Appel à contributions : Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique


Le Programme Thématique de Recherche (PTR) Langues, Sociétés, Cultures et Civilisations (LSCC) lance un appel à contributions sur thème « Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique ».


Le PTR LSCC rassemble en réseaux, les enseignants-chercheurs et les chercheurs de l’espace CAMES en une communauté de sujets (F. Jullien, 2016). Ainsi, face aux défis de notre temps, ils introduisent leurs initiatives dans le monde afin d’y porter une vision des universités. En effet, dans un contexte où l’Humain paraît réductible aux paradigmes d’efficacité, de rentabilité, de rapidité et de performance, il devient urgent que les Sciences Humaines et Sociales fournissent aux décideurs politiques et aux acteurs sociaux, des outils théoriques, méthodologiques et pratiques aptes à édifier des citoyens complets,  c’est-à-dire des citoyens volontaires, inventifs, rationnels et empathiques.

1/ Équipe de coordination :

  • Professeure Céline Yolande KOFFIE-BIKPO, UFHB, Coordinatrice du PTR-LSCC
  • Professeure Aimée-Danielle LEZOU KOFFI, UFHB, Coordinatrice adjointe du PTR-LSCC
  • Docteur Antoine Fobah KACOU, UFHB, Chargé de la communication, kakoufoba@outlook.fr

2/ Termes de références

Les élections constituent l’un des moyens, pour les communautés, de se doter des meilleurs représentants ou dirigeants. Pour y parvenir, les populations et leurs représentants devraient être animés par une conception noble du pouvoir (celle de maintenir la paix et la cohésion sociale dans la durée) soutenue par une certaine éthique. Or, dans l’Afrique moderne ou contemporaine, l’on constate une rupture avec cette vision. Les élections politiques riment trop souvent avec angoisse, incertitude et instabilité. Les joutes électorales débouchent fatalement sur des conflits, des crises. Comment expliquer une telle faillite ? Le diagnostic et l’analyse de la situation imposent de prendre en compte certaines considérations historiques, socio- culturelles et politiques. D’un point de vue historique, contrairement à l’idée reçue d’une importation de la démocratie, de ses procédures et de ses corollaires, la requête du suffrage démocratique n’est pas étrangère à certains systèmes politiques africains traditionnels. Avant l’importation des systèmes occidentaux de participation, et plus particulièrement du vote, il n’était pas exceptionnel de rencontrer des formules de contrôle du pouvoir ou de prise de décision de type démocratique par le peuple :

« La plupart des nations africaines avant la colonisation étaient constituées en royaumes dont l’organisation n’était pas éloignée de celle de la monarchie parlementaire britannique. Les affaires de la cité se réglaient autour « des arbres à palabres » avec la participation des populations ou leurs représentants : c’était le temps de légiférer, de décider, de juger… Dès lors, on peut sans équivoque établir un parallèle entre la structure des « chefs traditionnels et notables » et celle des « chefs d’État et notables ». Le pouvoir était délégué, les peuples étaient associés à la gestion des royaumes »

Biléou Sakpane-Gbati (2011).

De même, l’organisation politique chez les peuples Kru de Côte d’Ivoire est caractérisée par un système démocratique où le chef est élu et les décisions, soumises à des débats publics. Les sociétés pastorales sahélo – sahariennes, Peuls et Touaregs notamment ; pratiquaient des modes de gouvernance qui consacrent la participation des différents clans à la désignation des dirigeants. Elles disposaient également de mécanismes de sanctions. Les bons chefs régnaient plus longtemps alors que ceux défaillants se faisaient vite détrôner pour préserver l’intérêt général. Sur le plan des considérations socio-culturelles, les représentations liées au pouvoir pourraient élucider l’énigme. Ainsi, analysant le rapport au pouvoir dans certaines sociétés Bantoues, l’on identifie, par exemple, le paradigme de « l’homme fort » où le chef est un conquérant qui doit être craint :

« Un chef faible était renversé et la chefferie changeait de main et/ou de lignée. La pratique de coups d’État n’était donc pas absente. Le pouvoir s’arrachait aux différents prétendants. La légitimité d’un chef était fonction de sa capacité à tenir son royaume d’une main de fer. Sa crainte était fonction de sa force de frappe »

Kakdeu (2020).

