Le concours d’agrégation du CAMES, un modèle institutionnel pour l’Afrique ?


Le 29 mars 2022, The Conversation a consacré , une rubrique aux Concours d’agrégation du CAMES. Le journal relate quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.


Nous vous proposons l’intégralité de l’interview

Le concours d’agrégation du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES) est un événement universitaire et institutionnel d’importance. Nous l’abordons ici via quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.

Quelques mots sur le CAMES et sa genèse

Le Conseil est une institution internationale qui se concentre sur cinq missions principales. Insistons tout d’abord sur l’histoire du CAMES, qui fut pensé comme un organisme de coordination de l’Enseignement supérieur dans les pays d’expression française d’Afrique et de Madagascar.

L’idée de sa création remonte aux premières années des indépendances. Lors de la Conférence de Niamey, les 22 et 23 janvier 1968, les chefs d’État de l’L’Organisation commune africaine et malgache (OCAM vont décider de la création du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur afin, notamment, de développer la francophonie, la solidarité et la coopération interafricaine.

Le Conseil rassemble une vingtaine d’États francophones d’Afrique et de l’océan Indien. Ses statuts ont été adoptés le 26 avril 1972 à Lomé. Les textes furent ensuite actualisés – notamment sur l’agrégation – pour que le Conseil des ministres du CAMES les adopte en avril 2000 lors de sa 17e Session à Antananarivo.

Quelques mots sur l’agrégation et ses concours

Il existe deux familles de concours. Nous abordons dans ce papier non pas celle des Concours d’agrégation de médecine humaine, pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire et productions animales mais plutôt celle des Concours d’agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion. Cette dernière existe depuis 1983. Les épreuves s’adressent à des enseignants-chercheurs en poste sur le continent. Depuis 2017, ils doivent être inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de maitre-assistant (LAFMA).

Son organisation est spectaculaire. Il n’existe en effet pas d’évènement académique comparable en Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion qui réunisse en un seul lieu et une seule quinzaine autant de pays, de candidats, de jurés, de coachs, de collègues et d’administratifs. Cette dimension internationale et institutionnelle ne se retrouve guère ailleurs, ni en Afrique, ni en Europe.

Cet événement a lieu tous les deux ans en novembre. En novembre 2019, c’était à Ouagadougou. Du 4 au 17 novembre 2021, ce fut à Cotonou. À l’issue des trois épreuves, 77 candidats ont obtenu l’agrégation sur 198 candidats inscrits. L’Afrique compte donc 77 « maîtres de conférences agrégés » supplémentaires.

Notons qu’en sciences de gestion, les Sénégalais, les Camerounais, les Malgaches et les Burkinabé ont plutôt bien réussi, avec un bon ratio inscrits/agrégés.

Quelques échanges entre trois candidats et deux jurés

Trois candidats et deux membres du jury, tous en sciences de gestion, répondent ici à de simples questions et ouvrent leur « carnet de notes ».

# Quelles sont vos principales impressions ?

Après quelques jours de repos, nos impressions sont à la fois d’ordre opérationnel et académique. D’un point de vue opérationnel tout d’abord, c’est pour les membres du jury beaucoup de travail en amont, notamment en matière de préparation et d’expertise par binôme, sur chacun des 44 dossiers d’agrégatifs déposés sur la plate-forme du CAMES pour que tout se passe au mieux le jour J, et surtout lors de la leçon 1, celle dite « sur travaux », qui nous mobilise pendant une heure avec le candidat ou la candidate. Ensuite, ce travail continue sur place, notamment à partir de la sous-admissibilité ce qui correspondait, à Cotonou, à 27 candidats.

D’un point de vue académique ensuite, c’est surtout la sensation de passer dix jours en immersion totale – nous dirions presque nuit et jour – dans le cadre d’un événement majeur qui draine des candidats, des coaches et des collègues venant de Dakar à Antananarivo.

