Interview du Professeur Mohammadou MERAWA, auteur de l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES »


Pr Mohammadou MEREWA lors de son intervention au 39e session du Conseil des Ministres du CAMES

« Engagées dans le processus de mise en œuvre du système académique Licence-Master-Doctorat (LMD) depuis plus d’une dizaine d’années, les institutions d’enseignement supérieur et de recherche de l’espace CAMES, rencontrent comme chacun sait, des difficultés de différents ordres qui peuvent se résumer à un déficit de création d’un environnement propice, toutes dimensions confondues pour sa mise en œuvre. Cet environnement propice dans chacun des pays membres est tributaire de la mobilisation des ressources financières nécessaires pour mettre en œuvre les différentes activités qui auront vocation d’améliorer la gouvernance de ces institutions, la qualité et la pertinence de l’offre de formation supérieure par rapport aux besoins du monde socio-économique, mais également de renforcer les capacités de tous les acteurs de ce sous-secteur si stratégique pour le développement des pays africains », Pr Mohammadou MEREWA.


Question 1 : Professeur pouvez-vous, vous présenter à nos lecteurs ?

Je suis Professeur des Universités, Directeur de Département de Chimie de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour en France. Au cours de l’année académique 2003/2004 au moment où les institutions universitaires françaises ont adopté le système académique Licence-Master-Doctorat (LMD), j’ai activement participé au processus de sa mise en œuvre au sein de mon département et toutes les entités universitaires de cette université étaient dans cette même dynamique.

Très vite nous avons compris que le système LMD dépasserait largement les frontières européennes, compte tenu de ces objectifs, en particulier ceux orientés vers l’internationalisation des diplômes, la mobilité des apprenants et surtout une véritable reconfiguration des offres de formation pour les mettre en cohérence avec les besoins du marché de l’emploi. Mon vœu le plus cher était de pouvoir apporter ma modeste contribution au déploiement du LMD dans les pays africains membres de l’espace CAMES.

Ce vœu a été exaucé d’abord de 2005 à 2010 en République du Bénin. Comme vous le savez, mon arrivée au Bénin a coïncidé avec l’initiative très opportune prise par les institutions d’enseignement supérieur de l’Afrique de l’Ouest de créer le Réseau pour l’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique de l’Ouest (REESAO).

J’ai, par le biais du projet d’appui à l’enseignement supérieur dont j’avais la charge en tant que Chef de projet contribué à l’organisation de plusieurs séminaires sous-régionaux de définition des standards du LMD de l’espace REESAO, mais également des séminaires d’appropriation des fondamentaux de ce système académique et de reconfiguration des offres de formation pour les huit (8) domaines de formation identifiés dans l’espace REESAO.

De novembre 2010 à ce jour, je suis en Côte d’Ivoire avec trois missions, celle de Conseiller du Ministre ivoirien de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, de Chef de projet du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) avec dans ce projet un accent particulier relatif à la création d’un environnement propice à la mise en œuvre du LMD en Côte d’Ivoire et enfin, une mission d’assistance technique auprès des institutions ivoiriennes d’enseignement supérieur et de recherche dans ce processus d’appropriation du système LMD avec ses dimensions de formation des formateurs et d’accompagnement à la révision des curricula pour les mettre au format LMD et en adéquation avec les besoins du monde socio-économique.

Question 2 : Pr Mohammadou MERAWA vous avez produit, en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, un ouvrage intitulé « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Pouvez-vous nous présenter brièvement cet ouvrage ? Comment êtes-vous arrivé à le réaliser? 

Avant de répondre à votre question, permettez d’abord que je rende un hommage au feu Pr Bertrand MBATCHI. J’ai eu la chance de le connaître et de travailler avec lui à son initiative et je retiens de lui, que dis-je nous devons retenir de lui que c’était un homme très engagé et qui a joué un rôle déterminant dans la rénovation du CAMES. Il avait une très haute idée de cette institution régionale d’intégration par excellence et n’a ménagé aucun effort pour la hisser au rang des grandes institutions académiques internationales. La contribution du Pr MBATCHI à la rénovation du CAMES est tout simplement inestimable.

