Le concours d’agrégation du CAMES, un modèle institutionnel pour l’Afrique ?


Le 29 mars 2022, The Conversation a consacré , une rubrique aux Concours d’agrégation du CAMES. Le journal relate quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.


Nous vous proposons l’intégralité de l’interview

Le concours d’agrégation du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES) est un événement universitaire et institutionnel d’importance. Nous l’abordons ici via quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.

Quelques mots sur le CAMES et sa genèse

Le Conseil est une institution internationale qui se concentre sur cinq missions principales. Insistons tout d’abord sur l’histoire du CAMES, qui fut pensé comme un organisme de coordination de l’Enseignement supérieur dans les pays d’expression française d’Afrique et de Madagascar.

L’idée de sa création remonte aux premières années des indépendances. Lors de la Conférence de Niamey, les 22 et 23 janvier 1968, les chefs d’État de l’L’Organisation commune africaine et malgache (OCAM vont décider de la création du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur afin, notamment, de développer la francophonie, la solidarité et la coopération interafricaine.

Le Conseil rassemble une vingtaine d’États francophones d’Afrique et de l’océan Indien. Ses statuts ont été adoptés le 26 avril 1972 à Lomé. Les textes furent ensuite actualisés – notamment sur l’agrégation – pour que le Conseil des ministres du CAMES les adopte en avril 2000 lors de sa 17e Session à Antananarivo.

Quelques mots sur l’agrégation et ses concours

Il existe deux familles de concours. Nous abordons dans ce papier non pas celle des Concours d’agrégation de médecine humaine, pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire et productions animales mais plutôt celle des Concours d’agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion. Cette dernière existe depuis 1983. Les épreuves s’adressent à des enseignants-chercheurs en poste sur le continent. Depuis 2017, ils doivent être inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de maitre-assistant (LAFMA).

Son organisation est spectaculaire. Il n’existe en effet pas d’évènement académique comparable en Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion qui réunisse en un seul lieu et une seule quinzaine autant de pays, de candidats, de jurés, de coachs, de collègues et d’administratifs. Cette dimension internationale et institutionnelle ne se retrouve guère ailleurs, ni en Afrique, ni en Europe.

Cet événement a lieu tous les deux ans en novembre. En novembre 2019, c’était à Ouagadougou. Du 4 au 17 novembre 2021, ce fut à Cotonou. À l’issue des trois épreuves, 77 candidats ont obtenu l’agrégation sur 198 candidats inscrits. L’Afrique compte donc 77 « maîtres de conférences agrégés » supplémentaires.

Notons qu’en sciences de gestion, les Sénégalais, les Camerounais, les Malgaches et les Burkinabé ont plutôt bien réussi, avec un bon ratio inscrits/agrégés.

Quelques échanges entre trois candidats et deux jurés

Trois candidats et deux membres du jury, tous en sciences de gestion, répondent ici à de simples questions et ouvrent leur « carnet de notes ».

# Quelles sont vos principales impressions ?

Après quelques jours de repos, nos impressions sont à la fois d’ordre opérationnel et académique. D’un point de vue opérationnel tout d’abord, c’est pour les membres du jury beaucoup de travail en amont, notamment en matière de préparation et d’expertise par binôme, sur chacun des 44 dossiers d’agrégatifs déposés sur la plate-forme du CAMES pour que tout se passe au mieux le jour J, et surtout lors de la leçon 1, celle dite « sur travaux », qui nous mobilise pendant une heure avec le candidat ou la candidate. Ensuite, ce travail continue sur place, notamment à partir de la sous-admissibilité ce qui correspondait, à Cotonou, à 27 candidats.

D’un point de vue académique ensuite, c’est surtout la sensation de passer dix jours en immersion totale – nous dirions presque nuit et jour – dans le cadre d’un événement majeur qui draine des candidats, des coaches et des collègues venant de Dakar à Antananarivo.

