Le concours d’agrégation du CAMES, un modèle institutionnel pour l’Afrique ?


Le 29 mars 2022, The Conversation a consacré , une rubrique aux Concours d’agrégation du CAMES. Le journal relate quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.


Nous vous proposons l’intégralité de l’interview

Le concours d’agrégation du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES) est un événement universitaire et institutionnel d’importance. Nous l’abordons ici via quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.

Quelques mots sur le CAMES et sa genèse

Le Conseil est une institution internationale qui se concentre sur cinq missions principales. Insistons tout d’abord sur l’histoire du CAMES, qui fut pensé comme un organisme de coordination de l’Enseignement supérieur dans les pays d’expression française d’Afrique et de Madagascar.

L’idée de sa création remonte aux premières années des indépendances. Lors de la Conférence de Niamey, les 22 et 23 janvier 1968, les chefs d’État de l’L’Organisation commune africaine et malgache (OCAM vont décider de la création du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur afin, notamment, de développer la francophonie, la solidarité et la coopération interafricaine.

Le Conseil rassemble une vingtaine d’États francophones d’Afrique et de l’océan Indien. Ses statuts ont été adoptés le 26 avril 1972 à Lomé. Les textes furent ensuite actualisés – notamment sur l’agrégation – pour que le Conseil des ministres du CAMES les adopte en avril 2000 lors de sa 17e Session à Antananarivo.

Quelques mots sur l’agrégation et ses concours

Il existe deux familles de concours. Nous abordons dans ce papier non pas celle des Concours d’agrégation de médecine humaine, pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire et productions animales mais plutôt celle des Concours d’agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion. Cette dernière existe depuis 1983. Les épreuves s’adressent à des enseignants-chercheurs en poste sur le continent. Depuis 2017, ils doivent être inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de maitre-assistant (LAFMA).

Son organisation est spectaculaire. Il n’existe en effet pas d’évènement académique comparable en Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion qui réunisse en un seul lieu et une seule quinzaine autant de pays, de candidats, de jurés, de coachs, de collègues et d’administratifs. Cette dimension internationale et institutionnelle ne se retrouve guère ailleurs, ni en Afrique, ni en Europe.

Cet événement a lieu tous les deux ans en novembre. En novembre 2019, c’était à Ouagadougou. Du 4 au 17 novembre 2021, ce fut à Cotonou. À l’issue des trois épreuves, 77 candidats ont obtenu l’agrégation sur 198 candidats inscrits. L’Afrique compte donc 77 « maîtres de conférences agrégés » supplémentaires.

Notons qu’en sciences de gestion, les Sénégalais, les Camerounais, les Malgaches et les Burkinabé ont plutôt bien réussi, avec un bon ratio inscrits/agrégés.

Quelques échanges entre trois candidats et deux jurés

Trois candidats et deux membres du jury, tous en sciences de gestion, répondent ici à de simples questions et ouvrent leur « carnet de notes ».

# Quelles sont vos principales impressions ?

Après quelques jours de repos, nos impressions sont à la fois d’ordre opérationnel et académique. D’un point de vue opérationnel tout d’abord, c’est pour les membres du jury beaucoup de travail en amont, notamment en matière de préparation et d’expertise par binôme, sur chacun des 44 dossiers d’agrégatifs déposés sur la plate-forme du CAMES pour que tout se passe au mieux le jour J, et surtout lors de la leçon 1, celle dite « sur travaux », qui nous mobilise pendant une heure avec le candidat ou la candidate. Ensuite, ce travail continue sur place, notamment à partir de la sous-admissibilité ce qui correspondait, à Cotonou, à 27 candidats.

D’un point de vue académique ensuite, c’est surtout la sensation de passer dix jours en immersion totale – nous dirions presque nuit et jour – dans le cadre d’un événement majeur qui draine des candidats, des coaches et des collègues venant de Dakar à Antananarivo.

