Interview du Professeur Mohammadou MERAWA, auteur de l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES »


Pr Mohammadou MEREWA lors de son intervention au 39e session du Conseil des Ministres du CAMES

« Engagées dans le processus de mise en œuvre du système académique Licence-Master-Doctorat (LMD) depuis plus d’une dizaine d’années, les institutions d’enseignement supérieur et de recherche de l’espace CAMES, rencontrent comme chacun sait, des difficultés de différents ordres qui peuvent se résumer à un déficit de création d’un environnement propice, toutes dimensions confondues pour sa mise en œuvre. Cet environnement propice dans chacun des pays membres est tributaire de la mobilisation des ressources financières nécessaires pour mettre en œuvre les différentes activités qui auront vocation d’améliorer la gouvernance de ces institutions, la qualité et la pertinence de l’offre de formation supérieure par rapport aux besoins du monde socio-économique, mais également de renforcer les capacités de tous les acteurs de ce sous-secteur si stratégique pour le développement des pays africains », Pr Mohammadou MEREWA.


Question 1 : Professeur pouvez-vous, vous présenter à nos lecteurs ?

Je suis Professeur des Universités, Directeur de Département de Chimie de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour en France. Au cours de l’année académique 2003/2004 au moment où les institutions universitaires françaises ont adopté le système académique Licence-Master-Doctorat (LMD), j’ai activement participé au processus de sa mise en œuvre au sein de mon département et toutes les entités universitaires de cette université étaient dans cette même dynamique.

Très vite nous avons compris que le système LMD dépasserait largement les frontières européennes, compte tenu de ces objectifs, en particulier ceux orientés vers l’internationalisation des diplômes, la mobilité des apprenants et surtout une véritable reconfiguration des offres de formation pour les mettre en cohérence avec les besoins du marché de l’emploi. Mon vœu le plus cher était de pouvoir apporter ma modeste contribution au déploiement du LMD dans les pays africains membres de l’espace CAMES.

Ce vœu a été exaucé d’abord de 2005 à 2010 en République du Bénin. Comme vous le savez, mon arrivée au Bénin a coïncidé avec l’initiative très opportune prise par les institutions d’enseignement supérieur de l’Afrique de l’Ouest de créer le Réseau pour l’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique de l’Ouest (REESAO).

J’ai, par le biais du projet d’appui à l’enseignement supérieur dont j’avais la charge en tant que Chef de projet contribué à l’organisation de plusieurs séminaires sous-régionaux de définition des standards du LMD de l’espace REESAO, mais également des séminaires d’appropriation des fondamentaux de ce système académique et de reconfiguration des offres de formation pour les huit (8) domaines de formation identifiés dans l’espace REESAO.

De novembre 2010 à ce jour, je suis en Côte d’Ivoire avec trois missions, celle de Conseiller du Ministre ivoirien de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, de Chef de projet du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) avec dans ce projet un accent particulier relatif à la création d’un environnement propice à la mise en œuvre du LMD en Côte d’Ivoire et enfin, une mission d’assistance technique auprès des institutions ivoiriennes d’enseignement supérieur et de recherche dans ce processus d’appropriation du système LMD avec ses dimensions de formation des formateurs et d’accompagnement à la révision des curricula pour les mettre au format LMD et en adéquation avec les besoins du monde socio-économique.

Question 2 : Pr Mohammadou MERAWA vous avez produit, en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, un ouvrage intitulé « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Pouvez-vous nous présenter brièvement cet ouvrage ? Comment êtes-vous arrivé à le réaliser? 

Avant de répondre à votre question, permettez d’abord que je rende un hommage au feu Pr Bertrand MBATCHI. J’ai eu la chance de le connaître et de travailler avec lui à son initiative et je retiens de lui, que dis-je nous devons retenir de lui que c’était un homme très engagé et qui a joué un rôle déterminant dans la rénovation du CAMES. Il avait une très haute idée de cette institution régionale d’intégration par excellence et n’a ménagé aucun effort pour la hisser au rang des grandes institutions académiques internationales. La contribution du Pr MBATCHI à la rénovation du CAMES est tout simplement inestimable.

