Interview du Professeur Mohammadou MERAWA, auteur de l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES »


Pr Mohammadou MEREWA lors de son intervention au 39e session du Conseil des Ministres du CAMES

« Engagées dans le processus de mise en œuvre du système académique Licence-Master-Doctorat (LMD) depuis plus d’une dizaine d’années, les institutions d’enseignement supérieur et de recherche de l’espace CAMES, rencontrent comme chacun sait, des difficultés de différents ordres qui peuvent se résumer à un déficit de création d’un environnement propice, toutes dimensions confondues pour sa mise en œuvre. Cet environnement propice dans chacun des pays membres est tributaire de la mobilisation des ressources financières nécessaires pour mettre en œuvre les différentes activités qui auront vocation d’améliorer la gouvernance de ces institutions, la qualité et la pertinence de l’offre de formation supérieure par rapport aux besoins du monde socio-économique, mais également de renforcer les capacités de tous les acteurs de ce sous-secteur si stratégique pour le développement des pays africains », Pr Mohammadou MEREWA.


Question 1 : Professeur pouvez-vous, vous présenter à nos lecteurs ?

Je suis Professeur des Universités, Directeur de Département de Chimie de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour en France. Au cours de l’année académique 2003/2004 au moment où les institutions universitaires françaises ont adopté le système académique Licence-Master-Doctorat (LMD), j’ai activement participé au processus de sa mise en œuvre au sein de mon département et toutes les entités universitaires de cette université étaient dans cette même dynamique.

Très vite nous avons compris que le système LMD dépasserait largement les frontières européennes, compte tenu de ces objectifs, en particulier ceux orientés vers l’internationalisation des diplômes, la mobilité des apprenants et surtout une véritable reconfiguration des offres de formation pour les mettre en cohérence avec les besoins du marché de l’emploi. Mon vœu le plus cher était de pouvoir apporter ma modeste contribution au déploiement du LMD dans les pays africains membres de l’espace CAMES.

Ce vœu a été exaucé d’abord de 2005 à 2010 en République du Bénin. Comme vous le savez, mon arrivée au Bénin a coïncidé avec l’initiative très opportune prise par les institutions d’enseignement supérieur de l’Afrique de l’Ouest de créer le Réseau pour l’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique de l’Ouest (REESAO).

J’ai, par le biais du projet d’appui à l’enseignement supérieur dont j’avais la charge en tant que Chef de projet contribué à l’organisation de plusieurs séminaires sous-régionaux de définition des standards du LMD de l’espace REESAO, mais également des séminaires d’appropriation des fondamentaux de ce système académique et de reconfiguration des offres de formation pour les huit (8) domaines de formation identifiés dans l’espace REESAO.

De novembre 2010 à ce jour, je suis en Côte d’Ivoire avec trois missions, celle de Conseiller du Ministre ivoirien de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, de Chef de projet du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) avec dans ce projet un accent particulier relatif à la création d’un environnement propice à la mise en œuvre du LMD en Côte d’Ivoire et enfin, une mission d’assistance technique auprès des institutions ivoiriennes d’enseignement supérieur et de recherche dans ce processus d’appropriation du système LMD avec ses dimensions de formation des formateurs et d’accompagnement à la révision des curricula pour les mettre au format LMD et en adéquation avec les besoins du monde socio-économique.

Question 2 : Pr Mohammadou MERAWA vous avez produit, en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, un ouvrage intitulé « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Pouvez-vous nous présenter brièvement cet ouvrage ? Comment êtes-vous arrivé à le réaliser? 

Avant de répondre à votre question, permettez d’abord que je rende un hommage au feu Pr Bertrand MBATCHI. J’ai eu la chance de le connaître et de travailler avec lui à son initiative et je retiens de lui, que dis-je nous devons retenir de lui que c’était un homme très engagé et qui a joué un rôle déterminant dans la rénovation du CAMES. Il avait une très haute idée de cette institution régionale d’intégration par excellence et n’a ménagé aucun effort pour la hisser au rang des grandes institutions académiques internationales. La contribution du Pr MBATCHI à la rénovation du CAMES est tout simplement inestimable.