Réponses des trois candidats (Angélique Ngaha Bah, Robert Bationo et Abdou-Karim Faye)

Après deux années de préparation, le 4 novembre marque officiellement le lancement du concours pour dix jours. Durant cette période nous avons d’abord été impressionnés par, l’incroyable solidarité, l’entre-aide et la fraternité entre candidats, quel que soit le pays de provenance. En effet, rien ne se fait seul : le partage d’informations et de documents, les déplacements pour se rendre au centre d’examen, faire des courses, aller au restaurant, etc.

Ensuite, la puissance institutionnelle du CAMES (dont le secrétaire général venait de décéder quelques jours avant le concours) nous a beaucoup marqués. En effet, sa capacité à mobiliser 17 pays avec une organisation logistique sans faille a été exemplaire.

Enfin, la ténacité du jury nous a épatés ! Nous présumions une fatigue générale de celui-ci dès la fin de la première épreuve eu égard au nombre pléthorique de candidats et à la longueur des épreuves. Mais, à aucun moment du concours, une baisse d’attention de leur part n’a été ressentie, au contraire ! Ce sentiment est partagé par l’ensemble des candidats. Durant toutes les épreuves nous étions toujours surpris par leur vivacité, quelle que soit l’heure de passage du candidat…

Réponses des deux professeurs (Roger-Jules Feudjo et Marc Bidan)

# Quels furent les points forts de ce concours ?

Tout d’abord, le nombre de candidats inscrits en sciences de gestion – 44 dossiers déposés et un seul candidat absent à Cotonou – met en évidence l’attractivité de la discipline.

L’un des points forts, c’est que l’ensemble des dossiers a pu être traité qualitativement. À la fois techniquement, grâce à une plate-forme informatique intuitive et bien documentée, et académiquement, grâce à la mobilisation des sept membres du jury efficacement présidé par le Pr. Augustin Anassé de Bouaké en Côte d’Ivoire. Grâce à la diversité des membres du jury, chaque dossier a pu être expertisé par deux membres dont l’un au moins était de la sous-spécialité du candidat.

Un autre point fort fut l’organisation matérielle du concours à Cotonou avec des conditions de travail de bonne qualité (salle, calme, climatisation, wifi, rafraîchissement, documentation, etc.) – et ce malgré le contexte sanitaire et le nombre important de candidats.

Un dernier point fort – et non des moindres – était l’ampleur, la diversité et le niveau des débats lors des délibérations. Les débats sur la notation de la qualité des publications, la qualité des supports de publication, la pugnacité du candidat dans la défense de ses travaux, étaient parfois délicats, d’où l’importance du président de jury pour mener les débats et parvenir à une note consensuelle.

Réponse des deux professeurs

D’abord, le nombre d’admis en sciences de gestion, comparativement aux autres spécialités, constitue un motif de satisfaction. Ensuite, l’accompagnement institutionnel dont ont bénéficié certains candidats, comme les Sénégalais ou les Camerounais, a été un atout de taille. Le soutien indéfectible des coachs et de la famille à distance a aussi été déterminant. Après, nous notons l’environnement général du concours au sein de la faculté de médecine, propre, bien aérée, avec une bonne ambiance et un soutient permanent des accompagnateurs.

La diffusion rapide des informations sur le déroulement du concours, des résultats des épreuves en ligne via le site du CAMES est aussi à saluer. Enfin, la bienveillance du jury, qui prenait souvent le temps de mettre à l’aise le candidat juste avant sa prestation est particulièrement appréciable. Le temps entre le tirage et la découverte du sujet tiré, tu as l’impression d’être en enfer. Ce qui est touchant, c’est que le jury vous encourage par le regard comme s’il voulait vous dire « vas-y, tu peux y arriver » !

Réponses des trois candidats

# Quels furent vos moments de difficulté lors de ce concours ?

Tout d’abord, nous noterons, même si cela peut paraître anecdotique, la chaleur et l’humidité du littoral béninois. Ces conditions nous ont en effet obligés à nous installer dans les salles climatisées de la faculté de pharmacie durant de longues journées afin de ne pas trop se dépenser et se fatiguer pour rester éveillés en termes intellectuels et physiques tout au long des passages des candidats. De plus, les hôtels étaient dispersés et parfois éloignés du site, ce qui a impacté nos temps de trajet. Enfin, le nombre de candidats en gestion (44 à la première épreuve et 27 à partir de la seconde) nous a mécaniquement interdit toute escapade touristique en dehors de la route des Pêches et du riche et original village artisanal… mais nous reviendrons !

