Interview du Professeur Mohammadou MERAWA, auteur de l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES »


Pr Mohammadou MEREWA lors de son intervention au 39e session du Conseil des Ministres du CAMES

« Engagées dans le processus de mise en œuvre du système académique Licence-Master-Doctorat (LMD) depuis plus d’une dizaine d’années, les institutions d’enseignement supérieur et de recherche de l’espace CAMES, rencontrent comme chacun sait, des difficultés de différents ordres qui peuvent se résumer à un déficit de création d’un environnement propice, toutes dimensions confondues pour sa mise en œuvre. Cet environnement propice dans chacun des pays membres est tributaire de la mobilisation des ressources financières nécessaires pour mettre en œuvre les différentes activités qui auront vocation d’améliorer la gouvernance de ces institutions, la qualité et la pertinence de l’offre de formation supérieure par rapport aux besoins du monde socio-économique, mais également de renforcer les capacités de tous les acteurs de ce sous-secteur si stratégique pour le développement des pays africains », Pr Mohammadou MEREWA.


Question 1 : Professeur pouvez-vous, vous présenter à nos lecteurs ?

Je suis Professeur des Universités, Directeur de Département de Chimie de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour en France. Au cours de l’année académique 2003/2004 au moment où les institutions universitaires françaises ont adopté le système académique Licence-Master-Doctorat (LMD), j’ai activement participé au processus de sa mise en œuvre au sein de mon département et toutes les entités universitaires de cette université étaient dans cette même dynamique.

Très vite nous avons compris que le système LMD dépasserait largement les frontières européennes, compte tenu de ces objectifs, en particulier ceux orientés vers l’internationalisation des diplômes, la mobilité des apprenants et surtout une véritable reconfiguration des offres de formation pour les mettre en cohérence avec les besoins du marché de l’emploi. Mon vœu le plus cher était de pouvoir apporter ma modeste contribution au déploiement du LMD dans les pays africains membres de l’espace CAMES.

Ce vœu a été exaucé d’abord de 2005 à 2010 en République du Bénin. Comme vous le savez, mon arrivée au Bénin a coïncidé avec l’initiative très opportune prise par les institutions d’enseignement supérieur de l’Afrique de l’Ouest de créer le Réseau pour l’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique de l’Ouest (REESAO).

J’ai, par le biais du projet d’appui à l’enseignement supérieur dont j’avais la charge en tant que Chef de projet contribué à l’organisation de plusieurs séminaires sous-régionaux de définition des standards du LMD de l’espace REESAO, mais également des séminaires d’appropriation des fondamentaux de ce système académique et de reconfiguration des offres de formation pour les huit (8) domaines de formation identifiés dans l’espace REESAO.

De novembre 2010 à ce jour, je suis en Côte d’Ivoire avec trois missions, celle de Conseiller du Ministre ivoirien de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, de Chef de projet du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) avec dans ce projet un accent particulier relatif à la création d’un environnement propice à la mise en œuvre du LMD en Côte d’Ivoire et enfin, une mission d’assistance technique auprès des institutions ivoiriennes d’enseignement supérieur et de recherche dans ce processus d’appropriation du système LMD avec ses dimensions de formation des formateurs et d’accompagnement à la révision des curricula pour les mettre au format LMD et en adéquation avec les besoins du monde socio-économique.

Question 2 : Pr Mohammadou MERAWA vous avez produit, en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, un ouvrage intitulé « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Pouvez-vous nous présenter brièvement cet ouvrage ? Comment êtes-vous arrivé à le réaliser? 

Avant de répondre à votre question, permettez d’abord que je rende un hommage au feu Pr Bertrand MBATCHI. J’ai eu la chance de le connaître et de travailler avec lui à son initiative et je retiens de lui, que dis-je nous devons retenir de lui que c’était un homme très engagé et qui a joué un rôle déterminant dans la rénovation du CAMES. Il avait une très haute idée de cette institution régionale d’intégration par excellence et n’a ménagé aucun effort pour la hisser au rang des grandes institutions académiques internationales. La contribution du Pr MBATCHI à la rénovation du CAMES est tout simplement inestimable.