Réponses des trois candidats (Angélique Ngaha Bah, Robert Bationo et Abdou-Karim Faye)

Après deux années de préparation, le 4 novembre marque officiellement le lancement du concours pour dix jours. Durant cette période nous avons d’abord été impressionnés par, l’incroyable solidarité, l’entre-aide et la fraternité entre candidats, quel que soit le pays de provenance. En effet, rien ne se fait seul : le partage d’informations et de documents, les déplacements pour se rendre au centre d’examen, faire des courses, aller au restaurant, etc.

Ensuite, la puissance institutionnelle du CAMES (dont le secrétaire général venait de décéder quelques jours avant le concours) nous a beaucoup marqués. En effet, sa capacité à mobiliser 17 pays avec une organisation logistique sans faille a été exemplaire.

Enfin, la ténacité du jury nous a épatés ! Nous présumions une fatigue générale de celui-ci dès la fin de la première épreuve eu égard au nombre pléthorique de candidats et à la longueur des épreuves. Mais, à aucun moment du concours, une baisse d’attention de leur part n’a été ressentie, au contraire ! Ce sentiment est partagé par l’ensemble des candidats. Durant toutes les épreuves nous étions toujours surpris par leur vivacité, quelle que soit l’heure de passage du candidat…

Réponses des deux professeurs (Roger-Jules Feudjo et Marc Bidan)

# Quels furent les points forts de ce concours ?

Tout d’abord, le nombre de candidats inscrits en sciences de gestion – 44 dossiers déposés et un seul candidat absent à Cotonou – met en évidence l’attractivité de la discipline.

L’un des points forts, c’est que l’ensemble des dossiers a pu être traité qualitativement. À la fois techniquement, grâce à une plate-forme informatique intuitive et bien documentée, et académiquement, grâce à la mobilisation des sept membres du jury efficacement présidé par le Pr. Augustin Anassé de Bouaké en Côte d’Ivoire. Grâce à la diversité des membres du jury, chaque dossier a pu être expertisé par deux membres dont l’un au moins était de la sous-spécialité du candidat.

Un autre point fort fut l’organisation matérielle du concours à Cotonou avec des conditions de travail de bonne qualité (salle, calme, climatisation, wifi, rafraîchissement, documentation, etc.) – et ce malgré le contexte sanitaire et le nombre important de candidats.

Un dernier point fort – et non des moindres – était l’ampleur, la diversité et le niveau des débats lors des délibérations. Les débats sur la notation de la qualité des publications, la qualité des supports de publication, la pugnacité du candidat dans la défense de ses travaux, étaient parfois délicats, d’où l’importance du président de jury pour mener les débats et parvenir à une note consensuelle.

Réponse des deux professeurs

D’abord, le nombre d’admis en sciences de gestion, comparativement aux autres spécialités, constitue un motif de satisfaction. Ensuite, l’accompagnement institutionnel dont ont bénéficié certains candidats, comme les Sénégalais ou les Camerounais, a été un atout de taille. Le soutien indéfectible des coachs et de la famille à distance a aussi été déterminant. Après, nous notons l’environnement général du concours au sein de la faculté de médecine, propre, bien aérée, avec une bonne ambiance et un soutient permanent des accompagnateurs.

La diffusion rapide des informations sur le déroulement du concours, des résultats des épreuves en ligne via le site du CAMES est aussi à saluer. Enfin, la bienveillance du jury, qui prenait souvent le temps de mettre à l’aise le candidat juste avant sa prestation est particulièrement appréciable. Le temps entre le tirage et la découverte du sujet tiré, tu as l’impression d’être en enfer. Ce qui est touchant, c’est que le jury vous encourage par le regard comme s’il voulait vous dire « vas-y, tu peux y arriver » !

Réponses des trois candidats

# Quels furent vos moments de difficulté lors de ce concours ?

Tout d’abord, nous noterons, même si cela peut paraître anecdotique, la chaleur et l’humidité du littoral béninois. Ces conditions nous ont en effet obligés à nous installer dans les salles climatisées de la faculté de pharmacie durant de longues journées afin de ne pas trop se dépenser et se fatiguer pour rester éveillés en termes intellectuels et physiques tout au long des passages des candidats. De plus, les hôtels étaient dispersés et parfois éloignés du site, ce qui a impacté nos temps de trajet. Enfin, le nombre de candidats en gestion (44 à la première épreuve et 27 à partir de la seconde) nous a mécaniquement interdit toute escapade touristique en dehors de la route des Pêches et du riche et original village artisanal… mais nous reviendrons !

