Droit de réponse à la tribune de Dandi GNAMOU sur Fasozine.com

Le journal en ligne www.fasozine.com a publié, le 28 juillet 2019, une tribune polémique et fallacieuse sur le CAMES — http://www.fasozine.com/tribune/7143-enseignement-superieur-le-cames-sur-la-sellette.html — dont l’auteure est Dandi GNAMOU, Enseignante-chercheure à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin), récemment frappée par la décision No SO/CM/CAMES/2019-10 du Conseil des Ministres du CAMES, pour manquements aux dispositions du Code d’éthique et de déontologie de notre Institution commune.

Dans ce droit de réponse, publié le 16 septembre 2019, le CAMES apporte des éclaircissements sur les différents propos de l’auteure qui cherche visiblement à jeter un discrédit sur notre Institution commune, et les actions entreprises sur instructions du Conseil des Ministres, en vue de sa modernisation juridique.

Par ce droit de réponse, le CAMES ne cherche pas à polémiquer, mais à éclairer l’opinion publique — les enseignants-chercheurs et chercheurs ainsi que les autorités étatiques sur les allégations qui lui sont faites.


À propos de la prétendue illégalité des mesures adoptées par la 36e session du Conseil des Ministres du CAMES

Les décisions  du Conseil des Ministres du CAMES tenu le 30 mai 2019 à Cotonou au Bénin, présidé par le Pr Jacques FAME DONGO, Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur du Cameroun, signataire à ce titre des actes de la session, et co-présidé par le  Pr Alkassoum MAÏGA, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Burkina Faso, Vice-Président statutaire,  n’ont pas fini de susciter des réactions. 

Une tribune polémique a été ainsi publiée dans un journal burkinabé en ligne, Fasozine.com, le 28 juillet 2019. L’auteure, Madame Dandi GNAMOU,  s’y livre à une critique acerbe de certaines décisions adoptées par cette Instance suprême de l’auguste institution. Elle invoque leur caractère inopportun et illégal en se fondant sur la procédure suivie et sur les règles de fond adoptées.

Il importe d’apporter des éclaircissements et précisions face à cette critique qui, à n’en point douter, manque d’objectivité, de rigueur et de pertinence et participe plutôt à entretenir l’obscurantisme et à tromper le grand public. 

En ce qui concerne la procédure suivie, l’auteure fait valoir d’abord que certaines décisions du Conseil des Ministres du CAMES ont été adoptées avant l’entrée en vigueur des modifications apportées à la Convention portant statut du CAMES ; tel serait le cas du « Règlement intérieur du Conseil des Ministres adopté par Résolution n° 2019-013, mais prévu par la Résolution n° 2019-15 » ; selon l’auteure, « Elle (sic) porte un numéro antérieur à celle (sic) dont elle (sic) doit faire application ».

Dans l’esprit de l’auteure, la Résolution considérée comme mode d’adoption des décisions du Conseil des Ministres n’existe que depuis la révision de la Convention portant statut du CAMES en 2019 à Cotonou au Bénin. De ce fait, selon l’auteure, la Résolution portant adoption du Règlement intérieur des sessions ministérielles ne pouvait pas intervenir avant l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-015 portant révision de ladite Convention.

Une telle analyse procède d’une méconnaissance des textes de l’organisation et des pratiques institutionnelles en vigueur depuis la création du CAMES. La discussion sur l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-15, relative à la révision de la Convention portant statut du CAMES, n’aurait de sens que si le Règlement intérieur du Conseil des Ministres trouvait son fondement dans cette Résolution. Or, tel n’est pas le cas.

L’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-013 trouve son fondement dans les articles 10 et 11 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES. Il résulte de la combinaison de ces articles que le Conseil des Ministres, qui a compétence notamment pour adopter les Résolutions concernant les politiques d’Enseignement supérieur et de la Recherche ainsi que  pour examiner et approuver les comptes rendus des travaux du Comité des experts, y compris les propositions de résolutions et de recommandations, adopte ses décisions par consensus.