S’agissant de votre question, je voudrais d’abord rappeler que ce nouvel ouvrage est la suite logique du premier intitulé « Construction du nouvel espace africain et malgache de l’Enseignement supérieur dans le contexte de la mise en place du système LMD dans les établissements d’enseignement supérieur de l’espace CAMES », que j’avais rédigé en 2007 en collaboration avec feu le Pr Fulbert AMOUSSOUGA GERO, pour lequel je voudrais également avec votre permission avoir une pensée pieuse. Pour ce premier ouvrage qui a fait l’objet d’un large partage au niveau des institutions académiques de l’espace CAMES, car il a été reproduit à plus de 20 000 exemplaires et mis en ligne sur le site internet du CAMES, l’objectif était de définir les fondamentaux et les standards du LMD au niveau de l’espace CAMES avec en perspective de poser les jalons d’un référentiel d’évaluation et d’accréditation de nouvelles offres de formation dans le cadre du système LMD.

Pour rendre à César ce qui est à César, je précise qu’après plus de dix (10) années de mise en œuvre du système LMD, l’initiative de proposer la suite au premier ouvrage avec des objectifs différents a été prise par le Pr. MBATCHI et c’était un honneur pour moi, d’avoir été sollicité à nouveau par le CAMES pour la rédaction de ce nouvel ouvrage. Après chaque chapitre livré, le Pr MBATCHI a marqué un intérêt tout particulier en y apportant ses contributions, toujours très pertinentes. Il convient par conséquent de rappeler que ce deuxième ouvrage, comme le premier répond à une commande spécifique du CAMES.

« Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES », l’intitulé évocateur de cet ouvrage en soi traduit d’une certaine façon l’état actuel de la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES avec ses forces, mais surtout ses faiblesses. Il était donc opportun dans un premier temps, de faire après un rappel des fondamentaux, l’état des lieux et le diagnostic de la mise en œuvre de ce système académique dans ses dimensions institutionnelle, académique, mais aussi de renforcement des capacités. C’est tout le sens donné à la structuration de l’ouvrage. Les défis à relever pour réussir la mise en œuvre du système LMD dans les institutions d’enseignement supérieur et de recherche sont nombreux. Un chapitre y a été consacré avec des recommandations à l’attention des différentes parties-prenantes afin de s’engager dans une nouvelle dynamique permettant d’atteindre les objectifs visés. Le véritable point d’ancrage de cet ouvrage est le chapitre portant sur les nouvelles méthodes pédagogiques consubstantielles de la mise en œuvre réussie du système LMD.

En effet, nous savons tous que pour réussir la mise en œuvre de ce système académique international il faut un préalable, celui d’avoir un environnement propice décliné dans l’ouvrage ainsi que l’appropriation des fondamentaux du LMD par tous les acteurs du système académique de l’espace CAMES, rappelés également dans l’ouvrage, mais la véritable réussite du LMD viendra surtout dans sa phase pratique de mise en œuvre d’un véritable changement de paradigme dans la manière d’enseigner, d’évaluer et d’apprendre pour les apprenants. La bonne appropriation par les enseignants-chercheurs des nouvelles méthodes pédagogiques est donc déterminante et nécessite des formations à l’attention des différents acteurs de la communauté universitaire. Ces méthodes sont explicitées dans l’ouvrage. Enfin, à juste titre, tenant compte du constat que la plupart des enseignants-chercheurs ne connaissent pas véritablement cette institution d’intégration régionale qu’est le CAMES, il a été proposé de lui consacrer le dernier chapitre, pour décliner ses missions et ses objectifs.

Question 3 : Quelles seraient alors les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans l’application du LMD ? Comment y remédier?

