Le concours d’agrégation du CAMES, un modèle institutionnel pour l’Afrique ?


Le 29 mars 2022, The Conversation a consacré , une rubrique aux Concours d’agrégation du CAMES. Le journal relate quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.


Nous vous proposons l’intégralité de l’interview

Le concours d’agrégation du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES) est un événement universitaire et institutionnel d’importance. Nous l’abordons ici via quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.

Quelques mots sur le CAMES et sa genèse

Le Conseil est une institution internationale qui se concentre sur cinq missions principales. Insistons tout d’abord sur l’histoire du CAMES, qui fut pensé comme un organisme de coordination de l’Enseignement supérieur dans les pays d’expression française d’Afrique et de Madagascar.

L’idée de sa création remonte aux premières années des indépendances. Lors de la Conférence de Niamey, les 22 et 23 janvier 1968, les chefs d’État de l’L’Organisation commune africaine et malgache (OCAM vont décider de la création du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur afin, notamment, de développer la francophonie, la solidarité et la coopération interafricaine.

Le Conseil rassemble une vingtaine d’États francophones d’Afrique et de l’océan Indien. Ses statuts ont été adoptés le 26 avril 1972 à Lomé. Les textes furent ensuite actualisés – notamment sur l’agrégation – pour que le Conseil des ministres du CAMES les adopte en avril 2000 lors de sa 17e Session à Antananarivo.

Quelques mots sur l’agrégation et ses concours

Il existe deux familles de concours. Nous abordons dans ce papier non pas celle des Concours d’agrégation de médecine humaine, pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire et productions animales mais plutôt celle des Concours d’agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion. Cette dernière existe depuis 1983. Les épreuves s’adressent à des enseignants-chercheurs en poste sur le continent. Depuis 2017, ils doivent être inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de maitre-assistant (LAFMA).

Son organisation est spectaculaire. Il n’existe en effet pas d’évènement académique comparable en Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion qui réunisse en un seul lieu et une seule quinzaine autant de pays, de candidats, de jurés, de coachs, de collègues et d’administratifs. Cette dimension internationale et institutionnelle ne se retrouve guère ailleurs, ni en Afrique, ni en Europe.

Cet événement a lieu tous les deux ans en novembre. En novembre 2019, c’était à Ouagadougou. Du 4 au 17 novembre 2021, ce fut à Cotonou. À l’issue des trois épreuves, 77 candidats ont obtenu l’agrégation sur 198 candidats inscrits. L’Afrique compte donc 77 « maîtres de conférences agrégés » supplémentaires.

Notons qu’en sciences de gestion, les Sénégalais, les Camerounais, les Malgaches et les Burkinabé ont plutôt bien réussi, avec un bon ratio inscrits/agrégés.

Quelques échanges entre trois candidats et deux jurés

Trois candidats et deux membres du jury, tous en sciences de gestion, répondent ici à de simples questions et ouvrent leur « carnet de notes ».

# Quelles sont vos principales impressions ?

Après quelques jours de repos, nos impressions sont à la fois d’ordre opérationnel et académique. D’un point de vue opérationnel tout d’abord, c’est pour les membres du jury beaucoup de travail en amont, notamment en matière de préparation et d’expertise par binôme, sur chacun des 44 dossiers d’agrégatifs déposés sur la plate-forme du CAMES pour que tout se passe au mieux le jour J, et surtout lors de la leçon 1, celle dite « sur travaux », qui nous mobilise pendant une heure avec le candidat ou la candidate. Ensuite, ce travail continue sur place, notamment à partir de la sous-admissibilité ce qui correspondait, à Cotonou, à 27 candidats.

D’un point de vue académique ensuite, c’est surtout la sensation de passer dix jours en immersion totale – nous dirions presque nuit et jour – dans le cadre d’un événement majeur qui draine des candidats, des coaches et des collègues venant de Dakar à Antananarivo.

