Appel à contributions : Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique


Le Programme Thématique de Recherche (PTR) Langues, Sociétés, Cultures et Civilisations (LSCC) lance un appel à contributions sur thème « Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique ».


Le PTR LSCC rassemble en réseaux, les enseignants-chercheurs et les chercheurs de l’espace CAMES en une communauté de sujets (F. Jullien, 2016). Ainsi, face aux défis de notre temps, ils introduisent leurs initiatives dans le monde afin d’y porter une vision des universités. En effet, dans un contexte où l’Humain paraît réductible aux paradigmes d’efficacité, de rentabilité, de rapidité et de performance, il devient urgent que les Sciences Humaines et Sociales fournissent aux décideurs politiques et aux acteurs sociaux, des outils théoriques, méthodologiques et pratiques aptes à édifier des citoyens complets,  c’est-à-dire des citoyens volontaires, inventifs, rationnels et empathiques.

1/ Équipe de coordination :

  • Professeure Céline Yolande KOFFIE-BIKPO, UFHB, Coordinatrice du PTR-LSCC
  • Professeure Aimée-Danielle LEZOU KOFFI, UFHB, Coordinatrice adjointe du PTR-LSCC
  • Docteur Antoine Fobah KACOU, UFHB, Chargé de la communication, kakoufoba@outlook.fr

2/ Termes de références

Les élections constituent l’un des moyens, pour les communautés, de se doter des meilleurs représentants ou dirigeants. Pour y parvenir, les populations et leurs représentants devraient être animés par une conception noble du pouvoir (celle de maintenir la paix et la cohésion sociale dans la durée) soutenue par une certaine éthique. Or, dans l’Afrique moderne ou contemporaine, l’on constate une rupture avec cette vision. Les élections politiques riment trop souvent avec angoisse, incertitude et instabilité. Les joutes électorales débouchent fatalement sur des conflits, des crises. Comment expliquer une telle faillite ? Le diagnostic et l’analyse de la situation imposent de prendre en compte certaines considérations historiques, socio- culturelles et politiques. D’un point de vue historique, contrairement à l’idée reçue d’une importation de la démocratie, de ses procédures et de ses corollaires, la requête du suffrage démocratique n’est pas étrangère à certains systèmes politiques africains traditionnels. Avant l’importation des systèmes occidentaux de participation, et plus particulièrement du vote, il n’était pas exceptionnel de rencontrer des formules de contrôle du pouvoir ou de prise de décision de type démocratique par le peuple :

« La plupart des nations africaines avant la colonisation étaient constituées en royaumes dont l’organisation n’était pas éloignée de celle de la monarchie parlementaire britannique. Les affaires de la cité se réglaient autour « des arbres à palabres » avec la participation des populations ou leurs représentants : c’était le temps de légiférer, de décider, de juger… Dès lors, on peut sans équivoque établir un parallèle entre la structure des « chefs traditionnels et notables » et celle des « chefs d’État et notables ». Le pouvoir était délégué, les peuples étaient associés à la gestion des royaumes »

Biléou Sakpane-Gbati (2011).

De même, l’organisation politique chez les peuples Kru de Côte d’Ivoire est caractérisée par un système démocratique où le chef est élu et les décisions, soumises à des débats publics. Les sociétés pastorales sahélo – sahariennes, Peuls et Touaregs notamment ; pratiquaient des modes de gouvernance qui consacrent la participation des différents clans à la désignation des dirigeants. Elles disposaient également de mécanismes de sanctions. Les bons chefs régnaient plus longtemps alors que ceux défaillants se faisaient vite détrôner pour préserver l’intérêt général. Sur le plan des considérations socio-culturelles, les représentations liées au pouvoir pourraient élucider l’énigme. Ainsi, analysant le rapport au pouvoir dans certaines sociétés Bantoues, l’on identifie, par exemple, le paradigme de « l’homme fort » où le chef est un conquérant qui doit être craint :

« Un chef faible était renversé et la chefferie changeait de main et/ou de lignée. La pratique de coups d’État n’était donc pas absente. Le pouvoir s’arrachait aux différents prétendants. La légitimité d’un chef était fonction de sa capacité à tenir son royaume d’une main de fer. Sa crainte était fonction de sa force de frappe »

Kakdeu (2020).