Les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES sont multiples et multiformes. Il serait illusoire de vouloir toutes les décliner dans cette interview. Pour l’essentiel on retiendra surtout que, d’une façon générale, les conditions de sa mise en œuvre efficiente n’ont pas été réunies. Nous savons tous que le LMD, déclinaison académique de la mondialisation a la vocation de promouvoir l’internationalisation des diplômes du supérieur, facilitant de fait, la mobilité des apprenants au niveau international. Le préalable à cette internationalisation des diplômes est bien l’harmonisation de l’offre de formation supérieure. Ce processus d’harmonisation doit impérativement s’accompagner d’une véritable révision des curricula en liaison avec les acteurs du monde socio-économique pour les adapter aux besoins du marché de l’emploi. Pour ne pas en dire davantage, on comprend aisément que l’enjeu majeur pour les pays membres du CAMES dont les diplômés du supérieur sont confrontés au fléau que constitue le chômage, devenu quasiment endémique dans certains pays est bien celui de l’amélioration de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure. Nous savons tous également que la qualité a un coût.

Le LMD ne peut pas se mettre en œuvre efficacement à coût constant. Malgré les ressources financières importantes mobilisées par certains États membres du CAMES, qui se sont engagés à offrir un enseignement supérieur et de recherche de qualité à leurs citoyens, par rapport aux besoins réels exprimés, les ressources financières mobilisées sont insuffisantes. Parler des besoins réels exprimés, suppose qu’un état des lieux de l’ancien système ait été fait et comme vous le savez, ça n’a pas été le cas pour la plupart des pays. Le LMD a été mis en œuvre sans ce préalable et nous connaissons également les conséquences notamment une appropriation des fondamentaux plus de dix (10) ans après qui varie d’un pays à un autre, même au sein du même pays d’un établissement à un autre et très souvent au sein du même établissement d’une entité universitaire à une autre.

La non-appropriation des objectifs de ce système académique a très souvent conduit dans la plupart des pays à une simple transposition de l’ancien système dans un format LMD avec des parcours de formation organisés en semestres avec des Unités d’Enseignement (UE) auxquelles des Crédits d’Évaluation Capitalisables et Transférables (CECT) sont affectées. Les objectifs de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation n’ont été pris en compte que de façon marginale par un nombre très restreint d’établissements des pays membres du CAMES alors que tous les efforts auraient dû être déployés pour atteindre ces deux objectifs en étroite collaboration avec le secteur productif, qu’il soit public ou privé. La dimension renforcement des capacités n’a pas non plus fait l’objet d’une attention à la mesure de son importance dans le dispositif pour le rendre efficient.

Question 4 : Application des préceptes du LMD, n’est-ce pas un luxe quand nos universités ont du mal à joindre les deux bouts en matière de gestion des effectifs?

Cette question pertinente nous ramène une fois de plus à celles de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure, donc du coût de la mise en œuvre réussie du LMD dans le contexte de massification des effectifs d’apprenants que l’on connaît. Elle a il faut bien le comprendre, une dimension stratégique et politique pour chacun des pays membres du CAMES. En d’autres termes, considérant que le nombre de plus en plus important d’étudiants qui aspirent à poursuivre les études supérieures, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques représente un atout pour ces pays et non un handicap, les États africains sont-ils prêts à mobiliser les ressources financières nécessaires pour relever le défi de la création d’une masse critique de ressources humaines compétentes et de qualité pour engager sans tarder leur processus d’industrialisation avec pour objectif la transformation en Afrique de son formidable potentiel de ressources minières et agricoles ? Nous comprenons tout de suite que la réponse à cette question permettra ou non de créer cet environnement propice à la mise en œuvre du système LMD dans chaque pays pour que les institutions d’enseignement supérieur et de recherche soient véritablement pourvoyeuses de ces ressources humaines. Il s’agit bien évidemment d’une décision stratégique et politique, car il y va de l’avenir de ce continent, riche de sa jeunesse, dont les pays aspirent à un développement endogène et durable, conséquence de la transformation industrielle sur place de son énorme potentiel de ressources minières et agricoles.

La bonne appropriation des méthodes pédagogiques par les enseignants-chercheurs avec une part belle faite à l’intégration du numérique éducatif, apporte également des éléments de réponses à la gestion des effectifs de plus en plus importants d’étudiants dans les universités. Cet environnement numérique intégré, support d’une mise en œuvre réussie du LMD a également un coût et nous le savons tous.

Question 5 : Revenons à une question fondamentale. Vous intitulez l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Est-ce que cela veut dire que vous donnez une recette pour chacune des parties-prenantes du LMD dans les universités?