Réponses des deux professeurs

À quelques jours du départ sur Cotonou, il fallait partir à l’aéroport avec un test PCR négatif au Covid-19. Ce fut un moment compliqué à gérer. Mais, tout au long de ce concours, le plus difficile a été la gestion du stress et du sommeil. En effet, les veilles du tirage de la lettre qui détermine l’ordre de passage des candidats, de chaque épreuve et de chaque délibération, nous n’arrivions pas à fermer l’œil. On les appelle désormais les « 7 nuits sans sommeil du concours d’agrégation ». En outre, le stress était permanent et encore plus dense au centre d’examen, et particulièrement en loge. Cet endroit, avec ses tables rapprochées et des tas de livres qui y sont superposés pêle-mêle, était appelé « le stressodrôme ».

Certains candidats pratiquaient du sport pendant que d’autres méditaient ou encore consommaient des vitamines C ou des somnifères. À la fin du processus, c’est un « ouf » de soulagement : le retour dans nos foyers est imminent. Nous allons enfin pouvoir relâcher la pression et nous reposer !

Réponses des trois candidats

# Quelles sont vos prochaines étapes désormais ?

Nous devons inciter les agrégés à ne pas stopper leurs efforts et à publier, à s’impliquer, à encadrer, etc. Nous avons un travail de suivi à assurer. De plus, nous devons aussi inciter les non-agrégés à ne pas baisser les bras. Nous les avons reçus en face à face et nous restons disponibles, car le concours est sélectif. Il faut qu’ils se représentent dans deux ans, après avoir étoffé leur dossier avec des publications et du rayonnement dans la discipline. Ne pas négliger non plus de s’entraîner pour chacune des épreuves comme un sportif de haut niveau le ferait… Il faut arriver en forme intellectuelle et physique le jour J.

Enfin, en tant que membres du jury, nous sommes à la disposition du président – s’il a besoin de nous en novembre 2023 – et nous devons donc rester en éveil, sur le plan académique bien sûr mais aussi institutionnel car nos écosystèmes évoluent vite et le CAMES en est le reflet interrégional. En tous cas, ce fut un beau concours et une belle cérémonie de clôture à Cotonou.

Réponses des deux professeurs

L’admission au concours d’agrégation est un événement majeur. Elle fait naître de nouvelles responsabilités pour le néo-agrégé notamment, dans l’accompagnement et l’encadrement de jeunes collègues doctorants. Cette immense responsabilité doit aller de pair avec une amélioration qualitative et quantitative de nos publications et productions pédagogiques. C’est ainsi que nous nous sommes inscrits dans une logique de recherche en réseaux entre collègues de même pays mais également de pays différents liés au CAMES.

La rédaction de ce court récit entre deux jurés et trois candidats entre dans ce cadre. De même, un groupe WhatsApp regroupant tous les admis en gestion a été créé pour permettre aux collègues de mieux se connaître, de partager et de développer des initiatives et travaux de recherche d’intérêt commun. Dans cette dynamique, nous centrons actuellement nos réflexions sur un projet d’ouvrage collectif en lien avec nos thématiques de recherche. On est ensemble !

Réponses des trois candidats

Source : https://theconversation.com/le-concours-dagregation-du-cames-un-modele-institutionnel-pour-lafrique-176280

