Droit de réponse à la tribune de Dandi GNAMOU sur Fasozine.com

Le journal en ligne www.fasozine.com a publié, le 28 juillet 2019, une tribune polémique et fallacieuse sur le CAMES — http://www.fasozine.com/tribune/7143-enseignement-superieur-le-cames-sur-la-sellette.html — dont l’auteure est Dandi GNAMOU, Enseignante-chercheure à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin), récemment frappée par la décision No SO/CM/CAMES/2019-10 du Conseil des Ministres du CAMES, pour manquements aux dispositions du Code d’éthique et de déontologie de notre Institution commune.

Dans ce droit de réponse, publié le 16 septembre 2019, le CAMES apporte des éclaircissements sur les différents propos de l’auteure qui cherche visiblement à jeter un discrédit sur notre Institution commune, et les actions entreprises sur instructions du Conseil des Ministres, en vue de sa modernisation juridique.

Par ce droit de réponse, le CAMES ne cherche pas à polémiquer, mais à éclairer l’opinion publique — les enseignants-chercheurs et chercheurs ainsi que les autorités étatiques sur les allégations qui lui sont faites.


À propos de la prétendue illégalité des mesures adoptées par la 36e session du Conseil des Ministres du CAMES

Les décisions  du Conseil des Ministres du CAMES tenu le 30 mai 2019 à Cotonou au Bénin, présidé par le Pr Jacques FAME DONGO, Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur du Cameroun, signataire à ce titre des actes de la session, et co-présidé par le  Pr Alkassoum MAÏGA, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Burkina Faso, Vice-Président statutaire,  n’ont pas fini de susciter des réactions. 

Une tribune polémique a été ainsi publiée dans un journal burkinabé en ligne, Fasozine.com, le 28 juillet 2019. L’auteure, Madame Dandi GNAMOU,  s’y livre à une critique acerbe de certaines décisions adoptées par cette Instance suprême de l’auguste institution. Elle invoque leur caractère inopportun et illégal en se fondant sur la procédure suivie et sur les règles de fond adoptées.

Il importe d’apporter des éclaircissements et précisions face à cette critique qui, à n’en point douter, manque d’objectivité, de rigueur et de pertinence et participe plutôt à entretenir l’obscurantisme et à tromper le grand public. 

En ce qui concerne la procédure suivie, l’auteure fait valoir d’abord que certaines décisions du Conseil des Ministres du CAMES ont été adoptées avant l’entrée en vigueur des modifications apportées à la Convention portant statut du CAMES ; tel serait le cas du « Règlement intérieur du Conseil des Ministres adopté par Résolution n° 2019-013, mais prévu par la Résolution n° 2019-15 » ; selon l’auteure, « Elle (sic) porte un numéro antérieur à celle (sic) dont elle (sic) doit faire application ».

Dans l’esprit de l’auteure, la Résolution considérée comme mode d’adoption des décisions du Conseil des Ministres n’existe que depuis la révision de la Convention portant statut du CAMES en 2019 à Cotonou au Bénin. De ce fait, selon l’auteure, la Résolution portant adoption du Règlement intérieur des sessions ministérielles ne pouvait pas intervenir avant l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-015 portant révision de ladite Convention.

Une telle analyse procède d’une méconnaissance des textes de l’organisation et des pratiques institutionnelles en vigueur depuis la création du CAMES. La discussion sur l’entrée en vigueur de la Résolution n° SO-CM/2019-15, relative à la révision de la Convention portant statut du CAMES, n’aurait de sens que si le Règlement intérieur du Conseil des Ministres trouvait son fondement dans cette Résolution. Or, tel n’est pas le cas.

L’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-013 trouve son fondement dans les articles 10 et 11 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES. Il résulte de la combinaison de ces articles que le Conseil des Ministres, qui a compétence notamment pour adopter les Résolutions concernant les politiques d’Enseignement supérieur et de la Recherche ainsi que  pour examiner et approuver les comptes rendus des travaux du Comité des experts, y compris les propositions de résolutions et de recommandations, adopte ses décisions par consensus.

D’ailleurs, le Règlement intérieur que la Résolution n° SO-CM/2019-013 abroge et remplace a été adopté, à Ouagadougou, par Résolution du Conseil des Ministres le 17 avril 1989. Au vu de ce qui précède, il est aisé d’admettre que cet aspect de l’analyse de l’auteure est erroné, fallacieux et vise à entretenir la confusion sur le fonctionnement des instances supérieures du CAMES et la légalité de leurs actes, pour trouver une justification imaginaire à une situation somme toute personnelle.

