Interview du Professeur Mohammadou MERAWA, auteur de l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES »


Pr Mohammadou MEREWA lors de son intervention au 39e session du Conseil des Ministres du CAMES

« Engagées dans le processus de mise en œuvre du système académique Licence-Master-Doctorat (LMD) depuis plus d’une dizaine d’années, les institutions d’enseignement supérieur et de recherche de l’espace CAMES, rencontrent comme chacun sait, des difficultés de différents ordres qui peuvent se résumer à un déficit de création d’un environnement propice, toutes dimensions confondues pour sa mise en œuvre. Cet environnement propice dans chacun des pays membres est tributaire de la mobilisation des ressources financières nécessaires pour mettre en œuvre les différentes activités qui auront vocation d’améliorer la gouvernance de ces institutions, la qualité et la pertinence de l’offre de formation supérieure par rapport aux besoins du monde socio-économique, mais également de renforcer les capacités de tous les acteurs de ce sous-secteur si stratégique pour le développement des pays africains », Pr Mohammadou MEREWA.


Question 1 : Professeur pouvez-vous, vous présenter à nos lecteurs ?

Je suis Professeur des Universités, Directeur de Département de Chimie de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour en France. Au cours de l’année académique 2003/2004 au moment où les institutions universitaires françaises ont adopté le système académique Licence-Master-Doctorat (LMD), j’ai activement participé au processus de sa mise en œuvre au sein de mon département et toutes les entités universitaires de cette université étaient dans cette même dynamique.

Très vite nous avons compris que le système LMD dépasserait largement les frontières européennes, compte tenu de ces objectifs, en particulier ceux orientés vers l’internationalisation des diplômes, la mobilité des apprenants et surtout une véritable reconfiguration des offres de formation pour les mettre en cohérence avec les besoins du marché de l’emploi. Mon vœu le plus cher était de pouvoir apporter ma modeste contribution au déploiement du LMD dans les pays africains membres de l’espace CAMES.

Ce vœu a été exaucé d’abord de 2005 à 2010 en République du Bénin. Comme vous le savez, mon arrivée au Bénin a coïncidé avec l’initiative très opportune prise par les institutions d’enseignement supérieur de l’Afrique de l’Ouest de créer le Réseau pour l’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique de l’Ouest (REESAO).

J’ai, par le biais du projet d’appui à l’enseignement supérieur dont j’avais la charge en tant que Chef de projet contribué à l’organisation de plusieurs séminaires sous-régionaux de définition des standards du LMD de l’espace REESAO, mais également des séminaires d’appropriation des fondamentaux de ce système académique et de reconfiguration des offres de formation pour les huit (8) domaines de formation identifiés dans l’espace REESAO.

De novembre 2010 à ce jour, je suis en Côte d’Ivoire avec trois missions, celle de Conseiller du Ministre ivoirien de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, de Chef de projet du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) avec dans ce projet un accent particulier relatif à la création d’un environnement propice à la mise en œuvre du LMD en Côte d’Ivoire et enfin, une mission d’assistance technique auprès des institutions ivoiriennes d’enseignement supérieur et de recherche dans ce processus d’appropriation du système LMD avec ses dimensions de formation des formateurs et d’accompagnement à la révision des curricula pour les mettre au format LMD et en adéquation avec les besoins du monde socio-économique.

Question 2 : Pr Mohammadou MERAWA vous avez produit, en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, un ouvrage intitulé « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Pouvez-vous nous présenter brièvement cet ouvrage ? Comment êtes-vous arrivé à le réaliser? 

Avant de répondre à votre question, permettez d’abord que je rende un hommage au feu Pr Bertrand MBATCHI. J’ai eu la chance de le connaître et de travailler avec lui à son initiative et je retiens de lui, que dis-je nous devons retenir de lui que c’était un homme très engagé et qui a joué un rôle déterminant dans la rénovation du CAMES. Il avait une très haute idée de cette institution régionale d’intégration par excellence et n’a ménagé aucun effort pour la hisser au rang des grandes institutions académiques internationales. La contribution du Pr MBATCHI à la rénovation du CAMES est tout simplement inestimable.

