Droit de réponse à la tribune de Dandi GNAMOU sur Fasozine.com

Le journal en ligne www.fasozine.com a publié, le 28 juillet 2019, une tribune polémique et fallacieuse sur le CAMES — http://www.fasozine.com/tribune/7143-enseignement-superieur-le-cames-sur-la-sellette.html — dont l’auteure est Dandi GNAMOU, Enseignante-chercheure à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin), récemment frappée par la décision No SO/CM/CAMES/2019-10 du Conseil des Ministres du CAMES, pour manquements aux dispositions du Code d’éthique et de déontologie de notre Institution commune.

Dans ce droit de réponse, publié le 16 septembre 2019, le CAMES apporte des éclaircissements sur les différents propos de l’auteure qui cherche visiblement à jeter un discrédit sur notre Institution commune, et les actions entreprises sur instructions du Conseil des Ministres, en vue de sa modernisation juridique.

Par ce droit de réponse, le CAMES ne cherche pas à polémiquer, mais à éclairer l’opinion publique — les enseignants-chercheurs et chercheurs ainsi que les autorités étatiques sur les allégations qui lui sont faites.


À propos de la prétendue illégalité des mesures adoptées par la 36e session du Conseil des Ministres du CAMES

Les décisions  du Conseil des Ministres du CAMES tenu le 30 mai 2019 à Cotonou au Bénin, présidé par le Pr Jacques FAME DONGO, Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur du Cameroun, signataire à ce titre des actes de la session, et co-présidé par le  Pr Alkassoum MAÏGA, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Burkina Faso, Vice-Président statutaire,  n’ont pas fini de susciter des réactions. 

Une tribune polémique a été ainsi publiée dans un journal burkinabé en ligne, Fasozine.com, le 28 juillet 2019. L’auteure, Madame Dandi GNAMOU,  s’y livre à une critique acerbe de certaines décisions adoptées par cette Instance suprême de l’auguste institution. Elle invoque leur caractère inopportun et illégal en se fondant sur la procédure suivie et sur les règles de fond adoptées.

Il importe d’apporter des éclaircissements et précisions face à cette critique qui, à n’en point douter, manque d’objectivité, de rigueur et de pertinence et participe plutôt à entretenir l’obscurantisme et à tromper le grand public. 

En ce qui concerne la procédure suivie, l’auteure fait valoir d’abord que certaines décisions du Conseil des Ministres du CAMES ont été adoptées avant l’entrée en vigueur des modifications apportées à la Convention portant statut du CAMES ; tel serait le cas du « Règlement intérieur du Conseil des Ministres adopté par Résolution n° 2019-013, mais prévu par la Résolution n° 2019-15 » ; selon l’auteure, « Elle (sic) porte un numéro antérieur à celle (sic) dont elle (sic) doit faire application ».

Dans l’esprit de l’auteure, la Résolution considérée comme mode d’adoption des décisions du Conseil des Ministres n’existe que depuis la révision de la Convention portant statut du CAMES en 2019 à Cotonou au Bénin. De ce fait, selon l’auteure, la Résolution portant adoption du Règlement intérieur des sessions ministérielles ne pouvait pas intervenir avant l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-015 portant révision de ladite Convention.

Une telle analyse procède d’une méconnaissance des textes de l’organisation et des pratiques institutionnelles en vigueur depuis la création du CAMES. La discussion sur l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-15, relative à la révision de la Convention portant statut du CAMES, n’aurait de sens que si le Règlement intérieur du Conseil des Ministres trouvait son fondement dans cette Résolution. Or, tel n’est pas le cas.

L’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-013 trouve son fondement dans les articles 10 et 11 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES. Il résulte de la combinaison de ces articles que le Conseil des Ministres, qui a compétence notamment pour adopter les Résolutions concernant les politiques d’Enseignement supérieur et de la Recherche ainsi que  pour examiner et approuver les comptes rendus des travaux du Comité des experts, y compris les propositions de résolutions et de recommandations, adopte ses décisions par consensus.