S’agissant de votre question, je voudrais d’abord rappeler que ce nouvel ouvrage est la suite logique du premier intitulé « Construction du nouvel espace africain et malgache de l’Enseignement supérieur dans le contexte de la mise en place du système LMD dans les établissements d’enseignement supérieur de l’espace CAMES », que j’avais rédigé en 2007 en collaboration avec feu le Pr Fulbert AMOUSSOUGA GERO, pour lequel je voudrais également avec votre permission avoir une pensée pieuse. Pour ce premier ouvrage qui a fait l’objet d’un large partage au niveau des institutions académiques de l’espace CAMES, car il a été reproduit à plus de 20 000 exemplaires et mis en ligne sur le site internet du CAMES, l’objectif était de définir les fondamentaux et les standards du LMD au niveau de l’espace CAMES avec en perspective de poser les jalons d’un référentiel d’évaluation et d’accréditation de nouvelles offres de formation dans le cadre du système LMD.

Pour rendre à César ce qui est à César, je précise qu’après plus de dix (10) années de mise en œuvre du système LMD, l’initiative de proposer la suite au premier ouvrage avec des objectifs différents a été prise par le Pr. MBATCHI et c’était un honneur pour moi, d’avoir été sollicité à nouveau par le CAMES pour la rédaction de ce nouvel ouvrage. Après chaque chapitre livré, le Pr MBATCHI a marqué un intérêt tout particulier en y apportant ses contributions, toujours très pertinentes. Il convient par conséquent de rappeler que ce deuxième ouvrage, comme le premier répond à une commande spécifique du CAMES.

« Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES », l’intitulé évocateur de cet ouvrage en soi traduit d’une certaine façon l’état actuel de la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES avec ses forces, mais surtout ses faiblesses. Il était donc opportun dans un premier temps, de faire après un rappel des fondamentaux, l’état des lieux et le diagnostic de la mise en œuvre de ce système académique dans ses dimensions institutionnelle, académique, mais aussi de renforcement des capacités. C’est tout le sens donné à la structuration de l’ouvrage. Les défis à relever pour réussir la mise en œuvre du système LMD dans les institutions d’enseignement supérieur et de recherche sont nombreux. Un chapitre y a été consacré avec des recommandations à l’attention des différentes parties-prenantes afin de s’engager dans une nouvelle dynamique permettant d’atteindre les objectifs visés. Le véritable point d’ancrage de cet ouvrage est le chapitre portant sur les nouvelles méthodes pédagogiques consubstantielles de la mise en œuvre réussie du système LMD.

En effet, nous savons tous que pour réussir la mise en œuvre de ce système académique international il faut un préalable, celui d’avoir un environnement propice décliné dans l’ouvrage ainsi que l’appropriation des fondamentaux du LMD par tous les acteurs du système académique de l’espace CAMES, rappelés également dans l’ouvrage, mais la véritable réussite du LMD viendra surtout dans sa phase pratique de mise en œuvre d’un véritable changement de paradigme dans la manière d’enseigner, d’évaluer et d’apprendre pour les apprenants. La bonne appropriation par les enseignants-chercheurs des nouvelles méthodes pédagogiques est donc déterminante et nécessite des formations à l’attention des différents acteurs de la communauté universitaire. Ces méthodes sont explicitées dans l’ouvrage. Enfin, à juste titre, tenant compte du constat que la plupart des enseignants-chercheurs ne connaissent pas véritablement cette institution d’intégration régionale qu’est le CAMES, il a été proposé de lui consacrer le dernier chapitre, pour décliner ses missions et ses objectifs.

Question 3 : Quelles seraient alors les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans l’application du LMD ? Comment y remédier?