S’agissant de votre question, je voudrais d’abord rappeler que ce nouvel ouvrage est la suite logique du premier intitulé « Construction du nouvel espace africain et malgache de l’Enseignement supérieur dans le contexte de la mise en place du système LMD dans les établissements d’enseignement supérieur de l’espace CAMES », que j’avais rédigé en 2007 en collaboration avec feu le Pr Fulbert AMOUSSOUGA GERO, pour lequel je voudrais également avec votre permission avoir une pensée pieuse. Pour ce premier ouvrage qui a fait l’objet d’un large partage au niveau des institutions académiques de l’espace CAMES, car il a été reproduit à plus de 20 000 exemplaires et mis en ligne sur le site internet du CAMES, l’objectif était de définir les fondamentaux et les standards du LMD au niveau de l’espace CAMES avec en perspective de poser les jalons d’un référentiel d’évaluation et d’accréditation de nouvelles offres de formation dans le cadre du système LMD.

Pour rendre à César ce qui est à César, je précise qu’après plus de dix (10) années de mise en œuvre du système LMD, l’initiative de proposer la suite au premier ouvrage avec des objectifs différents a été prise par le Pr. MBATCHI et c’était un honneur pour moi, d’avoir été sollicité à nouveau par le CAMES pour la rédaction de ce nouvel ouvrage. Après chaque chapitre livré, le Pr MBATCHI a marqué un intérêt tout particulier en y apportant ses contributions, toujours très pertinentes. Il convient par conséquent de rappeler que ce deuxième ouvrage, comme le premier répond à une commande spécifique du CAMES.

« Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES », l’intitulé évocateur de cet ouvrage en soi traduit d’une certaine façon l’état actuel de la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES avec ses forces, mais surtout ses faiblesses. Il était donc opportun dans un premier temps, de faire après un rappel des fondamentaux, l’état des lieux et le diagnostic de la mise en œuvre de ce système académique dans ses dimensions institutionnelle, académique, mais aussi de renforcement des capacités. C’est tout le sens donné à la structuration de l’ouvrage. Les défis à relever pour réussir la mise en œuvre du système LMD dans les institutions d’enseignement supérieur et de recherche sont nombreux. Un chapitre y a été consacré avec des recommandations à l’attention des différentes parties-prenantes afin de s’engager dans une nouvelle dynamique permettant d’atteindre les objectifs visés. Le véritable point d’ancrage de cet ouvrage est le chapitre portant sur les nouvelles méthodes pédagogiques consubstantielles de la mise en œuvre réussie du système LMD.

En effet, nous savons tous que pour réussir la mise en œuvre de ce système académique international il faut un préalable, celui d’avoir un environnement propice décliné dans l’ouvrage ainsi que l’appropriation des fondamentaux du LMD par tous les acteurs du système académique de l’espace CAMES, rappelés également dans l’ouvrage, mais la véritable réussite du LMD viendra surtout dans sa phase pratique de mise en œuvre d’un véritable changement de paradigme dans la manière d’enseigner, d’évaluer et d’apprendre pour les apprenants. La bonne appropriation par les enseignants-chercheurs des nouvelles méthodes pédagogiques est donc déterminante et nécessite des formations à l’attention des différents acteurs de la communauté universitaire. Ces méthodes sont explicitées dans l’ouvrage. Enfin, à juste titre, tenant compte du constat que la plupart des enseignants-chercheurs ne connaissent pas véritablement cette institution d’intégration régionale qu’est le CAMES, il a été proposé de lui consacrer le dernier chapitre, pour décliner ses missions et ses objectifs.

Question 3 : Quelles seraient alors les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans l’application du LMD ? Comment y remédier?