Une autre réalité de l’Afrique traditionnelle est celles des lignées destinées à la gouvernance. Sur la base de ce modèle féodal, certaines communautés et par ricochet certains chefs d’États se disent destinés au pouvoir et peinent à accepter l’alternance.

Indépendamment de ces représentations, des pratiques sociopolitiques comme les détournements de deniers publics, l’impunité et autres scandales dans la sphère politique ont présenté les responsabilités étatiques comme « un gâteau à partager ». Les postes électifs ou nominatifs sont généralement perçus comme une situation de rente menant à l’enrichissement illicite. Dès lors, des biais entachent les processus électoraux et débouchent sur des crises voire des conflits. Ce sont : les découpages électoraux arbitraires, les commissions électorales dites indépendantes sujettes à caution, la modification opportuniste des lois fondamentales, l’État civil et le problème des pièces d’identités, les cartes d’électeurs distribuées arbitrairement, le bourrage des urnes, la mauvaise répartition des bureaux de vote ou leur création fictive, le refus d’accréditer des observateurs étrangers, etc. Et que dire des discours à fort ancrage identitaire et qui riment avec ethnie, liens de parenté ou toute autre considération socioculturelle ? Oserions-nous enfin aborder la question sensible du système néocolonial dans lequel l’indépendance réelle et la souveraineté des ex-colonies font débat ?

Malgré tout, l’Afrique post conférences nationales (1990) a expérimenté une vague de transitions démocratiques avec le retour au multipartisme et au principe des élections libres et transparentes. Elle a ainsi replacé la question du vote au centre de la politique africaine. Dans certains cas, encore rares malheureusement, les partis au pouvoir perdent des élections. L’alternance est recherchée et les résultats sont acceptés même s’ils sont défavorables aux sortants comme on a pu le constater au Bénin, au Congo, à Madagascar, au Nigeria, et au Sénégal. Les décisions du juge électoral sont respectées comme au  Mali où la Cour Suprême a annulé l’ensemble des élections législatives de 1997. Ce sont là, autant d’événements qui attestent d’une évolution sensible dans les comportements politiques vis-à-vis de la pratique électorale, du droit et de son juge et d’une nouvelle vision du politique en Afrique. Malgré ces notes optimistes, les élections restent encore problématiques sur le continent africain.

Aussi, dans un souci d’amélioration constante et de valorisation de la recherche sur l’ensemble de l’espace CAMES , le Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC) « ambitionne en général, dans ses sept (7) orientations stratégiques, et en particulier dans les actions suivantes : mettre en place un système d’information pour les programmes, améliorer la gouvernance des programmes ; soutenir et valoriser la formation ; promouvoir le développement des écoles et formations doctorales dans l’espace ; accroitre l’impact de la recherche ». Dans ce cadre, le programme thématique de recherche (PTR) Langues, Sociétés, Cultures et Civilisations (LSCC) lance le projet : « Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique ».

Il s’agit pour les universitaires de mener des recherches approfondies autour des dix axes identifiés.