Les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES sont multiples et multiformes. Il serait illusoire de vouloir toutes les décliner dans cette interview. Pour l’essentiel on retiendra surtout que, d’une façon générale, les conditions de sa mise en œuvre efficiente n’ont pas été réunies. Nous savons tous que le LMD, déclinaison académique de la mondialisation a la vocation de promouvoir l’internationalisation des diplômes du supérieur, facilitant de fait, la mobilité des apprenants au niveau international. Le préalable à cette internationalisation des diplômes est bien l’harmonisation de l’offre de formation supérieure. Ce processus d’harmonisation doit impérativement s’accompagner d’une véritable révision des curricula en liaison avec les acteurs du monde socio-économique pour les adapter aux besoins du marché de l’emploi. Pour ne pas en dire davantage, on comprend aisément que l’enjeu majeur pour les pays membres du CAMES dont les diplômés du supérieur sont confrontés au fléau que constitue le chômage, devenu quasiment endémique dans certains pays est bien celui de l’amélioration de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure. Nous savons tous également que la qualité a un coût.

Le LMD ne peut pas se mettre en œuvre efficacement à coût constant. Malgré les ressources financières importantes mobilisées par certains États membres du CAMES, qui se sont engagés à offrir un enseignement supérieur et de recherche de qualité à leurs citoyens, par rapport aux besoins réels exprimés, les ressources financières mobilisées sont insuffisantes. Parler des besoins réels exprimés, suppose qu’un état des lieux de l’ancien système ait été fait et comme vous le savez, ça n’a pas été le cas pour la plupart des pays. Le LMD a été mis en œuvre sans ce préalable et nous connaissons également les conséquences notamment une appropriation des fondamentaux plus de dix (10) ans après qui varie d’un pays à un autre, même au sein du même pays d’un établissement à un autre et très souvent au sein du même établissement d’une entité universitaire à une autre.

La non-appropriation des objectifs de ce système académique a très souvent conduit dans la plupart des pays à une simple transposition de l’ancien système dans un format LMD avec des parcours de formation organisés en semestres avec des Unités d’Enseignement (UE) auxquelles des Crédits d’Évaluation Capitalisables et Transférables (CECT) sont affectées. Les objectifs de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation n’ont été pris en compte que de façon marginale par un nombre très restreint d’établissements des pays membres du CAMES alors que tous les efforts auraient dû être déployés pour atteindre ces deux objectifs en étroite collaboration avec le secteur productif, qu’il soit public ou privé. La dimension renforcement des capacités n’a pas non plus fait l’objet d’une attention à la mesure de son importance dans le dispositif pour le rendre efficient.

Question 4 : Application des préceptes du LMD, n’est-ce pas un luxe quand nos universités ont du mal à joindre les deux bouts en matière de gestion des effectifs?

Cette question pertinente nous ramène une fois de plus à celles de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure, donc du coût de la mise en œuvre réussie du LMD dans le contexte de massification des effectifs d’apprenants que l’on connaît. Elle a il faut bien le comprendre, une dimension stratégique et politique pour chacun des pays membres du CAMES. En d’autres termes, considérant que le nombre de plus en plus important d’étudiants qui aspirent à poursuivre les études supérieures, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques représente un atout pour ces pays et non un handicap, les États africains sont-ils prêts à mobiliser les ressources financières nécessaires pour relever le défi de la création d’une masse critique de ressources humaines compétentes et de qualité pour engager sans tarder leur processus d’industrialisation avec pour objectif la transformation en Afrique de son formidable potentiel de ressources minières et agricoles ? Nous comprenons tout de suite que la réponse à cette question permettra ou non de créer cet environnement propice à la mise en œuvre du système LMD dans chaque pays pour que les institutions d’enseignement supérieur et de recherche soient véritablement pourvoyeuses de ces ressources humaines. Il s’agit bien évidemment d’une décision stratégique et politique, car il y va de l’avenir de ce continent, riche de sa jeunesse, dont les pays aspirent à un développement endogène et durable, conséquence de la transformation industrielle sur place de son énorme potentiel de ressources minières et agricoles.