S’agissant de votre question, je voudrais d’abord rappeler que ce nouvel ouvrage est la suite logique du premier intitulé « Construction du nouvel espace africain et malgache de l’Enseignement supérieur dans le contexte de la mise en place du système LMD dans les établissements d’enseignement supérieur de l’espace CAMES », que j’avais rédigé en 2007 en collaboration avec feu le Pr Fulbert AMOUSSOUGA GERO, pour lequel je voudrais également avec votre permission avoir une pensée pieuse. Pour ce premier ouvrage qui a fait l’objet d’un large partage au niveau des institutions académiques de l’espace CAMES, car il a été reproduit à plus de 20 000 exemplaires et mis en ligne sur le site internet du CAMES, l’objectif était de définir les fondamentaux et les standards du LMD au niveau de l’espace CAMES avec en perspective de poser les jalons d’un référentiel d’évaluation et d’accréditation de nouvelles offres de formation dans le cadre du système LMD.

Pour rendre à César ce qui est à César, je précise qu’après plus de dix (10) années de mise en œuvre du système LMD, l’initiative de proposer la suite au premier ouvrage avec des objectifs différents a été prise par le Pr. MBATCHI et c’était un honneur pour moi, d’avoir été sollicité à nouveau par le CAMES pour la rédaction de ce nouvel ouvrage. Après chaque chapitre livré, le Pr MBATCHI a marqué un intérêt tout particulier en y apportant ses contributions, toujours très pertinentes. Il convient par conséquent de rappeler que ce deuxième ouvrage, comme le premier répond à une commande spécifique du CAMES.

« Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES », l’intitulé évocateur de cet ouvrage en soi traduit d’une certaine façon l’état actuel de la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES avec ses forces, mais surtout ses faiblesses. Il était donc opportun dans un premier temps, de faire après un rappel des fondamentaux, l’état des lieux et le diagnostic de la mise en œuvre de ce système académique dans ses dimensions institutionnelle, académique, mais aussi de renforcement des capacités. C’est tout le sens donné à la structuration de l’ouvrage. Les défis à relever pour réussir la mise en œuvre du système LMD dans les institutions d’enseignement supérieur et de recherche sont nombreux. Un chapitre y a été consacré avec des recommandations à l’attention des différentes parties-prenantes afin de s’engager dans une nouvelle dynamique permettant d’atteindre les objectifs visés. Le véritable point d’ancrage de cet ouvrage est le chapitre portant sur les nouvelles méthodes pédagogiques consubstantielles de la mise en œuvre réussie du système LMD.

En effet, nous savons tous que pour réussir la mise en œuvre de ce système académique international il faut un préalable, celui d’avoir un environnement propice décliné dans l’ouvrage ainsi que l’appropriation des fondamentaux du LMD par tous les acteurs du système académique de l’espace CAMES, rappelés également dans l’ouvrage, mais la véritable réussite du LMD viendra surtout dans sa phase pratique de mise en œuvre d’un véritable changement de paradigme dans la manière d’enseigner, d’évaluer et d’apprendre pour les apprenants. La bonne appropriation par les enseignants-chercheurs des nouvelles méthodes pédagogiques est donc déterminante et nécessite des formations à l’attention des différents acteurs de la communauté universitaire. Ces méthodes sont explicitées dans l’ouvrage. Enfin, à juste titre, tenant compte du constat que la plupart des enseignants-chercheurs ne connaissent pas véritablement cette institution d’intégration régionale qu’est le CAMES, il a été proposé de lui consacrer le dernier chapitre, pour décliner ses missions et ses objectifs.

Question 3 : Quelles seraient alors les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans l’application du LMD ? Comment y remédier?

Les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES sont multiples et multiformes. Il serait illusoire de vouloir toutes les décliner dans cette interview. Pour l’essentiel on retiendra surtout que, d’une façon générale, les conditions de sa mise en œuvre efficiente n’ont pas été réunies. Nous savons tous que le LMD, déclinaison académique de la mondialisation a la vocation de promouvoir l’internationalisation des diplômes du supérieur, facilitant de fait, la mobilité des apprenants au niveau international. Le préalable à cette internationalisation des diplômes est bien l’harmonisation de l’offre de formation supérieure. Ce processus d’harmonisation doit impérativement s’accompagner d’une véritable révision des curricula en liaison avec les acteurs du monde socio-économique pour les adapter aux besoins du marché de l’emploi. Pour ne pas en dire davantage, on comprend aisément que l’enjeu majeur pour les pays membres du CAMES dont les diplômés du supérieur sont confrontés au fléau que constitue le chômage, devenu quasiment endémique dans certains pays est bien celui de l’amélioration de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure. Nous savons tous également que la qualité a un coût.