L’auteure fait ensuite observer de manière factuelle inexacte que « l’autorisation des parlements nationaux est impérative (…) », que « créer une organisation internationale sur la base d’un traité en forme simplifiée est inadéquat (…) » et que « pour modifier un traité fondateur, il faut un autre traité (…) ». Les propos tendant à faire accréditer l’idée que le CAMES, pour avoir été créé en violation « des basiques du droit des traités et de l’État de droit », n’a jamais eu d’existence légale n’engagent que l’auteure qui les a tenus et qui, pourtant, a toujours bénéficié des prérogatives attachées à son titre d’agrégée obtenu dans le cadre des programmes du CAMES, notamment celui du Concours d’agrégation.

Cela dit, au-delà de l’amalgame entre procédures de création d’une organisation internationale et processus de modification d’un traité relatif au Statut d’une organisation déjà créée, il y a lieu de relever que l’observation révèle curieusement une grave méconnaissance des textes du CAMES, pour une personne qui a été à maintes reprises sollicitée comme expert au sein de l’Institution. En effet, c’est l’article 26 de la Convention portant Statut du CAMES, qui prévoit les modalités de  sa révision. Il résulte de ce texte que cette Convention peut être amendée ou révisée à la demande d’un État signataire, que le projet d’amendement doit recueillir l’avis favorable de deux autres États membres avant d’être remis au Secrétaire Général, que ledit projet est soumis au Conseil des Ministres et qu’il est adopté à la majorité des 2/3 des États membres. La procédure ainsi décrite débouche sur l’adoption, par le Conseil des Ministres, d’une Résolution validant les modifications ainsi apportées. Cette règle prévue par l’article 26 de la Convention de 2000 portant Statut du CAMES est traditionnellement consacrée par le droit des Traités. En effet, c’est le Traité fondateur qui prévoit les modalités de sa révision ainsi que les organes compétents pour y procéder.

S’agissant des règles de fond, l’auteure considère que du fait de l’adoption de la Résolution n° SO-CM/2019-015, le CAMES serait passé d’une organisation de coopération à une organisation supranationale, avec  pour effet de conférer à son Secrétaire Général « un pouvoir de légation… un pouvoir règlementaire autonome qui peut s’étendre à l’adoption de règlement d’exécution » et de faire du « Conseil des Ministres un parlement qui légifère dans le domaine de l’enseignement supérieur ».

L’idée selon laquelle le CAMES se transforme en organisation supranationale comparable à l’UEMOA avec la possibilité de prendre des « décisions qui s’imposeront aux États et s’appliqueront directement aux individus sans une internalisation préalable » est, de toute évidence, une vue de l’esprit. En effet le CAMES a toujours été une structure supranationale, à caractère spécifique. Il suffit pour s’en convaincre de se référer à ses textes fondamentaux.

Aux termes de l’article 6 de la Convention portant statut du CAMES, chaque programme du CAMES est régi par une Convention ou un Accord négocié et signé par les États qui acceptent d’en faire partie. Il en résulte que la signature par un État d’un Accord ou d’une Convention sous l’égide du CAMES implique l’engagement d’accepter et d’exécuter les obligations qui en découlent. En application des stipulations des Accords ou Conventions signés par les États dans le domaine de l’enseignement supérieur, le CAMES peut prendre des actes pour la réalisation des politiques communes.

C’est pour prendre en compte cette réalité que la Résolution n° SO-CM/2019-015 modifiant la Convention, a prévu deux types d’actes qui, bien que présentant des similitudes avec ceux qu’adoptent traditionnellement les organisations supranationales telles que l’UEMOA, n’en ont ni la même nature ni le même régime juridique.

Les actes émanant du CAMES, contrairement aux règlements et directives de l’UEMOA cités par l’auteure, ne sont pas formulés pour constituer un ordre juridique autonome mais plutôt pour harmoniser la position des États membres en vue de la réalisation de certains programmes et/ou la structuration des organes et instances du CAMES. Ces actes sont de deux ordres : les Directives et les Règlements.

Les Directives sont adoptées pour préciser les engagements que les États ont librement souscrits en vue de la réalisation des objectifs contenus dans les programmes ou pour déterminer les modalités de mise en œuvre des solutions communes dans les domaines prévus par l’article 4 de la Convention portant Statut du CAMES.