La bonne appropriation des méthodes pédagogiques par les enseignants-chercheurs avec une part belle faite à l’intégration du numérique éducatif, apporte également des éléments de réponses à la gestion des effectifs de plus en plus importants d’étudiants dans les universités. Cet environnement numérique intégré, support d’une mise en œuvre réussie du LMD a également un coût et nous le savons tous.

Question 5 : Revenons à une question fondamentale. Vous intitulez l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Est-ce que cela veut dire que vous donnez une recette pour chacune des parties-prenantes du LMD dans les universités?

Vous savez, la réussite de la mise en œuvre du LMD n’est pas uniquement de la responsabilité des acteurs universitaires et je viens d’en parler. Cet ouvrage qui a modestement vocation de contribuer à améliorer l’appropriation des différentes dispositions principales et des fondamentaux du LMD, après un état des lieux et un diagnostic de plus de dix (10) ans de mise en œuvre, se présente comme une feuille de route avec des recommandations pratiques et pragmatiques à l’attention de toutes les parties-prenantes au-delà de l’espace académique. Mettre en œuvre toutes ces recommandations présentées aux membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES le 1er mars 2022 à Conakry (République de Guinée) et aux Ministres membres du Conseil des Ministres du CAMES le 26 mai 2022 à Kinshasa (République Démocratique du Congo), permettra assurément de réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES. C’est l’objectif principal de cet ouvrage.

Question 6 : Votre mot de fin Professeur Mohammadou MERAWA?

Je voudrais d’abord vous remercier de m’avoir donné l’opportunité d’échanger avec vous sur cette problématique très importante de la mise en œuvre du système LMD dans les pays membres du CAMES.

L’enjeu est important et même déterminant pour l’avenir de la jeunesse africaine et corrélativement pour l’avenir de tous ces pays. Je voudrais rappeler qu’à tort, sans un environnement propice, le système LMD est considéré par beaucoup comme la panacée, dont la mise en œuvre devrait résoudre tous les problèmes de fond, auxquels sont confrontées actuellement les institutions d’enseignement supérieur et de recherche. Cette mauvaise appréciation des objectifs principaux du LMD a conduit quelques fois jusqu’à une véritable désinformation vis-à-vis de ce système académique.

Je voudrais également rappeler que la question du sous-financement du sous-secteur est la difficulté majeure, pour ne pas dire la principale, car, toutes les difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre du LMD n’en sont que des conséquences.

J’ai la ferme conviction que le véritable espoir naîtra de la réelle prise de conscience par les gouvernants du rôle qu’a joué ce sous-secteur, comme vecteur multiplicateur de croissance dans les pays émergents. Le véritable espoir viendra également du rôle que devront jouer les différents acteurs du système éducatif, engagés collectivement pour la rénovation effective du sous-secteur dans ses dimensions institutionnelle, académique et de recherche et de leur prise de conscience qu’ils ont une responsabilité historique à assumer. Le véritable espoir viendra enfin de la capacité des États africains, riches de leur jeunesse, riches de leurs ressources agricoles, riches de leurs ressources minières, de relever collectivement le défi de l’industrialisation de ce continent qui passe inéluctablement par la constitution d’une masse critique de ressources humaines qualifiées, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques, afin qu’ils soient véritablement maîtres de leur destin.

Pour finir, je voudrais que nous prenions tous conscience que le CAMES par ses objectifs et ses missions que tous les enseignants-chercheurs, chercheurs et gouvernants des pays membres gagneraient à bien connaître, mais aussi la pertinence de son positionnement comme l’organe de régulation de l’enseignement supérieur et de la recherche est une chance pour tous ses pays membres. Je mesure à sa juste valeur l’importance que le CAMES accorde à la réussite de la mise en œuvre du système LMD dans tous les pays membres et ce fut un honneur pour moi par cet ouvrage d’y apporter ma modeste contribution.