Une autre réalité de l’Afrique traditionnelle est celles des lignées destinées à la gouvernance. Sur la base de ce modèle féodal, certaines communautés et par ricochet certains chefs d’États se disent destinés au pouvoir et peinent à accepter l’alternance.

Indépendamment de ces représentations, des pratiques sociopolitiques comme les détournements de deniers publics, l’impunité et autres scandales dans la sphère politique ont présenté les responsabilités étatiques comme « un gâteau à partager ». Les postes électifs ou nominatifs sont généralement perçus comme une situation de rente menant à l’enrichissement illicite. Dès lors, des biais entachent les processus électoraux et débouchent sur des crises voire des conflits. Ce sont : les découpages électoraux arbitraires, les commissions électorales dites indépendantes sujettes à caution, la modification opportuniste des lois fondamentales, l’État civil et le problème des pièces d’identités, les cartes d’électeurs distribuées arbitrairement, le bourrage des urnes, la mauvaise répartition des bureaux de vote ou leur création fictive, le refus d’accréditer des observateurs étrangers, etc. Et que dire des discours à fort ancrage identitaire et qui riment avec ethnie, liens de parenté ou toute autre considération socioculturelle ? Oserions-nous enfin aborder la question sensible du système néocolonial dans lequel l’indépendance réelle et la souveraineté des ex-colonies font débat ?

Malgré tout, l’Afrique post conférences nationales (1990) a expérimenté une vague de transitions démocratiques avec le retour au multipartisme et au principe des élections libres et transparentes. Elle a ainsi replacé la question du vote au centre de la politique africaine. Dans certains cas, encore rares malheureusement, les partis au pouvoir perdent des élections. L’alternance est recherchée et les résultats sont acceptés même s’ils sont défavorables aux sortants comme on a pu le constater au Bénin, au Congo, à Madagascar, au Nigeria, et au Sénégal. Les décisions du juge électoral sont respectées comme au  Mali où la Cour Suprême a annulé l’ensemble des élections législatives de 1997. Ce sont là, autant d’événements qui attestent d’une évolution sensible dans les comportements politiques vis-à-vis de la pratique électorale, du droit et de son juge et d’une nouvelle vision du politique en Afrique. Malgré ces notes optimistes, les élections restent encore problématiques sur le continent africain.

Aussi, dans un souci d’amélioration constante et de valorisation de la recherche sur l’ensemble de l’espace CAMES , le Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC) « ambitionne en général, dans ses sept (7) orientations stratégiques, et en particulier dans les actions suivantes : mettre en place un système d’information pour les programmes, améliorer la gouvernance des programmes ; soutenir et valoriser la formation ; promouvoir le développement des écoles et formations doctorales dans l’espace ; accroitre l’impact de la recherche ». Dans ce cadre, le programme thématique de recherche (PTR) Langues, Sociétés, Cultures et Civilisations (LSCC) lance le projet : « Considérations sociales, culturelles et politiques sur les élections en Afrique ».

Il s’agit pour les universitaires de mener des recherches approfondies autour des dix axes identifiés.

3/ Axes et responsables

  • Axe 1 : Les dynamiques électorales en Afrique post conférences nationales (Essohanam Batchana, essobatchana@gmail.com,  Université de Lomé, Togo)
  • Axe 2 : Autour du pouvoir : questionner l’Afrique traditionnelle (Alain Sissao, alainsis@gmail.com,  INSS/CNRST, Burkina Faso)
  • Axe 3 : Démocratie, Médias et systèmes de gouvernance (André Tassou, tassou_andre@yahoo.frtassouandre@gmail.com, Université Yaoundé 1, Cameroun)
  • Axe 4 : Évaluation des mécanismes régionaux de gestion et de prévention des crises (Jean François Owaye, jfow2012@gmail.com,  UOB, Gabon)
  • Axe 5 : Éthique et élections (Marcel N’guimbi, nguimarc@gmail.com,  Université Marien N’Gouabi, Congo Brazza)
  • Axe 6 : Rhétorique des élections (Nanourougo Coulibaly,  coulyna@yahoo.fr,  UFHB, Côte d’Ivoire)
  • Axe 7 : La problématique du genre dans les processus électoraux (Yvette Onibon Doubogan, yvette.onibon@gmail.com, Université de Parakou, Bénin,)
  • Axe 8 : Identités (ethnique, culturelle, religieuse) et enjeux électoraux (Patrice Correa, patrice.correa@ugb.edu.sn, UGB, St Louis,  Sénégal)
  • Axe 9 : Gouvernance de la paix et de la sécurité dans un contexte de vulnérabilités lié au terrorisme  (Boubacar Diallo,  londiori@hotmail.com, UAM, Niamey, Niger)
  • Axe 10 : Les problématiques de la souveraineté des états et des processus d’intégration régionale (Hervé Kombieni, hervekombieni@yahoo.fr, UAC, Bénin)