3/ Axes et responsables

  • Axe 1 : Les dynamiques électorales en Afrique post conférences nationales (Essohanam Batchana, essobatchana@gmail.com,  Université de Lomé, Togo)
  • Axe 2 : Autour du pouvoir : questionner l’Afrique traditionnelle (Alain Sissao, alainsis@gmail.com,  INSS/CNRST, Burkina Faso)
  • Axe 3 : Démocratie, Médias et systèmes de gouvernance (André Tassou, tassou_andre@yahoo.frtassouandre@gmail.com, Université Yaoundé 1, Cameroun)
  • Axe 4 : Évaluation des mécanismes régionaux de gestion et de prévention des crises (Jean François Owaye, jfow2012@gmail.com,  UOB, Gabon)
  • Axe 5 : Éthique et élections (Marcel N’guimbi, nguimarc@gmail.com,  Université Marien N’Gouabi, Congo Brazza)
  • Axe 6 : Rhétorique des élections (Nanourougo Coulibaly,  coulyna@yahoo.fr,  UFHB, Côte d’Ivoire)
  • Axe 7 : La problématique du genre dans les processus électoraux (Yvette Onibon Doubogan, yvette.onibon@gmail.com, Université de Parakou, Bénin,)
  • Axe 8 : Identités (ethnique, culturelle, religieuse) et enjeux électoraux (Patrice Correa, patrice.correa@ugb.edu.sn, UGB, St Louis,  Sénégal)
  • Axe 9 : Gouvernance de la paix et de la sécurité dans un contexte de vulnérabilités lié au terrorisme  (Boubacar Diallo,  londiori@hotmail.com, UAM, Niamey, Niger)
  • Axe 10 : Les problématiques de la souveraineté des états et des processus d’intégration régionale (Hervé Kombieni, hervekombieni@yahoo.fr, UAC, Bénin)

Les enseignants-chercheurs et chercheurs intéressés par les problématiques identifiées pourront entrer en contact, par voie de mail, avec les responsables d’axes ou le responsable de la communication (Docteur Antoine Fobah KACOU : kakoufoba@outlook.fr).


Biographie

  • BONIFACE P. & VEDRINE H., 2009, Atlas des crises et conflits, Paris : Armand Colin & Fayard
  • CEDEAO, 2012, Les Systèmes de conflits en Afrique de l’Ouest : le cas de la bande sahélo – saharienne,
  • DARRACQ Vincent & Magnani Victor, 2011, ‘’Les Elections en Afrique un mirage démocratique’’, in Politique Étrangère, Cairn.info, pages 839-850,
  • EWANGUI Céphas Germain, 2013, Démocratie et élections en Afrique, Paris : L’Harmattan
  • OSTROM Elinor, 1990, Governing the commons: The evolution of institutions for collective actions, Cambridge actions, Cambridge University Press
  • QUANTIN Patrick et al, 2004, Voter en Afrique : comparaisons et différenciations, Paris : L’Harmattan.
  • SAKPANE-GBATI Biléou, 2011, « La démocratie à l’africaine », Revue Éthique publique, vol. 13, n° 2, Dialogues pour réinventer la démocratie, https://doi.org/10.4000/ethiquepublique.679
  • SIEGLE J & COOK Candace, 2020, Evaluation des élections de 2020 en Afrique, Centre d’Études Stratégiques de l’Afrique.