D’ailleurs, le Règlement intérieur que la Résolution n° SO-CM/2019-013 abroge et remplace a été adopté, à Ouagadougou, par Résolution du Conseil des Ministres le 17 avril 1989. Au vu de ce qui précède, il est aisé d’admettre que cet aspect de l’analyse de l’auteure est erroné, fallacieux et vise à entretenir la confusion sur le fonctionnement des instances supérieures du CAMES et la légalité de leurs actes, pour trouver une justification imaginaire à une situation somme toute personnelle.

L’auteure fait ensuite observer de manière factuelle inexacte que « l’autorisation des parlements nationaux est impérative (…) », que « créer une organisation internationale sur la base d’un traité en forme simplifiée est inadéquat (…) » et que « pour modifier un traité fondateur, il faut un autre traité (…) ». Les propos tendant à faire accréditer l’idée que le CAMES, pour avoir été créé en violation « des basiques du droit des traités et de l’État de droit », n’a jamais eu d’existence légale n’engagent que l’auteure qui les a tenus et qui, pourtant, a toujours bénéficié des prérogatives attachées à son titre d’agrégée obtenu dans le cadre des programmes du CAMES, notamment celui du Concours d’agrégation.

Cela dit, au-delà de l’amalgame entre procédures de création d’une organisation internationale et processus de modification d’un traité relatif au Statut d’une organisation déjà créée, il y a lieu de relever que l’observation révèle curieusement une grave méconnaissance des textes du CAMES, pour une personne qui a été à maintes reprises sollicitée comme expert au sein de l’Institution. En effet, c’est l’article 26 de la Convention portant Statut du CAMES, qui prévoit les modalités de  sa révision. Il résulte de ce texte que cette Convention peut être amendée ou révisée à la demande d’un État signataire, que le projet d’amendement doit recueillir l’avis favorable de deux autres États membres avant d’être remis au Secrétaire Général, que ledit projet est soumis au Conseil des Ministres et qu’il est adopté à la majorité des 2/3 des États membres. La procédure ainsi décrite débouche sur l’adoption, par le Conseil des Ministres, d’une Résolution validant les modifications ainsi apportées. Cette règle prévue par l’article 26 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES est traditionnellement consacrée par le droit des Traités. En effet, c’est le Traité fondateur qui prévoit les modalités de sa révision ainsi que les organes compétents pour y procéder.

S’agissant des règles de fond, l’auteure considère que du fait de l’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-015, le CAMES serait passé d’une organisation de coopération à une organisation supranationale, avec  pour effet de conférer à son Secrétaire Général « un pouvoir de légation… un pouvoir règlementaire autonome qui peut s’étendre à l’adoption de règlement d’exécution » et de faire du « Conseil des Ministres un parlement qui légifère dans le domaine de l’enseignement supérieur ».

L’idée selon laquelle le CAMES se transforme en organisation supranationale comparable à l’UEMOA avec la possibilité de prendre des « décisions qui s’imposeront aux États et s’appliqueront directement aux individus sans une internalisation préalable » est, de toute évidence, une vue de l’esprit. En effet le CAMES a toujours été une structure supranationale, à caractère spécifique. Il suffit pour s’en convaincre de se référer à ses textes fondamentaux.

Aux termes de l’article 6 de la Convention portant statut du CAMES, chaque programme du CAMES est régi par une Convention ou un Accord négocié et signé par les États qui acceptent d’en faire partie. Il en résulte que la signature par un État d’un Accord ou d’une Convention sous l’égide du CAMES implique l’engagement d’accepter et d’exécuter les obligations qui en découlent. En application des stipulations des Accords ou Conventions signés par les États dans le domaine de l’enseignement supérieur, le CAMES peut prendre des actes pour la réalisation des politiques communes.

C’est pour prendre en compte cette réalité que la Résolution n° SO-CM/2019-015 modifiant la Convention, a prévu deux types d’actes qui, bien que présentant des similitudes avec ceux qu’adoptent traditionnellement les organisations supranationales telles que l’UEMOA, n’en ont ni la même nature ni le même régime juridique.

Les actes émanant du CAMES, contrairement aux règlements et directives de l’UEMOA cités par l’auteure, ne sont pas formulés pour constituer un ordre juridique autonome mais plutôt pour harmoniser la position des États membres en vue de la réalisation de certains programmes et/ou la structuration des organes et instances du CAMES. Ces actes sont de deux ordres : les Directives et les Règlements.