Réponses des trois candidats (Angélique Ngaha Bah, Robert Bationo et Abdou-Karim Faye)

Après deux années de préparation, le 4 novembre marque officiellement le lancement du concours pour dix jours. Durant cette période nous avons d’abord été impressionnés par, l’incroyable solidarité, l’entre-aide et la fraternité entre candidats, quel que soit le pays de provenance. En effet, rien ne se fait seul : le partage d’informations et de documents, les déplacements pour se rendre au centre d’examen, faire des courses, aller au restaurant, etc.

Ensuite, la puissance institutionnelle du CAMES (dont le secrétaire général venait de décéder quelques jours avant le concours) nous a beaucoup marqués. En effet, sa capacité à mobiliser 17 pays avec une organisation logistique sans faille a été exemplaire.

Enfin, la ténacité du jury nous a épatés ! Nous présumions une fatigue générale de celui-ci dès la fin de la première épreuve eu égard au nombre pléthorique de candidats et à la longueur des épreuves. Mais, à aucun moment du concours, une baisse d’attention de leur part n’a été ressentie, au contraire ! Ce sentiment est partagé par l’ensemble des candidats. Durant toutes les épreuves nous étions toujours surpris par leur vivacité, quelle que soit l’heure de passage du candidat…

Réponses des deux professeurs (Roger-Jules Feudjo et Marc Bidan)

# Quels furent les points forts de ce concours ?

Tout d’abord, le nombre de candidats inscrits en sciences de gestion – 44 dossiers déposés et un seul candidat absent à Cotonou – met en évidence l’attractivité de la discipline.

L’un des points forts, c’est que l’ensemble des dossiers a pu être traité qualitativement. À la fois techniquement, grâce à une plate-forme informatique intuitive et bien documentée, et académiquement, grâce à la mobilisation des sept membres du jury efficacement présidé par le Pr. Augustin Anassé de Bouaké en Côte d’Ivoire. Grâce à la diversité des membres du jury, chaque dossier a pu être expertisé par deux membres dont l’un au moins était de la sous-spécialité du candidat.

Un autre point fort fut l’organisation matérielle du concours à Cotonou avec des conditions de travail de bonne qualité (salle, calme, climatisation, wifi, rafraîchissement, documentation, etc.) – et ce malgré le contexte sanitaire et le nombre important de candidats.

Un dernier point fort – et non des moindres – était l’ampleur, la diversité et le niveau des débats lors des délibérations. Les débats sur la notation de la qualité des publications, la qualité des supports de publication, la pugnacité du candidat dans la défense de ses travaux, étaient parfois délicats, d’où l’importance du président de jury pour mener les débats et parvenir à une note consensuelle.

Réponse des deux professeurs

D’abord, le nombre d’admis en sciences de gestion, comparativement aux autres spécialités, constitue un motif de satisfaction. Ensuite, l’accompagnement institutionnel dont ont bénéficié certains candidats, comme les Sénégalais ou les Camerounais, a été un atout de taille. Le soutien indéfectible des coachs et de la famille à distance a aussi été déterminant. Après, nous notons l’environnement général du concours au sein de la faculté de médecine, propre, bien aérée, avec une bonne ambiance et un soutient permanent des accompagnateurs.

La diffusion rapide des informations sur le déroulement du concours, des résultats des épreuves en ligne via le site du CAMES est aussi à saluer. Enfin, la bienveillance du jury, qui prenait souvent le temps de mettre à l’aise le candidat juste avant sa prestation est particulièrement appréciable. Le temps entre le tirage et la découverte du sujet tiré, tu as l’impression d’être en enfer. Ce qui est touchant, c’est que le jury vous encourage par le regard comme s’il voulait vous dire « vas-y, tu peux y arriver » !

Réponses des trois candidats

# Quels furent vos moments de difficulté lors de ce concours ?

Tout d’abord, nous noterons, même si cela peut paraître anecdotique, la chaleur et l’humidité du littoral béninois. Ces conditions nous ont en effet obligés à nous installer dans les salles climatisées de la faculté de pharmacie durant de longues journées afin de ne pas trop se dépenser et se fatiguer pour rester éveillés en termes intellectuels et physiques tout au long des passages des candidats. De plus, les hôtels étaient dispersés et parfois éloignés du site, ce qui a impacté nos temps de trajet. Enfin, le nombre de candidats en gestion (44 à la première épreuve et 27 à partir de la seconde) nous a mécaniquement interdit toute escapade touristique en dehors de la route des Pêches et du riche et original village artisanal… mais nous reviendrons !