Le LMD ne peut pas se mettre en œuvre efficacement à coût constant. Malgré les ressources financières importantes mobilisées par certains États membres du CAMES, qui se sont engagés à offrir un enseignement supérieur et de recherche de qualité à leurs citoyens, par rapport aux besoins réels exprimés, les ressources financières mobilisées sont insuffisantes. Parler des besoins réels exprimés, suppose qu’un état des lieux de l’ancien système ait été fait et comme vous le savez, ça n’a pas été le cas pour la plupart des pays. Le LMD a été mis en œuvre sans ce préalable et nous connaissons également les conséquences notamment une appropriation des fondamentaux plus de dix (10) ans après qui varie d’un pays à un autre, même au sein du même pays d’un établissement à un autre et très souvent au sein du même établissement d’une entité universitaire à une autre.

La non-appropriation des objectifs de ce système académique a très souvent conduit dans la plupart des pays à une simple transposition de l’ancien système dans un format LMD avec des parcours de formation organisés en semestres avec des Unités d’Enseignement (UE) auxquelles des Crédits d’Évaluation Capitalisables et Transférables (CECT) sont affectées. Les objectifs de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation n’ont été pris en compte que de façon marginale par un nombre très restreint d’établissements des pays membres du CAMES alors que tous les efforts auraient dû être déployés pour atteindre ces deux objectifs en étroite collaboration avec le secteur productif, qu’il soit public ou privé. La dimension renforcement des capacités n’a pas non plus fait l’objet d’une attention à la mesure de son importance dans le dispositif pour le rendre efficient.

Question 4 : Application des préceptes du LMD, n’est-ce pas un luxe quand nos universités ont du mal à joindre les deux bouts en matière de gestion des effectifs?

Cette question pertinente nous ramène une fois de plus à celles de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure, donc du coût de la mise en œuvre réussie du LMD dans le contexte de massification des effectifs d’apprenants que l’on connaît. Elle a il faut bien le comprendre, une dimension stratégique et politique pour chacun des pays membres du CAMES. En d’autres termes, considérant que le nombre de plus en plus important d’étudiants qui aspirent à poursuivre les études supérieures, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques représente un atout pour ces pays et non un handicap, les États africains sont-ils prêts à mobiliser les ressources financières nécessaires pour relever le défi de la création d’une masse critique de ressources humaines compétentes et de qualité pour engager sans tarder leur processus d’industrialisation avec pour objectif la transformation en Afrique de son formidable potentiel de ressources minières et agricoles ? Nous comprenons tout de suite que la réponse à cette question permettra ou non de créer cet environnement propice à la mise en œuvre du système LMD dans chaque pays pour que les institutions d’enseignement supérieur et de recherche soient véritablement pourvoyeuses de ces ressources humaines. Il s’agit bien évidemment d’une décision stratégique et politique, car il y va de l’avenir de ce continent, riche de sa jeunesse, dont les pays aspirent à un développement endogène et durable, conséquence de la transformation industrielle sur place de son énorme potentiel de ressources minières et agricoles.

La bonne appropriation des méthodes pédagogiques par les enseignants-chercheurs avec une part belle faite à l’intégration du numérique éducatif, apporte également des éléments de réponses à la gestion des effectifs de plus en plus importants d’étudiants dans les universités. Cet environnement numérique intégré, support d’une mise en œuvre réussie du LMD a également un coût et nous le savons tous.

Question 5 : Revenons à une question fondamentale. Vous intitulez l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Est-ce que cela veut dire que vous donnez une recette pour chacune des parties-prenantes du LMD dans les universités?

Vous savez, la réussite de la mise en œuvre du LMD n’est pas uniquement de la responsabilité des acteurs universitaires et je viens d’en parler. Cet ouvrage qui a modestement vocation de contribuer à améliorer l’appropriation des différentes dispositions principales et des fondamentaux du LMD, après un état des lieux et un diagnostic de plus de dix (10) ans de mise en œuvre, se présente comme une feuille de route avec des recommandations pratiques et pragmatiques à l’attention de toutes les parties-prenantes au-delà de l’espace académique. Mettre en œuvre toutes ces recommandations présentées aux membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES le 1er mars 2022 à Conakry (République de Guinée) et aux Ministres membres du Conseil des Ministres du CAMES le 26 mai 2022 à Kinshasa (République Démocratique du Congo), permettra assurément de réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES. C’est l’objectif principal de cet ouvrage.

Question 6 : Votre mot de fin Professeur Mohammadou MERAWA?

Je voudrais d’abord vous remercier de m’avoir donné l’opportunité d’échanger avec vous sur cette problématique très importante de la mise en œuvre du système LMD dans les pays membres du CAMES.