Les Règlements, en ce qui les concerne, n’ont ni pour objet ni pour effet de créer des droits ou des obligations au profit ou à la charge des ressortissants des États membres. Comme le prévoit le nouvel article 20-4 de la Convention dans sa rédaction due à la révision de 2019, ils sont destinés uniquement aux organes et instances du CAMES dont ils fixent les modalités de fonctionnement. Cela dit, l’absence de textes ayant un effet direct dans l’ordre juridique interne des États ne s’oppose pas à ce que le CAMES mette en place des instances chargées de prononcer les sanctions appropriées contre les enseignants et chercheurs qui, dans le cadre des programmes auxquels ils participent, s’écartent de manière délibérée des règles d’éthique et de déontologie qui garantissent la qualité des évaluations.  

Le CAMES n’est pas devenu, au vu de ce qui précède, une organisation supranationale par l’effet de la Résolution adoptée lors du dernier Conseil des ministres. Il a toujours été et demeure cette organisation investie par ses fondateurs de la mission d’harmoniser les politiques des États dans les domaines de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

La Résolution de 2019 modifiant la Convention portant Statut du CAMES a eu le mérite de préciser la nature des actes qui doivent être accomplis pour atteindre les objectifs visés et déterminer l’identité des organes ou des instances habilités à les adopter. L’adoption de cette Résolution ne peut donc avoir pour effet de transférer les compétences du Conseil des Ministres au Secrétaire Général qui en tant qu’organe d’exécution, exerce une mission générale de représentation, dirige l’administration du CAMES, exécute les décisions du Conseil des Ministres et des instances académiques et scientifiques du CAMES et participe à la conception des programmes (cf. article 17 de la Convention portant Statut du CAMES).

En ce qui concerne le Conseil des Ministres, il reste l’Instance voulue dès l’origine par les fondateurs du CAMES, c’est-à-dire  investie de la mission d’adopter les textes par lesquels sont définies les solutions communes et appropriées aux problèmes posés par les systèmes d’éducation, les établissements d’Enseignement supérieur, les Institutions de Recherche, les diplômes délivrés, l’accueil des étudiants, l’éducation, la formation et la circulation des étudiants ainsi que la mobilité des enseignants et des chercheurs.

En conclusion, il est à regretter que l’auteure, bénéficiaire des programmes du CAMES, ignore curieusement les textes de l’Organisation, les modalités de fonctionnement de ses instances ainsi que ses pratiques institutionnelles spécifiques. Il peut néanmoins lui être accordé le bénéfice des circonstances atténuantes.

Les textes du CAMES n’étant pas publiés, l’auteur peut soutenir au moins qu’elle n’est pas censée les connaitre. Mais, avec la création d’un Journal officiel du CAMES en vue d’assurer la publication des textes produits dans le cadre de notre Organisation commune, un tel système de défense ne pourra plus être opposé par les enseignants ou chercheurs de mauvaise foi prompts à demander, en invoquant l’absence de mesure de publicité, que soit écartée la règle selon laquelle nul n’est censé ignorer la loi.

Pour la mémoire et la responsabilité collective, il convient de noter que ce Conseil des Ministres ordinaire a été précédé d’une réunion des Experts et a connu la participation de 13 pays membres sur les 19 que regroupe le CAMES.