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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗲𝗻 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗮𝘂 𝗠𝗔𝗥𝗢𝗖 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗳𝗮𝘃𝗲𝘂𝗿 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱’𝗔𝗱𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝗰𝗮𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗲 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗼𝗽𝗵𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 (𝗔𝗜𝗙𝗦)Du 𝟭𝟳 𝗮𝘂 𝟮𝟬 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a effectué une mission au Maroc afin de participer au 2ème Conseil d’Administration de l’Académie Internationale de la Francophonie Scientifique (AIFS), qui s’est tenu à Rabat. Ce séjour a également été l’occasion pour le Secrétaire Général de participer à différentes activités en relation avec la rencontre de l’AIFS sur le sol Le 𝟭𝟵 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, le Secrétaire Général du CAMES a participé à la 2ème réunion du Conseil d’Administration de l’AIFS. Cette réunion a permis de discuter des réalisations de l’AIFS, depuis la dernière réunion de son Conseil d’Administration.Ce fut l’occasion pour le Secrétaire Général de féliciter l’AIFS pour les activités menées en une année. Il est par ailleurs revenu sur les actions du CAMES qui rejoignent certains objectifs de l’AIFS, et pour lesquels une collaboration entre les deux Institutions s’avère indispensable. Cette mission fut également l’occasion pour le Secrétaire Général de rencontrer différentes personnalités du monde académique dans le cadre de la stratégie de développement de partenariat de notre Institution commune. Il s’agit notamment : du Président du Réseau des Académies Africaines des Sciences, du Président de l’Université de Nouakchott en Mauritanie, du Recteur de l’Université du Cap Vert, du Directeur Général de l’Université des Mascareignes aux Îles Maurice, de la Directrice Générale de l’IRD en France et de la Présidente de l’HCÉRES en France.En marge de la réunion du Conseil d’Administration, le Secrétaire Général a également pris part, le 𝟭𝟴 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, à un atelier organisé par l’AUF sur les formations aux Industries Culturelles et Créatives (ICC), au cours duquel il a délivré le mot du CAMES à la cérémonie officielle d’ouverture. Le Secrétaire Général est également intervenu à la suite de la présentation des résultats d’une étude sur la cartographie des ICC. www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-en-mission-au-maroc-a-la-faveur-du-conseil-dadmini... ... See MoreSee Less
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2 days ago