Les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES sont multiples et multiformes. Il serait illusoire de vouloir toutes les décliner dans cette interview. Pour l’essentiel on retiendra surtout que, d’une façon générale, les conditions de sa mise en œuvre efficiente n’ont pas été réunies. Nous savons tous que le LMD, déclinaison académique de la mondialisation a la vocation de promouvoir l’internationalisation des diplômes du supérieur, facilitant de fait, la mobilité des apprenants au niveau international. Le préalable à cette internationalisation des diplômes est bien l’harmonisation de l’offre de formation supérieure. Ce processus d’harmonisation doit impérativement s’accompagner d’une véritable révision des curricula en liaison avec les acteurs du monde socio-économique pour les adapter aux besoins du marché de l’emploi. Pour ne pas en dire davantage, on comprend aisément que l’enjeu majeur pour les pays membres du CAMES dont les diplômés du supérieur sont confrontés au fléau que constitue le chômage, devenu quasiment endémique dans certains pays est bien celui de l’amélioration de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure. Nous savons tous également que la qualité a un coût.

Le LMD ne peut pas se mettre en œuvre efficacement à coût constant. Malgré les ressources financières importantes mobilisées par certains États membres du CAMES, qui se sont engagés à offrir un enseignement supérieur et de recherche de qualité à leurs citoyens, par rapport aux besoins réels exprimés, les ressources financières mobilisées sont insuffisantes. Parler des besoins réels exprimés, suppose qu’un état des lieux de l’ancien système ait été fait et comme vous le savez, ça n’a pas été le cas pour la plupart des pays. Le LMD a été mis en œuvre sans ce préalable et nous connaissons également les conséquences notamment une appropriation des fondamentaux plus de dix (10) ans après qui varie d’un pays à un autre, même au sein du même pays d’un établissement à un autre et très souvent au sein du même établissement d’une entité universitaire à une autre.

La non-appropriation des objectifs de ce système académique a très souvent conduit dans la plupart des pays à une simple transposition de l’ancien système dans un format LMD avec des parcours de formation organisés en semestres avec des Unités d’Enseignement (UE) auxquelles des Crédits d’Évaluation Capitalisables et Transférables (CECT) sont affectées. Les objectifs de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation n’ont été pris en compte que de façon marginale par un nombre très restreint d’établissements des pays membres du CAMES alors que tous les efforts auraient dû être déployés pour atteindre ces deux objectifs en étroite collaboration avec le secteur productif, qu’il soit public ou privé. La dimension renforcement des capacités n’a pas non plus fait l’objet d’une attention à la mesure de son importance dans le dispositif pour le rendre efficient.

Question 4 : Application des préceptes du LMD, n’est-ce pas un luxe quand nos universités ont du mal à joindre les deux bouts en matière de gestion des effectifs?

Cette question pertinente nous ramène une fois de plus à celles de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure, donc du coût de la mise en œuvre réussie du LMD dans le contexte de massification des effectifs d’apprenants que l’on connaît. Elle a il faut bien le comprendre, une dimension stratégique et politique pour chacun des pays membres du CAMES. En d’autres termes, considérant que le nombre de plus en plus important d’étudiants qui aspirent à poursuivre les études supérieures, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques représente un atout pour ces pays et non un handicap, les États africains sont-ils prêts à mobiliser les ressources financières nécessaires pour relever le défi de la création d’une masse critique de ressources humaines compétentes et de qualité pour engager sans tarder leur processus d’industrialisation avec pour objectif la transformation en Afrique de son formidable potentiel de ressources minières et agricoles ? Nous comprenons tout de suite que la réponse à cette question permettra ou non de créer cet environnement propice à la mise en œuvre du système LMD dans chaque pays pour que les institutions d’enseignement supérieur et de recherche soient véritablement pourvoyeuses de ces ressources humaines. Il s’agit bien évidemment d’une décision stratégique et politique, car il y va de l’avenir de ce continent, riche de sa jeunesse, dont les pays aspirent à un développement endogène et durable, conséquence de la transformation industrielle sur place de son énorme potentiel de ressources minières et agricoles.

La bonne appropriation des méthodes pédagogiques par les enseignants-chercheurs avec une part belle faite à l’intégration du numérique éducatif, apporte également des éléments de réponses à la gestion des effectifs de plus en plus importants d’étudiants dans les universités. Cet environnement numérique intégré, support d’une mise en œuvre réussie du LMD a également un coût et nous le savons tous.