Lors de la 39e session du Conseil des Ministres du CAMES, tenue du 23 au 27 mai 2022, à Kinshasa en République démocratique du Congo, l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES » a été présenté par son auteur, le Pr Mohammadou MEREWA, Conseiller du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique en Côte d’Ivoire. Cet ouvrage, produit en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, dresse un diagnostic sans complaisance de la mise en œuvre du LMD dans les différents pays de l’espace CAMES.

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𝗣𝗿𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝘂𝘀𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻Le Secrétaire Général du CAMES a l’honneur de préciser aux Recteurs, Présidents, Directeurs Généraux des Institutions d’Enseignement supérieur des pays membres du CAMES, que 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗲 𝗱’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻°𝟬𝟯𝟳-𝟮𝟬𝟮𝟱/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦/𝗦𝗚/𝗗𝗣𝟭/𝗞𝗣 𝗱𝘂 𝟭𝟳 𝗺𝗮𝗿𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 relative à l’observance de l’année de pause est un document de portée générale qui 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝗻𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗲́𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.www.lecames.org/precision-sur-le-respect-de-lobservation-de-lannee-de-pause-aux-concours-dagregat... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗶𝗻𝘃𝗶𝘁𝗲́ 𝗱’𝗵𝗼𝗻𝗻𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟲𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗜𝗗𝗘𝗣𝗘𝗦La 𝟲𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗲́𝘀𝗲𝗮𝘂 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝗮𝗯𝗹𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗣𝗿𝗶𝘃𝗲́𝘀 𝗱’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗦𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 (𝗥𝗜𝗗𝗘𝗣𝗘𝗦) 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮̀ 𝗕𝗮𝗺𝗮𝗸𝗼, 𝗮𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶, 𝗱𝘂 𝟭𝟰 𝗮𝘂 𝟭𝟳 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱. Cette rencontre a constitué une étape importante pour l’Enseignement supérieur privé africain. Le 17 avril 2025, le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Pr Bouréma KANSAYE, a présidé la cérémonie d’ouverture de ces assises, en présence du Secrétaire Général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), Pr Souleymane KONATÉ. À cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES et le Ministre ont chacun pris la parole pour livrer, respectivement, une allocution de circonstance et le discours d’ouverture.Dans son allocution, et dans un contexte porteur de renouveau, Pr Souleymane KONATÉ a salué la relance du RIDEPES, qu’il a qualifié de levier important de l’intégration académique africaine. Il a également exprimé sa reconnaissance aux autorités maliennes pour leur engagement constant en faveur du CAMES.Rappelant que le RIDEPES est né en 2014 sous l’impulsion du CAMES, le Secrétaire Général a rendu un vibrant hommage à feu Pr Bertrand MBATCHI, son prédécesseur, pour avoir posé les fondations de ce réseau qui fédère aujourd’hui les établissements privés des 19 États membres du CAMES. Il a invité les membres de ce réseau à s’approprier pleinement les Programmes du CAMES, notamment le PRED, tout en les encourageant à contribuer à la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024–2028. Le Pr KONATÉ a conclu son intervention en soulignant la complémentarité entre les établissements publics et privés, réaffirmant que le CAMES œuvre au service de l’ensemble des Institutions d’Enseignement Supérieur et de Recherche (IESR).Dans son discours d’ouverture officiel de la session, Pr Bouréma KANSAYE a donné le ton de l’événement en insistant sur l’unité et l’ambition collective, illustrées dès l’entame de son propos par l’adage « Seul, on va vite. Ensemble, on va loin ». www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-invite-dhonneur-de-la-6eme-rencontre-du-ridepes/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶A Bamako, dans le cadre de la cérémonie d’ouverture de la 6ème Rencontre du RIDEPES, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a profité de l’occasion pour rendre une visite de courtoisie au Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Professeur Bouréma KANSAYE, dans la matinée du 17 𝒂𝒗𝒓𝒊𝒍 2025. Il était accompagné du Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat.Cette