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𝗟𝗲 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗼𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗱’𝗮𝗰𝗰𝗼𝗿𝗱 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Le lundi 23 juin 2025, le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation du Sénégal, Dr Abdourahmane DIOUF et le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ ont procédé à la signature officielle du protocole d’accord relatif à l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), dont la phase présentielle se déroulera, du 10 au 21 novembre 2025, à Dakar, au Sénégal. En mission de travail au Sénégal du 23 au 27 juin 2025, la délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, accompagné du Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’Ordre International des Palmes Académiques, Pr Ali DOUMMA, a été reçue en audience par le Ministre, dans les locaux dudit Ministère.A l’entame de cette audience, le Ministre, Dr Abdourahmane DIOUF, s’est dit honoré par la visite du Secrétaire Général du CAMES. Il a réitéré sa reconnaissance au CAMES pour la grande confiance accordée au Gouvernement de la République du Sénégal pour l’organisation de ce 22ème Concours d’Agrégation des SJPEG. Il a par ailleurs rassuré le Secrétaire Général du CAMES, de toutes les dispositions prises par son ministère en vue d’assurer la parfaite organisation de cet important Programme statutaire du CAMES.Le Professeur Souleymane KONATÉ a précisé que cette visite avait pour principal objet d’échanger de vive voix avec Monsieur le Ministre et ses collaborateurs sur l’état d’avancement de l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des SJPEG, à environ trois mois du début des premières épreuves, en ligne, du Concours. « À cet effet, nous souhaitons rencontrer le Comité local d’organisation et visiter les infrastructures prévues pour accueillir l’événement au sein de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar », a-t-il ajouté.www.lecames.org/le-senegal-et-le-cames-signent-le-protocole-daccord-sur-lorganisation-du-22eme-co... ... See MoreSee Less
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𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗮𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹Dans le cadre des préparatifs du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), la délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Professeur Souleymane KONATÉ, accompagné du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA, a effectué une mission de travail à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, site retenu par les autorités sénégalaises pour l’organisation de ce Concours. À l’issue de la signature du protocole d’accord relatif à l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), intervenue le lundi 23 juin 2025, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a saisi l’opportunité de cette mission pour rendre une visite de courtoisie au Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Professeur Alioune Badara KANDJI. Cette audience a eu lieu le 24 juin 2025 en présence du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA.Une séance de travail avec le Comité local d’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des SJPEG a également eu lieu, le 25 juin 2025, dans les locaux de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Après une visite du site retenu pour l’organisation du Concours, les deux délégations ont échangé sur les aspects pratiques de l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion prévu à Dakar en novembre 2025.La journée du 26 octobre 2025, a elle, été consacrée à une séance de travail avec le Professeur Claude LISHOU, Expert du CAMES ayant mené l’étude de faisabilité de l’AVI-CAMES, dont les résultats ont été validés par le dernier Conseil des Ministres.www.lecames.org/une-delegation-du-cames-en-mission-de-travail-au-senegal/ ... See MoreSee Less
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𝗣𝗥𝗘𝗗-𝗔𝗤-𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 / 𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗖𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 – 𝗥𝗲𝗰𝗿𝘂𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱’𝗘𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝘀 𝗲𝗻 𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́Dans le cadre du renforcement de ses dispositifs d’Assurance Qualité dans l’Enseignement supérieur et la Recherche, le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) lance un appel à candidatures en vue de constituer une base de données d’Experts en Assurance Qualité, ouverte à l’ensemble des pays membres de l’espace CAMES ainsi qu’à l’international.À cet effet, nous vous invitons à soumettre votre 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲, 𝗮𝘂 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘁𝗮𝗿𝗱 𝗹𝗲 𝟭𝟱 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱, via le formulaire en ligne accessible à l’adresse suivante :pred.cames.online/web/admins/participant/collecte-donneesLes informations recueillies permettront de constituer un vivier d’Experts mobilisables pour des missions d’évaluation, d’appui technique et de renforcement de capacités, tant au niveau régional qu’international.Pour toute information complémentaire veuillez nous contacter à l’adresse suivante : 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗮𝗰𝘁@𝗹𝗲𝗰𝗮𝗺𝗲𝘀.𝗼𝗿𝗴.Le Secrétariat général du CAMES vous remercie pour l’intérêt que vous porterez à cet appel et pour votre engagement au service de la qualité dans l’Enseignement supérieur.www.lecames.org/pred-aq-cames-appel-a-candidatures-recrutement-dexperts-en-assurance-qualite/ ... See MoreSee Less