Réponses des trois candidats (Angélique Ngaha Bah, Robert Bationo et Abdou-Karim Faye)

Après deux années de préparation, le 4 novembre marque officiellement le lancement du concours pour dix jours. Durant cette période nous avons d’abord été impressionnés par, l’incroyable solidarité, l’entre-aide et la fraternité entre candidats, quel que soit le pays de provenance. En effet, rien ne se fait seul : le partage d’informations et de documents, les déplacements pour se rendre au centre d’examen, faire des courses, aller au restaurant, etc.

Ensuite, la puissance institutionnelle du CAMES (dont le secrétaire général venait de décéder quelques jours avant le concours) nous a beaucoup marqués. En effet, sa capacité à mobiliser 17 pays avec une organisation logistique sans faille a été exemplaire.

Enfin, la ténacité du jury nous a épatés ! Nous présumions une fatigue générale de celui-ci dès la fin de la première épreuve eu égard au nombre pléthorique de candidats et à la longueur des épreuves. Mais, à aucun moment du concours, une baisse d’attention de leur part n’a été ressentie, au contraire ! Ce sentiment est partagé par l’ensemble des candidats. Durant toutes les épreuves nous étions toujours surpris par leur vivacité, quelle que soit l’heure de passage du candidat…

Réponses des deux professeurs (Roger-Jules Feudjo et Marc Bidan)

# Quels furent les points forts de ce concours ?

Tout d’abord, le nombre de candidats inscrits en sciences de gestion – 44 dossiers déposés et un seul candidat absent à Cotonou – met en évidence l’attractivité de la discipline.

L’un des points forts, c’est que l’ensemble des dossiers a pu être traité qualitativement. À la fois techniquement, grâce à une plate-forme informatique intuitive et bien documentée, et académiquement, grâce à la mobilisation des sept membres du jury efficacement présidé par le Pr. Augustin Anassé de Bouaké en Côte d’Ivoire. Grâce à la diversité des membres du jury, chaque dossier a pu être expertisé par deux membres dont l’un au moins était de la sous-spécialité du candidat.

Un autre point fort fut l’organisation matérielle du concours à Cotonou avec des conditions de travail de bonne qualité (salle, calme, climatisation, wifi, rafraîchissement, documentation, etc.) – et ce malgré le contexte sanitaire et le nombre important de candidats.

Un dernier point fort – et non des moindres – était l’ampleur, la diversité et le niveau des débats lors des délibérations. Les débats sur la notation de la qualité des publications, la qualité des supports de publication, la pugnacité du candidat dans la défense de ses travaux, étaient parfois délicats, d’où l’importance du président de jury pour mener les débats et parvenir à une note consensuelle.

Réponse des deux professeurs

D’abord, le nombre d’admis en sciences de gestion, comparativement aux autres spécialités, constitue un motif de satisfaction. Ensuite, l’accompagnement institutionnel dont ont bénéficié certains candidats, comme les Sénégalais ou les Camerounais, a été un atout de taille. Le soutien indéfectible des coachs et de la famille à distance a aussi été déterminant. Après, nous notons l’environnement général du concours au sein de la faculté de médecine, propre, bien aérée, avec une bonne ambiance et un soutient permanent des accompagnateurs.

La diffusion rapide des informations sur le déroulement du concours, des résultats des épreuves en ligne via le site du CAMES est aussi à saluer. Enfin, la bienveillance du jury, qui prenait souvent le temps de mettre à l’aise le candidat juste avant sa prestation est particulièrement appréciable. Le temps entre le tirage et la découverte du sujet tiré, tu as l’impression d’être en enfer. Ce qui est touchant, c’est que le jury vous encourage par le regard comme s’il voulait vous dire « vas-y, tu peux y arriver » !