Les Directives sont adoptées pour préciser les engagements que les États ont librement souscrits en vue de la réalisation des objectifs contenus dans les programmes ou pour déterminer les modalités de mise en œuvre des solutions communes dans les domaines prévus par l’article 4 de la Convention portant Statut du CAMES.

Les Règlements, en ce qui les concerne, n’ont ni pour objet ni pour effet de créer des droits ou des obligations au profit ou à la charge des ressortissants des États membres. Comme le prévoit le nouvel article 20-4 de la Convention dans sa rédaction due à la révision de 2019, ils sont destinés uniquement aux organes et instances du CAMES dont ils fixent les modalités de fonctionnement. Cela dit, l’absence de textes ayant un effet direct dans l’ordre juridique interne des États ne s’oppose pas à ce que le CAMES mette en place des instances chargées de prononcer les sanctions appropriées contre les enseignants et chercheurs qui, dans le cadre des programmes auxquels ils participent, s’écartent de manière délibérée des règles d’éthique et de déontologie qui garantissent la qualité des évaluations.  

Le CAMES n’est pas devenu, au vu de ce qui précède, une organisation supranationale par l’effet de la Résolution adoptée lors du dernier Conseil des ministres. Il a toujours été et demeure cette organisation investie par ses fondateurs de la mission d’harmoniser les politiques des États dans les domaines de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

La Résolution de 2019 modifiant la Convention portant Statut du CAMES a eu le mérite de préciser la nature des actes qui doivent être accomplis pour atteindre les objectifs visés et déterminer l’identité des organes ou des instances habilités à les adopter. L’adoption de cette Résolution ne peut donc avoir pour effet de transférer les compétences du Conseil des Ministres au Secrétaire Général qui en tant qu’organe d’exécution, exerce une mission générale de représentation, dirige l’administration du CAMES, exécute les décisions du Conseil des Ministres et des instances académiques et scientifiques du CAMES et participe à la conception des programmes (cf. article 17 de la Convention portant Statut du CAMES).

En ce qui concerne le Conseil des Ministres, il reste l’Instance voulue dès l’origine par les fondateurs du CAMES, c’est-à-dire  investie de la mission d’adopter les textes par lesquels sont définies les solutions communes et appropriées aux problèmes posés par les systèmes d’éducation, les établissements d’Enseignement supérieur, les Institutions de Recherche, les diplômes délivrés, l’accueil des étudiants, l’éducation, la formation et la circulation des étudiants ainsi que la mobilité des enseignants et des chercheurs.

En conclusion, il est à regretter que l’auteure, bénéficiaire des programmes du CAMES, ignore curieusement les textes de l’Organisation, les modalités de fonctionnement de ses instances ainsi que ses pratiques institutionnelles spécifiques. Il peut néanmoins lui être accordé le bénéfice des circonstances atténuantes.

Les textes du CAMES n’étant pas publiés, l’auteur peut soutenir au moins qu’elle n’est pas censée les connaitre. Mais, avec la création d’un Journal officiel du CAMES en vue d’assurer la publication des textes produits dans le cadre de notre Organisation commune, un tel système de défense ne pourra plus être opposé par les enseignants ou chercheurs de mauvaise foi prompts à demander, en invoquant l’absence de mesure de publicité, que soit écartée la règle selon laquelle nul n’est censé ignorer la loi.

Pour la mémoire et la responsabilité collective, il convient de noter que ce Conseil des Ministres ordinaire a été précédé d’une réunion des Experts et a connu la participation de 13 pays membres sur les 19 que regroupe le CAMES.