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𝗖𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗶𝗻𝗮𝘂𝗴𝘂𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂𝘅 𝗗𝗼𝗰𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 𝗨𝗝𝗞𝗭Les Doctoriales 2025 de l’Université Joseph KI-ZERBO (UJKZ) se sont tenues du 11 au 13 juin 2025, à Ouagadougou, sous le patronage du Professeur Jean François Silas KOBIANÉ, Président de l’UJKZ, et le parrainage du Docteur (Directeur de Recherche) Paco SÉRÉMÉ, Président de l’Académie Nationale des Sciences, des Arts et des Lettres du Burkina Faso (ANSAL BF). A l’occasion de cet évènement académique de portée régionale, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été invité à prononcer la conférence inaugurale sur le thème des Doctoriales « 𝙍𝙚𝙘𝙝𝙚𝙧𝙘𝙝𝙚 𝙨𝙘𝙞𝙚𝙣𝙩𝙞𝙛𝙞𝙦𝙪𝙚 𝙚𝙣 𝙩𝙚𝙢𝙥𝙨 𝙙𝙚 𝙘𝙧𝙞𝙨𝙚 : 𝙀𝙣𝙟𝙚𝙪𝙭 𝙚𝙩 𝙋𝙚𝙧𝙨𝙥𝙚𝙘𝙩𝙞𝙫𝙚𝙨 ». ... See MoreSee Less
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𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗲𝘅𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝘃𝗲 : 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗗𝗲́𝗼𝗻𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Président de la #Commission_d’Éthique_et_de_Déontologie_du_CAMES ((CED-CAMES) , Professeur Habibou ABARCHI, a été l’invité de la rédaction du Lundi CAMES.Dans cette interview, il revient sur les attributions et les missions essentielles de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES. Il y expose le mode de fonctionnement de l’Instance, rappelle certaines dispositions du Code d’Éthique et de Déontologie, et précise les sanctions applicables en cas de manquement aux règles établies. Les modalités de saisine de la Commission, les principales actions menées à ce jour, ainsi que les perspectives d’avenir de l’organe ont également été abordées au cours de cet échange riche et instructif.𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄𝘓𝘢 𝘊𝘰𝘮𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘌́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘋𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘢 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘧𝘰𝘯𝘥𝘢𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘴𝘵𝘳𝘪𝘤𝘵 𝘳𝘦𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦̀𝘨𝘭𝘦𝘴 𝘥’𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘢𝘱𝘱𝘭𝘪𝘤𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘢𝘶𝘹 𝘪𝘯𝘴𝘵𝘢𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘲𝘶’𝘢𝘶𝘹 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘰𝘯𝘯𝘦𝘭𝘴 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘢𝘪𝘯𝘴𝘪 𝘲𝘶’𝘢̀ 𝘭’𝘦𝘯𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘪𝘱𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘦́𝘳𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘗𝘳𝘰𝘨𝘳𝘢𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘭’𝘐𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯.𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦𝘹𝘢𝘮𝘪𝘯𝘦𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘥𝘰𝘴𝘴𝘪𝘦𝘳 𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦́ 𝘢̀ 𝘴𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦, 𝘯𝘰𝘵𝘢𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘦𝘶𝘹 𝘳𝘦𝘭𝘢𝘵𝘪𝘧𝘴 𝘢𝘶𝘹 𝘤𝘢𝘴 𝘱𝘳𝘦́𝘴𝘶𝘮𝘦́𝘴 𝘥𝘦 𝘱𝘭𝘢𝘨𝘪𝘢𝘵, 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘭𝘴𝘪𝘧𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘰𝘶 𝘥’𝘢𝘭𝘵𝘦́𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘥𝘰𝘤𝘶𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘮𝘪𝘴 𝘢𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚. 𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘦́𝘨𝘢𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘢𝘴𝘴𝘶𝘳𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘰𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘵 𝘭𝘢 𝘷𝘶𝘭𝘨𝘢𝘳𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘊𝘰𝘥𝘦 𝘥’𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘪𝘷𝘦 𝘱𝘳𝘦́𝘷𝘦𝘯𝘵𝘪𝘷𝘦.𝘗𝘢𝘳 𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴, 𝘭𝘢 𝘊𝘰𝘮𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘴𝘦 𝘴𝘢𝘪𝘴𝘪𝘳 𝘥’𝘰𝘧𝘧𝘪𝘤𝘦 𝘰𝘶 𝘦̂𝘵𝘳𝘦 𝘴𝘢𝘪𝘴𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘢𝘤𝘵𝘦 𝘰𝘶 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘱𝘳𝘪𝘯𝘤𝘪𝘱𝘦𝘴 𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘢𝘶𝘹 𝘷𝘢𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘦𝘶𝘵 𝘦𝘵 𝘥𝘦́𝘧𝘦𝘯𝘥 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚.𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗛𝗮𝗯𝗶𝗯𝗼𝘂 𝗔𝗕𝗔𝗥𝗖𝗛𝗜 ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝗼𝗶𝘁 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗱𝗲 𝗕𝗮𝗺𝗯𝗲𝘆 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗭𝗶𝗴𝘂𝗶𝗻𝗰𝗵𝗼𝗿Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a reçu en audience, le 17 juin 2025, Professeur Alassane DIEDHIOU, Recteur de l’Université de Ziguinchor et Professeur Ibrahima FAYE, Recteur de l’Université de Bambey, dans le cadre de la visite officielle de ces Responsables d’Institution au CAMES.Ces deux Responsables d’Institutions, ont tenu à effectuer cette mission spéciale à Ouagadougou afin de rencontrer l’équipe dirigeante du CAMES. Il s’agissait en effet, pour les deux Recteurs des Universités de Ziguinchor et de Bambey, d’échanger avec l’Institution régionale que constitue le CAMES sur des pistes de collaboration et de travail au niveau régional pour leurs Institutions, s’imprégner du fonctionnement du CAMES et établir un contact plus rapproché avec son équipe dirigeante.Le Secrétaire Général du CAMES s’est dit honoré par cette visite, qui fait suite à celles récentes des Recteurs de l’UCAD et de l’USSEIN, illustrant ainsi tout l’engagement des Universités sénégalaises auprès du CAMES et pour l’excellence dans l’Enseignement supérieur et la Recherche.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-recoit-en-audience-les-recteurs-des-universites-de... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗗𝗼𝘀𝘀𝗼 𝗮𝘂 𝗡𝗶𝗴𝗲𝗿 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Professeur Zibo GARBA a été reçu, le mercredi 17 juin 2025 en audience par le Secrétaire Général du CAMES en présence du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, des Comités Consultatifs Interafricains et de l’Ordre International des Palmes Académiques, Pr Ali DOUMMA.Il s’est agi pour Professeur GARBA de présenter ses civilités au Secrétaire Général du CAMES et de discuter des activités de son Université avec l’équipe dirigeante du CAMES. Il a également saisi cette occasion pour transmettre ses chaleureuses félicitations à l’équipe dirigeante pour les réalisations et la bonne mise en œuvre des Programmes de l’Institution, cela au bénéfice du monde académique et scientifique de l’espace CAMES. www.lecames.org/le-recteur-de-luniversite-de-dosso-au-niger-recu-au-cames/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗣𝗧𝗥 𝗕𝗶𝗼𝗱𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘁𝗲𝗻𝘂 𝘀𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗖𝗼𝗹𝗹𝗼𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 (𝗖𝗦𝗕𝗶𝗼-𝟭)Le premier colloque scientifique du Programme Thématique de Recherche (PTR) Biodiversité du CAMES s’est tenu du 17 au 19 juin 2025 à Thiès (Sénégal). Le thème général du colloque était « 𝘋𝘦́𝘧𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘳𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘣𝘪𝘰𝘥𝘪𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘵𝘦́ 𝘧𝘢𝘤𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘦𝘯𝘫𝘦𝘶𝘹 𝘴𝘦́𝘤𝘶𝘳𝘪𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 ». Il a réuni 242 participants dont 69 en présentiel et 173 en ligne provenant de 9 pays de l’espace CAMES (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Niger, République Démocratique du Congo, Sénégal et Togo), des Comores et de la Suisse. Ce colloque coorganisé par le PTR Biodiversité en collaboration avec l’Université Iba Der THIAM de Thiès au Sénégal, a été placé sous la présidence scientifique du Professeur Etotépé SOGBOHOSSOU.Ce colloque s’est déroulé en cinq principales étapes, avec notamment une cérémonie officielle d’ouverture, une conférence inaugurale et des sessions parallèles, une session plénière pour le fonctionnement du PTR Biodiversité et une cérémonie de clôture.www.lecames.org/le-ptr-biodiversite-du-cames-tenu-son-premier-colloque-scientifique-csbio-1/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝘀𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝘃𝗼𝗶𝗿𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗧𝗵𝗲́𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 – 𝗦𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗔𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗡𝘂𝘁𝗿𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 (𝗣𝗧𝗥-𝗦𝗔𝗡) 𝗲𝗻 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝘂 𝗽𝗮𝗿𝗰 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗯𝗮𝗻𝗰𝗼La section ivoirienne du Programme Thématique de Recherche – Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (PTR-SAN), constituée d’Enseignant.e.s-chercheur.e.s et Chercheur.e.s, a organisé une visite scientifique au parc national du banco située à Abidjan, afin d’analyser ses potentialités pour une intégration efficiente des ressources naturelles dans les systèmes alimentaires durables. Cette activité s’est tenue le jeudi 𝟬𝟱 𝗷𝘂𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟱, elle et a porté sur le thème « 𝘚𝘦́𝘤𝘶𝘳𝘪𝘵𝘦́ 𝘢𝘭𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘣𝘪𝘰𝘥𝘪𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘵𝘦́ : 𝘦𝘹𝘱𝘭𝘰𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦𝘴 𝘢𝘭𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘤 𝘯𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘢𝘭 𝘥𝘶 𝘉𝘢𝘯𝘤𝘰 ».www.lecames.org/la-section-ivoirienne-du-programme-thematique-de-recherche-du-cames-securite-alim... ... See MoreSee Less
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