D’ailleurs, le Règlement intérieur que la Résolution n° SO-CM/2019-013 abroge et remplace a été adopté, à Ouagadougou, par Résolution du Conseil des Ministres le 17 avril 1989. Au vu de ce qui précède, il est aisé d’admettre que cet aspect de l’analyse de l’auteure est erroné, fallacieux et vise à entretenir la confusion sur le fonctionnement des instances supérieures du CAMES et la légalité de leurs actes, pour trouver une justification imaginaire à une situation somme toute personnelle.

L’auteure fait ensuite observer de manière factuelle inexacte que « l’autorisation des parlements nationaux est impérative (…) », que « créer une organisation internationale sur la base d’un traité en forme simplifiée est inadéquat (…) » et que « pour modifier un traité fondateur, il faut un autre traité (…) ». Les propos tendant à faire accréditer l’idée que le CAMES, pour avoir été créé en violation « des basiques du droit des traités et de l’État de droit », n’a jamais eu d’existence légale n’engagent que l’auteure qui les a tenus et qui, pourtant, a toujours bénéficié des prérogatives attachées à son titre d’agrégée obtenu dans le cadre des programmes du CAMES, notamment celui du Concours d’agrégation.

Cela dit, au-delà de l’amalgame entre procédures de création d’une organisation internationale et processus de modification d’un traité relatif au Statut d’une organisation déjà créée, il y a lieu de relever que l’observation révèle curieusement une grave méconnaissance des textes du CAMES, pour une personne qui a été à maintes reprises sollicitée comme expert au sein de l’Institution. En effet, c’est l’article 26 de la Convention portant Statut du CAMES, qui prévoit les modalités de  sa révision. Il résulte de ce texte que cette Convention peut être amendée ou révisée à la demande d’un État signataire, que le projet d’amendement doit recueillir l’avis favorable de deux autres États membres avant d’être remis au Secrétaire Général, que ledit projet est soumis au Conseil des Ministres et qu’il est adopté à la majorité des 2/3 des États membres. La procédure ainsi décrite débouche sur l’adoption, par le Conseil des Ministres, d’une Résolution validant les modifications ainsi apportées. Cette règle prévue par l’article 26 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES est traditionnellement consacrée par le droit des Traités. En effet, c’est le Traité fondateur qui prévoit les modalités de sa révision ainsi que les organes compétents pour y procéder.

S’agissant des règles de fond, l’auteure considère que du fait de l’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-015, le CAMES serait passé d’une organisation de coopération à une organisation supranationale, avec  pour effet de conférer à son Secrétaire Général « un pouvoir de légation… un pouvoir règlementaire autonome qui peut s’étendre à l’adoption de règlement d’exécution » et de faire du « Conseil des Ministres un parlement qui légifère dans le domaine de l’enseignement supérieur ».

L’idée selon laquelle le CAMES se transforme en organisation supranationale comparable à l’UEMOA avec la possibilité de prendre des « décisions qui s’imposeront aux États et s’appliqueront directement aux individus sans une internalisation préalable » est, de toute évidence, une vue de l’esprit. En effet le CAMES a toujours été une structure supranationale, à caractère spécifique. Il suffit pour s’en convaincre de se référer à ses textes fondamentaux.

Aux termes de l’article 6 de la Convention portant statut du CAMES, chaque programme du CAMES est régi par une Convention ou un Accord négocié et signé par les États qui acceptent d’en faire partie. Il en résulte que la signature par un État d’un Accord ou d’une Convention sous l’égide du CAMES implique l’engagement d’accepter et d’exécuter les obligations qui en découlent. En application des stipulations des Accords ou Conventions signés par les États dans le domaine de l’enseignement supérieur, le CAMES peut prendre des actes pour la réalisation des politiques communes.

C’est pour prendre en compte cette réalité que la Résolution n° SO-CM/2019-015 modifiant la Convention, a prévu deux types d’actes qui, bien que présentant des similitudes avec ceux qu’adoptent traditionnellement les organisations supranationales telles que l’UEMOA, n’en ont ni la même nature ni le même régime juridique.

Les actes émanant du CAMES, contrairement aux règlements et directives de l’UEMOA cités par l’auteure, ne sont pas formulés pour constituer un ordre juridique autonome mais plutôt pour harmoniser la position des États membres en vue de la réalisation de certains programmes et/ou la structuration des organes et instances du CAMES. Ces actes sont de deux ordres : les Directives et les Règlements.