Question 5 : Revenons à une question fondamentale. Vous intitulez l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Est-ce que cela veut dire que vous donnez une recette pour chacune des parties-prenantes du LMD dans les universités?

Vous savez, la réussite de la mise en œuvre du LMD n’est pas uniquement de la responsabilité des acteurs universitaires et je viens d’en parler. Cet ouvrage qui a modestement vocation de contribuer à améliorer l’appropriation des différentes dispositions principales et des fondamentaux du LMD, après un état des lieux et un diagnostic de plus de dix (10) ans de mise en œuvre, se présente comme une feuille de route avec des recommandations pratiques et pragmatiques à l’attention de toutes les parties-prenantes au-delà de l’espace académique. Mettre en œuvre toutes ces recommandations présentées aux membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES le 1er mars 2022 à Conakry (République de Guinée) et aux Ministres membres du Conseil des Ministres du CAMES le 26 mai 2022 à Kinshasa (République Démocratique du Congo), permettra assurément de réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES. C’est l’objectif principal de cet ouvrage.

Question 6 : Votre mot de fin Professeur Mohammadou MERAWA?

Je voudrais d’abord vous remercier de m’avoir donné l’opportunité d’échanger avec vous sur cette problématique très importante de la mise en œuvre du système LMD dans les pays membres du CAMES.

L’enjeu est important et même déterminant pour l’avenir de la jeunesse africaine et corrélativement pour l’avenir de tous ces pays. Je voudrais rappeler qu’à tort, sans un environnement propice, le système LMD est considéré par beaucoup comme la panacée, dont la mise en œuvre devrait résoudre tous les problèmes de fond, auxquels sont confrontées actuellement les institutions d’enseignement supérieur et de recherche. Cette mauvaise appréciation des objectifs principaux du LMD a conduit quelques fois jusqu’à une véritable désinformation vis-à-vis de ce système académique.

Je voudrais également rappeler que la question du sous-financement du sous-secteur est la difficulté majeure, pour ne pas dire la principale, car, toutes les difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre du LMD n’en sont que des conséquences.

J’ai la ferme conviction que le véritable espoir naîtra de la réelle prise de conscience par les gouvernants du rôle qu’a joué ce sous-secteur, comme vecteur multiplicateur de croissance dans les pays émergents. Le véritable espoir viendra également du rôle que devront jouer les différents acteurs du système éducatif, engagés collectivement pour la rénovation effective du sous-secteur dans ses dimensions institutionnelle, académique et de recherche et de leur prise de conscience qu’ils ont une responsabilité historique à assumer. Le véritable espoir viendra enfin de la capacité des États africains, riches de leur jeunesse, riches de leurs ressources agricoles, riches de leurs ressources minières, de relever collectivement le défi de l’industrialisation de ce continent qui passe inéluctablement par la constitution d’une masse critique de ressources humaines qualifiées, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques, afin qu’ils soient véritablement maîtres de leur destin.

Pour finir, je voudrais que nous prenions tous conscience que le CAMES par ses objectifs et ses missions que tous les enseignants-chercheurs, chercheurs et gouvernants des pays membres gagneraient à bien connaître, mais aussi la pertinence de son positionnement comme l’organe de régulation de l’enseignement supérieur et de la recherche est une chance pour tous ses pays membres. Je mesure à sa juste valeur l’importance que le CAMES accorde à la réussite de la mise en œuvre du système LMD dans tous les pays membres et ce fut un honneur pour moi par cet ouvrage d’y apporter ma modeste contribution.


Lors de la 39e session du Conseil des Ministres du CAMES, tenue du 23 au 27 mai 2022, à Kinshasa en République démocratique du Congo, l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES » a été présenté par son auteur, le Pr Mohammadou MEREWA, Conseiller du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique en Côte d’Ivoire. Cet ouvrage, produit en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, dresse un diagnostic sans complaisance de la mise en œuvre du LMD dans les différents pays de l’espace CAMES.