Vous savez, la réussite de la mise en œuvre du LMD n’est pas uniquement de la responsabilité des acteurs universitaires et je viens d’en parler. Cet ouvrage qui a modestement vocation de contribuer à améliorer l’appropriation des différentes dispositions principales et des fondamentaux du LMD, après un état des lieux et un diagnostic de plus de dix (10) ans de mise en œuvre, se présente comme une feuille de route avec des recommandations pratiques et pragmatiques à l’attention de toutes les parties-prenantes au-delà de l’espace académique. Mettre en œuvre toutes ces recommandations présentées aux membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES le 1er mars 2022 à Conakry (République de Guinée) et aux Ministres membres du Conseil des Ministres du CAMES le 26 mai 2022 à Kinshasa (République Démocratique du Congo), permettra assurément de réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES. C’est l’objectif principal de cet ouvrage.

Question 6 : Votre mot de fin Professeur Mohammadou MERAWA?

Je voudrais d’abord vous remercier de m’avoir donné l’opportunité d’échanger avec vous sur cette problématique très importante de la mise en œuvre du système LMD dans les pays membres du CAMES.

L’enjeu est important et même déterminant pour l’avenir de la jeunesse africaine et corrélativement pour l’avenir de tous ces pays. Je voudrais rappeler qu’à tort, sans un environnement propice, le système LMD est considéré par beaucoup comme la panacée, dont la mise en œuvre devrait résoudre tous les problèmes de fond, auxquels sont confrontées actuellement les institutions d’enseignement supérieur et de recherche. Cette mauvaise appréciation des objectifs principaux du LMD a conduit quelques fois jusqu’à une véritable désinformation vis-à-vis de ce système académique.

Je voudrais également rappeler que la question du sous-financement du sous-secteur est la difficulté majeure, pour ne pas dire la principale, car, toutes les difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre du LMD n’en sont que des conséquences.

J’ai la ferme conviction que le véritable espoir naîtra de la réelle prise de conscience par les gouvernants du rôle qu’a joué ce sous-secteur, comme vecteur multiplicateur de croissance dans les pays émergents. Le véritable espoir viendra également du rôle que devront jouer les différents acteurs du système éducatif, engagés collectivement pour la rénovation effective du sous-secteur dans ses dimensions institutionnelle, académique et de recherche et de leur prise de conscience qu’ils ont une responsabilité historique à assumer. Le véritable espoir viendra enfin de la capacité des États africains, riches de leur jeunesse, riches de leurs ressources agricoles, riches de leurs ressources minières, de relever collectivement le défi de l’industrialisation de ce continent qui passe inéluctablement par la constitution d’une masse critique de ressources humaines qualifiées, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques, afin qu’ils soient véritablement maîtres de leur destin.

Pour finir, je voudrais que nous prenions tous conscience que le CAMES par ses objectifs et ses missions que tous les enseignants-chercheurs, chercheurs et gouvernants des pays membres gagneraient à bien connaître, mais aussi la pertinence de son positionnement comme l’organe de régulation de l’enseignement supérieur et de la recherche est une chance pour tous ses pays membres. Je mesure à sa juste valeur l’importance que le CAMES accorde à la réussite de la mise en œuvre du système LMD dans tous les pays membres et ce fut un honneur pour moi par cet ouvrage d’y apporter ma modeste contribution.


Lors de la 39e session du Conseil des Ministres du CAMES, tenue du 23 au 27 mai 2022, à Kinshasa en République démocratique du Congo, l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES » a été présenté par son auteur, le Pr Mohammadou MEREWA, Conseiller du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique en Côte d’Ivoire. Cet ouvrage, produit en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, dresse un diagnostic sans complaisance de la mise en œuvre du LMD dans les différents pays de l’espace CAMES.