Réponses des deux professeurs

À quelques jours du départ sur Cotonou, il fallait partir à l’aéroport avec un test PCR négatif au Covid-19. Ce fut un moment compliqué à gérer. Mais, tout au long de ce concours, le plus difficile a été la gestion du stress et du sommeil. En effet, les veilles du tirage de la lettre qui détermine l’ordre de passage des candidats, de chaque épreuve et de chaque délibération, nous n’arrivions pas à fermer l’œil. On les appelle désormais les « 7 nuits sans sommeil du concours d’agrégation ». En outre, le stress était permanent et encore plus dense au centre d’examen, et particulièrement en loge. Cet endroit, avec ses tables rapprochées et des tas de livres qui y sont superposés pêle-mêle, était appelé « le stressodrôme ».

Certains candidats pratiquaient du sport pendant que d’autres méditaient ou encore consommaient des vitamines C ou des somnifères. À la fin du processus, c’est un « ouf » de soulagement : le retour dans nos foyers est imminent. Nous allons enfin pouvoir relâcher la pression et nous reposer !

Réponses des trois candidats

# Quelles sont vos prochaines étapes désormais ?

Nous devons inciter les agrégés à ne pas stopper leurs efforts et à publier, à s’impliquer, à encadrer, etc. Nous avons un travail de suivi à assurer. De plus, nous devons aussi inciter les non-agrégés à ne pas baisser les bras. Nous les avons reçus en face à face et nous restons disponibles, car le concours est sélectif. Il faut qu’ils se représentent dans deux ans, après avoir étoffé leur dossier avec des publications et du rayonnement dans la discipline. Ne pas négliger non plus de s’entraîner pour chacune des épreuves comme un sportif de haut niveau le ferait… Il faut arriver en forme intellectuelle et physique le jour J.

Enfin, en tant que membres du jury, nous sommes à la disposition du président – s’il a besoin de nous en novembre 2023 – et nous devons donc rester en éveil, sur le plan académique bien sûr mais aussi institutionnel car nos écosystèmes évoluent vite et le CAMES en est le reflet interrégional. En tous cas, ce fut un beau concours et une belle cérémonie de clôture à Cotonou.

Réponses des deux professeurs

L’admission au concours d’agrégation est un événement majeur. Elle fait naître de nouvelles responsabilités pour le néo-agrégé notamment, dans l’accompagnement et l’encadrement de jeunes collègues doctorants. Cette immense responsabilité doit aller de pair avec une amélioration qualitative et quantitative de nos publications et productions pédagogiques. C’est ainsi que nous nous sommes inscrits dans une logique de recherche en réseaux entre collègues de même pays mais également de pays différents liés au CAMES.

La rédaction de ce court récit entre deux jurés et trois candidats entre dans ce cadre. De même, un groupe WhatsApp regroupant tous les admis en gestion a été créé pour permettre aux collègues de mieux se connaître, de partager et de développer des initiatives et travaux de recherche d’intérêt commun. Dans cette dynamique, nous centrons actuellement nos réflexions sur un projet d’ouvrage collectif en lien avec nos thématiques de recherche. On est ensemble !

Réponses des trois candidats

Source : https://theconversation.com/le-concours-dagregation-du-cames-un-modele-institutionnel-pour-lafrique-176280

