Droit de réponse à la tribune de Dandi GNAMOU sur Fasozine.com

Le journal en ligne www.fasozine.com a publié, le 28 juillet 2019, une tribune polémique et fallacieuse sur le CAMES — http://www.fasozine.com/tribune/7143-enseignement-superieur-le-cames-sur-la-sellette.html — dont l’auteure est Dandi GNAMOU, Enseignante-chercheure à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin), récemment frappée par la décision No SO/CM/CAMES/2019-10 du Conseil des Ministres du CAMES, pour manquements aux dispositions du Code d’éthique et de déontologie de notre Institution commune.

Dans ce droit de réponse, publié le 16 septembre 2019, le CAMES apporte des éclaircissements sur les différents propos de l’auteure qui cherche visiblement à jeter un discrédit sur notre Institution commune, et les actions entreprises sur instructions du Conseil des Ministres, en vue de sa modernisation juridique.

Par ce droit de réponse, le CAMES ne cherche pas à polémiquer, mais à éclairer l’opinion publique — les enseignants-chercheurs et chercheurs ainsi que les autorités étatiques sur les allégations qui lui sont faites.


À propos de la prétendue illégalité des mesures adoptées par la 36e session du Conseil des Ministres du CAMES

Les décisions  du Conseil des Ministres du CAMES tenu le 30 mai 2019 à Cotonou au Bénin, présidé par le Pr Jacques FAME DONGO, Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur du Cameroun, signataire à ce titre des actes de la session, et co-présidé par le  Pr Alkassoum MAÏGA, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Burkina Faso, Vice-Président statutaire,  n’ont pas fini de susciter des réactions. 

Une tribune polémique a été ainsi publiée dans un journal burkinabé en ligne, Fasozine.com, le 28 juillet 2019. L’auteure, Madame Dandi GNAMOU,  s’y livre à une critique acerbe de certaines décisions adoptées par cette Instance suprême de l’auguste institution. Elle invoque leur caractère inopportun et illégal en se fondant sur la procédure suivie et sur les règles de fond adoptées.

Il importe d’apporter des éclaircissements et précisions face à cette critique qui, à n’en point douter, manque d’objectivité, de rigueur et de pertinence et participe plutôt à entretenir l’obscurantisme et à tromper le grand public. 

En ce qui concerne la procédure suivie, l’auteure fait valoir d’abord que certaines décisions du Conseil des Ministres du CAMES ont été adoptées avant l’entrée en vigueur des modifications apportées à la Convention portant statut du CAMES ; tel serait le cas du « Règlement intérieur du Conseil des Ministres adopté par Résolution n° 2019-013, mais prévu par la Résolution n° 2019-15 » ; selon l’auteure, « Elle (sic) porte un numéro antérieur à celle (sic) dont elle (sic) doit faire application ».

Dans l’esprit de l’auteure, la Résolution considérée comme mode d’adoption des décisions du Conseil des Ministres n’existe que depuis la révision de la Convention portant statut du CAMES en 2019 à Cotonou au Bénin. De ce fait, selon l’auteure, la Résolution portant adoption du Règlement intérieur des sessions ministérielles ne pouvait pas intervenir avant l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-015 portant révision de ladite Convention.

Une telle analyse procède d’une méconnaissance des textes de l’organisation et des pratiques institutionnelles en vigueur depuis la création du CAMES. La discussion sur l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-15, relative à la révision de la Convention portant statut du CAMES, n’aurait de sens que si le Règlement intérieur du Conseil des Ministres trouvait son fondement dans cette Résolution. Or, tel n’est pas le cas.

L’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-013 trouve son fondement dans les articles 10 et 11 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES. Il résulte de la combinaison de ces articles que le Conseil des Ministres, qui a compétence notamment pour adopter les Résolutions concernant les politiques d’Enseignement supérieur et de la Recherche ainsi que  pour examiner et approuver les comptes rendus des travaux du Comité des experts, y compris les propositions de résolutions et de recommandations, adopte ses décisions par consensus.