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📣 Ouverture ce matin du Forum de l'étudiant guinéen à #conakry ! 🎓🌍 Un événement incontournable qui se déroulera du 06 au 08 décembre 2023. Une occasion unique d'échanger, de partager et d'apprendre ensemble. Ne manquez pas cet événement ! #FEG #cames #étudiants #Guinee ... See MoreSee Less
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Le Secrétaire Général du #CAMES, le Pr. Souleymane KONATÉ, participe au panel intitulé "Études supérieures et pratiques professionnelles : le défi des compétences et de l'employabilité", dans le cadre du Forum de l'étudiant guinéen qui se tient à Conakry du 06 au 09 décembre 2023. #FEGQuel futur pour changer les institutions universitaires, leurs diversités de postes professionnels pour relever le défi de la formation et leurs programmes pour améliorer l'employabilité des étudiants ?C'est à cette question que les panélistes ont, tour à tour, apporté leurs éléments de réponse en insistant sur la nécessaire réforme des programmes de formation et sur l'adéquation formation emploi. #CAMES ... See MoreSee Less
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𝗙𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟯𝟴𝗲 𝗦𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗥𝗘𝗗-𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝘂𝗻 𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟵𝟯,𝟵𝟰 %Le vendredi 1er décembre 2023, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ a présidé la cérémonie officielle de clôture de la 38e Session du Programme de reconnaissance et d’équivalence des diplômes (PRED), en présence des Experts et des Présidents des trois (3) commissions d’évaluation mises en place pour cette session. Les travaux se sont déroulés en ligne du 28 novembre au 1er décembre 2023.Pendant la session, les trois (3) commissions spécialisées ont examiné les 165 demandes d’accréditation soumis — dont 60 demandes de renouvellement, conformément aux référentiels du PRED et en tenant compte des rapports d’instruction et d’évaluation sur site, avant d’émettre des avis motivés qui tiennent lieu de résultats provisoires. Dans son discours de clôture, le Secrétaire Général du CAMES a fait remarquer que le nombre de dossiers soumis à cette session 2023 est légèrement en hausse par rapport au colloque précédent, tout comme l’est le taux de réussite de 93,94 % comparé à 88 % lors de la session précédente. Il a poursuivi en mentionnant que malgré la légère hausse constatée, le nombre de dossiers soumis au PRED demeure faible comparé au nombre d’établissements et de formations existants dans notre espace commun.« 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑎𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑’𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑡 𝑑’𝑎𝑐𝑐𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑒, 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑒́𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑐𝑠, 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑠𝑦𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑔𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑑’𝑎𝑐𝑐𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑡 𝑙’𝑒𝑥𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑜𝑡𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑠𝑝𝑒𝑛𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑗𝑢𝑔𝑢𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑠 𝑒𝑓𝑓𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝑙’𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑐𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛, 𝑒𝑡 𝑎𝑢-𝑑𝑒𝑙𝑎̀, 𝑎̀ 𝑠’𝑒𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑃𝑅𝐸𝐷. ». a plaidé le Pr Souleymane KONATÉ.www.lecames.org/fin-de-la-38e-session-du-pred-cames-un-taux-de-reussite-de-9394/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲́ 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗕𝗶𝗲𝗻𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲, 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗱𝘂𝘀𝘁𝗿𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝗻 𝗔𝗳𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲Du 28 au 30 novembre 2023, la Biennale de la recherche, de l’innovation et de l’industrialisation en Afrique (BRII) a accueilli