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Le CAMES
𝗥𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗶𝗺𝗮𝗴𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗳𝗼𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains CAMES (CCI CAMES) a été officiellement ouverte ce lundi 7 juillet 2025 à N’Djamena, au Tchad. La cérémonie solennelle a été présidée par Son Excellence l'Ambassadeur ALLAH MAYE HALINA, Premier ministre, Chef du Gouvernement de la République du Tchad, représentant Son Excellence le Maréchal MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État, Haut Patron de l’événement.Une succession d’allocutions officielles et des prestations artistiques, ont conféré à la cérémonie une dimension à la fois institutionnelle et culturelle.Cette ouverture a été précédée les 2 et 4 juillet 2025, des lancements respectifs des travaux des Comités Techniques Spécialisés Lettres et Sciences Humaines (CTS LSH) et Sciences Naturelles et Agronomie (CTS SNA). Nous vous souhaitons une bonne lecture de cette rétrospective. ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝗲́𝗿𝗲́𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱'𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞́𝐞 𝐥𝐞 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐍'𝐃𝐣𝐚𝐦𝐞́𝐧𝐚 𝐚𝐮 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗧𝗰𝗵𝗮𝗱 𝗮𝗰𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗹’𝗲𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 : 𝗹𝗮 𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝘀𝘁 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝗲La 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES (CCI CAMES) est officiellement lancée ce lundi 7 juillet 2025, à N’Djaména au Tchad. La cérémonie solennelle d’ouverture a été présidée par Son Excellence l’Ambassadeur ALLAH-MAYE HALINA, Premier ministre, Chef du Gouvernement de la République du Tchad, représentant Son Excellence le Maréchal MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État, Haut Patron de l’évènement. Étaient présents à cette cérémonie, outre d’éminentes personnalités nationales et internationales, le Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation professionnelle du Tchad, Dr Tom ERDIMI; le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ ; le Président du Comité Consultatif Général du CAMES, Pr Félicien AVLESSI ; le Président du Comité local d’organisation de ces CCI, Dr (MC) MAHAMAT SALEH DAOUSSA HAGGAR ; et le Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES, Pr Habibou ABARCHI. Cette cérémonie s’est également déroulée en présence des membres des Comités Techniques Spécialisés du CAMES, des membres du Comité Technique de Vérification des Revues du CAMES, des membres du Secrétariat général du CAMES, ainsi que de plusieurs membres du Gouvernement du Tchad, des autorités diplomatiques, administratives, coutumières, religieuses et académiques, et d’un grand nombre d’Enseignants-chercheurs, de Chercheurs et d’étudiants tchadiens.Dans son allocution de bienvenue, le 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮, 𝗗𝗿 (𝗠𝗖) 𝗠𝗔𝗛𝗔𝗠𝗔𝗧 𝗦𝗔𝗟𝗘𝗛 𝗗𝗔𝗢𝗨𝗦𝗦𝗔 𝗛𝗔𝗚𝗚𝗔𝗥, en sa qualité de Président du Comité local d’organisation, a souhaité une chaleureuse bienvenue à l’ensemble des participants. «Vous avez quitté chez vous pour venir chez vous. Soyez en profondément rassurés », a-t-il affirmé. Il a tenu à saluer tout particulièrement le leadership éclairé et la détermination exemplaire du Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES. « Cher Professeur, votre nom est désormais associé à la revitalisation méthodique, ambitieuse et résolue du CAMES. Il a enfin adressé ses salutations distinguées au Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des CCI, qu’il a qualifié de véritable cheville ouvrière de ces assises.Au nom des membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES et de l’ensemble des Responsables des Institutions d’Enseignement supérieur et des Centres de Recherche, le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗙𝗲́𝗹𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗔𝗩𝗟𝗘𝗦𝗦𝗜, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗖𝗚, a exhortés à faire preuve des valeurs qui les caractérisent: « une objectivité à toute épreuve, une rigueur méthodique, une transparence absolue, et un strict respect des règles et des dispositions énoncées dans les documents de référence, que sont le Code d’Éthique et de Déontologie et le Guide d’Évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs 2024-2028». Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a, pour sa part, souligné avec force que la reprise en présentiel des Comités Consultatifs Interafricains, après une interruption depuis 2019, constitue bien plus qu’un simple retour au format habituel: « il s’agit d’une véritable renaissance du Programme, qui trouve une signification toute particulière à N’Djaména, terre de Toumaï, où fut signé, en 1976, l’accord initial instituant ce Programme phare du CAMES ».