Réponses des deux professeurs

À quelques jours du départ sur Cotonou, il fallait partir à l’aéroport avec un test PCR négatif au Covid-19. Ce fut un moment compliqué à gérer. Mais, tout au long de ce concours, le plus difficile a été la gestion du stress et du sommeil. En effet, les veilles du tirage de la lettre qui détermine l’ordre de passage des candidats, de chaque épreuve et de chaque délibération, nous n’arrivions pas à fermer l’œil. On les appelle désormais les « 7 nuits sans sommeil du concours d’agrégation ». En outre, le stress était permanent et encore plus dense au centre d’examen, et particulièrement en loge. Cet endroit, avec ses tables rapprochées et des tas de livres qui y sont superposés pêle-mêle, était appelé « le stressodrôme ».

Certains candidats pratiquaient du sport pendant que d’autres méditaient ou encore consommaient des vitamines C ou des somnifères. À la fin du processus, c’est un « ouf » de soulagement : le retour dans nos foyers est imminent. Nous allons enfin pouvoir relâcher la pression et nous reposer !

Réponses des trois candidats

# Quelles sont vos prochaines étapes désormais ?

Nous devons inciter les agrégés à ne pas stopper leurs efforts et à publier, à s’impliquer, à encadrer, etc. Nous avons un travail de suivi à assurer. De plus, nous devons aussi inciter les non-agrégés à ne pas baisser les bras. Nous les avons reçus en face à face et nous restons disponibles, car le concours est sélectif. Il faut qu’ils se représentent dans deux ans, après avoir étoffé leur dossier avec des publications et du rayonnement dans la discipline. Ne pas négliger non plus de s’entraîner pour chacune des épreuves comme un sportif de haut niveau le ferait… Il faut arriver en forme intellectuelle et physique le jour J.

Enfin, en tant que membres du jury, nous sommes à la disposition du président – s’il a besoin de nous en novembre 2023 – et nous devons donc rester en éveil, sur le plan académique bien sûr mais aussi institutionnel car nos écosystèmes évoluent vite et le CAMES en est le reflet interrégional. En tous cas, ce fut un beau concours et une belle cérémonie de clôture à Cotonou.

Réponses des deux professeurs

L’admission au concours d’agrégation est un événement majeur. Elle fait naître de nouvelles responsabilités pour le néo-agrégé notamment, dans l’accompagnement et l’encadrement de jeunes collègues doctorants. Cette immense responsabilité doit aller de pair avec une amélioration qualitative et quantitative de nos publications et productions pédagogiques. C’est ainsi que nous nous sommes inscrits dans une logique de recherche en réseaux entre collègues de même pays mais également de pays différents liés au CAMES.

La rédaction de ce court récit entre deux jurés et trois candidats entre dans ce cadre. De même, un groupe WhatsApp regroupant tous les admis en gestion a été créé pour permettre aux collègues de mieux se connaître, de partager et de développer des initiatives et travaux de recherche d’intérêt commun. Dans cette dynamique, nous centrons actuellement nos réflexions sur un projet d’ouvrage collectif en lien avec nos thématiques de recherche. On est ensemble !

Réponses des trois candidats

Source : https://theconversation.com/le-concours-dagregation-du-cames-un-modele-institutionnel-pour-lafrique-176280

