Le concours d’agrégation du CAMES, un modèle institutionnel pour l’Afrique ?


Le 29 mars 2022, The Conversation a consacré , une rubrique aux Concours d’agrégation du CAMES. Le journal relate quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.


Nous vous proposons l’intégralité de l’interview

Le concours d’agrégation du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES) est un événement universitaire et institutionnel d’importance. Nous l’abordons ici via quelques faits et échanges entre candidats et membres du jury dans la discipline des sciences de gestion.

Quelques mots sur le CAMES et sa genèse

Le Conseil est une institution internationale qui se concentre sur cinq missions principales. Insistons tout d’abord sur l’histoire du CAMES, qui fut pensé comme un organisme de coordination de l’Enseignement supérieur dans les pays d’expression française d’Afrique et de Madagascar.

L’idée de sa création remonte aux premières années des indépendances. Lors de la Conférence de Niamey, les 22 et 23 janvier 1968, les chefs d’État de l’L’Organisation commune africaine et malgache (OCAM vont décider de la création du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur afin, notamment, de développer la francophonie, la solidarité et la coopération interafricaine.

Le Conseil rassemble une vingtaine d’États francophones d’Afrique et de l’océan Indien. Ses statuts ont été adoptés le 26 avril 1972 à Lomé. Les textes furent ensuite actualisés – notamment sur l’agrégation – pour que le Conseil des ministres du CAMES les adopte en avril 2000 lors de sa 17e Session à Antananarivo.

Quelques mots sur l’agrégation et ses concours

Il existe deux familles de concours. Nous abordons dans ce papier non pas celle des Concours d’agrégation de médecine humaine, pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire et productions animales mais plutôt celle des Concours d’agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion. Cette dernière existe depuis 1983. Les épreuves s’adressent à des enseignants-chercheurs en poste sur le continent. Depuis 2017, ils doivent être inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de maitre-assistant (LAFMA).

Son organisation est spectaculaire. Il n’existe en effet pas d’évènement académique comparable en Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion qui réunisse en un seul lieu et une seule quinzaine autant de pays, de candidats, de jurés, de coachs, de collègues et d’administratifs. Cette dimension internationale et institutionnelle ne se retrouve guère ailleurs, ni en Afrique, ni en Europe.

Cet événement a lieu tous les deux ans en novembre. En novembre 2019, c’était à Ouagadougou. Du 4 au 17 novembre 2021, ce fut à Cotonou. À l’issue des trois épreuves, 77 candidats ont obtenu l’agrégation sur 198 candidats inscrits. L’Afrique compte donc 77 « maîtres de conférences agrégés » supplémentaires.

Notons qu’en sciences de gestion, les Sénégalais, les Camerounais, les Malgaches et les Burkinabé ont plutôt bien réussi, avec un bon ratio inscrits/agrégés.

Quelques échanges entre trois candidats et deux jurés

Trois candidats et deux membres du jury, tous en sciences de gestion, répondent ici à de simples questions et ouvrent leur « carnet de notes ».

# Quelles sont vos principales impressions ?

Après quelques jours de repos, nos impressions sont à la fois d’ordre opérationnel et académique. D’un point de vue opérationnel tout d’abord, c’est pour les membres du jury beaucoup de travail en amont, notamment en matière de préparation et d’expertise par binôme, sur chacun des 44 dossiers d’agrégatifs déposés sur la plate-forme du CAMES pour que tout se passe au mieux le jour J, et surtout lors de la leçon 1, celle dite « sur travaux », qui nous mobilise pendant une heure avec le candidat ou la candidate. Ensuite, ce travail continue sur place, notamment à partir de la sous-admissibilité ce qui correspondait, à Cotonou, à 27 candidats.

D’un point de vue académique ensuite, c’est surtout la sensation de passer dix jours en immersion totale – nous dirions presque nuit et jour – dans le cadre d’un événement majeur qui draine des candidats, des coaches et des collègues venant de Dakar à Antananarivo.

Réponses des trois candidats (Angélique Ngaha Bah, Robert Bationo et Abdou-Karim Faye)

Après deux années de préparation, le 4 novembre marque officiellement le lancement du concours pour dix jours. Durant cette période nous avons d’abord été impressionnés par, l’incroyable solidarité, l’entre-aide et la fraternité entre candidats, quel que soit le pays de provenance. En effet, rien ne se fait seul : le partage d’informations et de documents, les déplacements pour se rendre au centre d’examen, faire des courses, aller au restaurant, etc.

Ensuite, la puissance institutionnelle du CAMES (dont le secrétaire général venait de décéder quelques jours avant le concours) nous a beaucoup marqués. En effet, sa capacité à mobiliser 17 pays avec une organisation logistique sans faille a été exemplaire.

Enfin, la ténacité du jury nous a épatés ! Nous présumions une fatigue générale de celui-ci dès la fin de la première épreuve eu égard au nombre pléthorique de candidats et à la longueur des épreuves. Mais, à aucun moment du concours, une baisse d’attention de leur part n’a été ressentie, au contraire ! Ce sentiment est partagé par l’ensemble des candidats. Durant toutes les épreuves nous étions toujours surpris par leur vivacité, quelle que soit l’heure de passage du candidat…

Réponses des deux professeurs (Roger-Jules Feudjo et Marc Bidan)

# Quels furent les points forts de ce concours ?

Tout d’abord, le nombre de candidats inscrits en sciences de gestion – 44 dossiers déposés et un seul candidat absent à Cotonou – met en évidence l’attractivité de la discipline.