𝗟𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁, 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲, 𝗗𝗿 𝗧𝗼𝗺 𝗘𝗥𝗗𝗜𝗠𝗜, dans son discours de circonstance, a dès l’entame de son propos reconnu la place prépondérante du CAMES. « S’il est une organisation scientifique régionale qui suscite aujourd’hui l’admiration des savants du monde entier, transcende les frontières, rassemble les intelligences, dépasse les différences et rapproche les peuples, c’est bien le CAMES », a-t-il ainsi affirmé.L’allocution d’ouverture officielle de cette 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains, a été prononcée par le 𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲, 𝗖𝗵𝗲𝗳 𝗱𝘂 𝗚𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗧𝗰𝗵𝗮𝗱, 𝗦𝗼𝗻 𝗘𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗹’𝗔𝗺𝗯𝗮𝘀𝘀𝗮𝗱𝗲𝘂𝗿 𝗔𝗟𝗟𝗔𝗛-𝗠𝗔𝗬𝗘 𝗛𝗔𝗟𝗜𝗡𝗔. Il a rappelé d’entrée de jeu, l’intérêt de Son Excellence, le Maréchal MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État, pour la cause de l’Enseignement supérieur africain, qu’il considère comme la pierre angulaire du développement socio-économique durable du continent. Il a réaffirmé le soutien indéfectible du Gouvernement de la République du Tchad à l’Enseignement supérieur, avant d’ouvrir officiellement les travaux de la 47èmesession des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES.www.lecames.org/le-tchad-accueille-lexcellence-scientifique-la-47eme-session-des-comites-consulta... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été honoré, le 5 juillet 2025, de la visite de courtoisie du Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation professionnelle de la République du Tchad, Dr Tom ERDIMI. Présent au pays de Toumaï, dans le cadre de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES, qui se tiennent du 7 au 16 juillet 2025, Pr Souleymane KONATÉ a pu s’entretenir avec son Ministre de tutelle sur différents sujets.D’entrée de jeu, le 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, a tenu à présenter ses civilités au Ministre d’État avant de présenter une partie de l’équipe qui l’accompagne dont le 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀, 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗜𝗣𝗔/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗠𝗔, et le 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗔𝗳𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗔𝗱𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗙𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝘀, 𝗠. 𝗜𝘀𝘀𝗼𝘂𝗳𝗼𝘂 𝗦𝗢𝗨𝗟𝗔𝗠𝗔. Il a par ailleurs remercié chaleureusement le Ministre d’État pour l’accueil de cette 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains du CAMES sur le sol tchadien. Dans son propos, le Secrétaire Général a tenu à rappeler que cette session marque le retour en présentiel des CCI, ce qui réjouit toute la communauté académique et scientifique. Il a également exprimé toute sa gratitude aux autorités tchadiennes tout en saluant la présence de Son Excellence le Premier ministre à la cérémonie d’ouverture qu’il présidera. Il a émis le souhait que la pleine réussite soit au rendez vous de cette grande messe scientifique qui contribuera à faire briller l’image du pays qui l’accueille avec chaleur.𝗗𝗿 𝗧𝗼𝗺 𝗘𝗥𝗗𝗜𝗠𝗜, accompagné du 𝗗𝗿 (𝗠𝗖) 𝗠𝗔𝗛𝗔𝗠𝗔𝗧 𝗦𝗔𝗟𝗘𝗛 𝗗𝗔𝗢𝗨𝗦𝗦𝗔 𝗛𝗔𝗚𝗚𝗔𝗥, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗹𝗼𝗰𝗮𝗹 𝗱’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜, s’est dit satisfait de voir ce Programme créé à N’Djaména être organisé sur le sol tchadien, 49 ans plus tard. Il a rappelé que le CAMES a bonne presse au Tchad, vu son ancienneté en tant qu’organisation internationale. « Vous êtes chez vous à N’Djaména dans tous les domaines », a-t-il assuré, rappelant toute la disponibilité et la mobilisation des hautes autorités du pays, de son Ministère et du Premier ministère pour tout besoin tout le long du séjour.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-ministre-detat-en-charge-de-lenseignement-superieur-de-la... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝟰𝟳𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝗹𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛 𝗲𝘁 𝗦𝗡𝗔 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝘀N’Djaména, la capitale tchadienne, accueille la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, du 7 au 16 juillet 2025 à l’hôtel de l’Amitié. A cet effet, le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA CAMES, Pr Ali DOUMMA, a procédé au lancement des travaux du 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 (𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛), 𝗹𝗲 𝟮 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱 et ceux du 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗡𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗔𝗴𝗿𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲 (𝗖𝗧𝗦 𝗦𝗡𝗔), 𝗹𝗲 𝟰 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱.Ce démarrage anticipé des travaux de ces CTS se justifie par le grand nombre de dossiers de candidature enregistrés au niveau de ces deux CTS, avec notamment 𝟲𝟳𝟰 𝗱𝗼𝘀𝘀𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗦𝗛 𝗲𝘁 𝟱𝟭𝟲 𝗱𝗼𝘀𝘀𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗧𝗦 𝗦𝗡𝗔.Les cérémonies de lancement des travaux de ces deux CTS se sont articulées autour du mot de bienvenue et d’orientation du Directeur des Programmes, d’un rappel des modalités pratiques d’utilisation de la plateforme numérique et d’informations diverses. Ainsi, dans son propos, le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, Pr Ali DOUMMA, après avoir souhaité la chaleureuse bienvenue aux Experts venus des pays de l’espace CAMES, a salué le retour en présentiel de cet important Programme du CAMES. Il a remercié les Experts présents, pour leur engagement constant à préserver la crédibilité de notre Institution commune à travers des évaluations objectives, impartiales et transparentes. Il a également salué les nombreux services qu’ils rendent à la communauté universitaire et scientifique de l’espace CAMES.Cette séance s’est poursuivie avec le rappel de l’utilisation de la plateforme numérique par l’informaticien du CAMES, M. Guillaume NIKIEMA. www.lecames.org/47eme-session-des-comites-consultatifs-interafricains-du-cames-les-travaux-des-ct... ... See MoreSee Less
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7 days ago