Réponses des trois candidats

# Quels furent vos moments de difficulté lors de ce concours ?

Tout d’abord, nous noterons, même si cela peut paraître anecdotique, la chaleur et l’humidité du littoral béninois. Ces conditions nous ont en effet obligés à nous installer dans les salles climatisées de la faculté de pharmacie durant de longues journées afin de ne pas trop se dépenser et se fatiguer pour rester éveillés en termes intellectuels et physiques tout au long des passages des candidats. De plus, les hôtels étaient dispersés et parfois éloignés du site, ce qui a impacté nos temps de trajet. Enfin, le nombre de candidats en gestion (44 à la première épreuve et 27 à partir de la seconde) nous a mécaniquement interdit toute escapade touristique en dehors de la route des Pêches et du riche et original village artisanal… mais nous reviendrons !

Réponses des deux professeurs

À quelques jours du départ sur Cotonou, il fallait partir à l’aéroport avec un test PCR négatif au Covid-19. Ce fut un moment compliqué à gérer. Mais, tout au long de ce concours, le plus difficile a été la gestion du stress et du sommeil. En effet, les veilles du tirage de la lettre qui détermine l’ordre de passage des candidats, de chaque épreuve et de chaque délibération, nous n’arrivions pas à fermer l’œil. On les appelle désormais les « 7 nuits sans sommeil du concours d’agrégation ». En outre, le stress était permanent et encore plus dense au centre d’examen, et particulièrement en loge. Cet endroit, avec ses tables rapprochées et des tas de livres qui y sont superposés pêle-mêle, était appelé « le stressodrôme ».

Certains candidats pratiquaient du sport pendant que d’autres méditaient ou encore consommaient des vitamines C ou des somnifères. À la fin du processus, c’est un « ouf » de soulagement : le retour dans nos foyers est imminent. Nous allons enfin pouvoir relâcher la pression et nous reposer !

Réponses des trois candidats

# Quelles sont vos prochaines étapes désormais ?

Nous devons inciter les agrégés à ne pas stopper leurs efforts et à publier, à s’impliquer, à encadrer, etc. Nous avons un travail de suivi à assurer. De plus, nous devons aussi inciter les non-agrégés à ne pas baisser les bras. Nous les avons reçus en face à face et nous restons disponibles, car le concours est sélectif. Il faut qu’ils se représentent dans deux ans, après avoir étoffé leur dossier avec des publications et du rayonnement dans la discipline. Ne pas négliger non plus de s’entraîner pour chacune des épreuves comme un sportif de haut niveau le ferait… Il faut arriver en forme intellectuelle et physique le jour J.

Enfin, en tant que membres du jury, nous sommes à la disposition du président – s’il a besoin de nous en novembre 2023 – et nous devons donc rester en éveil, sur le plan académique bien sûr mais aussi institutionnel car nos écosystèmes évoluent vite et le CAMES en est le reflet interrégional. En tous cas, ce fut un beau concours et une belle cérémonie de clôture à Cotonou.

Réponses des deux professeurs

L’admission au concours d’agrégation est un événement majeur. Elle fait naître de nouvelles responsabilités pour le néo-agrégé notamment, dans l’accompagnement et l’encadrement de jeunes collègues doctorants. Cette immense responsabilité doit aller de pair avec une amélioration qualitative et quantitative de nos publications et productions pédagogiques. C’est ainsi que nous nous sommes inscrits dans une logique de recherche en réseaux entre collègues de même pays mais également de pays différents liés au CAMES.

La rédaction de ce court récit entre deux jurés et trois candidats entre dans ce cadre. De même, un groupe WhatsApp regroupant tous les admis en gestion a été créé pour permettre aux collègues de mieux se connaître, de partager et de développer des initiatives et travaux de recherche d’intérêt commun. Dans cette dynamique, nous centrons actuellement nos réflexions sur un projet d’ouvrage collectif en lien avec nos thématiques de recherche. On est ensemble !

