec à ses côtés le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Pr Ali DOUMMA, et celui en charge de la Reconnaissance et l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche, Pr Saturnin ENZONGA YOCA. Dans le cadre de cette mission, la délégation a été reçue en audience, 𝗹𝗲 𝟭𝟭 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, par Son Excellence Monsieur Clemente ENGONGA NGUEMA ONGUENE, Ministre d’État, Ministre de l’Éducation, des Sciences, de l’Enseignement professionnel et des Sports.Cette rencontre s’est tenue dans les locaux de la Primature à Bata, en présence de plusieurs hauts Responsables, notamment les Vices-ministres et les Directeurs Généraux en charge de l’éducation, des sciences, ainsi que la Déléguée régionale du Ministère chargé de la coopération internationale.Après les salutations protocolaires, Son Excellence Monsieur le Ministre d’État, a exprimé sa profonde satisfaction de recevoir, pour la première fois depuis l’adhésion de la République de Guinée Équatoriale au CAMES en 2010, une délégation de haut niveau de ladite Institution.A la suite de son propos, le Secrétaire Général du CAMES, a chaleureusement remercié le Ministre d’État pour l’honneur de cette audience et la qualité de l’accueil réservé à sa délégation. Le Secrétaire Général a par ailleurs décliné l’objet de cette visite, à savoir échanger avec le Gouvernement équato-guinéen et les différents acteurs de l’Enseignement supérieur de ce pays membre de l’Institution depuis 2010 sur : (i) la nouvelle vision et le Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024-2028, (ii) les voies et moyens pour une participation effective et entière de la Guinée Équatoriale à toutes les activités statutaires du CAMES, (iii) les attentes de ces différents acteurs vis-à-vis du CAMES.Au terme d’un exposé étoffé sur le CAMES, le Secrétaire Général a formulé plusieurs doléances à l’endroit du Ministre d’État. Il s’agit notamment, de l’accueil par la République de Guinée Équatoriale de la prochaine réunion extraordinaire du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES ; et de la désignation d’un point focal national chargé d’assurer la liaison avec le Secrétariat général de l’Institution.www.lecames.org/une-delegation-du-cames-conduite-par-son-secretaire-general-recue-en-audience-par... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗥𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲Dans le cadre de sa mission de travail en Guinée Équatoriale, la délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, a eu une série de rencontres avec les Responsables académiques des Universités publiques de Guinée Équatoriale.La délégation du CAMES a ainsi rencontré, 𝗹𝗲 𝟭𝟬 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, les Responsables académiques de l’Université Afro-américaine d’Afrique centrale (AAUCA) à Djibloho.Cette rencontre s’est déroulée en présence du Vice-ministre chargé de l’Enseignement supérieur de la République de Guinée Équatoriale, M. Vincente NSUE MENGUE NSUE et de plusieurs cadres dudit Ministère. Le Vice-ministre a rappelé l’objet de cette rencontre qui est, entre autres, de discuter directement avec les Institutions d’Enseignement supérieur et de Recherche du pays, en vue de consolider les relations entre le CAMES et la Guinée Équatoriale. L’université Afro-américaine d’Afrique centrale a été ensuite présentée par son Recteur, Pr Paulo SPELLER.Le Secrétaire Général du CAMES a par la suite, dans son mot introductif, tenu à présenter ses vifs remerciements au Vice-ministre pour avoir initié cette rencontre et pour son accompagnement personnel lors de ses importantes visites de terrain.𝗟𝗲 𝟭𝟭 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, la délégation du CAMES a visité les locaux de l’Université Nationale de Guinée Équatoriale (UNGE) à Bata. Lors de cette visite la délégation, accompagnée du Vice-recteur de l’UNGE à Bata et du Directeur Général de la Coopération internationale (Point focal national CAMES), a visité la Faculté de Médecine et la Faculté des Sciences de l’éducation de ladite Université.𝗟𝗲 𝟭𝟮 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, a été l’occasion pour la délégation du CAMES de visiter l’Université Nationale de Guinée Équatoriale (UNGE), dans les locaux de ladite Université à Malabo.Dans son mot introductif, le Recteur de l’UNGE, M. Filiberto Ntutumu NGUEMA NCHAMA, entouré de ses collaborateurs, a souhaité la bienvenue à la délégation du CAMES tout en exprimant toute sa satisfaction d’échanger directement avec le Secrétaire Général du CAMES en vue de mieux cerner les missions de l’Institution. Cette rencontre a également été l’occasion pour le Recteur de l’UNGE de partager avec la délégation du CAMES les difficultés auxquelles les Universités africaines font face. Saisissant cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES, précisant la place prépondérante des questions de gouvernance des Universités dans les réunions du Comité Consultatif Général (CCG), a fortement invité les Responsables d’IESR à y participer activement à l’avenir.En marge de cette visite, la délégation du CAMES a effectué une visite de courtoisie au Ministre délégué de la Santé et du Bien-être social, M. Práxedes Rabat Makambo.