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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗮𝘂 𝗠𝗔𝗥𝗢𝗖 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗳𝗮𝘃𝗲𝘂𝗿 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱’𝗔𝗱𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝗰𝗮𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗲 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗼𝗽𝗵𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 (𝗔𝗜𝗙𝗦)Du 𝟭𝟳 𝗮𝘂 𝟮𝟬 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a effectué une mission au Maroc afin de participer au 2ème Conseil d’Administration de l’Académie Internationale de la Francophonie Scientifique (AIFS), qui s’est tenu à Rabat. Ce séjour a également été l’occasion pour le Secrétaire Général de participer à différentes activités en relation avec la rencontre de l’AIFS sur le sol Le 𝟭𝟵 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, le Secrétaire Général du CAMES a participé à la 2ème réunion du Conseil d’Administration de l’AIFS. Cette réunion a permis de discuter des réalisations de l’AIFS, depuis la dernière réunion de son Conseil d’Administration.Ce fut l’occasion pour le Secrétaire Général de féliciter l’AIFS pour les activités menées en une année. Il est par ailleurs revenu sur les actions du CAMES qui rejoignent certains objectifs de l’AIFS, et pour lesquels une collaboration entre les deux Institutions s’avère indispensable. Cette mission fut également l’occasion pour le Secrétaire Général de rencontrer différentes personnalités du monde académique dans le cadre de la stratégie de développement de partenariat de notre Institution commune. Il s’agit notamment : du Président du Réseau des Académies Africaines des Sciences, du Président de l’Université de Nouakchott en Mauritanie, du Recteur de l’Université du Cap Vert, du Directeur Général de l’Université des Mascareignes aux Îles Maurice, de la Directrice Générale de l’IRD en France et de la Présidente de l’HCÉRES en France.En marge de la réunion du Conseil d’Administration, le Secrétaire Général a également pris part, le 𝟭𝟴 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, à un atelier organisé par l’AUF sur les formations aux Industries Culturelles et Créatives (ICC), au cours duquel il a délivré le mot du CAMES à la cérémonie officielle d’ouverture. Le Secrétaire Général est également intervenu à la suite de la présentation des résultats d’une étude sur la cartographie des ICC. www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-en-mission-au-maroc-a-la-faveur-du-conseil-dadmini... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗔𝗻𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗰𝗮𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Le 𝟭𝟱 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 marquera le lancement académique de la première épreuve du 22ème Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion, organisé par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES).La cérémonie officielle de lancement se déroulera en visioconférence, depuis l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), qui accueillera les deuxième et troisième épreuves du Concours en novembre prochain. Cette cérémonie académique sera présidée par le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, en présence du Vice-président du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES, Professeur Gérard GRESENGUET, du Président Coordonnateur Général des jurys, Professeur Pam ZAHONOGO, du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA, du Recteur de l’UCAD, Professeur Alioune Badara KANDJI, des membres des jurys, des candidats ainsi que de différentes personnalités du monde académique.Cette cérémonie s’articulera autour des discours des officiels dont le mot de lancement du Secrétaire Général du CAMES, du rappel des textes statutaires par le Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, de l’appel des candidats et du tirage au sort de la lettre alphabétique qui déterminera l’ordre de passage des candidats devant les jurys.www.lecames.org/annonce-du-lancement-academique-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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𝗡𝗼𝘁𝗲 𝗱’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗖𝗖𝗜-𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, porte à l’attention des Responsables des Institutions d’Enseignement supérieur et/ou de Recherche (IESR), des membres des Comités Techniques Spécialisés (CTS), des candidats ainsi qu’à l’ensemble des parties prenantes, des informations utiles relatives aux Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES. Ces informations, contribueront à l’amélioration de la qualité des dossiers, lors des sessions ultérieures des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES.𝗧𝗲́𝗹𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗲 : www.lecames.org/note-dinformation-a-lattention-des-commissions-institutionnelles-et-des-candidats... ... See MoreSee Less