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Le CAMES
Le compte à rebours du 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱'𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗣𝗵𝗮𝗿𝗺𝗮𝗰𝗶𝗲, 𝗢𝗱𝗼𝗻𝘁𝗼𝘀𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲, 𝗣𝗵𝗮𝗿𝗺𝗮𝗰𝗶𝗲 𝗩𝗲́𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗮𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 est lancé !!Du 𝟰 𝗮𝘂 𝟭𝟮 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟰, 𝗖𝗼𝗻𝗮𝗸𝗿𝘆, 𝗹𝗮 𝗰𝗮𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝗵𝗼𝘀𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲, abritera ce grand rendez-vous du #cames ... See MoreSee Less
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𝟮𝟮𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗛𝗣𝗢𝗠𝗩𝗣𝗔 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱'𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗚𝗮𝗯𝗼𝗻 ... See MoreSee Less
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𝗨𝗥𝗚𝗘𝗡𝗧/ 𝗥𝗲́𝗮𝗷𝘂𝘀𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗼𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗣𝗵𝗮𝗿𝗺𝗮𝗰𝗶𝗲, 𝗢𝗱𝗼𝗻𝘁𝗼𝘀𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗩𝗲́𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗔𝗻𝗶𝗺𝗮𝗹𝗲𝘀Le Secrétaire Général du CAMES porte à la connaissance des membres des Jurys, des candidats et de l’ensemble des parties prenantes que les épreuves d’admissibilité et d’admission en présentiel de la 22ème session du Concours d’Agrégation de Médecine Humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine Vétérinaire et Productions Animales (MHPOMVPA), se tiendront désormais sur la période du 4 au 12 novembre 2024, à Conakry en République de Guinée.www.lecames.org/urgent-reajustement-de-la-periode-de-la-tenue-en-presentiel-du-22eme-concours-dag... ... See MoreSee Less
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𝗜𝗻𝘃𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗪𝗲𝗯𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 – 𝗗𝗔𝗔𝗗 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝘁𝗵𝗲̀𝗺𝗲 : « 𝗹’𝗜𝗻𝘁𝗲𝗹𝗹𝗶𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗴𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 – 𝗽𝗼𝘁𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹𝘀 𝗲𝘁 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗹’𝗮𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗹’𝗮𝗱𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 » Le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) et l’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD), co-organisent le mercredi 23 octobre 2024, de 11h à 13h30 GMT, un séminaire en ligne sur le thème : « l’Intelligence Artificielle dans la gestion de l’enseignement supérieur – potentiels et risques pour l’internationalisation, l’assurance qualité et l’administration ».Le séminaire s’adresse principalement aux responsables de l’Enseignement supérieur des pays africains et européens, mais il est généralement ouvert à toute personne intéressée par le sujet. Les échanges lors de la rencontre se feront en anglais et en français, avec interprétation simultanée.La participation à l’évènement requiert une inscription préalable en ligne au plus tard le 22 octobre 2024 via le lien ci-après : events-mc.com/en/dies-cames-web-seminar-ai-in-higher-education-management/registration/ La note conceptuelle de l’évènement est aussi disponible via le lien drive.google.com/file/d/1UEa33bJF_P1numXN8W6QzrCskVsA61rZ/view?usp=sharingwww.lecames.org/invitation-webinaire-cames-daad-sur-le-theme-lintelligence-artificielle-dans-la-g... ... See MoreSee Less