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-pr-souleymane-konate-rencontre-les-responsables-de... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝗮𝘁 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲Dans le cadre de sa mission de travail en République de Guinée Équatoriale, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a effectué, le 13 septembre 2025, une visite de courtoisie à Son Excellence Monsieur le Consul Général du Burkina Faso auprès de la République de Guinée Équatoriale, dans les locaux du Consulat Général à Malabo.Il était accompagné du Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, ainsi que du Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes en charge de la Reconnaissance et de l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche.À l’occasion de cette rencontre, le Secrétaire Général a exprimé ses civilités à Son Excellence Monsieur Filatiéni COULIBALY, Consul Général, et a adressé ses vifs remerciements à l’ensemble du personnel du Consulat pour son implication active dans les préparatifs de la mission du CAMES en Guinée Équatoriale. Il a également tenu à traduire toute sa reconnaissance pour l’accueil chaleureux réservé à la délégation à son arrivée en République de Guinée Équatoriale. Il a par ailleurs présenté une synthèse des échanges tenus avec les autorités équato-guinéennes, axés sur le renforcement de la coopération entre le CAMES et la République de Guinée Équatoriale.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-secretaire-general-du-cames-au-consulat-general-du-burkin... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 œ𝘂𝘃𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗯𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗮𝗴𝗲 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗮 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼Dans le cadre du processus d’opérationnalisation de son Plan Stratégique de Développement 2024-2028, notamment dans le domaine de l’amélioration de sa gouvernance, le CAMES à initié un processus de passage à une gestion de type « budget programme ». C’est dans ce contexte qu’une importante rencontre s’est tenue le vendredi 26 septembre 2025, au siège du CAMES, avec des responsables de la Direction Générale du Budget, du Ministère de l’Économie et des Finances du Burkina Faso.Cette séance de travail stratégique visait à jeter les bases techniques et institutionnelles de la mise en place de ce nouveau modèle de gestion axé sur la performance, conformément aux standards de transparence et de redevabilité exigés dans la gestion publique moderne.Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES, pour ouvrir cette session, a exprimé sa gratitude à l’endroit de l’équipe de la DGB pour sa disponibilité et son engagement à accompagner le CAMES dans cette dynamique d’amélioration de la gouvernance financière. Il a, à cet effet, rappelé l’importance de cette transition vers l’approche budget programme, levier essentiel de la performance institutionnelle, avant de présenter la vision stratégique du CAMES, ses Programmes statutaires ainsi que les grandes orientations du Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC 2024–2028).Prenant la parole à son tour, le Directeur des Réformes Budgétaires du Burkina Faso a salué l’initiative du CAMES et s’est réjoui de la volonté manifeste de l’Institution à s’inscrire dans une logique de résultats. Il a notamment souligné le fort engagement de l’équipe dirigeante, qu’il considère comme un acquis majeur pour la réussite de la mise en œuvre du budget programme. Il a également relevé la pertinence du PSDC 2024–2028, qui constitue une base solide pour une déclinaison cohérente de la vision du CAMES en une politique budgétaire axée sur les résultats, facilitant ainsi l’évaluation de la performance à la fin de chaque exercice budgétaire. www.lecames.org/vers-la-mise-en-oeuvre-du-budgetprogramme-au-cames-une-rencontre-de-cadrage-tenue... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗩𝗶𝗿𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a accordé une audience le 26 septembre 2025, au Président de l’Université Virtuelle du Burkina Faso (UV-BF), Dr (MC) Oumarou ZALLÉ, accompagné de ses collaborateurs, Pr Tizane DAHO et M. Armand TENKODOGO. Cette rencontre s’est tenue en présence du Directeur des Programmes en charge de la Reconnaissance et de l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA.L’objectif principal de cette visite était de présenter les civilités de l’équipe dirigeante de l’UV-BF au Secrétaire Général et d’échanger sur les mécanismes à mettre en place pour une prise en compte effective des candidatures des Enseignants-chercheurs et Chercheurs de l’Université Virtuelle du Burkina Faso aux prochaines évaluations du CAMES.Au terme de discussions constructives, la délégation de l’UV-BF s’est dite rassurée et satisfaite de l’écoute attentive du Secrétaire Général ainsi que de la disponibilité manifeste du CAMES à accompagner l’Université. Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a réaffirmé la volonté de collaboration du CAMES avec l’ensemble des IESR des pays membres, dont l’UV-BF.www.lecames.org/le-president-de-luniversite-virtuelle-du-burkina-faso-recu-en-audience-par-le-sec... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗔𝗯𝗱𝗼𝘂𝗹𝗮𝘆𝗲 𝗙𝗔𝗗𝗜𝗚𝗔 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹'𝗨𝗘𝗠𝗢𝗔, 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟲La Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) lance un appel à candidatures pour l'édition 2026 du Prix Abdoulaye FADIGA (PAF) pour la promotion de la Recherche économique au sein de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Lancé en mars 2008, ce Prix rend hommage à Monsieur Abdoulaye FADIGA, premier Gouverneur africain de la BCEAO (1975-1988).𝗢𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅Le PAF vise, entre autres, à : (i) encourager l’excellence en matière de Recherche en sciences économiques, (ii) promouvoir des approches théoriques et empiriques permettant de relever les défis auxquels les économies de l’UEMOA sont confrontées et (iii) stimuler l’Innovation chez les jeunes Chercheurs et les économistes professionnels ressortissants de l’UEMOA.𝗖𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱’𝗲́𝗹𝗶𝗴𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́Sont éligibles au Prix Abdoulaye FADIGA, tout Chercheur ou toute équipe de Chercheurs en sciences économiques :- ressortissants du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d'Ivoire, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Niger, du Sénégal ou du Togo, quel que soit leur pays de résidence ;- âgés de quarante-cinq (45) ans au plus au 31 décembre 2026 ;- justifiant d’un diplôme d’au moins Bac+5 en sciences économiques.𝗗𝗮𝘁𝗲 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲 : 31 août 2026. www.lecames.org/lancement-du-prix-abdoulaye-fadiga-pour-la-promotion-de-la-recherche-economique-d... ... See MoreSee Less
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2 months ago

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𝗔𝗟𝗘𝗥𝗧𝗘 𝗜𝗡𝗙𝗢 : 𝗟𝘂𝗻𝗱𝗶 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝘃𝗮𝗰𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 !En raison des congés annuels du Secrétariat général, votre newsletter sera suspendue du 18 août au 22 septembre 2025. ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗮𝗱𝗼𝗽𝘁𝗲𝗻𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗳𝗲𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗼𝘂𝘁𝗲 𝗶𝗻𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗲𝗻 𝗲𝘅𝗲𝗿𝗰𝗶𝗰𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻Une délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, et composée du Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Pr Ali DOUMMA, a effectué une mission de travail en République de Guinée du 8 au 11 août 2025.Cette mission est organisée dans le cadre de la série de concertations régulières qu’entretient le Secrétaire Général du CAMES avec le Président en exercice du Conseil des Ministres du CAMES, fonction assurée par le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la République de Guinée, M. Alpha Bacar BARRY. Elle s’est articulée autour d’une séance de travail avec la commission de réflexion, mise sur pied par les autorités guinéennes, sur l’élaboration d’une feuille de route pour la présidence en exercice du Conseil des Ministres du CAMES. Cette séance de travail a été suivie d’une audience avec le Président en exercice du Conseil des Ministres du CAMES sur ladite feuille de route et sur la vie de notre Institution commune.Ainsi, le samedi 9 août 2025, une séance de travail avec la commission de réflexion sur l’élaboration d’une feuille de route de la présidence en exercice du Conseil des Ministres du CAMES a eu lieu, dans les locaux