Les Directives sont adoptées pour préciser les engagements que les États ont librement souscrits en vue de la réalisation des objectifs contenus dans les programmes ou pour déterminer les modalités de mise en œuvre des solutions communes dans les domaines prévus par l’article 4 de la Convention portant Statut du CAMES.

Les Règlements, en ce qui les concerne, n’ont ni pour objet ni pour effet de créer des droits ou des obligations au profit ou à la charge des ressortissants des États membres. Comme le prévoit le nouvel article 20-4 de la Convention dans sa rédaction due à la révision de 2019, ils sont destinés uniquement aux organes et instances du CAMES dont ils fixent les modalités de fonctionnement. Cela dit, l’absence de textes ayant un effet direct dans l’ordre juridique interne des États ne s’oppose pas à ce que le CAMES mette en place des instances chargées de prononcer les sanctions appropriées contre les enseignants et chercheurs qui, dans le cadre des programmes auxquels ils participent, s’écartent de manière délibérée des règles d’éthique et de déontologie qui garantissent la qualité des évaluations.  

Le CAMES n’est pas devenu, au vu de ce qui précède, une organisation supranationale par l’effet de la Résolution adoptée lors du dernier Conseil des ministres. Il a toujours été et demeure cette organisation investie par ses fondateurs de la mission d’harmoniser les politiques des États dans les domaines de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

La Résolution de 2019 modifiant la Convention portant Statut du CAMES a eu le mérite de préciser la nature des actes qui doivent être accomplis pour atteindre les objectifs visés et déterminer l’identité des organes ou des instances habilités à les adopter. L’adoption de cette Résolution ne peut donc avoir pour effet de transférer les compétences du Conseil des Ministres au Secrétaire Général qui en tant qu’organe d’exécution, exerce une mission générale de représentation, dirige l’administration du CAMES, exécute les décisions du Conseil des Ministres et des instances académiques et scientifiques du CAMES et participe à la conception des programmes (cf. article 17 de la Convention portant Statut du CAMES).

En ce qui concerne le Conseil des Ministres, il reste l’Instance voulue dès l’origine par les fondateurs du CAMES, c’est-à-dire  investie de la mission d’adopter les textes par lesquels sont définies les solutions communes et appropriées aux problèmes posés par les systèmes d’éducation, les établissements d’Enseignement supérieur, les Institutions de Recherche, les diplômes délivrés, l’accueil des étudiants, l’éducation, la formation et la circulation des étudiants ainsi que la mobilité des enseignants et des chercheurs.

En conclusion, il est à regretter que l’auteure, bénéficiaire des programmes du CAMES, ignore curieusement les textes de l’Organisation, les modalités de fonctionnement de ses instances ainsi que ses pratiques institutionnelles spécifiques. Il peut néanmoins lui être accordé le bénéfice des circonstances atténuantes.

Les textes du CAMES n’étant pas publiés, l’auteur peut soutenir au moins qu’elle n’est pas censée les connaitre. Mais, avec la création d’un Journal officiel du CAMES en vue d’assurer la publication des textes produits dans le cadre de notre Organisation commune, un tel système de défense ne pourra plus être opposé par les enseignants ou chercheurs de mauvaise foi prompts à demander, en invoquant l’absence de mesure de publicité, que soit écartée la règle selon laquelle nul n’est censé ignorer la loi.

Pour la mémoire et la responsabilité collective, il convient de noter que ce Conseil des Ministres ordinaire a été précédé d’une réunion des Experts et a connu la participation de 13 pays membres sur les 19 que regroupe le CAMES.