L’enjeu est important et même déterminant pour l’avenir de la jeunesse africaine et corrélativement pour l’avenir de tous ces pays. Je voudrais rappeler qu’à tort, sans un environnement propice, le système LMD est considéré par beaucoup comme la panacée, dont la mise en œuvre devrait résoudre tous les problèmes de fond, auxquels sont confrontées actuellement les institutions d’enseignement supérieur et de recherche. Cette mauvaise appréciation des objectifs principaux du LMD a conduit quelques fois jusqu’à une véritable désinformation vis-à-vis de ce système académique.

Je voudrais également rappeler que la question du sous-financement du sous-secteur est la difficulté majeure, pour ne pas dire la principale, car, toutes les difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre du LMD n’en sont que des conséquences.

J’ai la ferme conviction que le véritable espoir naîtra de la réelle prise de conscience par les gouvernants du rôle qu’a joué ce sous-secteur, comme vecteur multiplicateur de croissance dans les pays émergents. Le véritable espoir viendra également du rôle que devront jouer les différents acteurs du système éducatif, engagés collectivement pour la rénovation effective du sous-secteur dans ses dimensions institutionnelle, académique et de recherche et de leur prise de conscience qu’ils ont une responsabilité historique à assumer. Le véritable espoir viendra enfin de la capacité des États africains, riches de leur jeunesse, riches de leurs ressources agricoles, riches de leurs ressources minières, de relever collectivement le défi de l’industrialisation de ce continent qui passe inéluctablement par la constitution d’une masse critique de ressources humaines qualifiées, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques, afin qu’ils soient véritablement maîtres de leur destin.

Pour finir, je voudrais que nous prenions tous conscience que le CAMES par ses objectifs et ses missions que tous les enseignants-chercheurs, chercheurs et gouvernants des pays membres gagneraient à bien connaître, mais aussi la pertinence de son positionnement comme l’organe de régulation de l’enseignement supérieur et de la recherche est une chance pour tous ses pays membres. Je mesure à sa juste valeur l’importance que le CAMES accorde à la réussite de la mise en œuvre du système LMD dans tous les pays membres et ce fut un honneur pour moi par cet ouvrage d’y apporter ma modeste contribution.


Lors de la 39e session du Conseil des Ministres du CAMES, tenue du 23 au 27 mai 2022, à Kinshasa en République démocratique du Congo, l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES » a été présenté par son auteur, le Pr Mohammadou MEREWA, Conseiller du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique en Côte d’Ivoire. Cet ouvrage, produit en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, dresse un diagnostic sans complaisance de la mise en œuvre du LMD dans les différents pays de l’espace CAMES.