un Village de l’Innovation, dans l’enceinte de l’Université Amadou Mahtar Mbow (UAM) de Dakar, où différentes structures, dont le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), ont exposé leur savoir-faire.Cette activité a permis non seulement une meilleure visibilité et une plus grande lisibilité des activités des programmes statutaires de l’institution et de ses partenaires auprès des participants (gouvernements, ONG, financiers, législateurs, industriels, entrepreneurs, universitaires, acteurs communautaires), mais aussi et surtout de prendre connaissance des attentes et des préoccupations de ces différentes parties prenantes de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation de l’espace CAMES. Cela dans le but de favoriser une meilleure appropriation des outils CAMES, d’orienter la stratégie de communication de l’institution et de l’adapter à chaque cible pour la mise en œuvre de notre vision commune de construction du « 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘷𝘰𝘶𝘭𝘰𝘯𝘴 : 𝘜𝘯 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘥𝘦𝘴 𝘌́𝘵𝘢𝘵𝘴, 𝘜𝘯 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘥𝘦𝘴 𝘌𝘯𝘴𝘦𝘪𝘨𝘯𝘢𝘯𝘵𝘴-𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘦𝘵 𝘊𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦𝘶𝘳𝘴, 𝘜𝘯 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘥𝘦𝘴 𝘗𝘦𝘶𝘱𝘭𝘦𝘴 ».www.lecames.org/le-cames-a-participe-a-la-premiere-edition-de-la-biennale-de-la-recherche-de-linn... ... See MoreSee Less
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𝗖𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗺𝗶𝘀𝗲 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗠𝗮𝗰𝗸𝘆 𝗦𝗔𝗟𝗟 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 — 𝟯𝗲 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻Douze projets de recherche ont répondu à l’appel à candidature pour la 3e édition du « Prix Macky SALL pour la Recherche », dont Six (06) issus des Programmes Thématiques de Recherche (PTR) du CAMES. À l’issue des évaluations, trois projets fédérateurs portés par des enseignants-chercheurs et chercheurs de l’espace CAMES, abordant des thématiques d’intérêt pour l’ensemble des États membres. Ces projets ont été sélectionnés par un jury interafricain présidé par le Pr Isabelle GLITHO professeur émérite à l’Université de Lomé au TOGO. Après avoir remis les prix et les chèques, le Président de la République du Sénégal, SEM Macky SALL, dans son discours, a félicité les Coordonnateurs des trois PTR lauréats ainsi que leurs collaborateurs et les a invités à profiter pleinement de cette biennale pour établir des partenariats et réaliser ensemble des avancées significatives pour notre continent : « 𝘓’𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘦 𝘥’𝘰𝘱𝘱𝘰𝘳𝘵𝘶𝘯𝘪𝘵𝘦́𝘴, 𝘥𝘦 𝘥𝘪𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘵𝘦́ 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘳𝘪𝘤𝘩𝘦𝘴𝘴𝘦 𝘤𝘶𝘭𝘵𝘶𝘳𝘦𝘭𝘭𝘦, 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘦 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘶𝘯 𝘧𝘰𝘺𝘦𝘳 𝘢𝘳𝘥𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘵𝘢𝘭𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘤𝘳𝘦́𝘢𝘵𝘪𝘷𝘪𝘵𝘦́. 𝘕𝘰𝘶𝘴 𝘴𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴, 𝘪𝘤𝘪, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦́𝘭𝘦́𝘣𝘳𝘦𝘳 𝘤𝘦𝘴 𝘢𝘵𝘰𝘶𝘵𝘴, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘴𝘶𝘳𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘪𝘮𝘱𝘶𝘭𝘴𝘦𝘳 𝘤𝘦 𝘴𝘢𝘶𝘵 𝘲𝘶𝘢𝘭𝘪𝘵𝘢𝘵𝘪𝘧 𝘪𝘯𝘥𝘪𝘴𝘱𝘦𝘯𝘴𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘢̀ 𝘭’𝘢𝘮𝘦́𝘭𝘪𝘰𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘦́𝘤𝘰𝘴𝘺𝘴𝘵𝘦̀𝘮𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘙𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘦𝘯 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦. 𝘊’𝘦𝘴𝘵 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘭𝘢 𝘴𝘪𝘨𝘯𝘪𝘧𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘳𝘦𝘮𝘪𝘴𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘭𝘢𝘶𝘳𝘦́𝘢𝘵𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘵𝘳𝘰𝘪𝘴𝘪𝘦̀𝘮𝘦 𝘦́𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘗𝘳𝘪𝘹 𝘔𝘢𝘤𝘬𝘺 𝘚𝘈𝘓𝘓 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘙𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚.».« 𝘊’𝘦𝘴𝘵 𝘭𝘦 𝘭𝘪𝘦𝘶 𝘥𝘦 𝘴𝘢𝘭𝘶𝘦𝘳 𝘦𝘵 𝘮𝘢𝘨𝘯𝘪𝘧𝘪𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘱𝘭𝘢𝘤𝘦 𝘱𝘳𝘪𝘮𝘰𝘳𝘥𝘪𝘢𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘳𝘰̂𝘭𝘦 𝘧𝘰𝘯𝘥𝘢𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘭 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭’𝘦𝘯𝘴𝘦𝘪𝘨𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘶𝘱𝘦́𝘳𝘪𝘦𝘶𝘳 𝘦𝘵 𝘭𝘢 𝘳𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘦𝘯 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦. », a poursuivi le Président Macky SALL.www.lecames.org/ceremonie-officielle-de-remise-du-prix-macky-sall-pour-la-recherche-3e-edition/ ... See MoreSee Less