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𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗦.𝗘.𝗠. 𝗖𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗘𝗡𝗚𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗡𝗚𝗨𝗘𝗠𝗔 𝗢𝗡𝗚𝗨𝗘𝗡𝗘, 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗘́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗽𝗼𝗿𝘁𝘀, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝗗𝘂 𝟵 𝗮𝘂 𝟭𝟯 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, une mission de travail a été menée en République de Guinée Équatoriale par une délégation du CAMES, conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, avec à ses côtés le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Pr Ali DOUMMA, et celui en charge de la Reconnaissance et l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche, Pr Saturnin ENZONGA YOCA. Dans le cadre de cette mission, la délégation a été reçue en audience, 𝗹𝗲 𝟭𝟭 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, par Son Excellence Monsieur Clemente ENGONGA NGUEMA ONGUENE, Ministre d’État, Ministre de l’Éducation, des Sciences, de l’Enseignement professionnel et des Sports.Cette rencontre s’est tenue dans les locaux de la Primature à Bata, en présence de plusieurs hauts Responsables, notamment les Vices-ministres et les Directeurs Généraux en charge de l’éducation, des sciences, ainsi que la Déléguée régionale du Ministère chargé de la coopération internationale.Après les salutations protocolaires, Son Excellence Monsieur le Ministre d’État, a exprimé sa profonde satisfaction de recevoir, pour la première fois depuis l’adhésion de la République de Guinée Équatoriale au CAMES en 2010, une délégation de haut niveau de ladite Institution.A la suite de son propos, le Secrétaire Général du CAMES, a chaleureusement remercié le Ministre d’État pour l’honneur de cette audience et la qualité de l’accueil réservé à sa délégation. Le Secrétaire Général a par ailleurs décliné l’objet de cette visite, à savoir échanger avec le Gouvernement équato-guinéen et les différents acteurs de l’Enseignement supérieur de ce pays membre de l’Institution depuis 2010 sur : (i) la nouvelle vision et le Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024-2028, (ii) les voies et moyens pour une participation effective et entière de la Guinée Équatoriale à toutes les activités statutaires du CAMES, (iii) les attentes de ces différents acteurs vis-à-vis du CAMES.Au terme d’un exposé étoffé sur le CAMES, le Secrétaire Général a formulé plusieurs doléances à l’endroit du Ministre d’État. Il s’agit notamment, de l’accueil par la République de Guinée Équatoriale de la prochaine réunion extraordinaire du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES ; et de la désignation d’un point focal national chargé d’assurer la liaison avec le Secrétariat général de l’Institution.www.lecames.org/une-delegation-du-cames-conduite-par-son-secretaire-general-recue-en-audience-par... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗥𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲Dans le cadre de sa mission de travail en Guinée Équatoriale, la délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, a eu une série de rencontres avec les Responsables académiques des Universités publiques de Guinée Équatoriale.La délégation du CAMES a ainsi rencontré, 𝗹𝗲 𝟭𝟬 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, les Responsables académiques de l’Université Afro-américaine d’Afrique centrale (AAUCA) à Djibloho.Cette rencontre s’est déroulée en présence du Vice-ministre chargé de l’Enseignement supérieur de la République de Guinée Équatoriale, M. Vincente NSUE MENGUE NSUE et de plusieurs cadres dudit Ministère. Le Vice-ministre a rappelé l’objet de cette rencontre qui est, entre autres, de discuter directement avec les Institutions d’Enseignement supérieur et de Recherche du pays, en vue de consolider les relations entre le CAMES et la Guinée Équatoriale. L’université Afro-américaine d’Afrique centrale a été ensuite présentée par son Recteur, Pr Paulo SPELLER.Le Secrétaire Général du CAMES a par la suite, dans son mot introductif, tenu à présenter ses vifs remerciements au Vice-ministre pour avoir initié cette rencontre et pour son accompagnement personnel lors de ses importantes visites de terrain.𝗟𝗲 𝟭𝟭 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, la délégation du CAMES a visité les locaux de l’Université Nationale de Guinée Équatoriale (UNGE) à Bata. Lors de cette visite la délégation, accompagnée du Vice-recteur de l’UNGE à Bata et du Directeur Général de la Coopération internationale (Point focal national CAMES), a visité la Faculté de Médecine et la Faculté des Sciences de l’éducation de ladite Université.