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𝗟𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Au total, 215 candidats, tous Maîtres-Assistants du CAMES, ont pris part à la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), tenue en bimodale. À l’issue des trois épreuves d’évaluation menées par un Jury international composé de 𝟯𝟳 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀, 𝟴𝟲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘀 — 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝟳𝟰 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝟭𝟮 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 —, ont été inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de Maître de Conférences Agrégé du CAMES, dans leurs spécialités respectives. Le 𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟰𝟬%, se révèle supérieur à celui enregistré lors de la 21ème session (32,21%), confirmant une progression notable des performances globales. Ce taux est ainsi le deuxième de l’histoire du Concours, après celui obtenu lors de la 19ème Session du Concours en 2019 à Ouagadougou, qui était de 41,22%.𝗗𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲𝘇 𝗰𝗶-𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀.. par genre ; . par Section ;. par Université ;. par Pays.www.lecames.org/les-resultats-definitifs-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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𝗗𝗿 (𝗠𝗖𝗔) 𝗖𝗵𝗲𝗶𝗸𝗵 𝗠𝗯𝗮𝗰𝗸𝗲́ 𝗗𝗜𝗢𝗣, 𝘀𝗮𝗰𝗿𝗲́ 𝗹𝗮𝘂𝗿𝗲́𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗖𝗼𝗿𝗶𝘀 𝗕𝗮𝗻𝗸 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹Dr (MCA) Cheikh Mbacké DIOP, Enseignant-chercheur à l’Université Alioune Diop de Bambey (UADB), au Sénégal, par ailleurs 𝗺𝗮𝗷𝗼𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻, est le lauréat du Prix Coris Bank International du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion.Cette distinction honorifique a été proclamée à l’occasion de la cérémonie de clôture du Concours d’Agrégation des SJPEG, qui s’est déroulée le vendredi 21 novembre 2025, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le lauréat a reçu son chèque géant de deux millions de Francs CFA et son attestation, des mains du Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle et technique du Sénégal, M. Amadou Moustapha Ndieck SARRE et du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ.Le « Prix Coris Bank International pour la Promotion de l’Excellence et de la Responsabilité sociale », récompense le meilleur lauréat du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG). Cette distinction est accordée à l’issue d’un processus de sélection rigoureux fondé sur l’examen approfondi des dossiers des majors des différentes Sections de Jury. Ce processus s’appuie sur des critères précis mettant en valeur l’excellence scientifique des candidats, notamment à travers la qualité de leurs travaux de Recherche et les distinctions reçues, leurs diplômes complémentaires en sus des exigences du CAMES, ou encore leurs productions de didacticiels et/ou d’ouvrages.Dr (MCA) Cheikh Mbacké DIOP est Enseignant-chercheur à l’Unité de Formation et de Recherche (UFR) Économie, Management et Ingénierie Juridique (ECOMIJ) de l’UADB, où il occupe actuellement les fonctions de Directeur Adjoint.www.lecames.org/dr-mca-cheikh-mbacke-diop-sacre-laureat-de-la-7eme-edition-du-prix-coris-bank-int... ... See MoreSee Less
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𝗗𝗲𝘀 𝗱𝗶𝘀𝘁𝗶𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗵𝗼𝗻𝗼𝗿𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗜𝗣𝗔/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝟭𝟬 𝗿𝗲́𝗰𝗶𝗽𝗶𝗲𝗻𝗱𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗮𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹Une cérémonie solennelle de réception dans l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES (OIPA/CAMES) a été organisée, en marge de la cérémonie de clôture de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES, tenue le 21 novembre 2025, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.𝗗𝗶𝘅 (𝟭𝟬) 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀-𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗖𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗧𝗼𝗴𝗼, ont ainsi été décorés aux Grades de Chevaliers et d’Officiers de l’Ordre International des Palmes Académiques (OIPA/CAMES). Ils ont reçu leurs distinctions honorifiques des mains du Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES et Grand Chancelier de l’OIPA/CAMES. Ces décorations leur sont décernées en reconnaissance de leur contribution à l’essor de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche dans leurs pays respectifs et au sein de l’espace CAMES.