Réponses des trois candidats

Source : https://theconversation.com/le-concours-dagregation-du-cames-un-modele-institutionnel-pour-lafrique-176280

4 days ago

Le CAMES
𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗮̀ 𝗹’𝗘́𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿-𝗘́𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗩𝗲́𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗗𝗮𝗸𝗮𝗿 (𝗦𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹)Le Secrétaire Général du #CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, en mission à Dakar dans le cadre du lancement académique du 22ème Concours d’Agrégation de Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), a saisi l’occasion pour rendre une visite de courtoisie au Directeur Général de l’ École Inter-États des Sciences et Médecine Vétérinaires (#EISMV) de Dakar, Professeur Yalacé KABORET, le 𝟭𝟳 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱. Cette audience a eu lieu en présence du Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES, Professeur Ali DOUMMA. Elle a été suivie d’une rencontre avec les Enseignants-chercheurs de cette Institution.Dans son mot de bienvenue, le Professeur Yalacé KABORET, Directeur Général de l’École Inter-États des Sciences et Médecine Vétérinaires de Dakar, s’est dit honoré par cette visite du Secrétaire Général du CAMES dans l’Institution qu’il dirige. Il a tenu à le remercier chaleureusement pour cette marque de considération à son endroit. Dans son intervention, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a exprimé toute la joie qui est sienne de rendre visite aux Responsables d’Institution d’Enseignement supérieur et de Recherche, premiers acteurs de notre Institution commune, chaque fois qu’il en a l’occasion. Sa présence à l’EISMV était donc le lieu de rencontrer son Directeur Général, par ailleurs membre actif du Comité Consultatif Général du CAMES, pour lui présenter ses civilités. Il a par la suite présenté le CAMES et la vision de l’équipe dirigeante, en poste depuis le 9 janvier 2023, à travers le Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024-2028.Cette audience a été suivie d’une rencontre avec les Enseignants de cette Institution. Cette rencontre a été l’occasion de débattre de plusieurs préoccupations relatives à l’application de certaines dispositions des référentiels d’évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs (Guide d’Évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs 2024-2028, GEE-CC) et du Guide d’Évaluation des Enseignants-chercheurs au Concours d’Agrégation de Médecine Humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine Vétérinaire et Productions Animales (MHPOMVPA).www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-en-visite-a-lecole-inter-etats-des-sciences-et-med... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗲 (𝗧𝗿𝗮𝗶𝗻𝗜𝗤𝗔) 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 – 𝗘́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟲L’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD), la Conférence des Recteurs d’Université d’Allemagne (#HRK), le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (#CAMES) et l’Université de Potsdam (UP), située en Allemagne, lancent un appel conjoint à candidatures pour la formation « DIES Training on Internal Quality Assurance (#TrainIQA) » dans les États membres du CAMES. TrainIQA fait partie du programme Dialogue on Innovative Higher Education Strategies (#DIES) dont l’objectif est de renforcer les outils et processus de gestion dans les établissements d’enseignement supérieur des pays en développement.Le programme DIES est organisé conjointement par l’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD) et la Conférence des Recteurs d’Universités allemandes (HRK), grâce au soutien financier du Ministère fédéral de la Coopération économique et du Développement en Allemagne (BMZ).𝗖𝗼𝗻𝘁𝗲𝗻𝘂 𝗲𝘁 𝗺𝗲́𝘁𝗵𝗼𝗱𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻La formation s’articule autour de la réalisation, tout au long du programme, de projets institutionnels au sein des établissements d’Enseignement supérieur participants (voir chapitre Projets de changement institutionnel). À cette fin, elle vise à renforcer les compétences nécessaires à la conduite de projets en con texte universitaire, notamment dans le domaine de l’Assurance Qualité, afin de permettre une mise en pratique durable des connaissances acquises.La formation s’appuie sur cinq modules distincts, organisés au tour d’un manuel1 et de contenus en ligne, utilisables de manière flexible :𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟭: Conception de systèmes efficaces de gestion de la qualité ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟮 : Outils et procédures dédiés à l’Assurance Qualité ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟯 : Assurance Qualité de l’enseignement et de l’apprentissage ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟰 : Gestion de l’information ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟱 : Gestion de la qualité et ses liens avec l’Enseignement supérieur.𝗖𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗲́𝗱𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝘀𝗲́𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻Le dépôt de candidature s’effectuera exclusivement en ligne suivant la procédure ci-après, avant 𝟯𝟬 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱. Inscrivez-vous sur www.afrique-qa.org/s/regafr26/fr.html en renseignant vos nom et adresse courriel.𝗧𝗲́𝗹𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝗿 𝗹'𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 : www.lecames.org/appel-a-candidatures-formation-sur-lassurance-qualite-interne-trainiqa-dans-les-e... ... See MoreSee Less
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1 week ago