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𝗣𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱'𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗳𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La mission effectuée par la délégation du CAMES en terre guinéenne dans le cadre des préparatifs du 22ieme Concours d'Agrégation de Médecine Humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine Vétérinaire et Productions Animales a pris fin ce vendredi 11 octobre 2024.En effet, du 𝟴 𝗮𝘂 𝟭𝟭 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟰, différentes activités ont ponctué cette mission préparatoire tels qu'une visite de courtoisie aux autorités guinéennes, la validation des dispositions logistiques prévues par le comité local d'organisation pour le Concours d'Agrégation, le lancement académique du concours des premières épreuves prévues en ligne du 12 au 24 octobre 2024.𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗘𝘅𝗲́𝗰𝘂𝘁𝗶𝗳 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, s'est dit lors du lancement académique, satisfait des dispositions prises et de la forte mobilisation constatée pour faire de ce concours une pleine réussite.La très célèbre hospitalité guinéenne s'est également matérialisée par un déjeuner offert par Monsieur le Ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche scientifique et de l'Innovation, Dr Alpha Bacar BARRY, à toute la délégation en présence du Recteur de l'Université Gamal Abdel Nasser de Conakry, Pr Alpha Kabinet KEITA, du Pr Mohamed CISSE, Président Coordonnateur des jurys et de quelques membres de l'équipe du Ministère.Rendez-vous est ainsi pris du 4 𝒂𝒖 15 𝒏𝒐𝒗𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆 2024 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒆𝒖𝒙𝒊𝒆̀𝒎𝒆 𝒆𝒕 𝒕𝒓𝒐𝒊𝒔𝒊𝒆̀𝒎𝒆 𝒆́𝒑𝒓𝒆𝒖𝒗𝒆𝒔 𝒅𝒖 22𝒊𝒆𝒎𝒆 𝑪𝒐𝒏𝒄𝒐𝒖𝒓𝒔 𝒅'𝑨𝒈𝒓𝒆́𝒈𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝑴𝒆́𝒅𝒆𝒄𝒊𝒏𝒆 𝑯𝒖𝒎𝒂𝒊𝒏𝒆, 𝑷𝒉𝒂𝒓𝒎𝒂𝒄𝒊𝒆, 𝑶𝒅𝒐𝒏𝒕𝒐𝒔𝒕𝒐𝒎𝒂𝒕𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒆, 𝑴𝒆́𝒅𝒆𝒄𝒊𝒏𝒆 𝑽𝒆́𝒕𝒆́𝒓𝒊𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝑷𝒓𝒐𝒅𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝑨𝒏𝒊𝒎𝒂𝒍𝒆𝒔.#UGANC#Mesri#22iemeconcoursagregationcames ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲 𝟮𝟮𝗶𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗣𝗵𝗮𝗿𝗺𝗮𝗰𝗶𝗲, 𝗢𝗱𝗼𝗻𝘁𝗼𝘀𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗩𝗲́𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗮𝗻𝗶𝗺𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́ 𝗰𝗲 𝗷𝗲𝘂𝗱𝗶 𝟭𝟬 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟰 𝗮̀ 𝗖𝗼𝗻𝗮𝗸𝗿𝘆 𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲La journée du 10 octobre 2024 a abrité dans les locaux de l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry, le lancement académique du 22ième Concours d’Agrégation de Médecine Humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine Vétérinaire et Productions Animales.Présidée par 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒊𝒆𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝑺𝒆𝒄𝒓𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆 𝑮𝒆́𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒍 𝒅𝒖 𝑪𝑨𝑴𝑬𝑺, 𝑷𝒓 𝑺𝒐𝒖𝒍𝒆𝒚𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑲𝑶𝑵𝑨𝑻𝑬, cette cérémonie académique de lancement a vu la présence effective et en ligne du 𝑹𝒆𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒍’𝑼𝒏𝒊𝒗𝒆𝒓𝒔𝒊𝒕𝒆́ 𝑮𝒂𝒎𝒂𝒍 𝑨𝒃𝒅𝒆𝒍 𝑵𝒂𝒔𝒔𝒆𝒓, 𝑷𝒓 𝑨𝒍𝒑𝒉𝒂 𝑲𝒂𝒃𝒊𝒏𝒆𝒕 𝑲𝑬𝑰𝑻𝑨, du 𝑷𝒓𝒆́𝒔𝒊𝒅𝒆𝒏𝒕 𝑪𝒐𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝑱𝒖𝒓𝒚𝒔, 𝑷𝒓 𝑴𝒐𝒉𝒂𝒎𝒆𝒅 𝑪𝑰𝑺𝑺𝑬, du 𝑫𝒊𝒓𝒆𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒈𝒓𝒂𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒅𝒖 𝑪𝑨𝑴𝑬𝑺 𝒆𝒏 𝒄𝒉𝒂𝒓𝒈𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒐𝒏𝒄𝒐𝒖𝒓𝒔 𝒅’𝑨𝒈𝒓𝒆́𝒈𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏, 𝑷𝒓 𝑨𝒍𝒊 𝑫𝑶𝑼𝑴𝑴𝑨, du 𝑷𝒓𝒆́𝒔𝒊𝒅𝒆𝒏𝒕 𝒑𝒂𝒓 𝒊𝒏𝒕𝒆́𝒓𝒊𝒎 𝒅𝒖 𝑪𝒐𝒎𝒊𝒕𝒆́ 𝑪𝒐𝒏𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒊𝒇 𝑮𝒆́𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒍 - 𝑪𝑪𝑮, 𝑷𝒓 𝑨𝒏𝒈𝒆 𝑨𝒏𝒕𝒐𝒊𝒏𝒆 𝑨𝑩𝑬𝑵𝑨, et des Jurys et Candidats connectés en ligne à cette cérémonie.Au titre des allocutions, Pr Mohamed CISSE, Président Coordonnateur des Jurys et président de la section «médecine et spécialités médicales», a débuté son propos introductif en revenant sur la lourde tâche assignée aux différents jurys. « 𝐿’𝑒́𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒̀𝑔𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑠𝑝𝑖𝑟𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 », 𝐾𝑒́𝑏𝑎 𝑀𝐵𝐴𝑌𝐸. Cette célèbre citation a permis d’illustrer dans son propos cette valeur cardinale qu’est l’éthique tout le long du processus. A sa suite, Pr Ange Antoine ABENA, président par intérim du Comité Consultatif Général, à lui, dans son mot d’orientation, rappelé la répartition des 374 candidats issus de 13 Etats membres du CAMES qui seront évalués par 174 éminents juges. S’appuyant sur cette assertion de 𝑃𝑟 𝐴𝑙𝑦 𝑀𝐵𝐴𝑌𝐸 : «𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑓𝑓𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑑𝑒́𝑝𝑙𝑜𝑦𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑜𝑚𝑝ℎ𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑠𝑒𝑖𝑛 𝑑𝑢 𝐶𝐴𝑀𝐸𝑆 𝑙’𝑖𝑑𝑒́𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑖𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑑’𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑡𝑒́, 𝑛𝑢𝑙 𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢’𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑛𝑑𝑖𝑑𝑎𝑡 𝑎 𝑏𝑒́𝑛𝑒́𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒́ 𝑑’𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑚𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑒 𝑜𝑢 𝑎𝑢𝑟𝑎 𝑠𝑢𝑏𝑖 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑗𝑢𝑠𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒», il a réitéré l’engagement du CCG et de la commission d’éthique et de déontologie pour le respect strict des règles du Concours.Pr Souleymane KONATE, Secrétaire Général du CAMES, dans son mot de lancement, a tenu avant tout propos à remercier SE, le Colonel 𝑴𝒂𝒎𝒂𝒅𝒊 𝑫𝑶𝑼𝑴𝑩𝑶𝑼𝒀𝑨, Président de la République de Guinée, 𝑫𝒓 𝑨𝒍𝒑𝒉𝒂 𝑩𝒂𝒄𝒂𝒓 𝑩𝑨𝑹𝑹𝒀, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation de la Guinée ainsi que tout le gouvernement pour l’accueil de ce Concours d’Agrégation et toutes les énergies déployées pour son organisation. Tout en rappelant la mission des Concours d’Agrégation qui est de contribuer au système éducatif compétitif et performant à travers le recrutement d’enseignants-chercheurs qualifiés et évalués par leurs pairs, Monsieur le Secrétaire Général est revenu sur le processus de dématérialisation du Concours qui permet la tenue en ligne des premières épreuves dans leur intégralité. Il a par ailleurs traduit toute sa gratitude aux membres des jurys pour leur dévouement et encouragé les candidats tout en les rassurant de la crédibilité et de l’équité du Concours. Ce lancement marque également le démarrage des premières épreuves en ligne qui se tiendront du 𝟭𝟮 𝗮𝘂 𝟮𝟰 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟰 à travers les différents centres d’examen pays certifiés. Le point culminant du Concours d’Agrégation aura lieu du 𝟰 𝗮𝘂 𝟭𝟱 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟰 dans la belle capitale guinéenne avec les deux dernières épreuves.