D’ailleurs, le Règlement intérieur que la Résolution n° SO-CM/2019-013 abroge et remplace a été adopté, à Ouagadougou, par Résolution du Conseil des Ministres le 17 avril 1989. Au vu de ce qui précède, il est aisé d’admettre que cet aspect de l’analyse de l’auteure est erroné, fallacieux et vise à entretenir la confusion sur le fonctionnement des instances supérieures du CAMES et la légalité de leurs actes, pour trouver une justification imaginaire à une situation somme toute personnelle.

L’auteure fait ensuite observer de manière factuelle inexacte que « l’autorisation des parlements nationaux est impérative (…) », que « créer une organisation internationale sur la base d’un traité en forme simplifiée est inadéquat (…) » et que « pour modifier un traité fondateur, il faut un autre traité (…) ». Les propos tendant à faire accréditer l’idée que le CAMES, pour avoir été créé en violation « des basiques du droit des traités et de l’État de droit », n’a jamais eu d’existence légale n’engagent que l’auteure qui les a tenus et qui, pourtant, a toujours bénéficié des prérogatives attachées à son titre d’agrégée obtenu dans le cadre des programmes du CAMES, notamment celui du Concours d’agrégation.

Cela dit, au-delà de l’amalgame entre procédures de création d’une organisation internationale et processus de modification d’un traité relatif au Statut d’une organisation déjà créée, il y a lieu de relever que l’observation révèle curieusement une grave méconnaissance des textes du CAMES, pour une personne qui a été à maintes reprises sollicitée comme expert au sein de l’Institution. En effet, c’est l’article 26 de la Convention portant Statut du CAMES, qui prévoit les modalités de  sa révision. Il résulte de ce texte que cette Convention peut être amendée ou révisée à la demande d’un État signataire, que le projet d’amendement doit recueillir l’avis favorable de deux autres États membres avant d’être remis au Secrétaire Général, que ledit projet est soumis au Conseil des Ministres et qu’il est adopté à la majorité des 2/3 des États membres. La procédure ainsi décrite débouche sur l’adoption, par le Conseil des Ministres, d’une Résolution validant les modifications ainsi apportées. Cette règle prévue par l’article 26 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES est traditionnellement consacrée par le droit des Traités. En effet, c’est le Traité fondateur qui prévoit les modalités de sa révision ainsi que les organes compétents pour y procéder.

S’agissant des règles de fond, l’auteure considère que du fait de l’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-015, le CAMES serait passé d’une organisation de coopération à une organisation supranationale, avec  pour effet de conférer à son Secrétaire Général « un pouvoir de légation… un pouvoir règlementaire autonome qui peut s’étendre à l’adoption de règlement d’exécution » et de faire du « Conseil des Ministres un parlement qui légifère dans le domaine de l’enseignement supérieur ».

L’idée selon laquelle le CAMES se transforme en organisation supranationale comparable à l’UEMOA avec la possibilité de prendre des « décisions qui s’imposeront aux États et s’appliqueront directement aux individus sans une internalisation préalable » est, de toute évidence, une vue de l’esprit. En effet le CAMES a toujours été une structure supranationale, à caractère spécifique. Il suffit pour s’en convaincre de se référer à ses textes fondamentaux.

Aux termes de l’article 6 de la Convention portant statut du CAMES, chaque programme du CAMES est régi par une Convention ou un Accord négocié et signé par les États qui acceptent d’en faire partie. Il en résulte que la signature par un État d’un Accord ou d’une Convention sous l’égide du CAMES implique l’engagement d’accepter et d’exécuter les obligations qui en découlent. En application des stipulations des Accords ou Conventions signés par les États dans le domaine de l’enseignement supérieur, le CAMES peut prendre des actes pour la réalisation des politiques communes.

C’est pour prendre en compte cette réalité que la Résolution n° SO-CM/2019-015 modifiant la Convention, a prévu deux types d’actes qui, bien que présentant des similitudes avec ceux qu’adoptent traditionnellement les organisations supranationales telles que l’UEMOA, n’en ont ni la même nature ni le même régime juridique.

Les actes émanant du CAMES, contrairement aux règlements et directives de l’UEMOA cités par l’auteure, ne sont pas formulés pour constituer un ordre juridique autonome mais plutôt pour harmoniser la position des États membres en vue de la réalisation de certains programmes et/ou la structuration des organes et instances du CAMES. Ces actes sont de deux ordres : les Directives et les Règlements.