𝗟𝗲 𝟭𝟮 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, a été l’occasion pour la délégation du CAMES de visiter l’Université Nationale de Guinée Équatoriale (UNGE), dans les locaux de ladite Université à Malabo.Dans son mot introductif, le Recteur de l’UNGE, M. Filiberto Ntutumu NGUEMA NCHAMA, entouré de ses collaborateurs, a souhaité la bienvenue à la délégation du CAMES tout en exprimant toute sa satisfaction d’échanger directement avec le Secrétaire Général du CAMES en vue de mieux cerner les missions de l’Institution. Cette rencontre a également été l’occasion pour le Recteur de l’UNGE de partager avec la délégation du CAMES les difficultés auxquelles les Universités africaines font face. Saisissant cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES, précisant la place prépondérante des questions de gouvernance des Universités dans les réunions du Comité Consultatif Général (CCG), a fortement invité les Responsables d’IESR à y participer activement à l’avenir.En marge de cette visite, la délégation du CAMES a effectué une visite de courtoisie au Ministre délégué de la Santé et du Bien-être social, M. Práxedes Rabat Makambo.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-pr-souleymane-konate-rencontre-les-responsables-de... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝗮𝘁 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲Dans le cadre de sa mission de travail en République de Guinée Équatoriale, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a effectué, le 13 septembre 2025, une visite de courtoisie à Son Excellence Monsieur le Consul Général du Burkina Faso auprès de la République de Guinée Équatoriale, dans les locaux du Consulat Général à Malabo.Il était accompagné du Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, ainsi que du Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes en charge de la Reconnaissance et de l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche.À l’occasion de cette rencontre, le Secrétaire Général a exprimé ses civilités à Son Excellence Monsieur Filatiéni COULIBALY, Consul Général, et a adressé ses vifs remerciements à l’ensemble du personnel du Consulat pour son implication active dans les préparatifs de la mission du CAMES en Guinée Équatoriale. Il a également tenu à traduire toute sa reconnaissance pour l’accueil chaleureux réservé à la délégation à son arrivée en République de Guinée Équatoriale. Il a par ailleurs présenté une synthèse des échanges tenus avec les autorités équato-guinéennes, axés sur le renforcement de la coopération entre le CAMES et la République de Guinée Équatoriale.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-secretaire-general-du-cames-au-consulat-general-du-burkin... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 œ𝘂𝘃𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗯𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗮𝗴𝗲 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗮 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼Dans le cadre du processus d’opérationnalisation de son Plan Stratégique de Développement 2024-2028, notamment dans le domaine de l’amélioration de sa gouvernance, le CAMES à initié un processus de passage à une gestion de type « budget programme ». C’est dans ce contexte qu’une importante rencontre s’est tenue le vendredi 26 septembre 2025, au siège du CAMES, avec des responsables de la Direction Générale du Budget, du Ministère de l’Économie et des Finances du Burkina Faso.Cette séance de travail stratégique visait à jeter les bases techniques et institutionnelles de la mise en place de ce nouveau modèle de gestion axé sur la performance, conformément aux standards de transparence et de redevabilité exigés dans la gestion publique moderne.Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES, pour ouvrir cette session, a exprimé sa gratitude à l’endroit de l’équipe de la DGB pour sa disponibilité et son engagement à accompagner le CAMES dans cette dynamique d’amélioration de la gouvernance financière. Il a, à cet effet, rappelé l’importance de cette transition vers l’approche budget programme, levier essentiel de la performance institutionnelle, avant de présenter la vision stratégique du CAMES, ses Programmes statutaires ainsi que les grandes orientations du Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC 2024–2028).Prenant la parole à son tour, le Directeur des Réformes Budgétaires du Burkina Faso a salué l’initiative du CAMES et s’est réjoui de la volonté manifeste de l’Institution à s’inscrire dans une logique de résultats. Il a notamment souligné le fort engagement de l’équipe dirigeante, qu’il considère comme un acquis majeur pour la réussite de la mise en œuvre du budget programme. Il a également relevé la pertinence du PSDC 2024–2028, qui constitue une base solide pour une déclinaison cohérente de la vision du CAMES en une politique budgétaire axée sur les résultats, facilitant ainsi l’évaluation de la performance à la fin de chaque exercice budgétaire. www.lecames.org/vers-la-mise-en-oeuvre-du-budgetprogramme-au-cames-une-rencontre-de-cadrage-tenue... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗩𝗶𝗿𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a accordé une audience le 26 septembre 2025, au Président de l’Université Virtuelle du Burkina Faso (UV-BF), Dr (MC) Oumarou ZALLÉ, accompagné de ses collaborateurs, Pr Tizane DAHO et M. Armand TENKODOGO. Cette rencontre s’est tenue en présence du Directeur des Programmes en charge de la Reconnaissance et de l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA.L’objectif principal de cette visite était de présenter les civilités de l’équipe dirigeante de l’UV-BF au Secrétaire Général et d’échanger sur les mécanismes à mettre en place pour une prise en compte effective des candidatures des Enseignants-chercheurs et Chercheurs de l’Université Virtuelle du Burkina Faso aux prochaines évaluations du CAMES.Au terme de discussions constructives, la délégation de l’UV-BF s’est dite rassurée et satisfaite de l’écoute attentive du Secrétaire Général ainsi que de la disponibilité manifeste du CAMES à accompagner l’Université. Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a réaffirmé la volonté de collaboration du CAMES avec l’ensemble des IESR des pays membres, dont l’UV-BF.www.lecames.org/le-president-de-luniversite-virtuelle-du-burkina-faso-recu-en-audience-par-le-sec... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗔𝗯𝗱𝗼𝘂𝗹𝗮𝘆𝗲 𝗙𝗔𝗗𝗜𝗚𝗔 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹'𝗨𝗘𝗠𝗢𝗔, 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟲La Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) lance un appel à candidatures pour l'édition 2026 du Prix Abdoulaye FADIGA (PAF) pour la promotion de la Recherche économique au sein de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Lancé en mars 2008, ce Prix rend hommage à Monsieur Abdoulaye FADIGA, premier Gouverneur africain de la BCEAO (1975-1988).𝗢𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅Le PAF vise, entre autres, à : (i) encourager l’excellence en matière de Recherche en sciences économiques, (ii) promouvoir des approches théoriques et empiriques permettant de relever les défis auxquels les économies de l’UEMOA sont confrontées et (iii) stimuler l’Innovation chez les jeunes Chercheurs et les économistes professionnels ressortissants de l’UEMOA.𝗖𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱’𝗲́𝗹𝗶𝗴𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́Sont éligibles au Prix Abdoulaye FADIGA, tout Chercheur ou toute équipe de Chercheurs en sciences économiques :- ressortissants du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d'Ivoire, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Niger, du Sénégal ou du Togo, quel que soit leur pays de résidence ;- âgés de quarante-cinq (45) ans au plus au 31 décembre 2026 ;- justifiant d’un diplôme d’au moins Bac+5 en sciences économiques.𝗗𝗮𝘁𝗲 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲 : 31 août 2026. www.lecames.org/lancement-du-prix-abdoulaye-fadiga-pour-la-promotion-de-la-recherche-economique-d... ... See MoreSee Less
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𝗔𝗟𝗘𝗥𝗧𝗘 𝗜𝗡𝗙𝗢 : 𝗟𝘂𝗻𝗱𝗶 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝘃𝗮𝗰𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 !En raison des congés annuels du Secrétariat général, votre newsletter sera suspendue du 18 août au 22 septembre 2025. ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗮𝗱𝗼𝗽𝘁𝗲𝗻𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗳𝗲𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗼𝘂𝘁𝗲 𝗶𝗻𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗲𝗻 𝗲𝘅𝗲𝗿𝗰𝗶𝗰𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻Une délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, et composée du Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Pr Ali DOUMMA, a effectué une mission de travail en République de Guinée du 8 au 11 août 2025.Cette mission est organisée dans le cadre de la série de concertations régulières qu’entretient le Secrétaire Général du CAMES avec le Président en exercice du Conseil des Ministres du CAMES, fonction assurée par le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la République de Guinée, M. Alpha Bacar BARRY. Elle s’est articulée autour d’une séance de travail avec la commission de réflexion, mise sur pied par les autorités guinéennes, sur l’élaboration d’une feuille de route pour la présidence en exercice du Conseil des Ministres du CAMES. Cette séance de travail a été suivie d’une audience avec le Président en exercice du Conseil des Ministres du CAMES sur ladite feuille de route et sur la vie de notre Institution commune.Ainsi, le samedi 9 août 2025, une séance de travail avec la commission