Le concours d’agrégation du CAMES, un modèle institutionnel pour l’Afrique ?


Le 29 mars 2022, The Conversation a consacré , une rubrique aux Concours d’agrégation du CAMES. Le journal relate quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.


Nous vous proposons l’intégralité de l’interview

Le concours d’agrégation du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES) est un événement universitaire et institutionnel d’importance. Nous l’abordons ici via quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.

Quelques mots sur le CAMES et sa genèse

Le Conseil est une institution internationale qui se concentre sur cinq missions principales. Insistons tout d’abord sur l’histoire du CAMES, qui fut pensé comme un organisme de coordination de l’Enseignement supérieur dans les pays d’expression française d’Afrique et de Madagascar.

L’idée de sa création remonte aux premières années des indépendances. Lors de la Conférence de Niamey, les 22 et 23 janvier 1968, les chefs d’État de l’L’Organisation commune africaine et malgache (OCAM vont décider de la création du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur afin, notamment, de développer la francophonie, la solidarité et la coopération interafricaine.

Le Conseil rassemble une vingtaine d’États francophones d’Afrique et de l’océan Indien. Ses statuts ont été adoptés le 26 avril 1972 à Lomé. Les textes furent ensuite actualisés – notamment sur l’agrégation – pour que le Conseil des ministres du CAMES les adopte en avril 2000 lors de sa 17e Session à Antananarivo.

Quelques mots sur l’agrégation et ses concours

Il existe deux familles de concours. Nous abordons dans ce papier non pas celle des Concours d’agrégation de médecine humaine, pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire et productions animales mais plutôt celle des Concours d’agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion. Cette dernière existe depuis 1983. Les épreuves s’adressent à des enseignants-chercheurs en poste sur le continent. Depuis 2017, ils doivent être inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de maitre-assistant (LAFMA).

Son organisation est spectaculaire. Il n’existe en effet pas d’évènement académique comparable en Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion qui réunisse en un seul lieu et une seule quinzaine autant de pays, de candidats, de jurés, de coachs, de collègues et d’administratifs. Cette dimension internationale et institutionnelle ne se retrouve guère ailleurs, ni en Afrique, ni en Europe.

Cet événement a lieu tous les deux ans en novembre. En novembre 2019, c’était à Ouagadougou. Du 4 au 17 novembre 2021, ce fut à Cotonou. À l’issue des trois épreuves, 77 candidats ont obtenu l’agrégation sur 198 candidats inscrits. L’Afrique compte donc 77 « maîtres de conférences agrégés » supplémentaires.

Notons qu’en sciences de gestion, les Sénégalais, les Camerounais, les Malgaches et les Burkinabé ont plutôt bien réussi, avec un bon ratio inscrits/agrégés.

Quelques échanges entre trois candidats et deux jurés

Trois candidats et deux membres du jury, tous en sciences de gestion, répondent ici à de simples questions et ouvrent leur « carnet de notes ».

# Quelles sont vos principales impressions ?

Après quelques jours de repos, nos impressions sont à la fois d’ordre opérationnel et académique. D’un point de vue opérationnel tout d’abord, c’est pour les membres du jury beaucoup de travail en amont, notamment en matière de préparation et d’expertise par binôme, sur chacun des 44 dossiers d’agrégatifs déposés sur la plate-forme du CAMES pour que tout se passe au mieux le jour J, et surtout lors de la leçon 1, celle dite « sur travaux », qui nous mobilise pendant une heure avec le candidat ou la candidate. Ensuite, ce travail continue sur place, notamment à partir de la sous-admissibilité ce qui correspondait, à Cotonou, à 27 candidats.

D’un point de vue académique ensuite, c’est surtout la sensation de passer dix jours en immersion totale – nous dirions presque nuit et jour – dans le cadre d’un événement majeur qui draine des candidats, des coaches et des collègues venant de Dakar à Antananarivo.