#UGANC#Mesri#concoursagrégation ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗰𝗮𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱'𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗣𝗵𝗮𝗿𝗺𝗮𝗰𝗶𝗲, 𝗢𝗱𝗼𝗻𝘁𝗼𝘀𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗩𝗲́𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗔𝗻𝗶𝗺𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗖𝗼𝗻𝗮𝗸𝗿𝘆Le 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́ accompagné d'une délégation du CAMES dont 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗠𝗔, 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀, est en mission à Conakry en Guinée, à la faveur du lancement académique en ligne du 𝘊𝘰𝘯𝘤𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘥'𝘢𝘨𝘳𝘦́𝘨𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘔𝘦́𝘥𝘦𝘤𝘪𝘯𝘦 𝘏𝘶𝘮𝘢𝘪𝘯𝘦, 𝘗𝘩𝘢𝘳𝘮𝘢𝘤𝘪𝘦, 𝘖𝘥𝘰𝘯𝘵𝘰𝘴𝘵𝘰𝘮𝘢𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦, 𝘔𝘦́𝘥𝘦𝘤𝘪𝘯𝘦 𝘝𝘦́𝘵𝘦́𝘳𝘪𝘯𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘗𝘳𝘰𝘥𝘶𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘈𝘯𝘪𝘮𝘢𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘦 𝘫𝘦𝘶𝘥𝘪 10 𝘰𝘤𝘵𝘰𝘣𝘳𝘦 2024 à Conakry en Guinée.Cette mission a pour objectif de rencontrer les autorités du pays dans le cadre de la préparation de ce grand événement, visiter les sites devant abriter les épreuves et organiser le lancement académique de ce Concours.C'est ainsi que la délégation a été chaleureusement reçue ce 8 octobre 2024, par:- 𝙡𝙚 𝙧𝙚𝙘𝙩𝙚𝙪𝙧 𝙙𝙚 𝙡'𝙐𝙣𝙞𝙫𝙚𝙧𝙨𝙞𝙩𝙚́ 𝙂𝙖𝙢𝙖𝙡 𝘼𝙗𝙙𝙚𝙡 𝙉𝙖𝙨𝙨𝙚𝙧 𝙙𝙚 𝘾𝙤𝙣𝙖𝙠𝙧𝙮, 𝙈. 𝘼𝙡𝙥𝙝𝙖 𝙆𝙀𝙄𝙏𝘼, - 𝙈𝙤𝙣𝙨𝙞𝙚𝙪𝙧 𝙡𝙚 𝙈𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙡'𝙀𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙪𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙪𝙧, 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙍𝙚𝙘𝙝𝙚𝙧𝙘𝙝𝙚 𝙨𝙘𝙞𝙚𝙣𝙩𝙞𝙛𝙞𝙦𝙪𝙚 𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙡'𝙞𝙣𝙣𝙤𝙫𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙂𝙪𝙞𝙣𝙚́𝙚, 𝙈. 𝘽𝙖𝙘𝙖𝙧 𝘼𝙡𝙥𝙝𝙖 𝘽𝘼𝙍𝙍𝙔, et,-𝘿𝙧𝙚 𝘿𝙞𝙖𝙠𝙖 𝙎𝙄𝘿𝙄𝘽𝙀, 𝙈𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙧𝙚 𝙙𝙪 𝘾𝙤𝙢𝙢𝙚𝙧𝙘𝙚, 𝙙𝙚 𝙡'𝙄𝙣𝙙𝙪𝙨𝙩𝙧𝙞𝙚 𝙚𝙩 𝙙𝙚𝙨 𝙋𝙏𝙈𝙀 𝙚𝙩 𝙥𝙧𝙚́𝙘𝙚́𝙙𝙚𝙢𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙈𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙡'𝙀𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙪𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙪𝙧. Ces visites de courtoisie ont été l'occasion pour le Secrétaire Général du CAMES de traduire les civilités de l'institution à ces personnalités et à travers elles à Son Excellence, Monsieur le Président de la République de la Guinée, le Général 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗱𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗕𝗢𝗨𝗬𝗔, pour la tenue de ce Concours sur la belle terre d'hospitalité guinéenne.Monsieur le Ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l'Innovation s'est dit honoré du choix du CAMES pour le pays et n'a eu de cesse de réitérer tout son engagement et celui du Gouvernement pour la réussite de l'événement. Le dit engagement a été réaffirmé par Dre Diaka SIDIBE, Ministre du Commerce, qui a salué l'engouement grandissant pour le Concours tout en relevant les nombreux avantages pour tout le pays.Cette mission se poursuit avec la visite des sites dédiés aux épreuves du Concours sous la conduite de Pr Mohammed CISSE, président Coordonateur du Jury, ce mercredi 9 octobre 2024. La cérémonie de lancement officiel en ligne du Concours et de ses premières épreuves est, elle, prévue le 10 octobre 2024. ... See MoreSee Less
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