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𝗔̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝗜𝗘𝗦𝗥 : 𝗹’𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲𝗻 𝗕𝗶𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗔𝗽𝗽𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 (𝗜𝗥𝗕𝗔𝗚)Pour notre rubrique de mise en lumière des IESR de l’espace CAMES, la rédaction du Lundi CAMES vous invite à découvrir l’Institut de Recherche en Biologie Appliquée de Guinée (IRBAG), à travers l’interview de son Directeur Général, Professeur Mohamed Sahar TRAORÉ.𝗠𝗲𝗿𝗰𝗶 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿 𝗮̀ 𝗻𝗼𝘀 𝗹𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀Je suis Professeur Mohamed Sahar TRAORÉ, Enseignant-chercheur à la Faculté des Sciences et Techniques de la Santé de l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry et Directeur Général de l’Institut de Recherche en Biologie Appliquée de Guinée. Je suis par ailleurs, le Rapporteur Général Adjoint du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES.𝗣𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲?L’Institut de Recherche en Biologie Appliquée de Guinée (IRBAG), connu sous le nom de Pastoria est un établissement public à vocation scientifique, régi par la Loi L/2024/0016/CNT du 24 janvier 2024 relative aux statuts spécifiques des Institutions d’Enseignement supérieur, de Recherche scientifique, en République de Guinée. Basé dans la préfecture de Kindia, en Basse Guinée, il a été créé par le Professeur Albert Calmette en 1922 sous le nom d’Institut Pasteur de Kindia. Il deviendra Institut de Recherche en Biologie Appliquée de Guinée-Pastoria suite à une convention entre l’Institut Pasteur de Paris et le Ministère de la Santé de la République de Guinée à la date du 7 Avril 1965.La mission principale de l’IRBAG-Pastoria est de promouvoir et de développer la Recherche en biologie, tant fondamentale qu’appliquée, en Guinée. Ses activités couvrent notamment l’étude des maladies virales et parasitaires touchant les humains et les animaux, ainsi que des Recherches herpétologiques y compris la gestion des envenimations par morsure de serpents. www.lecames.org/a-la-decouverte-de-nos-iesr-institut-de-recherche-en-biologie-appliquee-de-guinee... ... See MoreSee Less
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𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗦.𝗘.𝗠. 𝗖𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗘𝗡𝗚𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗡𝗚𝗨𝗘𝗠𝗔 𝗢𝗡𝗚𝗨𝗘𝗡𝗘, 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗘́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗽𝗼𝗿𝘁𝘀, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝗗𝘂 𝟵 𝗮𝘂 𝟭𝟯 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, une mission de travail a été menée en République de Guinée Équatoriale par une délégation du CAMES, conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, avec à ses côtés le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Pr Ali DOUMMA, et celui en charge de la Reconnaissance et l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche, Pr Saturnin ENZONGA YOCA. Dans le cadre de cette mission, la délégation a été reçue en audience, 𝗹𝗲 𝟭𝟭 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, par Son Excellence Monsieur Clemente ENGONGA NGUEMA ONGUENE, Ministre d’État, Ministre de l’Éducation, des Sciences, de l’Enseignement professionnel et des Sports.Cette rencontre s’est tenue dans les locaux de la Primature à Bata, en présence de plusieurs hauts Responsables, notamment les Vices-ministres et les Directeurs Généraux en charge de l’éducation, des sciences, ainsi que la Déléguée régionale du Ministère chargé de la coopération internationale.Après les salutations protocolaires, Son Excellence Monsieur le Ministre d’État, a exprimé sa profonde satisfaction de recevoir, pour la première fois depuis l’adhésion de la République de Guinée Équatoriale au CAMES en 2010, une délégation de haut niveau de ladite Institution.A la suite de son propos, le Secrétaire Général du CAMES, a chaleureusement remercié le Ministre d’État pour l’honneur de cette audience et la qualité de l’accueil réservé à sa délégation. Le Secrétaire Général a par ailleurs décliné l’objet de cette visite, à savoir échanger avec le Gouvernement équato-guinéen et les différents acteurs de l’Enseignement supérieur de ce pays membre de l’Institution depuis 2010 sur : (i) la nouvelle vision et le Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024-2028, (ii) les voies et moyens pour une participation effective et entière de la Guinée Équatoriale à toutes les activités statutaires du CAMES, (iii) les attentes de ces différents acteurs vis-à-vis du CAMES.Au terme d’un exposé étoffé sur le CAMES, le Secrétaire Général a formulé plusieurs doléances à l’endroit du Ministre d’État. Il s’agit notamment, de l’accueil par la République de Guinée Équatoriale de la prochaine réunion extraordinaire du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES ; et de la désignation d’un point focal national chargé d’assurer la liaison avec le Secrétariat général de l’Institution.www.lecames.org/une-delegation-du-cames-conduite-par-son-secretaire-general-recue-en-audience-par... ... See MoreSee Less
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1 week ago