de réflexion sur l’élaboration d’une feuille de route de la présidence en exercice du Conseil des Ministres du CAMES a eu lieu, dans les locaux du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation (MESRSI). Elle a été l’occasion pour le Secrétaire Général du MESRSI, par ailleurs Président de ladite commission, Dr Facinet CONTÉ, de souhaiter la chaleureuse bienvenue à la délégation du CAMES en terre africaine de Guinée. Il a par la suite précisé l’objet de la rencontre qui est d’échanger sur le projet de feuille de route de la présidence du Conseil des Ministres, élaborée par le Secrétariat général du CAMES, sur la base des propositions soumises par la commission et des orientations stratégiques du CAMES pour l’année en cours.Tout en saluant l’originalité de l’élaboration d’une feuille de route pour le Président en exercice du Conseil des Ministres du CAMES, « une innovation inédite » dans l’histoire de notre Institution à ses yeux, le Secrétaire Général du CAMES a rappelé les attributions du Président du Conseil des Ministres telles que définies par les textes réglementaires du CAMES, que sont la Convention portant Statut du CAMES et le Règlement Intérieur relatif aux sessions du Conseil des Ministres du CAMES. Il a par ailleurs décliné l’objet de sa mission en Guinée qui est d’avoir une séance de travail avec la commission afin de finaliser le projet de feuille de route.Après des échanges fructueux, une feuille de route réaliste et réalisable pour le mandat a été adoptée par les deux parties sur la base des documents de travail soumis aux participants à la réunion. Cette feuille de route a été remise au Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la Guinée, Président en exercice du Conseil des Ministres du CAMES, au cours d’une cérémonie solennelle, tenue le lundi 11 août 2025 dans les locaux dudit ministère, en présence des membres de la commission et de la délégation du CAMES.Au cours de cette cérémonie, les participants ont eu l’insigne honneur d’être salués et encouragés par Son Excellence le Général d’armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République de Guinée, Chef de l’État, en visite inopinée dans ledit ministère.www.lecames.org/le-cames-et-la-guinee-adoptent-une-feuille-de-route-inedite-pour-la-presidence-en... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗼𝗻𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘂 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗢𝘂𝗮𝗴𝗮𝗱𝗼𝘂𝗴𝗼𝘂Les 4 et 5 août 2025, les six nouveaux Présidents des Jurys du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) se sont réunis, au siège de l’Institution à Ouagadougou, au Burkina Faso. Cette rencontre avait pour objectif principal de procéder à la désignation des membres desdits Jurys et préparer ce prestigieux Concours, prévu en novembre prochain à Dakar, au Sénégal.La cérémonie d’ouverture, organisée le 4 août 2025, a été présidée par le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, en présence du Professeur Félicien AVLESSI, Président du Comité Consultatif Général du CAMES et Recteur de l’Université d’Abomey-Calavi.Le mot du Président du Comité Consultatif Général, Professeur Félicien AVLESSI, a été l’opportunité de rappeler l’importance capitale de ce Concours. Il a en effet expliqué que ce Concours est un outil crucial pour l’Enseignement supérieur et la Recherche à travers le choix des meilleurs profils, répondant aux standards internationaux et à même de contribuer à la transformation qualitative de nos pays s’appuyant sur les domaines que sont les Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion.Dans son allocution d’ouverture, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a exprimé sa gratitude à l’endroit des Présidents des Jurys des six (6) sections. Il leur a rappelé que le succès de ces deux journées de travail, déterminantes pour la préparation du Concours, dépendra de leurs expertises respectives dans la constitution des Jurys, ainsi que de leur parfaite compréhension et leur adhésion aux directives du Comité Consultatif Général et du Secrétariat général. Les allocutions de cette cérémonie, ont cédé la place à la signature du Code d’Éthique et de Déontologie par les Présidents de Jury, marquant ainsi leur engagement envers les valeurs et principes du CAMES. Les travaux à proprement parler ont succédé à cette cérémonie d’ouverture avec à l’ordre du jour, le partage d’informations diverses sur le Concours, la présentation de la plateforme numérique du Concours, et la désignation des membres des différents Jurys selon les critères prédéfinis et sur la base des propositions des différentes Universités.www.lecames.org/les-nouveaux-presidents-des-jurys-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg-ont-ten... ... See MoreSee Less
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