audience a principalement porté sur la présentation des civilités du CAMES au Ministre, et le renforcement de la coopération entre le CAMES et le Mali. Elle a été l’occasion pour le Professeur Souleymane KONATÉ d’exprimer sa profonde reconnaissance envers les autorités maliennes pour leur soutien constant au CAMES. Ce soutien se manifeste notamment par l’accueil de la rencontre du RIDEPES, seulement cinq mois après avoir abrité au Mali la 39ème session du Programme de Reconnaissance et d’Équivalence des Diplômes (PRED) couplée à un atelier majeur de formation en Assurance Qualité. Enfin, Pr Souleymane KONATÉ a salué la décision prise par le Ministre, selon laquelle le Mali ne reconnaîtra que les promotions par le CAMES ou par la voie nationale, des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Du fait de cette décision, aucune autre évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs, entreprise par d’autres organismes que le CAMES et l’État Malien, ne sera reconnue par le Mali.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-a-ete-recu-en-audience-par-le-ministre-de-lenseign... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲́ 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲𝘂𝘅𝗶𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗶𝘁𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗛𝗔𝗤𝗔𝗔𝟯 𝗮̀ 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́𝗟𝗲 𝟵 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗹’𝗛𝗼̂𝘁𝗲𝗹 𝗛𝗶𝗹𝘁𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́, le Directeur des Programmes du CAMES en charge de la Recherche, de l’Innovation et du Partenariat, Pr Saturnin ENZONGA YOCA, a participé à la deuxième réunion du Conseil consultatif de l’Initiative HAQAA3 (Harmonisation, Assurance Qualité et Accréditation de l’Enseignement Supérieur Africain, phase 3, 2023-2028). Il y représentait le CAMES qui fait partie de la structure de gouvernance de cette Initiative, en tant que membre du Comité de pilotage des partenaires stratégiques.La réunion visait à faire le point sur les avancées de l’Initiative HAQAA3, à formuler des orientations stratégiques pour son évolution, et à explorer les synergies possibles entre les partenaires. Après la présentation des avancées de HAQAA3, les échanges se sont structurés autour de trois blocs thématiques, chacun explorant les contributions actuelles des partenaires ainsi que les perspectives de collaboration en vue d’atteindre des objectifs communs. Il s’agissait notamment : (i) des données pour les politiques publiques et l’impact, (ii) des outils pour l’harmonisation et le renforcement de la confiance, (iii) des partenariats pour aujourd’hui et demain.www.lecames.org/le-cames-a-participe-a-la-deuxieme-reunion-du-conseil-consultatif-de-linitiative-... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗿𝗶𝘀 𝗽𝗮𝗿𝘁 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗭𝗟𝗘𝗖𝗔𝗙Le Secrétaire Général du CAMES a été représenté par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes du CAMES en charge de la Recherche, de l’Innovation et du Partenariat, à la toute première conférence dédiée à la mise à profit de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf) pour favoriser l’intégration de l’Enseignement supérieur. Cette importante rencontre, tenue, 𝗹𝗲𝘀 𝟳 𝗲𝘁 𝟴 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗥𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻 (𝗜𝗥𝗜𝗖) 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́ 𝗜𝗜, a réuni des Décideurs politiques, des Responsables universitaires, des Chercheurs et des Partenaires au développement venus d’Afrique et d’Europe. Co-organisée par l’Association OBREAL Global, l’Université Panafricaine et l’Association des Universités Africaines, cette rencontre a eu pour thème : « 𝙏𝙞𝙧𝙚𝙧 𝙥𝙖𝙧𝙩𝙞 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙕𝙤𝙣𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙞𝙗𝙧𝙚-𝙚́𝙘𝙝𝙖𝙣𝙜𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙞𝙣𝙚𝙣𝙩𝙖𝙡𝙚 𝙖𝙛𝙧𝙞𝙘𝙖𝙞𝙣𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡’𝙞𝙣𝙩𝙚́𝙜𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡’𝙀𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙪𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙪𝙧 ». Elle a constitué une étape déterminante dans le rapprochement entre l’intégration économique africaine et les ambitions du continent en matière d’Enseignement supérieur.Le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗘𝗡𝗭𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗬𝗢𝗖𝗔 