21 hours ago

Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝗻 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 (𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚) 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗗𝗮𝗸𝗮𝗿Le Sénégal accueille, du 10 au 21 novembre 2025, au sein de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), les épreuves en présentiel de la 22ème Session du Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES. Au total, 113 candidats, répartis en six (06) sections, issus du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, du Congo, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Mali, du Niger, du Sénégal, du Tchad et du Togo, seront évalués par 37 éminents membres de Jury. La cérémonie solennelle d’ouverture de cette session, s’est tenue le 𝟭𝟬 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, sous la présidence du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Sénégal, Pr Daouda NGOM.Cet événement solennel s’est déroulé en présence du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, du Président par intérim du Comité Consultatif Général du CAMES, Pr Gérard GRESENGUET, du Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES, Pr Habibou ABARCHI, du Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Pr Alioune Badara KANDJI, du Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’UCAD, par ailleurs Présidente de la Commission Locale d’Organisation, Pr Aminata CISSÉ NIANG, du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Pr Ali DOUMMA, du Président Coordonnateur général des Jurys du Concours, Pr Pam ZAHONOGO. Des membres du Gouvernement, des Représentants d’Institutions, les membres des Jurys, les candidats du Concours et d’illustres personnalités du monde académique ont également répondu présent à cette importante cérémonie.Les allocutions au programme, ont tour à tour, marqué de leur empreinte de solennité cet évènement. Ainsi, Pr Alioune Badara KANDJI, dans son allocution de bienvenue a exprimé toute la fierté de son Institution, d’abriter cette prestigieuse rencontre scientifique.Le Président par intérim du CCG, Pr Gérard GRESENGUET, a lui, rappelé dans son propos, que depuis 1983, ce Concours constitue un levier essentiel de promotion des Enseignants-chercheurs de l’espace CAMES. Parlant de l’impact du Concours, Pr Souleymane KONATÉ a rappelé que « 𝘧𝘢𝘤𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘦́𝘧𝘪𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘮𝘱𝘰𝘳𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘹𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘮𝘱𝘰𝘴𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘨𝘦́𝘰𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘪𝘢𝘭𝘦, 𝘪𝘭 𝘥𝘦𝘷𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘳𝘶𝘤𝘪𝘢𝘭 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘯𝘧𝘰𝘳𝘤𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘭𝘰𝘤𝘢𝘭𝘦𝘴 𝘯𝘦́𝘤𝘦𝘴𝘴𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘶𝘯𝘦 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘶𝘯𝘪𝘦, 𝘧𝘰𝘳𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘱𝘳𝘰𝘴𝘱𝘦̀𝘳𝘦. 𝘗𝘭𝘶𝘴 𝘲𝘶’𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘪𝘮𝘱𝘭𝘦 𝘦́𝘷𝘢𝘭𝘶𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴, 𝘤𝘦 𝘊𝘰𝘯𝘤𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘳𝘦𝘱𝘳𝘦́𝘴𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘶𝘯 𝘪𝘯𝘷𝘦𝘴𝘵𝘪𝘴𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘦́𝘨𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘴 𝘌́𝘵𝘢𝘵𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘧𝘰𝘳𝘮𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦𝘴 𝘩𝘶𝘮𝘢𝘪𝘯𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘩𝘢𝘶𝘵 𝘯𝘪𝘷𝘦𝘢𝘶, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭’𝘦́𝘥𝘪𝘧𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘶𝘯𝘦 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘰𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘥𝘦́𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘳𝘦𝘱𝘰𝘴𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳». Dans son discours d’ouverture, le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la République du Sénégal, Professeur Daouda NGOM, a souligné l’importance stratégique de l’Enseignement supérieur et de la Recherche comme leviers essentiels du développement du continent africain. Cette cérémonie s’est achevée dans une atmosphère empreinte de solennité et de convivialité et scelle ainsi le lancement officiel de cette 22ème Session du Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES, placée sous le signe du savoir, du mérite, de l’excellence et de l’intégration académique africaine.www.lecames.org/les-epreuves-en-presentiel-du-22eme-concours-dagregation-en-sciences-juridiques-p... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰 𝗲𝘁 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝗿𝗶𝘃𝗲́ 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻À l’issue de la cérémonie d’ouverture officielle de la 22ème Session du Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion, le Secrétariat général du CAMES s’est entretenu, en présence du Président du Comité Consultatif Général et de celui de la Commission d’Éthique et de Déontologie, avec les membres des différents Jurys des Sections Sciences Économiques, Sciences de Gestion, Droit Public et Droit Privé. Cette rencontre a été placée sous la présidence du Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ et la modération du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA.Cette rencontre d’échange et de discussions a été organisée afin de tirer les leçons préliminaires du déroulement de la première épreuve et de partager les orientations du Secrétariat général et des personnes ressources, aux membres des Jurys. Il s’est agi également de recueillir leurs questions, recommandations et suggestions dans un esprit d’amélioration continue du processus d’évaluation. Ainsi, le Président par intérim du Comité Consultatif Général du CAMES, Professeur Gérard GRESENGUET, dans son propos, a rappelé la mission du Comité Consultatif Général, organe de supervision académique du CAMES. Il a également félicité les experts présents pour la qualité du travail abattu dans leurs Institutions respectives. À sa suite, le Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie, Professeur Habibou ABARCHI, s’adressant aux membres des Jurys, a rappelé la mission préventive de la CED à travers cette rencontre et sa présence au Concours. Pr Pam ZAHONOGO, Président Coordonnateur des Jurys, citant le Secrétaire Général, a évertué ses collègues à une évaluation rigoureuse sans être rigide. Il les a encouragés à conduire ces évaluations avec rigueur, impartialité pour répondre de manière idoine aux grandes attentes des Universités vis-à-vis de ce Concours. Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, prenant la parole à son tour, a remercié l’engagement des différents membres des Jurys au nom de toute la communauté universitaire et scientifique. Des échanges sous la modération du Directeur des Programmes, Pr Ali DOUMMA, ont été l’occasion de soulever quelques points d’intérêt et partager des pistes de solution face aux défis évoqués. www.lecames.org/le-secretariat-general-du-cames-rencontre-les-membres-des-jurys-des-sections-scie... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝗮𝗾𝘂𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 (𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚) 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) vous invite à découvrir la plaquette du 22ème Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG). Ce document met en lumière l’organisation, les acteurs et les principales informations de cette 22ème Session du Concours.La plaquette présente notamment :- les messages officiels du Président de la République du Sénégal, du Secrétaire Général du CAMES et du Recteur de l’UCAD ;l’historique et les actions phares du CAMES, témoignant des progrès accomplis ;- les statistiques du Concours de 1983 à 2023, retraçant quarante années d’excellence académique ;- la présentation du Concours et de son règlement général ;- la liste des candidats et des membres du jury, ainsi que la répartition des salles ;- la 7ème édition du Prix Coris Bank, récompensant le meilleur lauréat de toutes les Sections du Concours ;- et enfin, le Programme officiel du Concours, détaillant les différentes étapes et cérémonies de cette Session.www.lecames.org/publication-de-la-plaquette-du-22eme-concours-dagregation-des-sciences-juridiques... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹À Dakar, dans le cadre de la 22ème Session du Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion, qui se tient du 10 au 21 novembre 2025 à l’Université Cheikh Anta Diop, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, accompagné du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA, a rendu une visite de courtoisie au Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Sénégal, Professeur Daouda NGOM, Ministre de tutelle du CAMES. Cette rencontre a également vu la présence de Professeur Alioune Badara KANDJI, Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.Cette visite de courtoisie s’est tenue le 𝟳 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, à quelques jours de la cérémonie d’ouverture officielle de cette 22ème Session du Concours d’Agrégation, placée sous la présidence du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation.Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, présentant l’objet de la visite, a tenu à exprimer au Ministre, ses civilités et ses remerciements pour l’accueil de cette Session du Concours d’Agrégation SJPEG. Cette visite était également le lieu de recueillir les observations de Ministre du tutelle quant à la tenue de la Session du Concours, abritée par l’UCAD.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-secretaire-general-du-cames-au-ministre-de-lenseignement-... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗗𝗮𝗸𝗮𝗿Le Sénégal accueille, du 𝟭𝟬 𝗮𝘂 𝟮𝟭 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, à l’Institut des Métiers du Droit (IMD) de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), les 2ème et 3ème épreuves de la 22ème session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES. Pour cette phase présentielle, 113 candidats issus de 11 pays africains seront évalués par un Jury composé de 37 membres.