S’agissant de votre question, je voudrais d’abord rappeler que ce nouvel ouvrage est la suite logique du premier intitulé « Construction du nouvel espace africain et malgache de l’Enseignement supérieur dans le contexte de la mise en place du système LMD dans les établissements d’enseignement supérieur de l’espace CAMES », que j’avais rédigé en 2007 en collaboration avec feu le Pr Fulbert AMOUSSOUGA GERO, pour lequel je voudrais également avec votre permission avoir une pensée pieuse. Pour ce premier ouvrage qui a fait l’objet d’un large partage au niveau des institutions académiques de l’espace CAMES, car il a été reproduit à plus de 20 000 exemplaires et mis en ligne sur le site internet du CAMES, l’objectif était de définir les fondamentaux et les standards du LMD au niveau de l’espace CAMES avec en perspective de poser les jalons d’un référentiel d’évaluation et d’accréditation de nouvelles offres de formation dans le cadre du système LMD.

Pour rendre à César ce qui est à César, je précise qu’après plus de dix (10) années de mise en œuvre du système LMD, l’initiative de proposer la suite au premier ouvrage avec des objectifs différents a été prise par le Pr. MBATCHI et c’était un honneur pour moi, d’avoir été sollicité à nouveau par le CAMES pour la rédaction de ce nouvel ouvrage. Après chaque chapitre livré, le Pr MBATCHI a marqué un intérêt tout particulier en y apportant ses contributions, toujours très pertinentes. Il convient par conséquent de rappeler que ce deuxième ouvrage, comme le premier répond à une commande spécifique du CAMES.

« Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES », l’intitulé évocateur de cet ouvrage en soi traduit d’une certaine façon l’état actuel de la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES avec ses forces, mais surtout ses faiblesses. Il était donc opportun dans un premier temps, de faire après un rappel des fondamentaux, l’état des lieux et le diagnostic de la mise en œuvre de ce système académique dans ses dimensions institutionnelle, académique, mais aussi de renforcement des capacités. C’est tout le sens donné à la structuration de l’ouvrage. Les défis à relever pour réussir la mise en œuvre du système LMD dans les institutions d’enseignement supérieur et de recherche sont nombreux. Un chapitre y a été consacré avec des recommandations à l’attention des différentes parties-prenantes afin de s’engager dans une nouvelle dynamique permettant d’atteindre les objectifs visés. Le véritable point d’ancrage de cet ouvrage est le chapitre portant sur les nouvelles méthodes pédagogiques consubstantielles de la mise en œuvre réussie du système LMD.

En effet, nous savons tous que pour réussir la mise en œuvre de ce système académique international il faut un préalable, celui d’avoir un environnement propice décliné dans l’ouvrage ainsi que l’appropriation des fondamentaux du LMD par tous les acteurs du système académique de l’espace CAMES, rappelés également dans l’ouvrage, mais la véritable réussite du LMD viendra surtout dans sa phase pratique de mise en œuvre d’un véritable changement de paradigme dans la manière d’enseigner, d’évaluer et d’apprendre pour les apprenants. La bonne appropriation par les enseignants-chercheurs des nouvelles méthodes pédagogiques est donc déterminante et nécessite des formations à l’attention des différents acteurs de la communauté universitaire. Ces méthodes sont explicitées dans l’ouvrage. Enfin, à juste titre, tenant compte du constat que la plupart des enseignants-chercheurs ne connaissent pas véritablement cette institution d’intégration régionale qu’est le CAMES, il a été proposé de lui consacrer le dernier chapitre, pour décliner ses missions et ses objectifs.

Question 3 : Quelles seraient alors les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans l’application du LMD ? Comment y remédier?

Les causes et les conséquences des insuffisances constatées dans la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES sont multiples et multiformes. Il serait illusoire de vouloir toutes les décliner dans cette interview. Pour l’essentiel on retiendra surtout que, d’une façon générale, les conditions de sa mise en œuvre efficiente n’ont pas été réunies. Nous savons tous que le LMD, déclinaison académique de la mondialisation a la vocation de promouvoir l’internationalisation des diplômes du supérieur, facilitant de fait, la mobilité des apprenants au niveau international. Le préalable à cette internationalisation des diplômes est bien l’harmonisation de l’offre de formation supérieure. Ce processus d’harmonisation doit impérativement s’accompagner d’une véritable révision des curricula en liaison avec les acteurs du monde socio-économique pour les adapter aux besoins du marché de l’emploi. Pour ne pas en dire davantage, on comprend aisément que l’enjeu majeur pour les pays membres du CAMES dont les diplômés du supérieur sont confrontés au fléau que constitue le chômage, devenu quasiment endémique dans certains pays est bien celui de l’amélioration de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure. Nous savons tous également que la qualité a un coût.