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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝗼𝗶𝘁 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗱𝗲 𝗕𝗮𝗺𝗯𝗲𝘆 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗭𝗶𝗴𝘂𝗶𝗻𝗰𝗵𝗼𝗿Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a reçu en audience, le 17 juin 2025, Professeur Alassane DIEDHIOU, Recteur de l’Université de Ziguinchor et Professeur Ibrahima FAYE, Recteur de l’Université de Bambey, dans le cadre de la visite officielle de ces Responsables d’Institution au CAMES.Ces deux Responsables d’Institutions, ont tenu à effectuer cette mission spéciale à Ouagadougou afin de rencontrer l’équipe dirigeante du CAMES. Il s’agissait en effet, pour les deux Recteurs des Universités de Ziguinchor et de Bambey, d’échanger avec l’Institution régionale que constitue le CAMES sur des pistes de collaboration et de travail au niveau régional pour leurs Institutions, s’imprégner du fonctionnement du CAMES et établir un contact plus rapproché avec son équipe dirigeante.Le Secrétaire Général du CAMES s’est dit honoré par cette visite, qui fait suite à celles récentes des Recteurs de l’UCAD et de l’USSEIN, illustrant ainsi tout l’engagement des Universités sénégalaises auprès du CAMES et pour l’excellence dans l’Enseignement supérieur et la Recherche.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-recoit-en-audience-les-recteurs-des-universites-de... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗗𝗼𝘀𝘀𝗼 𝗮𝘂 𝗡𝗶𝗴𝗲𝗿 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Professeur Zibo GARBA a été reçu, le mercredi 17 juin 2025 en audience par le Secrétaire Général du CAMES en présence du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, des Comités Consultatifs Interafricains et de l’Ordre International des Palmes Académiques, Pr Ali DOUMMA.Il s’est agi pour Professeur GARBA de présenter ses civilités au Secrétaire Général du CAMES et de discuter des activités de son Université avec l’équipe dirigeante du CAMES. Il a également saisi cette occasion pour transmettre ses chaleureuses félicitations à l’équipe dirigeante pour les réalisations et la bonne mise en œuvre des Programmes de l’Institution, cela au bénéfice du monde académique et scientifique de l’espace CAMES. www.lecames.org/le-recteur-de-luniversite-de-dosso-au-niger-recu-au-cames/ ... See MoreSee Less
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𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗲𝘅𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝘃𝗲 : 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗘́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗗𝗲́𝗼𝗻𝘁𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Président de la Commission d’Éthique et de Déontologie (CED) du CAMES, Professeur Habibou ABARCHI, a été l’invité de la rédaction du Lundi CAMES.Dans cette interview, il revient sur les attributions et les missions essentielles de la Commission d’Éthique et de Déontologie du CAMES. Il y expose le mode de fonctionnement de l’Instance, rappelle certaines dispositions du Code d’Éthique et de Déontologie, et précise les sanctions applicables en cas de manquement aux règles établies. Les modalités de saisine de la Commission, les principales actions menées à ce jour, ainsi que les perspectives d’avenir de l’organe ont également été abordées au cours de cet échange riche et instructif.𝗘𝘅𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄𝘓𝘢 𝘊𝘰𝘮𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘌́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘋𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘢 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘧𝘰𝘯𝘥𝘢𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘴𝘵𝘳𝘪𝘤𝘵 𝘳𝘦𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦̀𝘨𝘭𝘦𝘴 𝘥’𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘢𝘱𝘱𝘭𝘪𝘤𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘢𝘶𝘹 𝘪𝘯𝘴𝘵𝘢𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘲𝘶’𝘢𝘶𝘹 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘰𝘯𝘯𝘦𝘭𝘴 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘢𝘪𝘯𝘴𝘪 𝘲𝘶’𝘢̀ 𝘭’𝘦𝘯𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘪𝘱𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘦́𝘳𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘗𝘳𝘰𝘨𝘳𝘢𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘭’𝘐𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯.𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦𝘹𝘢𝘮𝘪𝘯𝘦𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘥𝘰𝘴𝘴𝘪𝘦𝘳 𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦́ 𝘢̀ 𝘴𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦, 𝘯𝘰𝘵𝘢𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘦𝘶𝘹 𝘳𝘦𝘭𝘢𝘵𝘪𝘧𝘴 𝘢𝘶𝘹 𝘤𝘢𝘴 𝘱𝘳𝘦́𝘴𝘶𝘮𝘦́𝘴 𝘥𝘦 𝘱𝘭𝘢𝘨𝘪𝘢𝘵, 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘭𝘴𝘪𝘧𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘰𝘶 𝘥’𝘢𝘭𝘵𝘦́𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘥𝘰𝘤𝘶𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘮𝘪𝘴 𝘢𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚. 𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘦́𝘨𝘢𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘢𝘴𝘴𝘶𝘳𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘰𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘵 𝘭𝘢 𝘷𝘶𝘭𝘨𝘢𝘳𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘊𝘰𝘥𝘦 𝘥’𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘰𝘯𝘵𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘪𝘷𝘦 𝘱𝘳𝘦́𝘷𝘦𝘯𝘵𝘪𝘷𝘦.𝘗𝘢𝘳 𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴, 𝘭𝘢 𝘊𝘰𝘮𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘴𝘦 𝘴𝘢𝘪𝘴𝘪𝘳 𝘥’𝘰𝘧𝘧𝘪𝘤𝘦 𝘰𝘶 𝘦̂𝘵𝘳𝘦 𝘴𝘢𝘪𝘴𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘢𝘤𝘵𝘦 𝘰𝘶 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘱𝘳𝘪𝘯𝘤𝘪𝘱𝘦𝘴 𝘦́𝘵𝘩𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘢𝘶𝘹 𝘷𝘢𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘦𝘶𝘵 𝘦𝘵 𝘥𝘦́𝘧𝘦𝘯𝘥 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚.𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗛𝗮𝗯𝗶𝗯𝗼𝘂 𝗔𝗕𝗔𝗥𝗖𝗛𝗜www.youtube.com/watch?v=n4nWQciMBWM ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗣𝗧𝗥 𝗕𝗶𝗼𝗱𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝘁𝗲𝗻𝘂 𝘀𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗖𝗼𝗹𝗹𝗼𝗾𝘂𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 (𝗖𝗦𝗕𝗶𝗼-𝟭)Le premier colloque scientifique du Programme Thématique de Recherche (PTR) Biodiversité du CAMES s’est tenu du 17 au 19 juin 2025 à Thiès (Sénégal). Le thème général du colloque était « 𝘋𝘦́𝘧𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘳𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘣𝘪𝘰𝘥𝘪𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘵𝘦́ 𝘧𝘢𝘤𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘦𝘯𝘫𝘦𝘶𝘹 𝘴𝘦́𝘤𝘶𝘳𝘪𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 ». Il a réuni 242 participants dont 69 en présentiel et 173 en ligne provenant de 9 pays de l’espace CAMES (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Niger, République Démocratique du Congo, Sénégal et Togo), des Comores et de la Suisse. Ce colloque coorganisé par le PTR Biodiversité en collaboration avec l’Université Iba Der THIAM de Thiès au Sénégal, a été placé sous la présidence scientifique du Professeur Etotépé SOGBOHOSSOU.Ce colloque s’est déroulé en cinq principales étapes, avec notamment une cérémonie officielle d’ouverture, une conférence inaugurale et des sessions parallèles, une session plénière pour le fonctionnement du PTR Biodiversité et une cérémonie de clôture.www.lecames.org/le-ptr-biodiversite-du-cames-tenu-son-premier-colloque-scientifique-csbio-1/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝘀𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝘃𝗼𝗶𝗿𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗧𝗵𝗲́𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 – 𝗦𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗔𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗡𝘂𝘁𝗿𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 (𝗣𝗧𝗥-𝗦𝗔𝗡) 𝗲𝗻 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝘂 𝗽𝗮𝗿𝗰 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗯𝗮𝗻𝗰𝗼La section ivoirienne du Programme Thématique de Recherche – Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (PTR-SAN), constituée d’Enseignant.e.s-chercheur.e.s et Chercheur.e.s, a organisé une visite scientifique au parc national du banco située à Abidjan, afin d’analyser ses potentialités pour une intégration efficiente des ressources naturelles dans les systèmes alimentaires durables. Cette activité s’est tenue le jeudi 𝟬𝟱 𝗷𝘂𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟱, elle et a porté sur le thème « 𝘚𝘦́𝘤𝘶𝘳𝘪𝘵𝘦́ 𝘢𝘭𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘣𝘪𝘰𝘥𝘪𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘵𝘦́ : 𝘦𝘹𝘱𝘭𝘰𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦𝘴 𝘢𝘭𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘤 𝘯𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘢𝘭 𝘥𝘶 𝘉𝘢𝘯𝘤𝘰 ».www.lecames.org/la-section-ivoirienne-du-programme-thematique-de-recherche-du-cames-securite-alim... ... See MoreSee Less