Le CAMES
𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗥𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲Dans le cadre de sa mission de travail en Guinée Équatoriale, la délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, a eu une série de rencontres avec les Responsables académiques des Universités publiques de Guinée Équatoriale.La délégation du CAMES a ainsi rencontré, 𝗹𝗲 𝟭𝟬 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, les Responsables académiques de l’Université Afro-américaine d’Afrique centrale (AAUCA) à Djibloho.Cette rencontre s’est déroulée en présence du Vice-ministre chargé de l’Enseignement supérieur de la République de Guinée Équatoriale, M. Vincente NSUE MENGUE NSUE et de plusieurs cadres dudit Ministère. Le Vice-ministre a rappelé l’objet de cette rencontre qui est, entre autres, de discuter directement avec les Institutions d’Enseignement supérieur et de Recherche du pays, en vue de consolider les relations entre le CAMES et la Guinée Équatoriale. L’université Afro-américaine d’Afrique centrale a été ensuite présentée par son Recteur, Pr Paulo SPELLER.Le Secrétaire Général du CAMES a par la suite, dans son mot introductif, tenu à présenter ses vifs remerciements au Vice-ministre pour avoir initié cette rencontre et pour son accompagnement personnel lors de ses importantes visites de terrain.𝗟𝗲 𝟭𝟭 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, la délégation du CAMES a visité les locaux de l’Université Nationale de Guinée Équatoriale (UNGE) à Bata. Lors de cette visite la délégation, accompagnée du Vice-recteur de l’UNGE à Bata et du Directeur Général de la Coopération internationale (Point focal national CAMES), a visité la Faculté de Médecine et la Faculté des Sciences de l’éducation de ladite Université.𝗟𝗲 𝟭𝟮 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, a été l’occasion pour la délégation du CAMES de visiter l’Université Nationale de Guinée Équatoriale (UNGE), dans les locaux de ladite Université à Malabo.Dans son mot introductif, le Recteur de l’UNGE, M. Filiberto Ntutumu NGUEMA NCHAMA, entouré de ses collaborateurs, a souhaité la bienvenue à la délégation du CAMES tout en exprimant toute sa satisfaction d’échanger directement avec le Secrétaire Général du CAMES en vue de mieux cerner les missions de l’Institution. Cette rencontre a également été l’occasion pour le Recteur de l’UNGE de partager avec la délégation du CAMES les difficultés auxquelles les Universités africaines font face. Saisissant cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES, précisant la place prépondérante des questions de gouvernance des Universités dans les réunions du Comité Consultatif Général (CCG), a fortement invité les Responsables d’IESR à y participer activement à l’avenir.En marge de cette visite, la délégation du CAMES a effectué une visite de courtoisie au Ministre délégué de la Santé et du Bien-être social, M. Práxedes Rabat Makambo.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-pr-souleymane-konate-rencontre-les-responsables-de... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝗮𝘁 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲Dans le cadre de sa mission de travail en République de Guinée Équatoriale, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a effectué, le 13 septembre 2025, une visite de courtoisie à Son Excellence Monsieur le Consul Général du Burkina Faso auprès de la République de Guinée Équatoriale, dans les locaux du Consulat Général à Malabo.Il était accompagné du Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, ainsi que du Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes en charge de la Reconnaissance et de l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche.À l’occasion de cette rencontre, le Secrétaire Général a exprimé ses civilités à Son Excellence Monsieur Filatiéni COULIBALY, Consul Général, et a adressé ses vifs remerciements à l’ensemble du personnel du Consulat pour son implication active dans les préparatifs de la mission du CAMES en Guinée Équatoriale. Il a également tenu à traduire toute sa reconnaissance pour l’accueil chaleureux réservé à la délégation à son arrivée en République de Guinée Équatoriale. Il a par ailleurs présenté une synthèse des échanges tenus avec les autorités équato-guinéennes, axés sur le renforcement de la coopération entre le CAMES et la République de Guinée Équatoriale.