Le CAMES
𝗔𝗻𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗰𝗮𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Le 𝟭𝟱 𝗼𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 marquera le lancement académique de la première épreuve du 22ème Concours d’Agrégation en Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion, organisé par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES).La cérémonie officielle de lancement se déroulera en visioconférence, depuis l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), qui accueillera les deuxième et troisième épreuves du Concours en novembre prochain. Cette cérémonie académique sera présidée par le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, en présence du Vice-président du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES, Professeur Gérard GRESENGUET, du Président Coordonnateur Général des jurys, Professeur Pam ZAHONOGO, du Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, Professeur Ali DOUMMA, du Recteur de l’UCAD, Professeur Alioune Badara KANDJI, des membres des jurys, des candidats ainsi que de différentes personnalités du monde académique.Cette cérémonie s’articulera autour des discours des officiels dont le mot de lancement du Secrétaire Général du CAMES, du rappel des textes statutaires par le Directeur des Programmes en charge des Concours d’Agrégation, de l’appel des candidats et du tirage au sort de la lettre alphabétique qui déterminera l’ordre de passage des candidats devant les jurys.www.lecames.org/annonce-du-lancement-academique-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗡𝗼𝘁𝗲 𝗱’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗖𝗖𝗜-𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, porte à l’attention des Responsables des Institutions d’Enseignement supérieur et/ou de Recherche (IESR), des membres des Comités Techniques Spécialisés (CTS), des candidats ainsi qu’à l’ensemble des parties prenantes, des informations utiles relatives aux Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES. Ces informations, contribueront à l’amélioration de la qualité des dossiers, lors des sessions ultérieures des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES.𝗧𝗲́𝗹𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗲 : www.lecames.org/note-dinformation-a-lattention-des-commissions-institutionnelles-et-des-candidats... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗔̀ 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝗜𝗘𝗦𝗥 : 𝗹’𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲𝗻 𝗕𝗶𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗔𝗽𝗽𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 (𝗜𝗥𝗕𝗔𝗚)Pour notre rubrique de mise en lumière des IESR de l’espace CAMES, la rédaction du Lundi CAMES vous invite à découvrir l’Institut de Recherche en Biologie Appliquée de Guinée (IRBAG), à travers l’interview de son Directeur Général, Professeur Mohamed Sahar TRAORÉ.𝗠𝗲𝗿𝗰𝗶 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿 𝗮̀ 𝗻𝗼𝘀 𝗹𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀Je suis Professeur Mohamed Sahar TRAORÉ, Enseignant-chercheur à la Faculté des Sciences et Techniques de la Santé de l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry et Directeur Général de l’Institut de Recherche en Biologie Appliquée de Guinée. Je suis par ailleurs, le Rapporteur Général Adjoint du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES.𝗣𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲?L’Institut de Recherche en Biologie Appliquée de Guinée (IRBAG), connu sous le nom de Pastoria est un établissement public à vocation scientifique, régi par la Loi L/2024/0016/CNT du 24 janvier 2024 relative aux statuts spécifiques des Institutions d’Enseignement supérieur, de Recherche scientifique, en République de Guinée. Basé dans la préfecture de Kindia, en Basse Guinée, il a été créé par le Professeur Albert Calmette en 1922 sous le nom d’Institut Pasteur de Kindia. Il deviendra Institut de Recherche en Biologie Appliquée de Guinée-Pastoria suite à une convention entre l’Institut Pasteur de Paris et le Ministère de la Santé de la République de Guinée à la date du 7 Avril 1965.La mission principale de l’IRBAG-Pastoria est de promouvoir et de développer la Recherche en biologie, tant fondamentale qu’appliquée, en Guinée. Ses activités couvrent notamment l’étude des maladies virales et parasitaires touchant les humains et les animaux, ainsi que des Recherches herpétologiques y compris la gestion des envenimations par morsure de serpents. www.lecames.org/a-la-decouverte-de-nos-iesr-institut-de-recherche-en-biologie-appliquee-de-guinee... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗿𝗲𝗰̧𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗦.𝗘.𝗠. 