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗹𝗲 𝗳𝗮𝗰𝗶𝗹𝗶𝘁𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗮𝗻𝗲𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝘀𝗰𝘂𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀, à savoir : le rôle de l’éducation dans la promotion de la ZLECAf ; et les enjeux de l’intégration de l’Enseignement supérieur à l’échelle continentale et régionale en Afrique.www.lecames.org/le-cames-a-pris-part-a-la-conference-sur-lenseignement-superieur-dans-la-zlecaf/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗠𝗔𝗟𝗔𝗠 𝗠𝗔𝗠𝗔𝗡 𝗡𝗮𝗳𝗶𝗼𝘂 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗻Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Pr MALAM MAMAN Nafiou Maman, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 ( 𝗖𝗧𝗦-𝗦𝗘𝗚).𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄.Nous avons pris la présidence il y a un an et, concrètement, j’ai participé à deux réunions. La première, qui s’est tenue en présentiel à Ouagadougou juste après notre élection, a été l’occasion pour nous de nous approprier pleinement la mission confiée : diriger les travaux, utiliser le Guide d’évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs dans le cadre des CCI, ainsi que le Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES, afin de mener efficacement les activités des CTS. Par la suite, nous nous sommes retrouvés en visioconférence avec nos collègues, lors de la 46ème session des CCI, consacrée à l’évaluation des dossiers. Le CTS SEG a enregistré un total de 122 dossiers, qui ont tous été examinés. Le taux de réussite s’est élevé à 66,39 %, soit 81 candidats inscrits, tandis que 33,61 %, soit 41 personnes, ont été ajournées. Nous avons présenté ces résultats lors de la réunion du CCG tenue au Gabon en juillet 2024. Nous y avons exposé les raisons des échecs enregistrés. Le CCG a bien compris notre analyse et a validé les résultats.Nous allons œuvrer, avec l’appui des collègues des différents pays, à sensibiliser tous ceux qui ont, ou auront, à évaluer des dossiers dans le cadre des CCI, à l’importance du strict respect du Guide. Nous voudrions aussi travailler avec les collègues, afin qu’ils s’approprient la méthode d’indexation et surtout de la preuve d’indexation. Pr MALAM MAMAN Nafiou Maman.www.lecames.org/les-presidents-des-cts-du-cames-au-micro-de-la-redaction-interview-du-pr-malam-ma... ... See MoreSee Less
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𝗔𝗻𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗴𝗿𝗲̀𝘀 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗧𝗵𝗲́𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗟𝗮𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲, 𝗦𝗼𝗰𝗶𝗲́𝘁𝗲́, 𝗖𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗖𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲 (𝗣𝗧𝗥 𝗟𝗦𝗖𝗖) 𝗮̀ 𝗕𝗮𝗺𝗮𝗸𝗼La deuxième édition du Congrès du Programme Thématique de Recherche « Langage, Société, Communication et Culture » (PTR-LSCC) se déroulera du 21 au 25 avril 2025 à Bamako, au Mali. L’événement se tiendra sous le haut parrainage de Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Président de la Transition et Chef de l’État de la République du Mali, avec la présence effective du Général de Division Abdoulaye MAÏGA, Premier ministre et Chef du Gouvernement de la République du Mali.www.lecames.org/annonce-du-2eme-congres-du-programme-thematique-de-recherche-langage-societe-comm... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗠𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹Une délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, accompagné du Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Pr Ali DOUMMA, a effectué une 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝟵 𝗮𝘂 𝟭𝟱 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱.Cette mission a été organisée 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝘂 𝗲𝗻 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 𝗮𝘂 𝗽𝗮𝘆𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗧𝗲́𝗿𝗮𝗻𝗴𝗮. Elle s’est articulée autour d’une 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗮𝘂 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗖𝗵𝗲𝗶𝗸𝗵 𝗔𝗻𝘁𝗮 𝗗𝗶𝗼𝗽 𝗱𝗲 𝗗𝗮𝗸𝗮𝗿 𝗲𝘁 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝘀𝗲́𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘂𝗻𝗲 𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹.La séance de travail avec l’équipe du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation conduite par le Secrétaire Général