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𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 : 𝗖𝗼𝗹𝗹𝗼𝗾𝘂𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗚𝗿𝗼𝘂𝗽𝗲 𝗘́𝘃𝗲𝗶𝗹 𝗖𝗶𝘁𝗼𝘆𝗲𝗻Le Colloque scientifique international du Groupe Éveil Citoyen qui se tiendra les 2 et 3 août avec comme thème « 𝘍𝘰𝘳𝘮𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘏𝘦́𝘳𝘪𝘵𝘢𝘨𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘰𝘥𝘦́𝘭𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 : 𝘭𝘢 𝘲𝘶𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦 𝘭’𝘩𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘪𝘦𝘶𝘹 𝘴𝘦𝘳𝘷𝘪𝘳 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘦́𝘵𝘦́ » sous le parrainage d’un universitaire de la dimension du Professeur Abiola, Professeur Mahouton Norbert Hounkonnou, ancien Président de l’Académie nationale des Sciences, Arts et Lettres du Bénin, ANSALB.Le colloque scientifique international sera bimodal, autour des trois (3) panels suivants : - L’Hommage au Professeur François Adébayo Abiola - L’éveil citoyen, le patriotisme, la dignité et l’éthique comme des valeurs cardinales nécessaires à tout respect et toute considération sociétale - Géopolitique, Gouvernance et développement - Partie culturelle et artistiqueLes propositions de communications orales ou posters sur l’un des axes mentionnés ci-dessus sont attendues pour le 𝟭𝟱 𝗷𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱 𝗮𝘂 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘁𝗮𝗿𝗱.www.lecames.org/appel-a-contributions-colloque-scientifique-international-du-groupe-eveil-citoyen/ ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 𝗥𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗖𝗔𝗗 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗖𝗵𝗲𝗶𝗸𝗵 𝗔𝗻𝘁𝗮 𝗗𝗶𝗼𝗽 𝗱𝗲 𝗗𝗮𝗸𝗮𝗿, 𝗰𝗼𝗻𝗱𝘂𝗶𝘁𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝘀𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗥𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲, 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶𝗼𝘂𝗻𝗲 𝗕𝗮𝗱𝗮𝗿𝗮 𝗞𝗔𝗡𝗗𝗝𝗜 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗮̀ 𝘀𝗲𝘀 𝗰𝗼̂𝘁𝗲́𝘀 𝗠. 𝗧𝗮𝗳𝘀𝗶𝗿 𝗗𝗜𝗔𝗧𝗧𝗔𝗥𝗔, 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲́ 𝗱𝗲 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗨𝗖𝗔𝗗, 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗰̧𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, 𝗹𝗲 𝟭𝟯 𝗷𝘂𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟱.En effet, après sa récente nomination à la tête de l’UCAD, il était important pour le Recteur d’effectuer cette mission spéciale à Ouagadougou afin d’y rencontrer l’équipe dirigeante du Secrétariat général du CAMES. Le Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, des Comités Consultatifs Interafricains et de l’Ordre International des Palmes Académiques, Pr Ali DOUMMA ; ainsi que le Directeur des Programmes en charge de l’Assurance qualité (AQ), de la Reconnaissance et Équivalence des Diplômes (PRED) et des Programmes thématiques de recherche (PTR), Pr Saturnin ENZONGA YOCA, étaient également présents à cette audience. Différents points ont été abordés le long des discussions. Le Secrétaire Général du CAMES s’est dit honoré par cette visite spéciale, à seulement trois mois de la prise de fonction du Recteur, signe de l’intérêt manifeste de l’UCAD à l’égard du CAMES. Le Recteur de l’UCAD, a quant à lui, donné l’objet de cette visite, à savoir une imprégnation au sein du siège du CAMES et des échanges sur certains sujets d’intérêt commun, dont l’organisation du prochain Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Economiques et de Gestion qui se tiendra au Sénégal. La participation de l’UCAD au Comité Consultatif Général du CAMES a également été évoquée.www.lecames.org/le-nouveau-recteur-de-lucad-recu-en-audience-par-le-secretaire-general-du-cames/ ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝗲-𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝘀𝗲 𝗺𝗮𝗹𝗴𝗮𝗰𝗵𝗲 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, 𝗮 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲, 𝗹𝗲 𝟭𝟮 𝗷𝘂𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝐏𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐞𝐮𝐫𝗲 𝗕𝗮𝗵𝗼𝗹𝘆 𝗥𝗢𝗕𝗜𝗝𝗔𝗢𝗡𝗔 𝗥𝗔𝗛𝗘𝗟𝗜𝗩𝗢𝗟𝗢𝗟𝗢𝗡𝗜𝗔𝗜𝗡𝗔, 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝗲-𝗖𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝘀𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗣𝗼𝗹𝘆𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗱’𝗔𝗻𝘁𝗮𝗻𝗮𝗻𝗮𝗿𝗶𝘃𝗼 𝗮̀ 𝗠𝗮𝗱𝗮𝗴𝗮𝘀𝗰𝗮𝗿.De passage à Ouagadougou dans le cadre des Doctoriales 2025, événement scientifique organisé par l’Université Joseph KI-ZERBO, Professeure ROBIJAONA RAHELIVOLOLONIAINA a tenu à effectuer une visite de courtoisie et d’échanges au Secrétariat général du CAMES.Cette entrevue s’est déroulée en présence du Directeur des Programmes en charge des CCI et des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA et de deux Enseignants-chercheurs du Togo, accompagnant Professeure ROBIJAONA RAHELIVOLOLONIAINA. Les discussions de cette visite ont porté sur diverses questions d’ordre général dont la participation de Madagascar aux Programmes du CAMES à travers ses Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Le Secrétaire Général s’est dit heureux de cette visite et de la considération manifestée pour l’Institution commune. Il a par ailleurs, invité la Professeure à œuvrer, à son niveau, pour une participation active des Enseignants-chercheurs et Chercheurs malgaches dans les activités du CAMES. Professeure ROBIJAONA RAHELIVOLOLONIAINA, a par la suite, affirmé sa volonté de « porter la casquette d’ambassadrice du CAMES » dans son pays.