Le LMD ne peut pas se mettre en œuvre efficacement à coût constant. Malgré les ressources financières importantes mobilisées par certains États membres du CAMES, qui se sont engagés à offrir un enseignement supérieur et de recherche de qualité à leurs citoyens, par rapport aux besoins réels exprimés, les ressources financières mobilisées sont insuffisantes. Parler des besoins réels exprimés, suppose qu’un état des lieux de l’ancien système ait été fait et comme vous le savez, ça n’a pas été le cas pour la plupart des pays. Le LMD a été mis en œuvre sans ce préalable et nous connaissons également les conséquences notamment une appropriation des fondamentaux plus de dix (10) ans après qui varie d’un pays à un autre, même au sein du même pays d’un établissement à un autre et très souvent au sein du même établissement d’une entité universitaire à une autre.

La non-appropriation des objectifs de ce système académique a très souvent conduit dans la plupart des pays à une simple transposition de l’ancien système dans un format LMD avec des parcours de formation organisés en semestres avec des Unités d’Enseignement (UE) auxquelles des Crédits d’Évaluation Capitalisables et Transférables (CECT) sont affectées. Les objectifs de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation n’ont été pris en compte que de façon marginale par un nombre très restreint d’établissements des pays membres du CAMES alors que tous les efforts auraient dû être déployés pour atteindre ces deux objectifs en étroite collaboration avec le secteur productif, qu’il soit public ou privé. La dimension renforcement des capacités n’a pas non plus fait l’objet d’une attention à la mesure de son importance dans le dispositif pour le rendre efficient.

Question 4 : Application des préceptes du LMD, n’est-ce pas un luxe quand nos universités ont du mal à joindre les deux bouts en matière de gestion des effectifs?

Cette question pertinente nous ramène une fois de plus à celles de la qualité et de la pertinence de l’offre de formation supérieure, donc du coût de la mise en œuvre réussie du LMD dans le contexte de massification des effectifs d’apprenants que l’on connaît. Elle a il faut bien le comprendre, une dimension stratégique et politique pour chacun des pays membres du CAMES. En d’autres termes, considérant que le nombre de plus en plus important d’étudiants qui aspirent à poursuivre les études supérieures, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques représente un atout pour ces pays et non un handicap, les États africains sont-ils prêts à mobiliser les ressources financières nécessaires pour relever le défi de la création d’une masse critique de ressources humaines compétentes et de qualité pour engager sans tarder leur processus d’industrialisation avec pour objectif la transformation en Afrique de son formidable potentiel de ressources minières et agricoles ? Nous comprenons tout de suite que la réponse à cette question permettra ou non de créer cet environnement propice à la mise en œuvre du système LMD dans chaque pays pour que les institutions d’enseignement supérieur et de recherche soient véritablement pourvoyeuses de ces ressources humaines. Il s’agit bien évidemment d’une décision stratégique et politique, car il y va de l’avenir de ce continent, riche de sa jeunesse, dont les pays aspirent à un développement endogène et durable, conséquence de la transformation industrielle sur place de son énorme potentiel de ressources minières et agricoles.

La bonne appropriation des méthodes pédagogiques par les enseignants-chercheurs avec une part belle faite à l’intégration du numérique éducatif, apporte également des éléments de réponses à la gestion des effectifs de plus en plus importants d’étudiants dans les universités. Cet environnement numérique intégré, support d’une mise en œuvre réussie du LMD a également un coût et nous le savons tous.

Question 5 : Revenons à une question fondamentale. Vous intitulez l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du système LMD dans l’espace CAMES ». Est-ce que cela veut dire que vous donnez une recette pour chacune des parties-prenantes du LMD dans les universités?