Le CAMES
𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗔𝘀𝘀𝗶𝘀𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗘𝗺𝗽𝗹𝗼𝘆𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗹’𝗘𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝘂𝗱𝗶𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗴𝗼Les « Assises sur l’Employabilité et l’Entrepreneuriat des Étudiants en République du Congo » se sont tenues les 30 juin et 1er juillet 2025, au Palais des Congrès de Brazzaville (Congo). Ces assises ont été organisées par le Ministère de l’Enseignement supérieur sous le haut patronage du Premier ministre, Chef du Gouvernement, M. Anatole Collinet MAKOSSO. Cet événement a réuni des décideurs politiques, des représentants des missions diplomatiques, des Partenaires Techniques et Financiers, des Responsables académiques, des acteurs du monde économique, des acteurs de la société civile ainsi que de nombreux étudiants. La Ministre de l’Enseignement supérieur, Professeure Delphine Édith EMMANUEL née ADOUKI, a assuré la coordination des travaux et veillé à la bonne conduite des échanges tout au long de ces assises.Parmi les moments forts de ces assises figurait la table ronde sur le thème « 𝘈𝘤𝘤𝘰𝘳𝘥𝘴 𝘦𝘵 𝘌𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘊𝘰𝘯𝘤𝘳𝘦𝘵𝘴 », organisée le 1er juillet 2025. Celle-ci a constitué un espace stratégique dédié à la formalisation des engagements Institutionnels et partenariaux.Parmi les moments forts de ces assises figurait la table ronde sur le thème « Accords et Engagements Concrets », organisée le 1er juillet 2025. Celle-ci a constitué un espace stratégique dédié à la formalisation des engagements Institutionnels et partenariaux.𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝗰𝗲𝘀 𝗮𝘀𝘀𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗦𝗮𝘁𝘂𝗿𝗻𝗶𝗻 𝗘𝗡𝗭𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗬𝗢𝗖𝗔, 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́. Il est intervenu notamment lors de la cérémonie d’ouverture pour délivrer le message de soutien du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, ainsi qu’au panel de discussion sur « 𝘓’𝘦𝘮𝘱𝘭𝘰𝘺𝘢𝘣𝘪𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦𝘴 𝘦́𝘵𝘶𝘥𝘪𝘢𝘯𝘵𝘴 : 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘔𝘺𝘵𝘩𝘦 𝘦𝘵 𝘙𝘦́𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́ », en qualité d’expert.www.lecames.org/le-cames-participe-aux-assises-sur-lemployabilite-et-lentrepreneuriat-des-etudian... ... See MoreSee Less
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