Les Directives sont adoptées pour préciser les engagements que les États ont librement souscrits en vue de la réalisation des objectifs contenus dans les programmes ou pour déterminer les modalités de mise en œuvre des solutions communes dans les domaines prévus par l’article 4 de la Convention portant Statut du CAMES.

Les Règlements, en ce qui les concerne, n’ont ni pour objet ni pour effet de créer des droits ou des obligations au profit ou à la charge des ressortissants des États membres. Comme le prévoit le nouvel article 20-4 de la Convention dans sa rédaction due à la révision de 2019, ils sont destinés uniquement aux organes et instances du CAMES dont ils fixent les modalités de fonctionnement. Cela dit, l’absence de textes ayant un effet direct dans l’ordre juridique interne des États ne s’oppose pas à ce que le CAMES mette en place des instances chargées de prononcer les sanctions appropriées contre les enseignants et chercheurs qui, dans le cadre des programmes auxquels ils participent, s’écartent de manière délibérée des règles d’éthique et de déontologie qui garantissent la qualité des évaluations.  

Le CAMES n’est pas devenu, au vu de ce qui précède, une organisation supranationale par l’effet de la Résolution adoptée lors du dernier Conseil des ministres. Il a toujours été et demeure cette organisation investie par ses fondateurs de la mission d’harmoniser les politiques des États dans les domaines de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

La Résolution de 2019 modifiant la Convention portant Statut du CAMES a eu le mérite de préciser la nature des actes qui doivent être accomplis pour atteindre les objectifs visés et déterminer l’identité des organes ou des instances habilités à les adopter. L’adoption de cette Résolution ne peut donc avoir pour effet de transférer les compétences du Conseil des Ministres au Secrétaire Général qui en tant qu’organe d’exécution, exerce une mission générale de représentation, dirige l’administration du CAMES, exécute les décisions du Conseil des Ministres et des instances académiques et scientifiques du CAMES et participe à la conception des programmes (cf. article 17 de la Convention portant Statut du CAMES).

En ce qui concerne le Conseil des Ministres, il reste l’Instance voulue dès l’origine par les fondateurs du CAMES, c’est-à-dire  investie de la mission d’adopter les textes par lesquels sont définies les solutions communes et appropriées aux problèmes posés par les systèmes d’éducation, les établissements d’Enseignement supérieur, les Institutions de Recherche, les diplômes délivrés, l’accueil des étudiants, l’éducation, la formation et la circulation des étudiants ainsi que la mobilité des enseignants et des chercheurs.

En conclusion, il est à regretter que l’auteure, bénéficiaire des programmes du CAMES, ignore curieusement les textes de l’Organisation, les modalités de fonctionnement de ses instances ainsi que ses pratiques institutionnelles spécifiques. Il peut néanmoins lui être accordé le bénéfice des circonstances atténuantes.

Les textes du CAMES n’étant pas publiés, l’auteur peut soutenir au moins qu’elle n’est pas censée les connaitre. Mais, avec la création d’un Journal officiel du CAMES en vue d’assurer la publication des textes produits dans le cadre de notre Organisation commune, un tel système de défense ne pourra plus être opposé par les enseignants ou chercheurs de mauvaise foi prompts à demander, en invoquant l’absence de mesure de publicité, que soit écartée la règle selon laquelle nul n’est censé ignorer la loi.

Pour la mémoire et la responsabilité collective, il convient de noter que ce Conseil des Ministres ordinaire a été précédé d’une réunion des Experts et a connu la participation de 13 pays membres sur les 19 que regroupe le CAMES.