𝗨𝗻𝗲 𝗰𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗱’𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗰𝗲́𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹La cérémonie d’ouverture, présidée par le Ministre sénégalais de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Pr Daouda NGOM, s’est tenue le 10 novembre 2025 en présence du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, du Président par intérim du Comité Consultatif Général du CAMES, Pr Gérard GRESENGUET, du Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES, Pr Habibou ABARCHI, du Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Pr Alioune Badara KANDJI, du Directeur des Programmes, en charge des Concours d’Agrégation, Pr Ali DOUMMA, du Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’UCAD, Pr Aminata CISSE NIANG, du Président Coordonnateur général des Jurys du Concours, Pr Zahonogo PAM. Des membres du Gouvernement, des Représentants d’Institutions, les membres des Jurys, les candidats du Concours et d’illustres personnalités académiques, y ont également pris part.Les différentes allocutions sont revenues tour à tour sur l’honneur fait par le CAMES au Sénégal et à l’Université Cheikh Anta DIOP (UCAD) pour l’accueil de ce prestigieux évènement, le rôle du Concours comme instrument de promotion et d’excellence pour les Enseignants-chercheurs africains, l’importance du CAMES comme pilier de la qualité et de l’intégration académique africaine, l’attachement aux valeurs d’équité, de transparence, de rigueur et d’éthique dans l’évaluation.Cette cérémonie marque le lancement officiel d’une session placée sous le signe du savoir, du mérite et de l’intégration académique africaine.𝗥𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗹𝗲 𝗖𝗖𝗚, 𝗹𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝗿𝗶𝘃𝗲́ 𝗲𝘁 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰A l’issue de cette cérémonie d’ouverture officielle, le Secrétariat général du CAMES s’est entretenu, en présence du Comité Consultatif Général et de la Commission d’Ethique et de Déontologie, avec les Jurys des Sections Sciences Économiques, Sciences de Gestion, Droit Public et Droit Privé. A la suite de cette rencontre, les membres des Jurys, se sont eux, entretenus avec leurs candidats afin de leur prodiguer conseils et recommandations pour la suite des épreuves. ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗢𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗹𝗲𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗘𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La cérémonie d’ouverture de ce prestigieux Concours s’est tenue le 10 novembre 2025, dans la salle de conférence de l’UCAD II, sous la présidence effective du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la République du Sénégal, Pr Daouda NGOM.Revivez les temps forts de cette cérémonie à travers une sélection d’extraits de discours. ... See MoreSee Less
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𝗢𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗹𝗲𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗘𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La cérémonie d’ouverture de ce prestigieux Concours s’est tenue le 10 novembre 2025, dans la salle de conférence de l’UCAD II, sous la présidence effective du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la République du Sénégal, Pr Daouda NGOM.Revivez les temps forts de cette cérémonie à travers une sélection d’extraits de discours. ... See MoreSee Less
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𝗢𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗹𝗲𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗘𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La cérémonie d’ouverture de ce prestigieux Concours s’est tenue le 10 novembre 2025, dans la salle de conférence de l’UCAD II, sous la présidence effective du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la République du Sénégal, Pr Daouda NGOM.Revivez les temps forts de cette cérémonie à travers une sélection d’extraits de discours. ... See MoreSee Less
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𝗢𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗹𝗲𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗘𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La cérémonie d’ouverture de ce prestigieux Concours s’est tenue le 10 novembre 2025, dans la salle de conférence de l’UCAD II, sous la présidence effective du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la République du Sénégal, Pr Daouda NGOM.Revivez les temps forts de cette cérémonie à travers une sélection d’extraits de discours. ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝐋𝐚 𝐜𝐞́𝐫𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐨𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐝'𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐒𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒 𝐬𝐞 𝐭𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞 𝐥𝐮𝐧𝐝𝐢 𝟏𝟎 𝐧𝐨𝐯𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐂𝐡𝐞𝐢𝐤𝐡 𝐀𝐧𝐭𝐚 𝐃𝐢𝐨𝐩 𝐝𝐞 𝐃𝐚𝐤𝐚𝐫, 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐏𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐞𝐮𝐫 𝐃𝐚𝐨𝐮𝐝𝐚 𝐍𝐆𝐎𝐌, 𝐌𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐄𝐧𝐬𝐞𝐢𝐠𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐮𝐫, 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐑𝐞𝐜𝐡𝐞𝐫𝐜𝐡𝐞 𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐭𝐢𝐟𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥'𝐈𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐒𝐞́𝐧𝐞́𝐠𝐚𝐥.𝑆𝑢𝑖𝑣𝑒𝑧 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑑𝑖𝑟𝑒𝑐𝑡: ... See MoreSee Less
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