Les enseignants-chercheurs et chercheurs intéressés par les problématiques identifiées pourront entrer en contact, par voie de mail, avec les responsables d’axes ou le responsable de la communication (Docteur Antoine Fobah KACOU : kakoufoba@outlook.fr).


Biographie

  • BONIFACE P. & VEDRINE H., 2009, Atlas des crises et conflits, Paris : Armand Colin & Fayard
  • CEDEAO, 2012, Les Systèmes de conflits en Afrique de l’Ouest : le cas de la bande sahélo – saharienne,
  • DARRACQ Vincent & Magnani Victor, 2011, ‘’Les Elections en Afrique un mirage démocratique’’, in Politique Étrangère, Cairn.info, pages 839-850,
  • EWANGUI Céphas Germain, 2013, Démocratie et élections en Afrique, Paris : L’Harmattan
  • OSTROM Elinor, 1990, Governing the commons: The evolution of institutions for collective actions, Cambridge actions, Cambridge University Press
  • QUANTIN Patrick et al, 2004, Voter en Afrique : comparaisons et différenciations, Paris : L’Harmattan.
  • SAKPANE-GBATI Biléou, 2011, « La démocratie à l’africaine », Revue Éthique publique, vol. 13, n° 2, Dialogues pour réinventer la démocratie, https://doi.org/10.4000/ethiquepublique.679
  • SIEGLE J & COOK Candace, 2020, Evaluation des élections de 2020 en Afrique, Centre d’Études Stratégiques de l’Afrique.