Réponses des trois candidats (Angélique Ngaha Bah, Robert Bationo et Abdou-Karim Faye)

Après deux années de préparation, le 4 novembre marque officiellement le lancement du concours pour dix jours. Durant cette période nous avons d’abord été impressionnés par, l’incroyable solidarité, l’entre-aide et la fraternité entre candidats, quel que soit le pays de provenance. En effet, rien ne se fait seul : le partage d’informations et de documents, les déplacements pour se rendre au centre d’examen, faire des courses, aller au restaurant, etc.

Ensuite, la puissance institutionnelle du CAMES (dont le secrétaire général venait de décéder quelques jours avant le concours) nous a beaucoup marqués. En effet, sa capacité à mobiliser 17 pays avec une organisation logistique sans faille a été exemplaire.

Enfin, la ténacité du jury nous a épatés ! Nous présumions une fatigue générale de celui-ci dès la fin de la première épreuve eu égard au nombre pléthorique de candidats et à la longueur des épreuves. Mais, à aucun moment du concours, une baisse d’attention de leur part n’a été ressentie, au contraire ! Ce sentiment est partagé par l’ensemble des candidats. Durant toutes les épreuves nous étions toujours surpris par leur vivacité, quelle que soit l’heure de passage du candidat…

Réponses des deux professeurs (Roger-Jules Feudjo et Marc Bidan)

# Quels furent les points forts de ce concours ?

Tout d’abord, le nombre de candidats inscrits en sciences de gestion – 44 dossiers déposés et un seul candidat absent à Cotonou – met en évidence l’attractivité de la discipline.

L’un des points forts, c’est que l’ensemble des dossiers a pu être traité qualitativement. À la fois techniquement, grâce à une plate-forme informatique intuitive et bien documentée, et académiquement, grâce à la mobilisation des sept membres du jury efficacement présidé par le Pr. Augustin Anassé de Bouaké en Côte d’Ivoire. Grâce à la diversité des membres du jury, chaque dossier a pu être expertisé par deux membres dont l’un au moins était de la sous-spécialité du candidat.

Un autre point fort fut l’organisation matérielle du concours à Cotonou avec des conditions de travail de bonne qualité (salle, calme, climatisation, wifi, rafraîchissement, documentation, etc.) – et ce malgré le contexte sanitaire et le nombre important de candidats.

Un dernier point fort – et non des moindres – était l’ampleur, la diversité et le niveau des débats lors des délibérations. Les débats sur la notation de la qualité des publications, la qualité des supports de publication, la pugnacité du candidat dans la défense de ses travaux, étaient parfois délicats, d’où l’importance du président de jury pour mener les débats et parvenir à une note consensuelle.

Réponse des deux professeurs

D’abord, le nombre d’admis en sciences de gestion, comparativement aux autres spécialités, constitue un motif de satisfaction. Ensuite, l’accompagnement institutionnel dont ont bénéficié certains candidats, comme les Sénégalais ou les Camerounais, a été un atout de taille. Le soutien indéfectible des coachs et de la famille à distance a aussi été déterminant. Après, nous notons l’environnement général du concours au sein de la faculté de médecine, propre, bien aérée, avec une bonne ambiance et un soutient permanent des accompagnateurs.

La diffusion rapide des informations sur le déroulement du concours, des résultats des épreuves en ligne via le site du CAMES est aussi à saluer. Enfin, la bienveillance du jury, qui prenait souvent le temps de mettre à l’aise le candidat juste avant sa prestation est particulièrement appréciable. Le temps entre le tirage et la découverte du sujet tiré, tu as l’impression d’être en enfer. Ce qui est touchant, c’est que le jury vous encourage par le regard comme s’il voulait vous dire « vas-y, tu peux y arriver » !