Vous savez, la réussite de la mise en œuvre du LMD n’est pas uniquement de la responsabilité des acteurs universitaires et je viens d’en parler. Cet ouvrage qui a modestement vocation de contribuer à améliorer l’appropriation des différentes dispositions principales et des fondamentaux du LMD, après un état des lieux et un diagnostic de plus de dix (10) ans de mise en œuvre, se présente comme une feuille de route avec des recommandations pratiques et pragmatiques à l’attention de toutes les parties-prenantes au-delà de l’espace académique. Mettre en œuvre toutes ces recommandations présentées aux membres du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES le 1er mars 2022 à Conakry (République de Guinée) et aux Ministres membres du Conseil des Ministres du CAMES le 26 mai 2022 à Kinshasa (République Démocratique du Congo), permettra assurément de réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES. C’est l’objectif principal de cet ouvrage.

Question 6 : Votre mot de fin Professeur Mohammadou MERAWA?

Je voudrais d’abord vous remercier de m’avoir donné l’opportunité d’échanger avec vous sur cette problématique très importante de la mise en œuvre du système LMD dans les pays membres du CAMES.

L’enjeu est important et même déterminant pour l’avenir de la jeunesse africaine et corrélativement pour l’avenir de tous ces pays. Je voudrais rappeler qu’à tort, sans un environnement propice, le système LMD est considéré par beaucoup comme la panacée, dont la mise en œuvre devrait résoudre tous les problèmes de fond, auxquels sont confrontées actuellement les institutions d’enseignement supérieur et de recherche. Cette mauvaise appréciation des objectifs principaux du LMD a conduit quelques fois jusqu’à une véritable désinformation vis-à-vis de ce système académique.

Je voudrais également rappeler que la question du sous-financement du sous-secteur est la difficulté majeure, pour ne pas dire la principale, car, toutes les difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre du LMD n’en sont que des conséquences.

J’ai la ferme conviction que le véritable espoir naîtra de la réelle prise de conscience par les gouvernants du rôle qu’a joué ce sous-secteur, comme vecteur multiplicateur de croissance dans les pays émergents. Le véritable espoir viendra également du rôle que devront jouer les différents acteurs du système éducatif, engagés collectivement pour la rénovation effective du sous-secteur dans ses dimensions institutionnelle, académique et de recherche et de leur prise de conscience qu’ils ont une responsabilité historique à assumer. Le véritable espoir viendra enfin de la capacité des États africains, riches de leur jeunesse, riches de leurs ressources agricoles, riches de leurs ressources minières, de relever collectivement le défi de l’industrialisation de ce continent qui passe inéluctablement par la constitution d’une masse critique de ressources humaines qualifiées, notamment dans les domaines scientifiques et technologiques, afin qu’ils soient véritablement maîtres de leur destin.

Pour finir, je voudrais que nous prenions tous conscience que le CAMES par ses objectifs et ses missions que tous les enseignants-chercheurs, chercheurs et gouvernants des pays membres gagneraient à bien connaître, mais aussi la pertinence de son positionnement comme l’organe de régulation de l’enseignement supérieur et de la recherche est une chance pour tous ses pays membres. Je mesure à sa juste valeur l’importance que le CAMES accorde à la réussite de la mise en œuvre du système LMD dans tous les pays membres et ce fut un honneur pour moi par cet ouvrage d’y apporter ma modeste contribution.


Lors de la 39e session du Conseil des Ministres du CAMES, tenue du 23 au 27 mai 2022, à Kinshasa en République démocratique du Congo, l’ouvrage « Réussir la mise en œuvre du LMD dans l’espace CAMES » a été présenté par son auteur, le Pr Mohammadou MEREWA, Conseiller du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique en Côte d’Ivoire. Cet ouvrage, produit en collaboration avec feu Pr Bertrand MBATCHI, dresse un diagnostic sans complaisance de la mise en œuvre du LMD dans les différents pays de l’espace CAMES.