𝗚𝗿𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗖𝗛𝗘𝗩𝗔𝗟𝗜𝗘𝗥1. DIASSE Aminata, Professeur Titulaire de Classe Exceptionnelle de Chimie, Directrice de l’Institut Supérieur Professionnel (ISEP) de Matam, Sénégal.2. BADJI Mamadou, Professeur Titulaire de Classe Exceptionnelle d’Histoire du Droit, Recteur de l’Université Assane Seck de Ziguinchor, Sénégal.3. SAGNA Olivier Antoine, Enseignant Chercheur de Sciences de l’Information et de la Communication, Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), Directeur des Études et de la Coopération au MESRI, Sénégal.4. TOURE épouse KANE Ndèye Coumba, Professeur Titulaire des Universités de Classe Exceptionnelle de Bactériologie-Virologie Pharmaceutique, Recteur de l’Université Sine Saloum Elhadj Ibrahima Niass (USSEIN), Sénégal.5. FAYE Roger Marcelin, Professeur Titulaire d’Automatique et Informatique Industrielle, Vice-Recteur à la Recherche, à l’Innovation et au Partenariat, Université Amadou Mahtar MBOW, Sénégal.6. AGBODJI Akoété Ega, Professeur Titulaire en Sciences Économiques, Doyen de la Faculté Sciences Économiques et de Gestion de l’Université de Lomé, Togo.7. NIANG épouse DIENE Aminata, Professeur Titulaire de Géographie humaine, Directrice du Laboratoire Dynamiques Territoriales et Santé, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Sénégal.𝗚𝗿𝗮𝗱𝗲 𝗱’𝗢𝗙𝗙𝗜𝗖𝗜𝗘𝗥1. BA Cheikh Tidiane, Professeur Titulaire de Biologie et écologie animales à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Sénégal.2. DIAW Adama, Professeur Titulaire de Sciences Économiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis, Sénégal.3. KA Mamadou Mourtalla, Professeur Titulaire de Médecine interne, Médecin Colonel des armées, Sénégal.www.lecames.org/des-distinctions-honorifiques-de-loipa-cames-pour-10-recipiendaires-au-senegal-2/flic.kr/s/aHBqjCC7RD ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝗦𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗘́𝗾𝘂𝗶𝘃𝗮𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗗𝗶𝗽𝗹𝗼̂𝗺𝗲𝘀La 40ème Session du Programme Reconnaissance et Équivalence des Diplômes (PRED) a été officiellement lancée, en ligne, ce 𝟮𝟰 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱. La cérémonie d’ouverture s’est déroulée sous la présidence du Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, représentant le Secrétaire Général du CAMES. Etaient également présents, les Présidents et membres des trois Commissions spécialisées de la session d’accréditation, ainsi que des membres du Secrétariat général du CAMES.Cette cérémonie d’ouverture s’est articulée autour du mot d’ouverture du Professeur Souleymane KONATÉ, prononcé par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, de la lecture de quelques articles du Code d’ Éthique et de Déontologie du CAMES et d’une photo de famille virtuelle. Ainsi, après avoir souhaité la chaleureuse bienvenue à l’ensemble des participants, leur exprimant par la même occasion, la gratitude de l’Institution pour leur disponibilité et leur engagement au service du CAMES, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA a délivré le message du Secrétaire Général à l’assistance. Au nom du Secrétaire Général, il a donc rappelé le rôle essentiel du PRED, premier Programme statutaire de l’Institution, créé en 𝟭𝟵𝟳𝟮. En effet, le PRED est dédié à l’accréditation des formations dans l’espace CAMES et dans les pays tiers qui en formulent la demande. Ce Programme a connu, au fil du temps, une évolution notable, portée par les dynamiques internes et les besoins externes. Il a ainsi souligné l’importance de l’intégration de la dimension de l’Assurance Qualité au sein du PRED, en synergie avec les structures nationales des États membres. Le message d’orientation a exhorté les membres des Commissions à examiner chaque dossier conformément aux référentiels du PRED, en s’appuyant sur les rapports d’évaluation externe. Il a rappelé l’importance du respect du Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES, insistant sur la nécessité de décisions motivées et assorties de recommandations pertinentes.Au total, 203 Programmes de formation — dont 104 renouvellements et 99 nouvelles demandes —, issus de 49 établissements répartis dans dix pays (Burkina Faso, Congo, Côte d’Ivoire, France, Gabon, Mali, Niger, Sénégal, Tchad et Togo), seront examinés par les trois Commissions spécialisées : « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission I), « 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission II) et « 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 » (Commission III).www.lecames.org/lancement-en-ligne-de-la-40eme-session-du-programme-reconnaissance-et-equivalence... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦À l’occasion de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES, qui se déroule actuellement à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), le Service de la Communication du CAMES est allé à la rencontre des membres des Jurys des six sections du Concours. 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 Les 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗦𝗲̀𝗱𝗮𝗴𝗯𝗮𝗻 𝗛𝘆𝗴𝗶𝗻 𝗙𝗮𝘂𝘀𝘁 𝗞𝗔𝗞𝗔𝗜 𝗱𝘂 𝗕𝗲́𝗻𝗶𝗻 𝗲𝘁 𝗬𝘃𝗲𝘀 𝗦𝗨𝗥𝗘𝗟 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲, ont partagé leur vision sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur. Ils sont également revenus sur le processus d’évaluation ainsi que sur les qualités fondamentales attendues des candidats. Ces deux éminents membres du Jury ont enfin formulé des conseils avisés destinés aussi bien aux candidats en compétition qu’à ceux qui envisagent de se présenter à de futures éditions, afin de les aider à aborder cette épreuve avec confiance et sérénité. ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦À l’occasion de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES, qui se déroule actuellement à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), le Service de la Communication du CAMES est allé à la rencontre des membres des Jurys des six sections du Concours.𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀Les 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝘆 𝗖𝗔𝗠𝗔𝗥𝗔 𝗱𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶, 𝗘𝗿𝗶𝗰 𝗚𝗔𝗦𝗣𝗔𝗥𝗜𝗡𝗜 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗕𝗹𝗮𝗶𝘀𝗲 𝗔𝗹𝗳𝗿𝗲𝗱 𝗡𝗚𝗔𝗡𝗗𝗢 𝗡𝗗𝗘𝗗𝗜 𝗱𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻, ont partagé leur vision sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur. Ils sont également revenus sur le processus d’évaluation ainsi que sur les qualités fondamentales attendues des candidats. Ces deux éminents membres du Jury ont enfin formulé des conseils avisés destinés aussi bien aux candidats en compétition qu’à ceux qui envisagent de se présenter à de futures éditions, afin de les aider à aborder cette épreuve avec confiance et sérénité. ... See MoreSee Less
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𝐋𝐚 𝐜𝐞́𝐫𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐥𝐨̂𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒, 𝐬𝐞 𝐭𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞 𝐯𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞𝐝𝐢 𝟐𝟏 𝐧𝐨𝐯𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝟏𝟓𝐡, 𝐚̀ 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐂𝐡𝐞𝐢𝐤𝐡 𝐀𝐧𝐭𝐚 𝐃𝐢𝐨𝐩.𝐂𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐜𝐞́𝐫𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞́𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐌. 𝐀𝐦𝐚𝐝𝐨𝐮 𝐌𝐨𝐮𝐬𝐭𝐚𝐩𝐡𝐚 𝐍𝐝𝐢𝐞𝐜𝐤 𝐒𝐀𝐑𝐑𝐄, 𝐌𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐄𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐭𝐞𝐜𝐡𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞.𝑺𝒖𝒊𝒗𝒆𝒛 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒏 𝒅𝒊𝒓𝒆𝒄𝒕 ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦À l’occasion de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES, qui se déroule actuellement à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), le Service de la Communication du CAMES est allé à la rencontre des membres des Jurys des six Sections du Concours.𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰Les 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗢𝘂𝗺𝗮𝗿𝗼𝘂 𝗡𝗔𝗥𝗘𝗬 𝗱𝘂 𝗡𝗶𝗴𝗲𝗿, 𝗣𝗲́𝗹𝗮𝗴𝗶𝗲 𝗧𝗛𝗘𝗢𝗨𝗔-𝗡'𝗗𝗥𝗜 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗼̂𝘁𝗲 𝗱'𝗜𝘃𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗼𝗶𝘀 𝗕𝗟𝗔𝗡𝗖 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲, membres du Jury de cette Section, ont partagé leur vision sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur. Ils sont également revenus sur le processus d’évaluation ainsi que sur les qualités fondamentales attendues des candidats. Ces deux éminents membres du Jury ont enfin formulé des conseils avisés destinés aussi bien aux candidats en compétition qu’à ceux qui envisagent de se présenter à de futures éditions, afin de les aider à aborder cette épreuve avec confiance et sérénité. ... See MoreSee Less
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