Réponses des trois candidats

# Quels furent vos moments de difficulté lors de ce concours ?

Tout d’abord, nous noterons, même si cela peut paraître anecdotique, la chaleur et l’humidité du littoral béninois. Ces conditions nous ont en effet obligés à nous installer dans les salles climatisées de la faculté de pharmacie durant de longues journées afin de ne pas trop se dépenser et se fatiguer pour rester éveillés en termes intellectuels et physiques tout au long des passages des candidats. De plus, les hôtels étaient dispersés et parfois éloignés du site, ce qui a impacté nos temps de trajet. Enfin, le nombre de candidats en gestion (44 à la première épreuve et 27 à partir de la seconde) nous a mécaniquement interdit toute escapade touristique en dehors de la route des Pêches et du riche et original village artisanal… mais nous reviendrons !

Réponses des deux professeurs

À quelques jours du départ sur Cotonou, il fallait partir à l’aéroport avec un test PCR négatif au Covid-19. Ce fut un moment compliqué à gérer. Mais, tout au long de ce concours, le plus difficile a été la gestion du stress et du sommeil. En effet, les veilles du tirage de la lettre qui détermine l’ordre de passage des candidats, de chaque épreuve et de chaque délibération, nous n’arrivions pas à fermer l’œil. On les appelle désormais les « 7 nuits sans sommeil du concours d’agrégation ». En outre, le stress était permanent et encore plus dense au centre d’examen, et particulièrement en loge. Cet endroit, avec ses tables rapprochées et des tas de livres qui y sont superposés pêle-mêle, était appelé « le stressodrôme ».

Certains candidats pratiquaient du sport pendant que d’autres méditaient ou encore consommaient des vitamines C ou des somnifères. À la fin du processus, c’est un « ouf » de soulagement : le retour dans nos foyers est imminent. Nous allons enfin pouvoir relâcher la pression et nous reposer !

Réponses des trois candidats

# Quelles sont vos prochaines étapes désormais ?

Nous devons inciter les agrégés à ne pas stopper leurs efforts et à publier, à s’impliquer, à encadrer, etc. Nous avons un travail de suivi à assurer. De plus, nous devons aussi inciter les non-agrégés à ne pas baisser les bras. Nous les avons reçus en face à face et nous restons disponibles, car le concours est sélectif. Il faut qu’ils se représentent dans deux ans, après avoir étoffé leur dossier avec des publications et du rayonnement dans la discipline. Ne pas négliger non plus de s’entraîner pour chacune des épreuves comme un sportif de haut niveau le ferait… Il faut arriver en forme intellectuelle et physique le jour J.

Enfin, en tant que membres du jury, nous sommes à la disposition du président – s’il a besoin de nous en novembre 2023 – et nous devons donc rester en éveil, sur le plan académique bien sûr mais aussi institutionnel car nos écosystèmes évoluent vite et le CAMES en est le reflet interrégional. En tous cas, ce fut un beau concours et une belle cérémonie de clôture à Cotonou.

Réponses des deux professeurs

L’admission au concours d’agrégation est un événement majeur. Elle fait naître de nouvelles responsabilités pour le néo-agrégé notamment, dans l’accompagnement et l’encadrement de jeunes collègues doctorants. Cette immense responsabilité doit aller de pair avec une amélioration qualitative et quantitative de nos publications et productions pédagogiques. C’est ainsi que nous nous sommes inscrits dans une logique de recherche en réseaux entre collègues de même pays mais également de pays différents liés au CAMES.

La rédaction de ce court récit entre deux jurés et trois candidats entre dans ce cadre. De même, un groupe WhatsApp regroupant tous les admis en gestion a été créé pour permettre aux collègues de mieux se connaître, de partager et de développer des initiatives et travaux de recherche d’intérêt commun. Dans cette dynamique, nous centrons actuellement nos réflexions sur un projet d’ouvrage collectif en lien avec nos thématiques de recherche. On est ensemble !