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𝐑𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑺𝒄𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆𝒔 𝑬́𝒄𝒐𝒏𝒐𝒎𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 ... See MoreSee Less
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𝐑𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑺𝒄𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆𝒔 𝑷𝒐𝒍𝒊𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 ... See MoreSee Less
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𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑫𝒓𝒐𝒊𝒕 𝑷𝒓𝒊𝒗𝒆́ ... See MoreSee Less
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𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘀-𝗮𝗱𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚La première épreuve du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) se poursuit en ligne jusqu’au 28 octobre 2025. Les candidats participent à cette phase initiale depuis les Centres d’examen nationaux situés dans les pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Mali, Niger, Sénégal, Togo. D’une durée d’une heure, dont quinze minutes de présentation par le candidat, cette épreuve consiste en une discussion entre le Jury et le candidat autour des travaux de ce dernier. À l’issue de cette première étape, les postulants déclarés sous-admissibles seront conviés à participer aux deux autres épreuves du Concours. Ces dernières se dérouleront en présentiel à Dakar du 10 au 21 novembre 2025 à l’Université Cheikh Anta Diop.Chiffres clés du Concours : 215 candidats / 12 pays concernés / 41 IESR / 37 membres de Jury.Découvrez les premiers résultats des sous admissibilités par section du 22ème Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES :- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 » : sur 65 candidats, 38 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 » : sur 20 candidats, 10 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique). - 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗽𝗿𝗶𝘃𝗲́ » : sur 40 candidats, 17 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗗𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗣𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰 » : sur 46 candidats, 24 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 » : les 5 candidats ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).- 𝗦𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 « 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 » : sur 39 candidats, 19 ont été déclarés sous-admissibles (par ordre alphabétique).Consultez les listes : www.lecames.org/premiers-resultats-de-sous-admissibilite-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗮𝗹𝗶Le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗕𝗼𝘂𝗿𝗲́𝗺𝗮 𝗞𝗔𝗡𝗦𝗔𝗬𝗘, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, a été reçu dans la matinée du 𝟮𝟰 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 au siège du CAMES. Accompagné d’une forte délégation, le Ministre a eu un entretien de travail avec le Directoire du Secrétariat général. Les échanges ont porté sur des questions d’intérêt commun relatives au fonctionnement de l’Institution et à la mise en œuvre de ses Programmes statutaires, notamment l’Atelier sur la Stratégie de redynamisation de la Recherche dans l’espace CAMES que Bamako abritera en janvier 2026. Cette rencontre a offert aux deux parties, une excellente opportunité d’examiner les aspects pratiques et organisationnels de cet important rendez-vous scientifique.Dans l’entretien qui a réuni le directoire du CAMES et le Ministre de l’Enseignement supérieur en visite au CAMES, le Professeur Ali DOUMMA, assurant l’intérim du Secrétaire Général du CAMES, a, au nom de ce dernier, remercié et exprimé sa profonde gratitude pour cette visite de courtoisie et de travail. Il a également souhaité, au nom de l’ensemble du personnel du Secrétariat général, la bienvenue à la délégation ministérielle, qui marque par sa présence toute l’attention et l’intérêt portés à l’Institution.Ces échanges ont été suivis par une rencontre conviviale entre le personnel et la délégation ministérielle. Cette rencontre a été l’occasion pour le Professeur Ali DOUMMA, de rendre hommage à ces femmes et à ces hommes qui, par leur engagement et leur dévouement, contribuent à maintenir haut le flambeau du CAMES et à assurer la continuité de ses missions au service de la communauté scientifique africaine.Prenant à sa suite la parole, le Ministre a exprimé sa profonde gratitude pour l’accueil chaleureux qui lui a été réservé. Il a souligné le rôle central que joue le CAMES dans la promotion de la Recherche et de l’Enseignement supérieur dans l’espace africain. « 𝘑𝘦 𝘳𝘦𝘱𝘢𝘳𝘴 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘴𝘢𝘵𝘪𝘴𝘧𝘢𝘪𝘵, 𝘤𝘢𝘳 𝘫’𝘢𝘪 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦́ 𝘪𝘤𝘪 𝘥𝘦𝘴 𝘩𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘱𝘢𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯𝘯𝘦́𝘴 𝘦𝘵 𝘦𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦́𝘴. 𝘎𝘳𝘢̂𝘤𝘦 𝘢̀ 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘪𝘭, 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘳𝘢𝘺𝘰𝘯𝘯𝘦𝘳 𝘦𝘵 𝘥’𝘩𝘰𝘯𝘰𝘳𝘦𝘳 𝘴𝘢 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯. 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘷𝘢𝘪𝘯𝘤𝘶 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘮𝘢𝘪𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘶𝘯𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘣𝘰𝘯𝘯𝘦𝘴 𝘮𝘢𝘪𝘯𝘴 », a-t-il ajouté. www.lecames.org/visite-de-courtoisie-des-ministres-maliens-et-togolais-en-charge-de-lenseignement... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝘂𝗲́ 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗧𝗼𝗴𝗼En marge du Forum National de la Recherche Scientifique et des Innovations Technologiques (FRSIT), tenu à Ouagadougou, le Secrétariat général du CAMES a eu l’honneur d’accueillir, les 23 et 24 octobre 2025, les Ministres en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche du Togo et du Mali, en visite de courtoisie au sein de l’Institution. Les délégations ministérielles ont été chaleureusement reçues par l’équipe de direction du Secrétariat général, conduite par le Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains (CCI), des Concours d’Agrégation et de l’Ordre International des Palmes Académiques (OIPA/CAMES), assurant l’intérim du Secrétaire Général du CAMES. Étaient également présents, le Directeur des Programmes en charge de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA et le Directeur des Affaires Administratives et Financières (DAAF) du CAMES, M. Issoufou SOULAMA. À l’issue des entretiens de travail, les délégations ont eu un échange convivial avec l’ensemble du personnel du Secrétariat général.𝗟𝗲 𝟮𝟯 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, le 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗚𝗮𝗱𝗼 𝗧𝗖𝗛𝗔𝗡𝗚𝗕𝗘𝗗𝗝𝗜, nouveau Ministre délégué auprès du Ministre de l’Éducation nationale, chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Togo, a honoré de sa présence le Secrétariat général du CAMES.Lors de son entretien avec l’équipe dirigeante, le Ministre a présenté l’objet de sa démarche. « 𝘈𝘺𝘢𝘯𝘵 𝘳𝘦́𝘤𝘦𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘳𝘪𝘴 𝘮𝘦𝘴 𝘧𝘰𝘯𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴, 𝘭’𝘰𝘤𝘤𝘢𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘮’𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘰𝘯𝘯𝘦́𝘦 𝘥’𝘦𝘧𝘧𝘦𝘤𝘵𝘶𝘦𝘳 𝘮𝘢 𝘱𝘳𝘦𝘮𝘪𝘦̀𝘳𝘦 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘰𝘧𝘧𝘪𝘤𝘪𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘢̀ 𝘖𝘶𝘢𝘨𝘢𝘥𝘰𝘶𝘨𝘰𝘶. 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘥𝘰𝘯𝘤 𝘷𝘦𝘯𝘶 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦́𝘤𝘩𝘢𝘯𝘨𝘦𝘳 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘙𝘦𝘴𝘱𝘰𝘯𝘴𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘨𝘳𝘢𝘯𝘥𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵𝘴 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘶𝘯𝘪𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵, 𝘯𝘰𝘵𝘢𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭’𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 7𝘦̀𝘮𝘦𝘴 𝘑𝘰𝘶𝘳𝘯𝘦́𝘦𝘴 𝘚𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 (𝘑𝘚𝘋𝘊) 𝘱𝘳𝘦́𝘷𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘮𝘢𝘳𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘤𝘩𝘢𝘪𝘯 𝘢𝘶 𝘛𝘰𝘨𝘰. 𝘊𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘳𝘦𝘯𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘭’𝘰𝘤𝘤𝘢𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘥𝘪𝘴𝘤𝘶𝘵𝘦𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘥𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́𝘴 𝘱𝘳𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘴𝘪𝘨𝘯𝘢𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘈𝘤𝘤𝘰𝘳𝘥 𝘥𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘦𝘯𝘢𝘳𝘪𝘢𝘵 𝘦𝘯 𝘷𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘵𝘦𝘯𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘪𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵𝘦 𝘮𝘢𝘯𝘪𝘧𝘦𝘴𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘲𝘶𝘪 𝘷𝘢 𝘳𝘦𝘨𝘳𝘰𝘶𝘱𝘦𝘳 𝘭’𝘦́𝘭𝘪𝘵𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘦𝘴𝘱𝘢𝘤𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘦𝘵 𝘥’𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘢̀ 𝘓𝘰𝘮𝘦́. », a-t-il précisé.Professeur Ali DOUMMA, assurant l’intérim du Secrétaire Général, a adressé au Ministre, ses chaleureuses félicitations pour sa nomination et a salué son engagement à renforcer la coopération entre le Togo et le CAMES. A l’issue de cet entretien, le Ministre a rencontré le personnel du Secrétariat général. Professeur TCHANGBEDJI, a exprimé sa joie d’avoir retrouvé ce qu’il a appelé « sa maison », le CAMES. « 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘦́𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘦́𝘮𝘶 𝘱𝘢𝘳 𝘭’𝘢𝘤𝘤𝘶𝘦𝘪𝘭 𝘤𝘩𝘢𝘭𝘦𝘶𝘳𝘦𝘶𝘹 𝘲𝘶𝘪 𝘮’𝘢 𝘦́𝘵𝘦́ 𝘳𝘦́𝘴𝘦𝘳𝘷𝘦́. 𝘓𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘪𝘣𝘶𝘦́ 𝘢̀ 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘴𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘢𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘥’𝘩𝘶𝘪. 𝘑𝘦 𝘳𝘦𝘱𝘢𝘳𝘴 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘢 𝘧𝘦𝘳𝘮𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘷𝘪𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘦𝘷𝘰𝘯𝘴, 𝘦𝘯𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦, 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘴𝘶𝘪𝘷𝘳𝘦 𝘭’œ𝘶𝘷𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘢𝘤𝘢𝘥𝘦́𝘮𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘦𝘯𝘵. 𝘜𝘯𝘪𝘴, 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘴𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘧𝘰𝘳𝘵𝘴, 𝘦𝘵 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘰𝘯𝘴 𝘩𝘪𝘴𝘴𝘦𝘳 𝘩𝘢𝘶𝘵 𝘭𝘦 𝘧𝘭𝘢𝘮𝘣𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘶 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘢𝘧𝘳𝘪𝘤𝘢𝘪𝘯. », a-t-il signifié avec émotion. www.lecames.org/visite-de-courtoisie-des-ministres-maliens-et-togolais-en-charge-de-lenseignement... ... See MoreSee Less
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5 days ago