du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation (MESRSI). Elle a été l’occasion pour le Secrétaire Général du MESRSI, par ailleurs Président de ladite commission, Dr Facinet CONTÉ, de souhaiter la chaleureuse bienvenue à la délégation du CAMES en terre africaine de Guinée. Il a par la suite précisé l’objet de la rencontre qui est d’échanger sur le projet de feuille de route de la présidence du Conseil des Ministres, élaborée par le Secrétariat général du CAMES, sur la base des propositions soumises par la commission et des orientations stratégiques du CAMES pour l’année en cours.Tout en saluant l’originalité de l’élaboration d’une feuille de route pour le Président en exercice du Conseil des Ministres du CAMES, « une innovation inédite » dans l’histoire de notre Institution à ses yeux, le Secrétaire Général du CAMES a rappelé les attributions du Président du Conseil des Ministres telles que définies par les textes réglementaires du CAMES, que sont la Convention portant Statut du CAMES et le Règlement Intérieur relatif aux sessions du Conseil des Ministres du CAMES. Il a par ailleurs décliné l’objet de sa mission en Guinée qui est d’avoir une séance de travail avec la commission afin de finaliser le projet de feuille de route.Après des échanges fructueux, une feuille de route réaliste et réalisable pour le mandat a été adoptée par les deux parties sur la base des documents de travail soumis aux participants à la réunion. Cette feuille de route a été remise au Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la Guinée, Président en exercice du Conseil des Ministres du CAMES, au cours d’une cérémonie solennelle, tenue le lundi 11 août 2025 dans les locaux dudit ministère, en présence des membres de la commission et de la délégation du CAMES.Au cours de cette cérémonie, les participants ont eu l’insigne honneur d’être salués et encouragés par Son Excellence le Général d’armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République de Guinée, Chef de l’État, en visite inopinée dans ledit ministère.www.lecames.org/le-cames-et-la-guinee-adoptent-une-feuille-de-route-inedite-pour-la-presidence-en... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗼𝗻𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘂 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗢𝘂𝗮𝗴𝗮𝗱𝗼𝘂𝗴𝗼𝘂Les 4 et 5 août 2025, les six nouveaux Présidents des Jurys du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) se sont réunis, au siège de l’Institution à Ouagadougou, au Burkina Faso. Cette rencontre avait pour objectif principal de procéder à la désignation des membres desdits Jurys et préparer ce prestigieux Concours, prévu en novembre prochain à Dakar, au Sénégal.La cérémonie d’ouverture, organisée le 4 août 2025, a été présidée par le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, en présence du Professeur Félicien AVLESSI, Président du Comité Consultatif Général du CAMES et Recteur de l’Université d’Abomey-Calavi.Le mot du Président du Comité Consultatif Général, Professeur Félicien AVLESSI, a été l’opportunité de rappeler l’importance capitale de ce Concours. Il a en effet expliqué que ce Concours est un outil crucial pour l’Enseignement supérieur et la Recherche à travers le choix des meilleurs profils, répondant aux standards internationaux et à même de contribuer à la transformation qualitative de nos pays s’appuyant sur les domaines que sont les Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion.Dans son allocution d’ouverture, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a exprimé sa gratitude à l’endroit des Présidents des Jurys des six (6) sections. Il leur a rappelé que le succès de ces deux journées de travail, déterminantes pour la préparation du Concours, dépendra de leurs expertises respectives dans la constitution des Jurys, ainsi que de leur parfaite compréhension et leur adhésion aux directives du Comité Consultatif Général et du Secrétariat général. Les allocutions de cette cérémonie, ont cédé la place à la signature du Code d’Éthique et de Déontologie par les Présidents de Jury, marquant ainsi leur engagement envers les valeurs et principes du CAMES. Les travaux à proprement parler ont succédé à cette cérémonie d’ouverture avec à l’ordre du jour, le partage d’informations diverses sur le Concours, la présentation de la plateforme numérique du Concours, et la désignation des membres des différents Jurys selon les critères prédéfinis et sur la base des propositions des différentes Universités.www.lecames.org/les-nouveaux-presidents-des-jurys-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg-ont-ten... ... See MoreSee Less
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