Réponses des trois candidats

Source : https://theconversation.com/le-concours-dagregation-du-cames-un-modele-institutionnel-pour-lafrique-176280

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𝗟𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗗𝗲́𝗼𝗻𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗲 𝗲𝗻 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘅𝘁𝗿𝗮𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲Les 23 et 24 avril 2025, la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED) du CAMES a tenu sa session extraordinaire en présentiel au siège de l’Institution à Ouagadougou (Burkina Faso) et en ligne pour certains membres. Les travaux ont été dirigés par Pr Habibou ABARCHI, Président de la Commission.La cérémonie d’ouverture de cette session a eu lieu le 23 avril 2025 autour des interventions du Secrétaire Général du CAMES et du Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED).Le mot de bienvenue du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été l’occasion pour lui, de rappeler d’entrée de jeu, l’importance de la CED. « La CED est l’organe de veille éthique, indispensable à la crédibilité et à la respectabilité de notre Institution commune », a-t-il souligné. Il a par ailleurs rappelé que « la présence active des membres témoigne de leur attachement au CAMES et à leur mission de garant de ses valeurs fondamentales que sont : l’éthique, l’intégrité, l’impartialité, l’excellence et le service à la communauté scientifique africaine et malgache ». En revenant sur les points inscrits à l’ordre du jour, le Secrétaire Général a salué l’initiative « louable et ambitieuse » de création des cellules d’éthique et de déontologie au sein des Institutions d’Enseignement Supérieur et de Recherche (IESR) des pays membres du CAMES. En effet, cette initiative vise à renforcer, au niveau institutionnel, la culture éthique dans la conduite des missions universitaires et scientifiques. Abordant la question de la mise en place des organes d’éthique et de déontologie au sein des IESR des pays membres, le Président de la CED, Pr Habibou ABARCHI, a précisé que ces structures auront vocation à devenir des corps avant-gardistes en matière d’éthique universitaire, adaptés à la réalité de chaque contexte institutionnel. Ces cellules agiraient comme interfaces de proximité entre les établissements et la CED, permettant une gestion plus efficace, réactive et contextualisée des enjeux éthiques. Pour garantir le succès de ce projet structurant, il a invité les conseillers et personnes ressources de la CED à prendre toutes les dispositions idoines afin d’assurer sa mise en œuvre efficace et son ancrage durable au sein des communautés universitaires.www.lecames.org/la-commission-dethique-et-de-deontologie-du-cames-sest-reunie-en-session-extraord... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗡’𝗗𝗷𝗮𝗺𝗲́𝗻𝗮 𝗮𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le mardi 22 avril 2025, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a reçu en audience une délégation d’Enseignants-chercheurs de l’Université de N’Djaména (Tchad), en mission au Burkina Faso dans le cadre d’un partenariat interuniversitaire. Cette mission vise à s’inspirer du Programme de Nutrition de l’Université Joseph KI-ZERBO pour la mise en place d’un projet similaire au sein de cette Institution d’Enseignement et de Recherche du Tchad.La rencontre s’est tenue en présence du Directeur des Programmes en charge des Enseignements et des Évaluations du CAMES, Pr Ali DOUMMA. La délégation tchadienne, accompagnée du Pr Aly SAWADOGO, Enseignant-chercheur à l’Université Joseph KI-ZERBO, était composée de : Pr FOUMSOU LHAGADANG, Professeur Titulaire de Gynécologie et d’Obstétrique, Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé Humaine ; Pr ABDELSALAM Tidjani, Professeur Titulaire de Nutrition, Microbiologie et Sécurité Alimentaire, Chef du Département de Santé Publique et Dr Mahamat Béchir, Maître de Conférences, Enseignant-chercheur.Les échanges ont essentiellement porté sur les préparatifs de la 47ème session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, dont la tenue en présentiel est prévue au Tchad en juillet 2025.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-dune-delegation-de-luniversite-de-ndjamena-au-secretariat-ge... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗼𝘂-𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝗶 𝗜𝗠𝗢𝗥𝗢𝗨Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Professeur Abou-Bakari IMOROU, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗧𝗦 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗛𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 (𝗟𝗦𝗛) du CAMES.www.youtube.com/watch?v=qxATIn0hBiE𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄En termes de perspectives, au-delà de l’évaluation des dossiers CCI, nous allons nous mobiliser pour examiner sérieusement les demandes d’homologation des revues au niveau du CAMES. Nous accompagnerons les collègues responsables des revues afin qu’elles puissent, d’ici 2027, atteindre un niveau conforme aux exigences en matière d’indexation.Cette année, de nouveaux éléments sont entrés en jeu dans l’évaluation des dossiers, notamment l’évaluation pédagogique et les évaluations des enseignements dans les universités. Nous avons constaté une disparité dans la mise en œuvre de ces évaluations. Ce sujet sera donc inscrit à l’ordre du jour de la prochaine session, afin de déterminer concrètement les modalités d’application de ces évaluations.Par ailleurs, il ressort que, dans de nombreux pays, contrairement aux directives du CAMES, les commissions de validation des fiches techniques ne sont pas toujours mises en place. La prochaine session sera l’occasion de revenir sur cette question et d’inviter les collègues à soutenir les administrations universitaires ainsi que les Unités d’Enseignement ou de Recherche, pour que ces commissions soient mises en place.𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗼𝘂-𝗕𝗮𝗸𝗮𝗿𝗶 𝗜𝗠𝗢𝗥𝗢𝗨. ... See MoreSee Less
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𝗣𝗿𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝘂𝘀𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻Le Secrétaire Général du CAMES a l’honneur de préciser aux Recteurs, Présidents, Directeurs Généraux des Institutions d’Enseignement supérieur des pays membres du CAMES, que 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗲 𝗱’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻°𝟬𝟯𝟳-𝟮𝟬𝟮𝟱/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦/𝗦𝗚/𝗗𝗣𝟭/𝗞𝗣 𝗱𝘂 𝟭𝟳 𝗺𝗮𝗿𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 relative à l’observance de l’année de pause est un document de portée générale qui 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝗻𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗲́𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.www.lecames.org/precision-sur-le-respect-de-lobservation-de-lannee-de-pause-aux-concours-dagregat... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗶𝗻𝘃𝗶𝘁𝗲́ 𝗱’𝗵𝗼𝗻𝗻𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟲𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗜𝗗𝗘𝗣𝗘𝗦La 𝟲𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗲́𝘀𝗲𝗮𝘂 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝗮𝗯𝗹𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗣𝗿𝗶𝘃𝗲́𝘀 𝗱’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗦𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 (𝗥𝗜𝗗𝗘𝗣𝗘𝗦) 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮̀ 𝗕𝗮𝗺𝗮𝗸𝗼, 𝗮𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶, 𝗱𝘂 𝟭𝟰 𝗮𝘂 𝟭𝟳 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱. Cette rencontre a constitué une étape importante pour l’Enseignement supérieur privé africain. Le 17 avril 2025, le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Pr Bouréma KANSAYE, a présidé la cérémonie d’ouverture de ces assises, en présence du Secrétaire Général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), Pr Souleymane KONATÉ. À cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES et le Ministre ont chacun pris la parole pour livrer, respectivement, une allocution de circonstance et le discours d’ouverture.Dans son allocution, et dans un contexte porteur de renouveau, Pr Souleymane KONATÉ a salué la relance du RIDEPES, qu’il a qualifié de levier important de l’intégration académique africaine. Il a également exprimé sa reconnaissance aux autorités maliennes pour leur engagement constant en faveur du CAMES.Rappelant que le RIDEPES est né en 