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Le CAMES
𝗟𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗗𝗲́𝗼𝗻𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗲 𝗲𝗻 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘅𝘁𝗿𝗮𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲Les 23 et 24 avril 2025, la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED) du CAMES a tenu sa session extraordinaire en présentiel au siège de l’Institution à Ouagadougou (Burkina Faso) et en ligne pour certains membres. Les travaux ont été dirigés par Pr Habibou ABARCHI, Président de la Commission.La cérémonie d’ouverture de cette session a eu lieu le 23 avril 2025 autour des interventions du Secrétaire Général du CAMES et du Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED).Le mot de bienvenue du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été l’occasion pour lui, de rappeler d’entrée de jeu, l’importance de la CED. « La CED est l’organe de veille éthique, indispensable à la crédibilité et à la respectabilité de notre Institution commune », a-t-il souligné. Il a par ailleurs rappelé que « la présence active des membres témoigne de leur attachement au CAMES et à leur mission de garant de ses valeurs fondamentales que sont : l’éthique, l’intégrité, l’impartialité, l’excellence et le service à la communauté scientifique africaine et malgache ». En revenant sur les points inscrits à l’ordre du jour, le Secrétaire Général a salué l’initiative « louable et ambitieuse » de création des cellules d’éthique et de déontologie au sein des Institutions d’Enseignement Supérieur et de Recherche (IESR) des pays membres du CAMES. En effet, cette initiative vise à renforcer, au niveau institutionnel, la culture éthique dans la conduite des missions universitaires et scientifiques. Abordant la question de la mise en place des organes d’éthique et de déontologie au sein des IESR des pays membres, le Président de la CED, Pr Habibou ABARCHI, a précisé que ces structures auront vocation à devenir des corps avant-gardistes en matière d’éthique universitaire, adaptés à la réalité de chaque contexte institutionnel. Ces cellules agiraient comme interfaces de proximité entre les établissements et la CED, permettant une gestion plus efficace, réactive et contextualisée des enjeux éthiques. Pour garantir le succès de ce projet structurant, il a invité les conseillers et personnes ressources de la CED à prendre toutes les dispositions idoines afin d’assurer sa mise en œuvre efficace et son ancrage durable au sein des communautés universitaires.www.lecames.org/la-commission-dethique-et-de-deontologie-du-cames-sest-reunie-en-session-extraord... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮 𝗮𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le mardi 22 avril 2025, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a reçu en audience une délégation d’Enseignants-chercheurs de l’Université de N’Djaména (Tchad), en mission au Burkina Faso dans le cadre d’un partenariat interuniversitaire. Cette mission vise à s’inspirer du Programme de Nutrition de l’Université Joseph KI-ZERBO pour la mise en place d’un projet similaire au sein de cette Institution d’Enseignement et de Recherche du Tchad.La rencontre s’est tenue en présence du Directeur des Programmes en charge des Enseignements et des Évaluations du CAMES, Pr Ali DOUMMA. La délégation tchadienne, accompagnée du Pr Aly SAWADOGO, Enseignant-chercheur à l’Université Joseph KI-ZERBO, était composée de : Pr FOUMSOU LHAGADANG, Professeur Titulaire de Gynécologie et d’Obstétrique, Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé Humaine ; Pr ABDELSALAM Tidjani, Professeur Titulaire de Nutrition, Microbiologie et Sécurité Alimentaire, Chef du Département de Santé Publique et Dr Mahamat Béchir, Maître de Conférences, Enseignant-chercheur.Les échanges ont essentiellement porté sur les préparatifs de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, dont la tenue en présentiel est prévue au Tchad en juillet 2025.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-dune-delegation-de-luniversite-de-ndjamena-au-secretariat-ge... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗼𝘂-𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝗶 𝗜𝗠𝗢𝗥𝗢𝗨Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Professeur Abou-Bakari IMOROU, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 (𝗟𝗦𝗛) du CAMES.www.youtube.com/watch?v=qxATIn0hBiE𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄En termes de perspectives, au-delà de l’évaluation des dossiers CCI, nous allons nous mobiliser pour examiner sérieusement les demandes d’homologation des revues au niveau du CAMES. Nous accompagnerons les collègues responsables des revues afin qu’elles puissent, d’ici 2027, atteindre un niveau conforme aux exigences en matière d’indexation.Cette année, de nouveaux éléments sont entrés en jeu dans l’évaluation des dossiers, notamment l’évaluation pédagogique et les évaluations des enseignements dans les universités. Nous avons constaté une disparité dans la mise en œuvre de ces évaluations. Ce sujet sera donc inscrit à l’ordre du jour de la prochaine session, afin de déterminer concrètement les modalités d’application de ces évaluations.Par ailleurs, il ressort que, dans de nombreux pays, contrairement aux directives du CAMES, les commissions de validation des fiches techniques ne sont pas toujours mises en place. La prochaine session sera l’occasion de revenir sur cette question et d’inviter les collègues à soutenir les administrations universitaires ainsi que les Unités d’Enseignement ou de Recherche, pour que ces commissions soient mises en place.𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗼𝘂-𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝗶 𝗜𝗠𝗢𝗥𝗢𝗨. ... See MoreSee Less