Le CAMES
𝗟𝗲 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗹’𝗨𝗡𝗘𝗦𝗖𝗢 𝗲𝘁 𝗹’𝗜𝗥𝗗 𝗷𝗼𝗶𝗴𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝗳𝗳𝗼𝗿𝘁𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗢𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲Le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) et l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), a organisé avec succès, le 21 octobre 2025, un webinaire de haut niveau sur la Science Ouverte dans l’espace CAMES sur le thème « 𝘗𝘰𝘶𝘳𝘲𝘶𝘰𝘪 𝘦𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘰𝘶𝘵𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘭𝘢 𝘚𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘖𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭’𝘦𝘴𝘱𝘢𝘤𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 ? ». L’événement a rassemblé une centaine de Présidents et Recteurs d’Universités, Chercheurs, Responsables scientifiques et Experts issus des 19 pays membres du CAMES. Ce premier webinaire s’inscrit dans la perspective de la mise en place de la politique de Science Ouverte du CAMES.Dans son discours d’ouverture, Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES, représenté par le Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes responsable de l’Assurance Qualité, de la Recherche et du Partenariat, a souligné que cette initiative marque une étape importante dans la stratégie panafricaine de l’organisation. « 𝘓𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚, 𝘢̀ 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘦𝘳𝘴 𝘴𝘢 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭 𝘢𝘶𝘱𝘳𝘦̀𝘴 𝘥𝘦𝘴 𝘌́𝘵𝘢𝘵𝘴 𝘮𝘦𝘮𝘣𝘳𝘦𝘴, 𝘦𝘯𝘵𝘦𝘯𝘥 𝘱𝘭𝘦𝘪𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘫𝘰𝘶𝘦𝘳 𝘴𝘢 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘰𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘚𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘖𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘦, 𝘥𝘦 𝘭’𝘐𝘯𝘵𝘦𝘭𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘈𝘳𝘵𝘪𝘧𝘪𝘤𝘪𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘴𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳𝘢𝘪𝘯𝘦𝘵𝘦́ 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘵𝘦𝘯𝘢𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘹𝘵𝘦. », a-t-il indiqué.« 𝘓𝘢 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘦, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘦́𝘲𝘶𝘪𝘵𝘢𝘣𝘭𝘦, 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘱𝘢𝘳𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘪𝘯𝘤𝘭𝘶𝘴𝘪𝘷𝘦, 𝘲𝘶𝘪 𝘳𝘦𝘭𝘪𝘦 𝘭𝘢 𝘙𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘦́𝘵𝘦́. 𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘮𝘦𝘵 𝘢̀ 𝘤𝘩𝘢𝘤𝘶𝘯 𝘥’𝘢𝘤𝘤𝘦́𝘥𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳, 𝘥𝘦 𝘭𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘦 𝘳𝘦́𝘶𝘵𝘪𝘭𝘪𝘴𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘴𝘦𝘳𝘷𝘪𝘤𝘦 𝘥𝘶 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘶𝘯. », a précisé Dr Dimitri SANGA, Directeur du Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique de l’Ouest, dans son allocution. Dans ses propos, il a tenu à rappeler l’importance de la Science Ouverte comme levier de justice cognitive et de développement durable.Dr Philippe CHARVIS, Directeur Délégué à la Science de l’IRD, a, quant à lui, mis en avant l’engagement historique de son Institution. « 𝘋𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘥𝘦 𝘵𝘳𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘢𝘯𝘴, 𝘭’𝘐𝘙𝘋 𝘴’𝘦𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥’𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘢𝘨𝘦́𝘦, 𝘤𝘰𝘱𝘳𝘰𝘥𝘶𝘪𝘵𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘊𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘥𝘶 𝘚𝘶𝘥. 𝘊𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘦𝘯𝘢𝘳𝘪𝘢𝘵 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦 𝘊𝘈𝘔𝘌𝘚 𝘦𝘵 𝘭’𝘜𝘕𝘌𝘚𝘊𝘖 𝘷𝘪𝘴𝘦 𝘢̀ 𝘣𝘢̂𝘵𝘪𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘦́𝘤𝘰𝘴𝘺𝘴𝘵𝘦̀𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘙𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘴, 𝘴𝘰𝘭𝘪𝘥𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘶𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴. », a-t-il souligné.Le webinaire, modéré par Mme Kornelia TZINOVA de l’UNESCO et M. Zakari LIRÉ du CAMES, comportait deux sessions, dont une présentation sur la recommandation de l’UNESCO de 2021 et une table ronde sur les pratiques de Science Ouverte.Le CAMES, l’UNESCO et l’IRD ont convenu de poursuivre cette dynamique à travers un cycle de webinaires thématiques et des ateliers de renforcement de capacités. 𝗥𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲𝘀 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗲𝘀 :- Questionnaire post-webinaire (CAMES-UNESCO-IRD) : forms.gle/Ard4mupqY3HtD2dh9- Recommandation de l’UNESCO sur la science ouverte (2021) : unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000379949_freEn savoir plus : www.lecames.org/le-cames-lunesco-et-lird-joignent-leurs-efforts-pour-la-promotion-de-la-science-o... ... See MoreSee Less
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5 days ago