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-secretaire-general-du-cames-au-consulat-general-du-burkin... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗩𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 œ𝘂𝘃𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗯𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗮𝗴𝗲 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗮 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼Dans le cadre du processus d’opérationnalisation de son Plan Stratégique de Développement 2024-2028, notamment dans le domaine de l’amélioration de sa gouvernance, le CAMES à initié un processus de passage à une gestion de type « budget programme ». C’est dans ce contexte qu’une importante rencontre s’est tenue le vendredi 26 septembre 2025, au siège du CAMES, avec des responsables de la Direction Générale du Budget, du Ministère de l’Économie et des Finances du Burkina Faso.Cette séance de travail stratégique visait à jeter les bases techniques et institutionnelles de la mise en place de ce nouveau modèle de gestion axé sur la performance, conformément aux standards de transparence et de redevabilité exigés dans la gestion publique moderne.Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES, pour ouvrir cette session, a exprimé sa gratitude à l’endroit de l’équipe de la DGB pour sa disponibilité et son engagement à accompagner le CAMES dans cette dynamique d’amélioration de la gouvernance financière. Il a, à cet effet, rappelé l’importance de cette transition vers l’approche budget programme, levier essentiel de la performance institutionnelle, avant de présenter la vision stratégique du CAMES, ses Programmes statutaires ainsi que les grandes orientations du Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC 2024–2028).Prenant la parole à son tour, le Directeur des Réformes Budgétaires du Burkina Faso a salué l’initiative du CAMES et s’est réjoui de la volonté manifeste de l’Institution à s’inscrire dans une logique de résultats. Il a notamment souligné le fort engagement de l’équipe dirigeante, qu’il considère comme un acquis majeur pour la réussite de la mise en œuvre du budget programme. Il a également relevé la pertinence du PSDC 2024–2028, qui constitue une base solide pour une déclinaison cohérente de la vision du CAMES en une politique budgétaire axée sur les résultats, facilitant ainsi l’évaluation de la performance à la fin de chaque exercice budgétaire. www.lecames.org/vers-la-mise-en-oeuvre-du-budgetprogramme-au-cames-une-rencontre-de-cadrage-tenue... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗩𝗶𝗿𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a accordé une audience le 26 septembre 2025, au Président de l’Université Virtuelle du Burkina Faso (UV-BF), Dr (MC) Oumarou ZALLÉ, accompagné de ses collaborateurs, Pr Tizane DAHO et M. Armand TENKODOGO. Cette rencontre s’est tenue en présence du Directeur des Programmes en charge de la Reconnaissance et de l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA.L’objectif principal de cette visite était de présenter les civilités de l’équipe dirigeante de l’UV-BF au Secrétaire Général et d’échanger sur les mécanismes à mettre en place pour une prise en compte effective des candidatures des Enseignants-chercheurs et Chercheurs de l’Université Virtuelle du Burkina Faso aux prochaines évaluations du CAMES.Au terme de discussions constructives, la délégation de l’UV-BF s’est dite rassurée et satisfaite de l’écoute attentive du Secrétaire Général ainsi que de la disponibilité manifeste du CAMES à accompagner l’Université. Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a réaffirmé la volonté de collaboration du CAMES avec l’ensemble des IESR des pays membres, dont l’UV-BF.www.lecames.org/le-president-de-luniversite-virtuelle-du-burkina-faso-recu-en-audience-par-le-sec... ... See MoreSee Less
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