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𝗣𝗿𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝘂𝘀𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻Le Secrétaire Général du CAMES a l’honneur de préciser aux Recteurs, Présidents, Directeurs Généraux des Institutions d’Enseignement supérieur des pays membres du CAMES, que 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗲 𝗱’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻°𝟬𝟯𝟳-𝟮𝟬𝟮𝟱/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦/𝗦𝗚/𝗗𝗣𝟭/𝗞𝗣 𝗱𝘂 𝟭𝟳 𝗺𝗮𝗿𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 relative à l’observance de l’année de pause est un document de portée générale qui 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝗻𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗲́𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.www.lecames.org/precision-sur-le-respect-de-lobservation-de-lannee-de-pause-aux-concours-dagregat... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗶𝗻𝘃𝗶𝘁𝗲́ 𝗱’𝗵𝗼𝗻𝗻𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟲𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗜𝗗𝗘𝗣𝗘𝗦La 𝟲𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗲́𝘀𝗲𝗮𝘂 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝗮𝗯𝗹𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗣𝗿𝗶𝘃𝗲́𝘀 𝗱’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗦𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 (𝗥𝗜𝗗𝗘𝗣𝗘𝗦) 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮̀ 𝗕𝗮𝗺𝗮𝗸𝗼, 𝗮𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶, 𝗱𝘂 𝟭𝟰 𝗮𝘂 𝟭𝟳 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱. Cette rencontre a constitué une étape importante pour l’Enseignement supérieur privé africain. Le 17 avril 2025, le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Pr Bouréma KANSAYE, a présidé la cérémonie d’ouverture de ces assises, en présence du Secrétaire Général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), Pr Souleymane KONATÉ. À cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES et le Ministre ont chacun pris la parole pour livrer, respectivement, une allocution de circonstance et le discours d’ouverture.Dans son allocution, et dans un contexte porteur de renouveau, Pr Souleymane KONATÉ a salué la relance du RIDEPES, qu’il a qualifié de levier important de l’intégration académique africaine. Il a également exprimé sa reconnaissance aux autorités maliennes pour leur engagement constant en faveur du CAMES.Rappelant que le RIDEPES est né en 2014 sous l’impulsion du CAMES, le Secrétaire Général a rendu un vibrant hommage à feu Pr Bertrand MBATCHI, son prédécesseur, pour avoir posé les fondations de ce réseau qui fédère aujourd’hui les établissements privés des 19 États membres du CAMES. Il a invité les membres de ce réseau à s’approprier pleinement les Programmes du CAMES, notamment le PRED, tout en les encourageant à contribuer à la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024–2028. Le Pr KONATÉ a conclu son intervention en soulignant la complémentarité entre les établissements publics et privés, réaffirmant que le CAMES œuvre au service de l’ensemble des Institutions d’Enseignement Supérieur et de Recherche (IESR).Dans son discours d’ouverture officiel de la session, Pr Bouréma KANSAYE a donné le ton de l’événement en insistant sur l’unité et l’ambition collective, illustrées dès l’entame de son propos par l’adage « Seul, on va vite. Ensemble, on va loin ». www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-invite-dhonneur-de-la-6eme-rencontre-du-ridepes/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶A Bamako, dans le cadre de la cérémonie d’ouverture de la 6ème Rencontre du RIDEPES, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a profité de l’occasion pour rendre une visite de courtoisie au Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Professeur Bouréma KANSAYE, dans la matinée du 17 𝒂𝒗𝒓𝒊𝒍 2025. Il était accompagné du Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat.Cette audience a principalement porté sur la présentation des civilités du CAMES au Ministre, et le renforcement de la coopération entre le CAMES et le Mali. Elle a été l’occasion pour le Professeur Souleymane KONATÉ d’exprimer sa profonde reconnaissance envers les autorités maliennes pour leur soutien constant au CAMES. Ce soutien se manifeste notamment par l’accueil de la rencontre du RIDEPES, seulement cinq mois après avoir abrité au Mali la 39ème session du Programme de Reconnaissance et d’Équivalence des Diplômes (PRED) couplée à un atelier majeur de formation en Assurance Qualité. Enfin, Pr Souleymane KONATÉ a salué la décision prise par le Ministre, selon laquelle le Mali ne reconnaîtra que les promotions par le CAMES ou par la voie nationale, des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Du fait de cette décision, aucune autre évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs, entreprise par d’autres organismes que le CAMES et l’État Malien, ne sera reconnue par le Mali.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-a-ete-recu-en-audience-par-le-ministre-de-lenseign... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲́ 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲𝘂𝘅𝗶𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗶𝘁𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗛𝗔𝗤𝗔𝗔𝟯 𝗮̀ 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́𝗟𝗲 𝟵 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗹’𝗛𝗼̂𝘁𝗲𝗹 𝗛𝗶𝗹𝘁𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́, le Directeur des Programmes du CAMES en charge de la Recherche, de l’Innovation et du Partenariat, Pr Saturnin ENZONGA YOCA, a participé à la deuxième réunion du Conseil consultatif de l’Initiative HAQAA3 (Harmonisation, Assurance Qualité et Accréditation de l’Enseignement Supérieur Africain, phase 3, 2023-2028). Il y représentait le CAMES qui fait partie de la structure de gouvernance de cette Initiative, en tant que membre du Comité de pilotage des partenaires stratégiques.La réunion visait à faire le point sur les avancées de l’Initiative HAQAA3, à formuler des orientations stratégiques pour son évolution, et à explorer les synergies possibles entre les partenaires. Après la présentation des avancées de HAQAA3, les échanges se sont structurés autour de trois blocs thématiques, chacun explorant les contributions actuelles des partenaires ainsi que les perspectives de collaboration en vue d’atteindre des objectifs communs. Il s’agissait notamment : (i) des données pour les politiques publiques et l’impact, (ii) des outils pour l’harmonisation et le renforcement de la confiance, (iii) des partenariats pour aujourd’hui et demain.www.lecames.org/le-cames-a-participe-a-la-deuxieme-reunion-du-conseil-consultatif-de-linitiative-... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗿𝗶𝘀 𝗽𝗮𝗿𝘁 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗭𝗟𝗘𝗖𝗔𝗙Le Secrétaire Général du CAMES a été représenté par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes du CAMES en charge de la Recherche, de l’Innovation et du Partenariat, à la toute première conférence dédiée à la mise à profit de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf) pour favoriser l’intégration de l’Enseignement supérieur. Cette importante rencontre, tenue, 𝗹𝗲𝘀 𝟳 𝗲𝘁 𝟴 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗥𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻 (𝗜𝗥𝗜𝗖) 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́ 𝗜𝗜, a réuni des Décideurs politiques, des Responsables universitaires, des Chercheurs et des Partenaires au développement venus d’Afrique et d’Europe. Co-organisée par l’Association OBREAL Global, l’Université Panafricaine et l’Association des Universités Africaines, cette rencontre a eu pour thème : « 𝙏𝙞𝙧𝙚𝙧 𝙥𝙖𝙧𝙩𝙞 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙕𝙤𝙣𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙞𝙗𝙧𝙚-𝙚́𝙘𝙝𝙖𝙣𝙜𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙞𝙣𝙚𝙣𝙩𝙖𝙡𝙚 𝙖𝙛𝙧𝙞𝙘𝙖𝙞𝙣𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡’𝙞𝙣𝙩𝙚́𝙜𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡’𝙀𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙪𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙪𝙧 ». Elle a constitué une étape déterminante dans le rapprochement entre l’intégration économique africaine et les ambitions du continent en matière d’Enseignement supérieur.Le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗘𝗡𝗭𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗬𝗢𝗖𝗔 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗹𝗲 𝗳𝗮𝗰𝗶𝗹𝗶𝘁𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗮𝗻𝗲𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝘀𝗰𝘂𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀, à savoir : le rôle de l’éducation dans la promotion de la ZLECAf ; et les enjeux de l’intégration de l’Enseignement supérieur à l’échelle continentale et régionale en Afrique.www.lecames.org/le-cames-a-pris-part-a-la-conference-sur-lenseignement-superieur-dans-la-zlecaf/ ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗠𝗔𝗟𝗔𝗠 𝗠𝗔𝗠𝗔𝗡 𝗡𝗮𝗳𝗶𝗼𝘂 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗻Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Pr MALAM MAMAN Nafiou Maman, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 ( 𝗖𝗧𝗦-𝗦𝗘𝗚).𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄.Nous avons pris la présidence il y a un an et, concrètement, j’ai participé à deux réunions. La première, qui s’est tenue en présentiel à Ouagadougou juste après notre élection, a été l’occasion pour nous de nous approprier pleinement la mission confiée : diriger les travaux, utiliser le Guide d’évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs dans le cadre des CCI, ainsi que le Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES, afin de mener efficacement les activités des CTS. Par la suite, nous nous sommes retrouvés en visioconférence avec nos collègues, lors de la 46ème session des CCI, consacrée à l’évaluation des dossiers. Le CTS SEG a enregistré un total de 122 dossiers, qui ont tous été examinés. Le taux de réussite s’est élevé à 66,39 %, soit 81 candidats inscrits, tandis que 33,61 %, soit 41 personnes, ont été ajournées. Nous avons présenté ces résultats lors de la réunion du CCG tenue au Gabon en juillet 2024. Nous y avons exposé les raisons des échecs enregistrés. Le CCG a bien compris notre analyse et a validé les résultats.Nous allons œuvrer, avec l’appui des collègues des différents pays, à sensibiliser tous ceux qui ont, ou auront, à évaluer des dossiers dans le cadre des CCI, à l’importance du strict respect du Guide. Nous voudrions aussi travailler avec les collègues, afin qu’ils s’approprient la méthode d’indexation et surtout de la preuve d’indexation. 𝗣𝗿 𝗠𝗔𝗟𝗔𝗠 𝗠𝗔𝗠𝗔𝗡 𝗡𝗮𝗳𝗶𝗼𝘂 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗻. ... See MoreSee Less
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