Le CAMES
𝗛𝗼𝗺𝗺𝗮𝗴𝗲 𝗮𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿 𝗝𝗲𝗮𝗻-𝗟𝗼𝘂𝗶𝘀 𝗔𝗯𝗱𝗼𝘂𝗿𝗮𝗵𝗶𝗺 𝗡𝗗𝗜𝗔𝗬𝗘Le Secrétariat général du CAMES exprime sa profonde tristesse à l’annonce du décès du Professeur Jean-Louis Abdourahim NDIAYE, survenu le 25 octobre 2025 à Dakar.Le Professeur Jean-Louis Abdourahim NDIAYE était Professeur Titulaire du CAMES en Parasitologie Mycologie à l’Unité de Formation et de Recherche des Sciences de la Santé de l’Université Iba Der Thiam de Thiès, où il officiait en tant que Vice-Recteur chargé de la Recherche, de l’Innovation scientifique et de la coopération. Ses travaux sur le paludisme ont été mondialement reconnus et ont contribué à l’avancée des connaissances dans le domaine. Professeur Jean-Louis Abdourahim NDIAYE était également un éminent membre du Programme Thématique de Recherche Santé du CAMES.Au nom de toute l’Institution, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, rend un hommage appuyé à l’illustre disparu et adresse, au nom du CAMES, ses sincères condoléances à sa famille biologique, à ses collègues, ainsi qu’à toute la communauté universitaire et scientifique du Sénégal.www.lecames.org/hommage-au-professeur-jean-louis-abdourahim-ndiaye/ ... See MoreSee Less
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6 days ago

Le CAMES
𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑫𝒓𝒐𝒊𝒕 𝑷𝒖𝒃𝒍𝒊𝒄 ... See MoreSee Less
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𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐮 𝟐𝟐𝐞̀𝐦𝐞 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐀𝐠𝐫𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐉𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐂𝐀𝐌𝐄𝐒La première épreuve du 22ème Concours d'Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion du CAMES se déroule du 18 au 28 octobre 2025 depuis les Centres d'examen nationaux des différents pays.𝑫𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́: 𝑺𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑰𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒆𝒕 𝑺𝒄𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑮𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏 ... See MoreSee Less
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