𝗖𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗘𝗡𝗚𝗢𝗡𝗚𝗔 𝗡𝗚𝗨𝗘𝗠𝗔 𝗢𝗡𝗚𝗨𝗘𝗡𝗘, 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗘́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗽𝗼𝗿𝘁𝘀, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲𝗗𝘂 𝟵 𝗮𝘂 𝟭𝟯 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, une mission de travail a été menée en République de Guinée Équatoriale par une délégation du CAMES, conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, avec à ses côtés le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, Pr Ali DOUMMA, et celui en charge de la Reconnaissance et l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche, Pr Saturnin ENZONGA YOCA. Dans le cadre de cette mission, la délégation a été reçue en audience, 𝗹𝗲 𝟭𝟭 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, par Son Excellence Monsieur Clemente ENGONGA NGUEMA ONGUENE, Ministre d’État, Ministre de l’Éducation, des Sciences, de l’Enseignement professionnel et des Sports.Cette rencontre s’est tenue dans les locaux de la Primature à Bata, en présence de plusieurs hauts Responsables, notamment les Vices-ministres et les Directeurs Généraux en charge de l’éducation, des sciences, ainsi que la Déléguée régionale du Ministère chargé de la coopération internationale.Après les salutations protocolaires, Son Excellence Monsieur le Ministre d’État, a exprimé sa profonde satisfaction de recevoir, pour la première fois depuis l’adhésion de la République de Guinée Équatoriale au CAMES en 2010, une délégation de haut niveau de ladite Institution.A la suite de son propos, le Secrétaire Général du CAMES, a chaleureusement remercié le Ministre d’État pour l’honneur de cette audience et la qualité de l’accueil réservé à sa délégation. Le Secrétaire Général a par ailleurs décliné l’objet de cette visite, à savoir échanger avec le Gouvernement équato-guinéen et les différents acteurs de l’Enseignement supérieur de ce pays membre de l’Institution depuis 2010 sur : (i) la nouvelle vision et le Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024-2028, (ii) les voies et moyens pour une participation effective et entière de la Guinée Équatoriale à toutes les activités statutaires du CAMES, (iii) les attentes de ces différents acteurs vis-à-vis du CAMES.Au terme d’un exposé étoffé sur le CAMES, le Secrétaire Général a formulé plusieurs doléances à l’endroit du Ministre d’État. Il s’agit notamment, de l’accueil par la République de Guinée Équatoriale de la prochaine réunion extraordinaire du Comité Consultatif Général (CCG) du CAMES ; et de la désignation d’un point focal national chargé d’assurer la liaison avec le Secrétariat général de l’Institution.www.lecames.org/une-delegation-du-cames-conduite-par-son-secretaire-general-recue-en-audience-par... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦, 𝗣𝗿 𝗦𝗼𝘂𝗹𝗲𝘆𝗺𝗮𝗻𝗲 𝗞𝗢𝗡𝗔𝗧𝗘́, 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗥𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲Dans le cadre de sa mission de travail en Guinée Équatoriale, la délégation du CAMES conduite par son Secrétaire Général, Pr Souleymane KONATÉ, a eu une série de rencontres avec les Responsables académiques des Universités publiques de Guinée Équatoriale.La délégation du CAMES a ainsi rencontré, 𝗹𝗲 𝟭𝟬 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, les Responsables académiques de l’Université Afro-américaine d’Afrique centrale (AAUCA) à Djibloho.Cette rencontre s’est déroulée en présence du Vice-ministre chargé de l’Enseignement supérieur de la République de Guinée Équatoriale, M. Vincente NSUE MENGUE NSUE et de plusieurs cadres dudit Ministère. Le Vice-ministre a rappelé l’objet de cette rencontre qui est, entre autres, de discuter directement avec les Institutions d’Enseignement supérieur et de Recherche du pays, en vue de consolider les relations entre le CAMES et la Guinée Équatoriale. L’université Afro-américaine d’Afrique centrale a été ensuite présentée par son Recteur, Pr Paulo SPELLER.Le Secrétaire Général du CAMES a par la suite, dans son mot introductif, tenu à présenter ses vifs remerciements au Vice-ministre pour avoir initié cette rencontre et pour son accompagnement personnel lors de ses importantes visites de terrain.𝗟𝗲 𝟭𝟭 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, la délégation du CAMES a visité les locaux de l’Université Nationale de Guinée Équatoriale (UNGE) à Bata. Lors de cette visite la délégation, accompagnée du Vice-recteur de l’UNGE à Bata et du Directeur Général de la Coopération internationale (Point focal national CAMES), a visité la Faculté de Médecine et la Faculté des Sciences de l’éducation de ladite Université.𝗟𝗲 𝟭𝟮 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, a été l’occasion pour la délégation du CAMES de visiter l’Université Nationale de Guinée Équatoriale (UNGE), dans les locaux de ladite Université à Malabo.Dans son mot introductif, le Recteur de l’UNGE, M. Filiberto Ntutumu NGUEMA NCHAMA, entouré de ses collaborateurs, a souhaité la bienvenue à la délégation du CAMES tout en exprimant toute sa satisfaction d’échanger directement avec le Secrétaire Général du CAMES en vue de mieux cerner les missions de l’Institution. Cette rencontre a également été l’occasion pour le Recteur de l’UNGE de partager avec la délégation du CAMES les difficultés auxquelles les Universités africaines font face. Saisissant cette occasion, le Secrétaire Général du CAMES, précisant la place prépondérante des questions de gouvernance des Universités dans les réunions du Comité Consultatif Général (CCG), a fortement invité les Responsables d’IESR à y participer activement à l’avenir.En marge de cette visite, la délégation du CAMES a effectué une visite de courtoisie au Ministre délégué de la Santé et du Bien-être social, M. Práxedes Rabat Makambo.www.lecames.org/le-secretaire-general-du-cames-pr-souleymane-konate-rencontre-les-responsables-de... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 𝗮𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝗮𝘁 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗲𝗻 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲 𝗘́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲Dans le cadre de sa mission de travail en République de Guinée Équatoriale, le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a effectué, le 13 septembre 2025, une visite de courtoisie à Son Excellence Monsieur le Consul Général du Burkina Faso auprès de la République de Guinée Équatoriale, dans les locaux du Consulat Général à Malabo.Il était accompagné du Professeur Ali DOUMMA, Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation et de l’OIPA/CAMES, ainsi que du Professeur Saturnin ENZONGA YOCA, Directeur des Programmes en charge de la Reconnaissance et de l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche.À l’occasion de cette rencontre, le Secrétaire Général a exprimé ses civilités à Son Excellence Monsieur Filatiéni COULIBALY, Consul Général, et a adressé ses vifs remerciements à l’ensemble du personnel du Consulat pour son implication active dans les préparatifs de la mission du CAMES en Guinée Équatoriale. Il a également tenu à traduire toute sa reconnaissance pour l’accueil chaleureux réservé à la délégation à son arrivée en République de Guinée Équatoriale. Il a par ailleurs présenté une synthèse des échanges tenus avec les autorités équato-guinéennes, axés sur le renforcement de la coopération entre le CAMES et la République de Guinée Équatoriale.www.lecames.org/visite-de-courtoisie-du-secretaire-general-du-cames-au-consulat-general-du-burkin... ... See MoreSee Less
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𝗩𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 œ𝘂𝘃𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗯𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗮𝗴𝗲 𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗮 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼Dans le cadre du processus d’opérationnalisation de son Plan Stratégique de Développement 2024-2028, notamment dans le domaine de l’amélioration de sa gouvernance, le CAMES à initié un processus de passage à une gestion de type « budget programme ». C’est dans ce contexte qu’une importante rencontre s’est tenue le vendredi 26 septembre 2025, au siège du CAMES, avec des responsables de la Direction Générale du Budget, du Ministère de l’Économie et des Finances du Burkina Faso.Cette séance de travail stratégique visait à jeter les bases techniques et institutionnelles de la mise en place de ce nouveau modèle de gestion axé sur la performance, conformément aux standards de transparence et de redevabilité exigés dans la gestion publique moderne.Professeur Souleymane KONATÉ, Secrétaire Général du CAMES, pour ouvrir cette session, a exprimé sa gratitude à l’endroit de l’équipe de la DGB pour sa disponibilité et son engagement à accompagner le CAMES dans cette dynamique d’amélioration de la gouvernance financière. Il a, à cet effet, rappelé l’importance de cette transition vers l’approche budget programme, levier essentiel de la performance institutionnelle, avant de présenter la vision stratégique du CAMES, ses Programmes statutaires ainsi que les grandes orientations du Plan Stratégique de Développement du CAMES (PSDC 2024–2028).Prenant la parole à son tour, le Directeur des Réformes Budgétaires du Burkina Faso a salué l’initiative du CAMES et s’est réjoui de la volonté manifeste de l’Institution à s’inscrire dans une logique de résultats. Il a notamment souligné le fort engagement de l’équipe dirigeante, qu’il considère comme un acquis majeur pour la réussite de la mise en œuvre du budget programme. Il a également relevé la pertinence du PSDC 2024–2028, qui constitue une base solide pour une déclinaison cohérente de la vision du CAMES en une politique budgétaire axée sur les résultats, facilitant ainsi l’évaluation de la performance à la fin de chaque exercice budgétaire. www.lecames.org/vers-la-mise-en-oeuvre-du-budgetprogramme-au-cames-une-rencontre-de-cadrage-tenue... ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗩𝗶𝗿𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗲𝗻 𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a accordé une audience le 26 septembre 2025, au Président de l’Université Virtuelle du Burkina Faso (UV-BF), Dr (MC) Oumarou ZALLÉ, accompagné de ses collaborateurs, Pr Tizane DAHO et M. Armand TENKODOGO. Cette rencontre s’est tenue en présence du Directeur des Programmes en charge de la Reconnaissance et de l’Équivalence des Diplômes, de l’Assurance Qualité et des Programmes Thématiques de Recherche, Professeur Saturnin ENZONGA YOCA.L’objectif principal de cette visite était de présenter les civilités de l’équipe dirigeante de l’UV-BF au Secrétaire Général et d’échanger sur les mécanismes à mettre en place pour une prise en compte effective des candidatures des Enseignants-chercheurs et Chercheurs de l’Université Virtuelle du Burkina Faso aux prochaines évaluations du CAMES.Au terme de discussions constructives, la délégation de l’UV-BF s’est dite rassurée et satisfaite de l’écoute attentive du Secrétaire Général ainsi que de la disponibilité manifeste du CAMES à accompagner l’Université. Le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, a réaffirmé la volonté de collaboration du CAMES avec l’ensemble des IESR des pays membres, dont l’UV-BF.www.lecames.org/le-president-de-luniversite-virtuelle-du-burkina-faso-recu-en-audience-par-le-sec... ... See MoreSee Less
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