2014 sous l’impulsion du CAMES, le Secrétaire Général a rendu un vibrant hommage à feu Pr Bertrand MBATCHI, son prédécesseur, pour avoir posé les fondations de ce réseau qui fédère aujourd’hui les établissements privés des 19 États membres du CAMES. Il a invité les membres de ce réseau à s’approprier pleinement les Programmes du CAMES, notamment le PRED, tout en les encourageant à contribuer à la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024–2028. Le Pr KONATÉ a conclu son intervention en soulignant la complémentarité entre les établissements publics et privés, réaffirmant que le CAMES œuvre au service de l’ensemble des Institutions d’Enseignement Supérieur et de Recherche (IESR).Dans son discours d’ouverture officiel de la session, Pr Bouréma KANSAYE a donné le ton de l’événement en insistant sur l’unité et l’ambition collective, illustrées dès l’entame de son propos par l’adage « Seul, on va vite. Ensemble, on va loin ». www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-invite-dhonneur-de-la-6eme-rencontre-du-ridepes/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶A Bamako, dans le cadre de la cérémonie d’ouverture de la 6ème Rencontre du RIDEPES, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a profité de l’occasion pour rendre une visite de courtoisie au Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Professeur Bouréma KANSAYE, dans la matinée du 17 𝒂𝒗𝒓𝒊𝒍 2025. Il était accompagné du Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat.Cette audience a principalement porté sur la présentation des civilités du CAMES au Ministre, et le renforcement de la coopération entre le CAMES et le Mali. Elle a été l’occasion pour le Professeur Souleymane KONATÉ d’exprimer sa profonde reconnaissance envers les autorités maliennes pour leur soutien constant au CAMES. Ce soutien se manifeste notamment par l’accueil de la rencontre du RIDEPES, seulement cinq mois après avoir abrité au Mali la 39ème session du Programme de Reconnaissance et d’Équivalence des Diplômes (PRED) couplée à un atelier majeur de formation en Assurance Qualité. Enfin, Pr Souleymane KONATÉ a salué la décision prise par le Ministre, selon laquelle le Mali ne reconnaîtra que les promotions par le CAMES ou par la voie nationale, des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Du fait de cette décision, aucune autre évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs, entreprise par d’autres organismes que le CAMES et l’État Malien, ne sera reconnue par le Mali.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-a-ete-recu-en-audience-par-le-ministre-de-lenseign... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲́ 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲𝘂𝘅𝗶𝗲̀𝗺𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝗶𝗳 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗻𝗶𝘁𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗛𝗔𝗤𝗔𝗔𝟯 𝗮̀ 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́𝗟𝗲 𝟵 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗹’𝗛𝗼̂𝘁𝗲𝗹 𝗛𝗶𝗹𝘁𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́, le Directeur des Programmes du CAMES en charge de la Recherche, de l’Innovation et du Partenariat, Pr Saturnin ENZONGA YOCA, a participé à la deuxième réunion du Conseil consultatif de l’Initiative HAQAA3 (Harmonisation, Assurance Qualité et Accréditation de l’Enseignement Supérieur Africain, phase 3, 2023-2028). Il y représentait le CAMES qui fait partie de la structure de gouvernance de cette Initiative, en tant que membre du Comité de pilotage des partenaires stratégiques.La réunion visait à faire le point sur les avancées de l’Initiative HAQAA3, à formuler des orientations stratégiques pour son évolution, et à explorer les synergies possibles entre les partenaires. Après la présentation des avancées de HAQAA3, les échanges se sont structurés autour de trois blocs thématiques, chacun explorant les contributions actuelles des partenaires ainsi que les perspectives de collaboration en vue d’atteindre des objectifs communs. Il s’agissait notamment : (i) des données pour les politiques publiques et l’impact, (ii) des outils pour l’harmonisation et le renforcement de la confiance, (iii) des partenariats pour aujourd’hui et demain.www.lecames.org/le-cames-a-participe-a-la-deuxieme-reunion-du-conseil-consultatif-de-linitiative-... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮 𝗽𝗿𝗶𝘀 𝗽𝗮𝗿𝘁 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗭𝗟𝗘𝗖𝗔𝗙Le Secrétaire Général du CAMES a été représenté par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes du CAMES en charge de la Recherche, de l’Innovation et du Partenariat, à la toute première conférence dédiée à la mise à profit de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf) pour favoriser l’intégration de l’Enseignement supérieur. Cette importante rencontre, tenue, 𝗹𝗲𝘀 𝟳 𝗲𝘁 𝟴 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗥𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻 (𝗜𝗥𝗜𝗖) 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱𝗲́ 𝗜𝗜, a réuni des Décideurs politiques, des Responsables universitaires, des Chercheurs et des Partenaires au développement venus d’Afrique et d’Europe. Co-organisée par l’Association OBREAL Global, l’Université Panafricaine et l’Association des Universités Africaines, cette rencontre a eu pour thème : « 𝙏𝙞𝙧𝙚𝙧 𝙥𝙖𝙧𝙩𝙞 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙕𝙤𝙣𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙞𝙗𝙧𝙚-𝙚́𝙘𝙝𝙖𝙣𝙜𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙞𝙣𝙚𝙣𝙩𝙖𝙡𝙚 𝙖𝙛𝙧𝙞𝙘𝙖𝙞𝙣𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡’𝙞𝙣𝙩𝙚́𝙜𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡’𝙀𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙪𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙪𝙧 ». Elle a constitué une étape déterminante dans le rapprochement entre l’intégration économique africaine et les ambitions du continent en matière d’Enseignement supérieur.Le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗘𝗡𝗭𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗬𝗢𝗖𝗔 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗹𝗲 𝗳𝗮𝗰𝗶𝗹𝗶𝘁𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗮𝗻𝗲𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝘀𝗰𝘂𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀, à savoir : le rôle de l’éducation dans la promotion de la ZLECAf ; et les enjeux de l’intégration de l’Enseignement supérieur à l’échelle continentale et régionale en Afrique.www.lecames.org/le-cames-a-pris-part-a-la-conference-sur-lenseignement-superieur-dans-la-zlecaf/ ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗧𝗦 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝘂 𝗣𝗿 𝗠𝗔𝗟𝗔𝗠 𝗠𝗔𝗠𝗔𝗡 𝗡𝗮𝗳𝗶𝗼𝘂 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗻Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre l’interview du Pr MALAM MAMAN Nafiou Maman, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 ( 𝗖𝗧𝗦-𝗦𝗘𝗚).𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄.Nous avons pris la présidence il y a un an et, concrètement, j’ai participé à deux réunions. La première, qui s’est tenue en présentiel à Ouagadougou juste après notre élection, a été l’occasion pour nous de nous approprier pleinement la mission confiée : diriger les travaux, utiliser le Guide d’évaluation des Enseignants-chercheurs et Chercheurs dans le cadre des CCI, ainsi que le Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES, afin de mener efficacement les activités des CTS. Par la suite, nous nous sommes retrouvés en visioconférence avec nos collègues, lors de la 46ème session des CCI, consacrée à l’évaluation des dossiers. Le CTS SEG a enregistré un total de 122 dossiers, qui ont tous été examinés. Le taux de réussite s’est élevé à 66,39 %, soit 81 candidats inscrits, tandis que 33,61 %, soit 41 personnes, ont été ajournées. Nous avons présenté ces résultats lors de la réunion du CCG tenue au Gabon en juillet 2024. Nous y avons exposé les raisons des échecs enregistrés. Le CCG a bien compris notre analyse et a validé les résultats.Nous allons œuvrer, avec l’appui des collègues des différents pays, à sensibiliser tous ceux qui ont, ou auront, à évaluer des dossiers dans le cadre des CCI, à l’importance du strict respect du Guide. Nous voudrions aussi travailler avec les collègues, afin qu’ils s’approprient la méthode d’indexation et surtout de la preuve d’indexation. 𝗣𝗿 𝗠𝗔𝗟𝗔𝗠 𝗠𝗔𝗠𝗔𝗡 𝗡𝗮𝗳𝗶𝗼𝘂 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗻. ... See MoreSee Less
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