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Le CAMES
𝗟’𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲 𝗱𝗶𝗿𝗶𝗴𝗲𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗱𝘂 𝗧𝗼𝗴𝗼En mission de travail au Togo du 27 au 30 avril 2025, l’équipe dirigeante du CAMES a été reçue en audience par le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche de la République togolaise, le mardi 29 avril 2025, dans la salle de réunion dudit Ministère. Cette audience a été organisée dans le cadre de la prise de contact du Secrétaire Général avec le Ministre, suite à sa nomination récente à la tête du département ministériel de tutelle du CAMES.Prenant la parole, le Professeur Souleymane KONATÉ a, dans ses propos liminaires présenté les grandes lignes du Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024–2028 (PSDC 2024–2028), conçu pour renforcer l’impact de l’Institution sur le développement socio-économique des États membres, dans une logique d’amélioration continue.Le Ministre Kanka-Malik NATCHABA a souligné l’importance d’une mise en œuvre efficiente, en particulier des axes 1 et 7, et a affirmé sa disponibilité à soutenir le CAMES dans le mise en œuvre de cet ambitieux Plan Stratégique. Il a encouragé le CAMES dans ses efforts de remobilisation des pays à participation réduite. Il a réitéré l’engagement du Togo et de sa communauté académique à œuvrer efficacement au rayonnement de l’Institution.www.lecames.org/lequipe-dirigeante-du-cames-recue-en-audience-par-le-ministre-de-lenseignement-su... ... See MoreSee Less
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𝗦𝗲́𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗥𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗰𝗮𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝘁𝗼𝗴𝗼𝗹𝗮𝗶𝘀𝗲𝘀L’équipe dirigeante du CAMES dans le cadre de sa mission de travail au Togo, a rencontré les autorités universitaires publiques du pays, autour d’une 𝘀𝗲́𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗲́𝗲 𝗲𝗻 𝗺𝗼𝗱𝗲 𝗵𝘆𝗯𝗿𝗶𝗱𝗲 𝗹𝗲 𝗹𝘂𝗻𝗱𝗶 𝟮𝟴 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗹𝗼𝗰𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗟𝗼𝗺𝗲́. Elle a vu la participation du Président de l’Université de Lomé, Professeur Adama Mawulé KPODAR, de son Vice-président, Professeur Komlan BATAWILA, et du Président de l’Université de Kara, Professeur Kokou TCHARIE, en ligne. A cette séance de travail, le Secrétaire Général du CAMES était accompagné des deux Directeurs de programmes de l’Institution.Dans leurs mots introductifs, les deux Présidents se sont dits honorés de recevoir le Secrétaire Général du CAMES et ses Directeurs de Programmes en terre togolaise, avant d’exprimer au Secrétaire Général leur entière satisfaction quant à la gestion actuelle du CAMES.Au cours de cette rencontre, le Secrétaire Général du CAMES a informé les Responsables académiques de la tenue d’une réunion extraordinaire du Comité Consultatif Général (CCG), en ligne, le 7 mai 2025. Cette réunion sera le lieu d’examiner les rapports de deux études conduites sur instruction du Conseil des Ministres et nécessitant l’avis préalable du CCG avant leur soumission à la prochaine session du Conseil des Ministres du CAMES, prévue du 19 au 23 mai 2025 à Conakry, en République de Guinée. Ainsi, la première étude est relative à l’homologation des grades et collations de la diaspora et autres au sein du CAMES.www.lecames.org/seance-de-travail-avec-les-responsables-academiques-des-universites-publiques-tog... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗡𝗶𝗴𝗲𝗿Une délégation du CAMES, conduite par son Secrétaire Général, Professeur Souleymane KONATÉ et accompagné du Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Professeur Ali DOUMMA, a effectué une 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗮𝘂 𝗡𝗶𝗴𝗲𝗿 𝗱𝘂 𝟮𝟰 𝗮𝘂 𝟮𝟳 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱. Cette mission s’inscrit dans le cadre des consultations de routine du Secrétaire Général du CAMES avec les Ministres en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche de l’espace CAMES en vue de l’accueil et de l’organisation des différents Programmes et activités statutaires.Ainsi le 25 avril 2025, la délégation du CAMES a été reçue en audience par le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et l’Innovation technologique, Pr Saidou MAMADOU, en présence de ses plus proches collaborateurs. Cette rencontre a été l’occasion pour le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, de féliciter Pr Saidou MAMADOU pour la confiance renouvelée par les plus hautes autorités de la République du Niger en le reconduisant à son poste. Il a également tenu à le remercier pour la bonne organisation de la 13ème réunion du Comité Consultatif Général tenue à Niamey (Niger) du 26 au 28 février 2025. Il a en outre précisé l’objet de sa visite qui vise à 𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝘀𝘁𝗮𝘁𝘂𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗿𝗲𝗾𝘂𝗲́𝗿𝗶𝗿 𝘀𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝘀 𝗲𝘁 𝗼𝗿𝗶𝗲𝗻𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 sur la vie de notre Institution commune.