Le CAMES
𝐑𝐞𝐯𝐢𝐯𝐞𝐳 𝐚̀ 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐬, 𝐥𝐞 𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐜𝐚𝐝𝐞́𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐬𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒.Mini reportage de ITV Sénégal ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞𝐯𝐢𝐯𝐞𝐳 𝐚̀ 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐬, 𝐥𝐞 𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐜𝐚𝐝𝐞́𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐬𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒.Mini reportage de la TFM ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝘂𝘅 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗼𝗻𝘁 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́𝘀 𝗰𝗲 𝗺𝗲𝗿𝗰𝗿𝗲𝗱𝗶 𝟭𝟱 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱C’est depuis l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, dans un format bimodal (présentiel et visioconférence), que s’est tenue la cérémonie académique d’ouverture de la 22ème session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES, sous la présidence du Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ. Cette cérémonie marque le coup d’envoi d’un Concours prestigieux qui vise à doter les Institutions d’Enseignement supérieur de la sous-région d’Enseignants-chercheurs de haut niveau, désignés sous le titre de « 𝙈𝙖𝙞̂𝙩𝙧𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝘾𝙤𝙣𝙛𝙚́𝙧𝙚𝙣𝙘𝙚𝙨 𝘼𝙜𝙧𝙚́𝙜𝙚́𝙨 » du CAMES.L'événement a réuni les membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES, les membres de la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED) du CAMES, les Directeurs des Programmes du CAMES, les Responsables académiques de l’UCAD, les Présidents et membres de jury du 22ème Concours d’Agrégation SJPEG, les candidats et le personnel du CAMES, les membres du Comité local d’organisation, ainsi que de nombreuses personnalités académiques et politique.Plusieurs moments forts ont rythmé cette cérémonie à savoir : (i) les allocutions officielles prévues, (ii) la lecture du Code d’éthique et de déontologie ; (iii) la présentation des articles pertinents de l’Accord du Concours ; (iv) la publication de la liste des candidats dont les dossiers ont été jugés recevables ; (v) la communication des postes nationaux ouverts par les États membres et enfin, (v) le tirage au sort de 𝗹𝗮 𝗹𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 « 𝗦 », qui déterminera l’ordre de passage des candidats.Il faut noter que pour cette 22ème édition, 𝟮𝟮𝟬 candidatures ont été enregistrées, émanant de 𝟰𝟭 Institutions d’Enseignement supérieur issues de 𝟭𝟮 pays : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Mali, Niger, Sénégal, Tchad et Togo. Ces candidats seront évalués par 𝟯𝟳 membres de jury, tous experts reconnus dans leurs disciplines respectives.La première épreuve de « 𝘋𝘪𝘴𝘤𝘶𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘶𝘹 », se tiendra du 𝟭𝟴 𝗮𝘂 𝟮𝟴 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, en visioconférence depuis les Centres d’examen nationaux. Les candidats jugés sous-admissibles à l’issue de cette première phase, prendront part aux deux autres épreuves qui seront organisées en présentiel à Dakar, du 10 au 21 novembre 2025.Les différentes allocutions prononcées ont unanimement appelé les candidats à aborder le Concours avec sérénité, rigueur et confiance. Ils ont par ailleurs invité les membres du jury à faire preuve de probité, de respect scrupuleux des textes régissant le Concours, ainsi que du Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES. La cérémonie s’est achevée par une séance d’information détaillant le calendrier et les modalités pratiques du déroulement des épreuves.www.lecames.org/les-travaux-du-22eme-concours-dagregation-sjpeg-du-cames-ont-ete-officiellement-l... ... See MoreSee Less
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𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 : 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝘁 𝗹’𝗨𝗖𝗔𝗗 𝗿𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝘀𝘆𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘅𝗲𝗺𝗽𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲Le 𝟭𝟰 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a tenu une réunion de coordination avec le Comité local d’organisation du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques Politiques Economiques et de Gestion, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD). Cette séance de travail s’est tenue en présence de la délégation du CAMES composée de cinq membres, dont le Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation.Cette séance présidée par la Professeure Aminata CISSÉ NIANG, Doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FJSP) de l’UCAD, a également vu la présence du Professeur Abdoul Aziz DIOUF, Directeur Général de l’Enseignement supérieur, de Monsieur Tafsir DIATTARA, Chargé de mission auprès du Recteur et des membres du Comité d’organisation de l’UCAD.La réunion de travail a permis de faire le point sur l’état d’avancement des préparatifs logistiques, académiques et communicationnels, en particulier pour les deux épreuves en présentiel que l’UCAD accueillera dans le cadre de cette session. 