“𝐶𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑎̀ 𝑂𝑢𝑎𝑔𝑎𝑑𝑜𝑢𝑔𝑜𝑢 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑜𝑢𝑏𝑙𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑣𝑖𝑒”, a-t-elle indiqué pour exprimer sa satisfaction globale.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-dune-enseignante-chercheuse-malgache-au-cames/ ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗗𝗼𝗰𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗝𝗼𝘀𝗲𝗽𝗵 𝗞𝗜-𝗭𝗘𝗥𝗕𝗢: 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗽𝗿𝗼𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗶𝗻𝗮𝘂𝗴𝘂𝗿𝗮𝗹𝗲𝗟𝗲𝘀 𝗗𝗼𝗰𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟱 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗝𝗼𝘀𝗲𝗽𝗵 𝗞𝗜-𝗭𝗘𝗥𝗕𝗢 (𝗨𝗝𝗞𝗭) 𝘀𝗲 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝟭𝟭 𝗮𝘂 𝟭𝟯 𝗷𝘂𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗢𝘂𝗮𝗴𝗮𝗱𝗼𝘂𝗴𝗼𝘂, 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝘁𝗿𝗼𝗻𝗮𝗴𝗲 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗝𝗲𝗮𝗻 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗼𝗶𝘀 𝗦𝗶𝗹𝗮𝘀 𝗞𝗢𝗕𝗜𝗔𝗡𝗘́, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗝𝗞𝗭, 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻𝗮𝗴𝗲 𝗱𝘂 𝗗𝗼𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 (𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲) 𝗣𝗮𝗰𝗼 𝗦𝗘́𝗥𝗘́𝗠𝗘́, 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝗰𝗮𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗲 𝗡𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗱𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗟𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 (𝗔𝗡𝗦𝗔𝗟 𝗕𝗙).L’objectif général de ces Doctoriales 2025 était de renforcer les capacités des étudiants dans la conception et la rédaction scientifique. Il s’est donc agi pour les participants, d’appréhender la contribution à l’avancée de la science à travers leurs projets de thèse, renforcer leurs capacités en rédaction et présentation de thèses, contribuer à la collaboration entre spécialités scientifiques et améliorer la conduite de travaux de Recherche doctorale. Cet évènement scientifique d’envergure a vu la participation de doctorants, d’Enseignants-chercheurs, de Représentants du secteur privé mais également d’invités venus du Mali, du Niger, du Bénin et de Madagascar.A l’occasion de cet évènement académique de portée régionale, le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, a été invité à prononcer la conférence inaugurale sur le thème même des Doctoriales : « 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗿𝗶𝘀𝗲 : 𝗘𝗻𝗷𝗲𝘂𝘅 𝗲𝘁 𝗣𝗲𝗿𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 ».www.lecames.org/doctoriales-2025-de-luniversite-joseph-ki-zerbo-le-secretaire-general-du-cames-pr... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗮 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗘𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦𝗘𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝘂𝘅 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗘𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗾𝘂𝗶 𝘀’𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝟭𝟵 𝗮𝘂 𝟮𝟯 𝗺𝗮𝗶 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗘𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝘀 𝗽𝗮𝘆𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗿𝗲𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹𝗹𝗶𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗱𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗟𝘂𝗻𝗱𝗶 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.Leurs attentes de départ, leurs recommandations ou encore leurs avis sur les points soumis à leur attention ont constitué le menu de ces interviews.Pour ce numéro, nous vous invitons à suivre les interviews de :𝗣𝗿 𝗝𝗮𝗰𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗼𝗶𝘀 𝗠𝗔𝗩𝗢𝗨𝗡𝗚𝗢𝗨, Recteur de l’Université Internationale de Libreville (UIL), Expert du Gabon,𝗣𝗿 𝗔𝗯𝗱𝗼𝘂𝗹 𝗔𝘇𝗶𝘇 𝗗𝗜𝗢𝗨𝗙, Directeur Général de l’Enseignement supérieur, Expert du Sénégal,𝗣𝗿 𝗩𝗮𝗳𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗕𝗜𝗔, Directeur Général de l’Enseignement supérieur, Expert de la Côte d’Ivoire,𝗣𝗿 𝗕𝗲𝗿𝗻𝗮𝗿𝗱 𝗠𝗣𝗔𝗦𝗦𝗜 𝗠𝗔𝗕𝗜𝗔𝗟𝗔, Conseiller en Enseignement supérieur de la Ministre de l’Enseignement supérieur, Expert du Congo,𝗣𝗿 𝗞𝗼𝗸𝗼𝘂 𝗧𝗖𝗛𝗔𝗥𝗜𝗘, Président de l’Université de Kara, Expert du Togo.www.lecames.org/la-parole-aux-experts-de-la-42eme-session-du-conseil-des-ministres-du-cames-2/youtu.be/3CO8OsFfR00?feature=shared ... See MoreSee Less
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