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-recu-en-audience-par-le-ministre-de-lenseignement-... ... See MoreSee Less
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𝗔 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝗜𝗘𝗦𝗥 : 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝘂 𝗦𝗶𝗻𝗲 𝗦𝗮𝗹𝗼𝘂𝗺 𝗘𝗹-𝗛𝗮̂𝗱𝗷 𝗜𝗯𝗿𝗮𝗵𝗶𝗺𝗮 𝗡𝗜𝗔𝗦𝗦 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹Pour notre rubrique de mise en lumière de nos IESR, la rédaction du Lundi CAMES vous invite à découvrir l’Université du Sine Saloum El-Hâdj Ibrahima NIASS (USSEIN) du Sénégal, à travers l’interview de son Recteur, Professeur Diégane DIOUF. 𝗠𝗲𝗿𝗰𝗶 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿 𝗮̀ 𝗻𝗼𝘀 𝗹𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀Je me nomme Diégane DIOUF, Professeur Titulaire du CAMES, Recteur de l’Université du Sine Saloum El-Hâdj Ibrahima NIASS, Chevalier de l’Ordre national du Lion du Sénégal, Membre du CTS SNA (2021-2025).𝗣𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗶𝗹𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝘀 ?L’Université du Sine Saloum de Kaolack (USSK) a été créée par décret n°2013-173 du 25 janvier 2013. Elle sera par la suite dénommée Université du Sine Saloum El-Hâdj Ibrahima NIASS (USSEIN), par décret n° 2015-642 du 18 mai 2015. Sa création répond à un souci d’équité sociale et d’élargissement de la carte universitaire du Sénégal, conformément à la Recommandation n°7 de la Concertation nationale sur l’avenir de l’enseignement supérieur (CNAES) : « Réaménager et pérenniser la carte universitaire en tenant compte des pôles de développement »[1].𝗟’𝗨𝗦𝗦𝗘𝗜𝗡 𝗲𝘀𝘁 𝘀𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲. C’est pourquoi elle est implantée dans la zone de production agricole du Sénégal par essence (Bassin arachidier). Le fort potentiel agricole de la zone offre toutes les opportunités pour une Université thématique dont les programmes épousent la chaine de valeurs agricoles. Elle polarise les trois (03) régions administratives de la région naturelle du Sine Saloum (Fatick, Kaolack et Kaffrine).L’USSEIN a été créée avec une vision claire et ambitieuse de devenir une Institution de référence en matière d’Enseignement supérieur, de Recherche et d’Innovation et de développement agricole au Sénégal et dans la sous-région.A ce titre, elle est chargée de contribuer : - à la formation initiale et à la formation continue, ainsi qu’à la préparation des étudiants à l’insertion dans la vie active ; - au développement de la Recherche scientifique aux niveaux national et international, pour l’essor économique et social du Sénégal et de la sous-région ; - à la promotion de la Recherche scientifique et technologique pour une maîtrise des sciences, des techniques et du savoir-faire ; - à l’offre de services à la communauté ; - au développement des valeurs culturelles africaines ; - à la promotion de la coopération internationale avec les Universités étrangères ; - à la Recherche scientifique et technique, à l’Innovation ainsi qu’à la valorisation de ses résultats.L’USSEIN a développé 𝟯𝟲 𝗹𝗶𝗰𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗮𝗹𝗶𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲𝘀 qui couvrent la chaîne de valeurs agricoles à la suite d’enquêtes sur les besoins en compétences en agriculture et aux métiers connexes. Basées sur l’approche par compétences, ces formations sont fonctionnelles depuis l’ouverture officielle de l’USSEIN en 2019.Trois (𝟬𝟯) 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗠𝗮𝘀𝘁𝗲𝗿𝘀 ont également été mis en place (Master en Aménagement agrotouristique et Ingénierie culturelle, Master Géomatique et Master en Agroécologie et systèmes alimentaires durables).L’USSEIN compte 𝟭𝟮 𝗱𝗲́𝗽𝗮𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗮𝘁𝗿𝗲 (𝟬𝟰) 𝗨𝗙𝗥 : i) Sciences agronomiques, Élevage, Pêche, Aquaculture et Nutrition, ii) Sciences fondamentales et de l’ingénieur, iii) Sciences sociales et environnementales, iv) Sciences économiques, juridiques et tourisme. www.lecames.org/a-la-decouverte-de-nos-iesr-universite-du-sine-saloum-el-hadj-ibrahima-niass-du-s... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗦𝗮𝗺𝗯𝗮 𝗧𝗛𝗜𝗔𝗠Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Professeur Samba THIAM, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗧𝗦 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗷𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 (SJP) du CAMES.𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄Je relève deux séries de perspectives. La première, c’est de nous rapprocher davantage des collègues. Il existe encore une grande distance, une certaine appréhension, parfois même de la méfiance. Je pense qu’en allant vers eux, en prenant le temps d’expliquer davantage l’instrument – en le présentant clairement comme un outil à leur service – et en passant bien sûr par les Commissions Institutionnelles nationales, on pourra favoriser des échanges plus riches entre elles et les collègues. L’une des perspectives, c’est donc de créer les conditions d’une meilleure compréhension mutuelle. Ensuite, il me semble important de rappeler aux collègues que les CCI ne se préparent pas de manière brusque. Il faut s’organiser, parfois plusieurs mois à l’avance, avant de se présenter devant les Commissions Institutionnelles et de déposer un dossier. S’il y a une chose que je souhaite recommander aux candidats, c’est de faire attention aux rumeurs. Beaucoup de choses que l’on entend sont fausses. Il faut se rapprocher, aller voir de l’intérieur comment les choses se passent réellement, pour se rendre compte que les messages reçus ne reflètent pas toujours la réalité. La vérité, c’est qu’il y a des personnes qui réussissent. Il y a des dossiers qui sont examinés sans aucune hésitation, sans aucune contestation. La question à se poser c’est : comment faire pour que son dossier fasse partie de ceux-là ? Quand on est candidat, il faut viser cela comme l’idéal.𝗣𝗿 𝗦𝗮𝗺𝗯𝗮 𝗧𝗛𝗜𝗔𝗠 ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗗𝗲́𝗼𝗻𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗲 𝗲𝗻 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘅𝘁𝗿𝗮𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲Les 23 et 24 avril 2025, la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED) du CAMES a tenu sa session extraordinaire en présentiel au siège de l’Institution à Ouagadougou (Burkina Faso) et en ligne pour certains membres. Les travaux ont été dirigés par Pr Habibou ABARCHI, Président de la Commission.La cérémonie d’ouverture de cette session a eu lieu le 23 avril 2025 autour des interventions du Secrétaire Général du CAMES et du Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED).Le mot de bienvenue du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été l’occasion pour lui, de rappeler d’entrée de jeu, l’importance de la CED. « La CED est l’organe de veille éthique, indispensable à la crédibilité et à la respectabilité de notre Institution commune », a-t-il souligné. Il a par ailleurs rappelé que « la présence active des membres témoigne de leur attachement au CAMES et à leur mission de garant de ses valeurs fondamentales que sont : l’éthique, l’intégrité, l’impartialité, l’excellence et le service à la communauté scientifique africaine et malgache ». En revenant sur les points inscrits à l’ordre du jour, le Secrétaire Général a salué l’initiative « louable et ambitieuse » de création des cellules d’éthique et de déontologie au sein des Institutions d’Enseignement Supérieur et de Recherche (IESR) des pays membres du CAMES. En effet, cette initiative vise à renforcer, au niveau institutionnel, la culture éthique dans la conduite des missions universitaires et scientifiques. Abordant la question de la mise en place des organes d’éthique et de déontologie au sein des IESR des pays membres, le Président de la CED, Pr Habibou ABARCHI, a précisé que ces structures auront vocation à devenir des corps avant-gardistes en matière d’éthique universitaire, adaptés à la réalité de chaque contexte institutionnel. Ces cellules agiraient comme interfaces de proximité entre les établissements et la CED, permettant une gestion plus efficace, réactive et contextualisée des enjeux éthiques. Pour garantir le succès de ce projet structurant, il a invité les conseillers et personnes ressources de la CED à prendre toutes les dispositions idoines afin d’assurer sa mise en œuvre efficace et son ancrage durable au sein des communautés universitaires.www.lecames.org/la-commission-dethique-et-de-deontologie-du-cames-sest-reunie-en-session-extraord... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮 𝗮𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le mardi 22 avril 2025, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a reçu en audience une délégation d’Enseignants-chercheurs de l’Université de N’Djaména (Tchad), en mission au Burkina Faso dans le cadre d’un partenariat interuniversitaire. Cette mission vise à s’inspirer du Programme de Nutrition de l’Université Joseph KI-ZERBO pour la mise en place d’un projet similaire au sein de cette Institution d’Enseignement et de Recherche du Tchad.La rencontre s’est tenue en présence du Directeur des Programmes en charge des Enseignements et des Évaluations du CAMES, Pr Ali DOUMMA. La délégation tchadienne, accompagnée du Pr Aly SAWADOGO, Enseignant-chercheur à l’Université Joseph KI-ZERBO, était composée de : Pr FOUMSOU LHAGADANG, Professeur Titulaire de Gynécologie et d’Obstétrique, Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé Humaine ; Pr ABDELSALAM Tidjani, Professeur Titulaire de Nutrition, Microbiologie et Sécurité Alimentaire, Chef du Département de Santé Publique et Dr Mahamat Béchir, Maître de Conférences, Enseignant-chercheur.Les échanges ont essentiellement porté sur les préparatifs de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, dont la tenue en présentiel est prévue au Tchad en juillet 2025.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-dune-delegation-de-luniversite-de-ndjamena-au-secretariat-ge... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗼𝘂-𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝗶 𝗜𝗠𝗢𝗥𝗢𝗨Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Professeur Abou-Bakari IMOROU, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 (𝗟𝗦𝗛) du CAMES.www.youtube.com/watch?v=qxATIn0hBiE𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄En termes de perspectives, au-delà de l’évaluation des dossiers CCI, nous allons nous mobiliser pour examiner sérieusement les demandes d’homologation des revues au niveau du CAMES. Nous accompagnerons les collègues responsables des revues afin qu’elles puissent, d’ici 2027, atteindre un niveau conforme aux exigences en matière d’indexation.Cette année, de nouveaux éléments sont entrés en jeu dans l’évaluation des dossiers, notamment l’évaluation pédagogique et les évaluations des enseignements dans les universités. Nous avons constaté une disparité dans la mise en œuvre de ces évaluations. Ce sujet sera donc inscrit à l’ordre du jour de la prochaine session, afin de déterminer concrètement les modalités d’application de ces évaluations.Par ailleurs, il ressort que, dans de nombreux pays, contrairement aux directives du CAMES, les commissions de validation des fiches techniques ne sont pas toujours mises en place. La prochaine session sera l’occasion de revenir sur cette question et d’inviter les collègues à soutenir les administrations universitaires ainsi que les Unités d’Enseignement ou de Recherche, pour que ces commissions soient mises en place.𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗼𝘂-𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝗶 𝗜𝗠𝗢𝗥𝗢𝗨. ... See MoreSee Less
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2 weeks ago

Le CAMES
𝗣𝗿𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝘂𝘀𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻Le Secrétaire Général du CAMES a l’honneur de préciser aux Recteurs, Présidents, Directeurs Généraux des Institutions d’Enseignement supérieur des pays membres du CAMES, que 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗲 𝗱’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻°𝟬𝟯𝟳-𝟮𝟬𝟮𝟱/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦/𝗦𝗚/𝗗𝗣𝟭/𝗞𝗣 𝗱𝘂 𝟭𝟳 𝗺𝗮𝗿𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 relative à l’observance de l’année de pause est un document de portée générale qui 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝗻𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗲́𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.www.lecames.org/precision-sur-le-respect-de-lobservation-de-lannee-de-pause-aux-concours-dagregat... ... See MoreSee Less
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