𝗘𝗹𝗹𝗲 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿𝘀𝘂𝗶𝘃𝗶𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗳𝗿𝗮𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝘂𝗲𝘀, 𝗮̀ 𝗹’𝗶𝘀𝘀𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘁𝗲𝗻𝘂𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝘃𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘃𝗮𝗹𝗶𝗱𝗲́𝘀.Les participants ont reconnu la qualité du dispositif en place et mis en avant la synergie efficace entre le CAMES et le Comité local d’organisation. Ils ont réaffirmé leur engagement et leur professionnalisme pour la réussite de cette session. Ils sont repartis avec des consignes précises pour la poursuite des préparatifs, dans le but commun de garantir une organisation optimale de la 22ème session, placée sous le signe de l’excellence et de la coopération institutionnelle.www.lecames.org/22eme-concours-dagregation-sjpeg-le-cames-et-lucad-renforcent-leur-synergie-pour-... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗻𝘁𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗦𝗼𝗻 𝗘𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗙𝗮𝘂𝘀𝘁𝗶𝗻 𝗔𝗿𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲 𝗧𝗢𝗨𝗔𝗗𝗘́𝗥𝗔Une délégation du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) conduite par son Secrétaire Général, Professeur Souleymane KONATÉ, a effectué une 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗻𝘁𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗱𝘂 𝟱 𝗮𝘂 𝟭𝟭 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱. Dans le cadre de cette mission, Son Excellence Professeur Faustin Archange TOUADÉRA, Président de la République centrafricaine, Chef de l’État et Grand-Croix de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES, a accordé une audience à la délégation, le 10 octobre 2025.La délégation du CAMES était accompagnée du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Professeur Jean-Laurent SYSSA-MAGALÉ et du Recteur de l’Université de Bangui, Professeur Gérard GRESENGUET. Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation et Professeur Mohamed CISSÉ, Président Coordonnateur des jurys de la 22ème session du Concours d’Agrégation de Médecine Humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine Vétérinaire, et Productions Animales (MHPOMVPA), tous deux membres de la délégation du CAMES, ont également assisté à cette audience.Le Chef de l’État, après avoir souhaité la bienvenue à la délégation du CAMES en République centrafricaine, a donné la parole au Secrétaire Général du CAMES.Le Professeur Souleymane KONATÉ, après avoir présenté la délégation du CAMES qui l’accompagnait, a exprimé la déférente gratitude de la communauté universitaire et scientifique des 19 États membres du CAMES, au Professeur Faustin Archange TOUADÉRA, Président de la République, Chef de l’État, pour avoir donné son haut accord pour l’accueil et l’organisation de la 23ème session du Concours d’Agrégation MHPOMVPA en terre centrafricaine.Il a ensuite présenté l’objet de la mission du CAMES en République centrafricaine, à savoir: (i) la signature du protocole d’accord relatif à l’organisation du Concours d’Agrégation et (ii) l’évaluation de la capacité d’organisation du Concours par la République centrafricaine, selon les exigences du CAMES. Il a particulièrement insisté sur l’impact du Concours d’Agrégation sur le rayonnement scientifique et académique de la République centrafricaine. En effet, ce Concours mobilisera plus de 𝟲𝟬𝟬 participants de près de 𝟭𝟱 pays membres du CAMES, mettant ainsi la République centrafricaine au cœur de l’actualité scientifique et académique internationale, pendant une vingtaine de jours, a-t-il précisé. En outre, en regroupant plus de 𝟮𝟬𝟬 Professeurs Titulaires et 𝟰𝟬𝟬 candidats, la ville de Bangui sera pendant la période du Concours, la cité de l’intégration académique et de la solidarité scientifique au sein de l’espace CAMES.Le Secrétaire Général a par la suite présenté le bilan et les conclusions de cette mission au Président de la République. Ainsi, à l’issue des différentes réunions et visites de terrain, la capacité de la République centrafricaine à organiser la 23ème session du Concours d’Agrégation des Sciences de la Santé en 2026 a été confirmée et validée.Dans son intervention, Son Excellence Professeur Faustin Archange TOUADÉRA s’est réjoui des conclusions positives de la mission d’évaluation. Il a tenu à rassurer le Secrétaire Général quant à son implication personnelle et l’engagement de tout son Gouvernement pour la réussite de cet important évènement dont les impacts positifs pour le pays sont indéniables. www.lecames.org/une-delegation-du-cames-recue-en-audience-par-le-president-de-la-republique-centr... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗔𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗻𝘁𝗿𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a également été reçu en audience par le Premier ministre de la République centrafricaine, S.E.M. Félix MOLOUA, en présence du Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Professeur Jean-Laurent SYSSA-MAGALÉ, du Recteur de l’Université de Bangui, Professeur Gérard GRESENGUET, du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA, et du Président Coordonnateur Général des jurys de la 22ème session du Concours d’Agrégation des Sciences de la Santé, Professeur Mohamed CISSÉ.Cette audience qui s’est tenue le 𝟵 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, a été l’occasion pour le Secrétaire Général du CAMES de présenter à S.E.M. le Premier ministre, le bilan à mi-parcours de la mission d’évaluation effectuée par sa délégation. Il a ainsi insisté sur les points forts qui constituent à ses yeux le principal gage de réussite de l’organisation de cette 23ème session du Concours d’Agrégation.www.lecames.org/une-delegation-du-cames-recue-en-audience-par-le-president-de-la-republique-centr... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗼𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗱’𝗮𝗰𝗰𝗼𝗿𝗱 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟮𝟯𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗣𝗵𝗮𝗿𝗺𝗮𝗰𝗶𝗲, 𝗢𝗱𝗼𝗻𝘁𝗼𝘀𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗩𝗲́𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗔𝗻𝗶𝗺𝗮𝗹𝗲𝘀 (𝗠𝗛𝗣𝗢𝗠𝗩𝗣𝗔) 𝗲𝘀𝘁 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗲́La délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Professeur Souleymane KONATÉ, a été reçue par son Ministre de tutelle, Professeur Jean-Laurent SYSSA-MAGALÉ, dans les locaux du Ministère. Dans le cadre de cette mission en République centrafricaine, le protocole d’accord entre le Ministère et le CAMES pour l’organisation du prestigieux Concours d’Agrégation, a également été signé le 𝟭𝟬 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, dans les locaux dudit Ministère.Lors de l’audience accordée à la délégation du CAMES le 7 octobre 2025, Professeur Jean-Laurent SYSSA-MAGALÉ, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique de la République centrafricaine, s’est dit honoré de cette visite du Secrétaire Général du CAMES. Il a réitéré toute sa reconnaissance au CAMES pour tout l’intérêt accordé au Gouvernement de la République centrafricaine pour l’organisation de la 𝟮𝟯𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗣𝗵𝗮𝗿𝗺𝗮𝗰𝗶𝗲, 𝗢𝗱𝗼𝗻𝘁𝗼𝘀𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗩𝗲́𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗔𝗻𝗶𝗺𝗮𝗹𝗲𝘀 (𝗠𝗛𝗣𝗢𝗠𝗩𝗣𝗔), 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝘂 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘀𝗲 𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗲𝗻 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟲. Il a tenu à rassurer le Secrétaire Général du CAMES de toutes les hautes instructions données par Son Excellence Professeur Faustin Archange TOUADÉRA, Président de la République, pour que toutes les dispositions soient prises pour la parfaite organisation de cet important Programme statutaire du CAMES conformément aux normes et standards de l’Institution.Il a enfin souligné tout l’intérêt du Gouvernement de la République centrafricaine pour le rapport de cette mission et les recommandations qui en découleront afin de les mettre en œuvre.Le 10 octobre 2025, aux termes de cette mission en terre centrafricaine, la délégation du CAMES s’est à nouveau rendue dans les locaux du Ministère, afin de présenter au Ministre, le rapport d’évaluation discuté et validé par l’équipe du CAMES et le Comité local de réflexion sur l’organisation du Concours. Cette audience a été l’occasion de procéder à la signature du protocole d’accord qui fixe les engagements des deux parties dans le cadre de l’organisation de cet important et prestigieux Programme statutaire de notre Institution commune.www.lecames.org/le-protocole-daccord-pour-lorganisation-de-la-23eme-session-du-concours-dagregati... ... See MoreSee Less
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2 weeks ago