dudit Ministère a eu lieu le 14 avril 2025 dans les locaux du Ministère. Après les civilités d’usage, les deux délégations ont échangé sur les aspects pratiques de l’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion.A cet effet, le 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗠𝗔, 𝗮 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲́ 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹’𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗘𝗦𝗥𝗜, 𝗹𝗲𝘀 𝗼𝗿𝗶𝗲𝗻𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝘁 𝘀𝘂𝗴𝗴𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗲𝘁 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗲́𝘃𝗲́𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁. Cette séance de travail a permis de dresser un tableau détaillé des besoins et des points d’attention pour une bonne préparation de cet important Programme statutaire du CAMES. La séance de travail s’est terminée sur une note de satisfaction générale avec l’engagement ferme des deux parties à œuvrer ensemble pour réussir l’organisation de cet important évènement dans le respect strict des valeurs et standards du CAMES. En marge de cette mission de travail, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a saisi l’occasion pour rendre une visite de courtoisie au nouveau Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, le Professeur Alioune Badara KANDJI. Cette audience a eu lieu le 11 avril 2025, avant la réunion de travail avec le Ministère, en présence du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation et des proches collaborateurs du Recteur.www.lecames.org/mission-de-travail-dune-delegation-du-cames-en-republique-du-senegal/ ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗥𝗲𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗕𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗶𝗮𝗹𝗲 𝗮𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été reçu en audience, le lundi 7 avril 2025 par M. Abdel Wedoud Kamil HAMOUD, Représentant résident de la Banque mondiale au Burkina Faso. Cette visite de courtoisie s’est tenue en compagnie du Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Pr Ali DOUMMA et du Directeur des Affaires Administratives et Financières du CAMES, M. Issoufou SOULAMA.À l’entame de la rencontre, le Professeur Souleymane KONATÉ a présenté l’objet de cette visite de courtoisie. Il était question pour la délégation du CAMES de présenter l’Institution et ses principales activités, mais également d’échanger sur les potentielles pistes de collaboration entre les deux Institutions. Il a débuté son propos en présentant au Représentant résident les civilités de l’Institution. Par la suite, le Secrétaire Général du CAMES a partagé à la délégation de la Banque mondiale, composée outre le Représentant résident, du Chargé de communication et de la Chargée de l’Enseignement supérieur (intervenant en ligne), les grands axes des actions du CAMES à travers ses Programmes statutaires et son Plan Stratégique de Développement (PSDC 2024-2028). 𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗮̀ 𝗶𝗻𝘀𝗶𝘀𝘁𝗲́ 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗼𝗹𝗲𝘁𝘀 𝗱𝘂 𝗣𝗦𝗗𝗖 𝗿𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗮𝘂 𝗱𝗲́𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗮̀ 𝗹’𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗮𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗿𝗲́𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗔𝗰𝗮𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗲 𝗩𝗶𝗿𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 ; tout en rappelant les synergies dans ces domaines avec la Banque mondiale, notamment à travers son projet de Centre d’Excellence Africain. Cette présentation succincte du CAMES a permis à M. HAMOUD de relever la pertinence de la question de la Recherche transfrontalière. 𝗜𝗹 𝗮 𝗽𝗮𝗿 𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗵𝗲́𝗿𝗶 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘃𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗱’𝗮𝗺𝗲́𝗹𝗶𝗼𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝘂𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, à l’instar de la mobilité académique, de la mise en œuvre de l’Assurance Qualité, de l’élargissement de l’espace CAMES, notamment à travers la suppression des barrières linguistiques. www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-recu-par-le-representant-resident-de-la-banque-mon... ... See MoreSee Less
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