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𝗙𝗶𝗻 𝗱𝘂 𝟮𝟭𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 : 𝟲𝟳 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗠𝗮𝗶̂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗲́𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝘂𝗻 𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟯𝟮,𝟮𝟭 %Du 10 au 17 novembre 2023, se sont tenues au campus de l’Institut des Relations internationales du Cameroun (IRIC) de l’Université de Yaoundé II, les deuxièmes et troisièmes épreuves du 21e Concours d’Agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion (SJPEG) du CAMES.À l’entame de cette cérémonie, le Président Coordonnateur Général des jurys, par ailleurs Président du Comité Consultatif Général du CAMES, Pr Ahmadou Aly MBAYE, a solennellement proclamé les résultats. Il en ressort que, sur les 208 candidats enregistrés à cette 21e session du Concours d’Agrégation des SJPEG, 67 candidats, dont 16 femmes et 57 hommes, ont été inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de Maître de Conférences Agrégés du CAMES, dans leurs spécialités. Soit un taux global de réussite de 32,21 % légèrement inférieur à celui de la 20e session tenue à Cotonou en 2021 qui est de 38,89 %.www.lecames.org/fin-du-21e-concours-dagregation-des-sjpeg-67-nouveaux-maitres-de-conferences-agre... ... See MoreSee Less
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𝗗𝗿 𝗚𝗮𝘀𝘁𝗼𝗻 𝗕𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗡𝗞𝗢𝗨𝗠𝗢𝗨 𝗡𝗚𝗢𝗔, 𝗹𝗮𝘂𝗿𝗲́𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟲𝗲 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗖𝗼𝗿𝗶𝘀 𝗕𝗔𝗡𝗞 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹Le Dr Gaston Brice NKOUMOU NGOA, de l’Université de Dschang (Cameroun), major dans la Section « Sciences Économiques » est le lauréat de la 6e édition du « Prix Coris Bank International pour la promotion de l’excellence et la responsabilité sociale » d’une valeur de 2 millions de francs CFA — qui récompense le meilleur lauréat du Concours d’Agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion (SJPEG) du CAMES.www.lecames.org/dr-gaston-brice-nkoumou-ngoa-laureat-de-la-6e-edition-du-prix-coris-bank-internat... ... See MoreSee Less
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Reportage de la #RTS_Sénégal sur la cérémonie de remise des prix aux lauréats de la 2e édition du Prix Macky Sall pour la Recherche - youtu.be/eZQQWskVJZY#cames #prixmackysallpourlarecherche #enseignementsuperieur #rechercheenafrique #recherche #innovations ... See MoreSee Less
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Pour sa troisième édition, le « Prix Macky SALL pour la Recherche » s'est tenue aujourd'hui à l'Université Amadou Mahtar Mbow de Dakar (UAM) sous le thème : « La recherche et l'innovation face aux problématiques de paix, de sécurité et de développement dans l'Espace CAMES ». Le Président Macky SALL, parrain et mécène du prix, a souligné la nécessité pour l'Afrique de former et d'employer davantage de scientifiques, d'ingénieurs et de techniciens pour réaliser sa souveraineté dans tous les domaines. Source : Présidence du Sénégal ... See MoreSee Less
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PTR « GOUVERNANCE ET DÉVELOPPEMENT » - Troisième lauréat du Prix Macky SALL pour la Recherche avec son projet « Repenser la gouvernance des frontières en contexte de crises interconnectées en Afrique (GFAfrique)». L'objectif de ce projet est de développer une nouvelle approche de la gouvernance des frontières en intégrant une compréhension globale des crises interconnectées sur les plans politique, social, économique, sécuritaire, environnemental et sanitaire.#cames #prixmackysallpourlarecherche ... See MoreSee Less
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