Le CAMES
𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗮𝘂 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗕𝗮𝗻𝗴𝘂𝗶Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, en mission à Bangui, a saisi l’occasion pour rendre une visite de courtoisie au Recteur de l’Université de Bangui, Professeur Gerard GRESENGUET, le 𝟲 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱. Cette audience a eu lieu en présence du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA et du Président Coordonnateur Général des Jurys de la 22ème session du Concours d’Agrégation, Professeur Mohamed CISSÉ, par ailleurs expert CAMES. 𝗖𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝘀𝘂𝗶𝘃𝗶𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝘀𝗲́𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗹𝗼𝗰𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝗳𝗹𝗲𝘅𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟮𝟯𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗣𝗵𝗮𝗿𝗺𝗮𝗰𝗶𝗲, 𝗢𝗱𝗼𝗻𝘁𝗼𝘀𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲, 𝗠𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗩𝗲́𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗔𝗻𝗶𝗺𝗮𝗹𝗲𝘀. Tout en souhaitant la chaleureuse bienvenue à la délégation du CAMES, Professeur Gérard GRESENGUET, Recteur de l’Université de Bangui, a tenu à remercier le Secrétaire Général pour avoir bien voulu faire le déplacement en terre centrafricaine. Illustrant le fort intérêt de son pays pour ce projet, il est revenu sur toutes les démarches entreprises auprès du CAMES par le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique de son pays, Professeur Jean-Laurent SYSSA-MAGALÉ, en atteste également sa présence en Guinée lors de la 22ème session du Concours d’Agrégation, tenue en novembre 2024 en Guinée.Dans son intervention, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ a exprimé toute la joie qui est sienne de rendre visite aux Responsables d’Institution d’Enseignement Supérieur et de Recherche, premiers acteurs de notre Institution commune, chaque fois qu’il en a l’occasion. Sa présence en République centrafricaine était donc le lieu de rencontrer le Recteur de l’Université de Bangui, par ailleurs Vice-président du Comité Consultatif Général du CAMES.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-en-visite-de-courtoisie-au-recteur-de-luniversite-... ... See MoreSee Less
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