L’un des points forts, c’est que l’ensemble des dossiers a pu être traité qualitativement. À la fois techniquement, grâce à une plate-forme informatique intuitive et bien documentée, et académiquement, grâce à la mobilisation des sept membres du jury efficacement présidé par le Pr. Augustin Anassé de Bouaké en Côte d’Ivoire. Grâce à la diversité des membres du jury, chaque dossier a pu être expertisé par deux membres dont l’un au moins était de la sous-spécialité du candidat.

Un autre point fort fut l’organisation matérielle du concours à Cotonou avec des conditions de travail de bonne qualité (salle, calme, climatisation, wifi, rafraîchissement, documentation, etc.) – et ce malgré le contexte sanitaire et le nombre important de candidats.

Un dernier point fort – et non des moindres – était l’ampleur, la diversité et le niveau des débats lors des délibérations. Les débats sur la notation de la qualité des publications, la qualité des supports de publication, la pugnacité du candidat dans la défense de ses travaux, étaient parfois délicats, d’où l’importance du président de jury pour mener les débats et parvenir à une note consensuelle.

Réponse des deux professeurs

D’abord, le nombre d’admis en sciences de gestion, comparativement aux autres spécialités, constitue un motif de satisfaction. Ensuite, l’accompagnement institutionnel dont ont bénéficié certains candidats, comme les Sénégalais ou les Camerounais, a été un atout de taille. Le soutien indéfectible des coachs et de la famille à distance a aussi été déterminant. Après, nous notons l’environnement général du concours au sein de la faculté de médecine, propre, bien aérée, avec une bonne ambiance et un soutient permanent des accompagnateurs.

La diffusion rapide des informations sur le déroulement du concours, des résultats des épreuves en ligne via le site du CAMES est aussi à saluer. Enfin, la bienveillance du jury, qui prenait souvent le temps de mettre à l’aise le candidat juste avant sa prestation est particulièrement appréciable. Le temps entre le tirage et la découverte du sujet tiré, tu as l’impression d’être en enfer. Ce qui est touchant, c’est que le jury vous encourage par le regard comme s’il voulait vous dire « vas-y, tu peux y arriver » !

Réponses des trois candidats

# Quels furent vos moments de difficulté lors de ce concours ?

Tout d’abord, nous noterons, même si cela peut paraître anecdotique, la chaleur et l’humidité du littoral béninois. Ces conditions nous ont en effet obligés à nous installer dans les salles climatisées de la faculté de pharmacie durant de longues journées afin de ne pas trop se dépenser et se fatiguer pour rester éveillés en termes intellectuels et physiques tout au long des passages des candidats. De plus, les hôtels étaient dispersés et parfois éloignés du site, ce qui a impacté nos temps de trajet. Enfin, le nombre de candidats en gestion (44 à la première épreuve et 27 à partir de la seconde) nous a mécaniquement interdit toute escapade touristique en dehors de la route des Pêches et du riche et original village artisanal… mais nous reviendrons !

Réponses des deux professeurs

À quelques jours du départ sur Cotonou, il fallait partir à l’aéroport avec un test PCR négatif au Covid-19. Ce fut un moment compliqué à gérer. Mais, tout au long de ce concours, le plus difficile a été la gestion du stress et du sommeil. En effet, les veilles du tirage de la lettre qui détermine l’ordre de passage des candidats, de chaque épreuve et de chaque délibération, nous n’arrivions pas à fermer l’œil. On les appelle désormais les « 7 nuits sans sommeil du concours d’agrégation ». En outre, le stress était permanent et encore plus dense au centre d’examen, et particulièrement en loge. Cet endroit, avec ses tables rapprochées et des tas de livres qui y sont superposés pêle-mêle, était appelé « le stressodrôme ».

Certains candidats pratiquaient du sport pendant que d’autres méditaient ou encore consommaient des vitamines C ou des somnifères. À la fin du processus, c’est un « ouf » de soulagement : le retour dans nos foyers est imminent. Nous allons enfin pouvoir relâcher la pression et nous reposer !

Réponses des trois candidats

# Quelles sont vos prochaines étapes désormais ?

Nous devons inciter les agrégés à ne pas stopper leurs efforts et à publier, à s’impliquer, à encadrer, etc. Nous avons un travail de suivi à assurer. De plus, nous devons aussi inciter les non-agrégés à ne pas baisser les bras. Nous les avons reçus en face à face et nous restons disponibles, car le concours est sélectif. Il faut qu’ils se représentent dans deux ans, après avoir étoffé leur dossier avec des publications et du rayonnement dans la discipline. Ne pas négliger non plus de s’entraîner pour chacune des épreuves comme un sportif de haut niveau le ferait… Il faut arriver en forme intellectuelle et physique le jour J.

Enfin, en tant que membres du jury, nous sommes à la disposition du président – s’il a besoin de nous en novembre 2023 – et nous devons donc rester en éveil, sur le plan académique bien sûr mais aussi institutionnel car nos écosystèmes évoluent vite et le CAMES en est le reflet interrégional. En tous cas, ce fut un beau concours et une belle cérémonie de clôture à Cotonou.

Réponses des deux professeurs

L’admission au concours d’agrégation est un événement majeur. Elle fait naître de nouvelles responsabilités pour le néo-agrégé notamment, dans l’accompagnement et l’encadrement de jeunes collègues doctorants. Cette immense responsabilité doit aller de pair avec une amélioration qualitative et quantitative de nos publications et productions pédagogiques. C’est ainsi que nous nous sommes inscrits dans une logique de recherche en réseaux entre collègues de même pays mais également de pays différents liés au CAMES.

La rédaction de ce court récit entre deux jurés et trois candidats entre dans ce cadre. De même, un groupe WhatsApp regroupant tous les admis en gestion a été créé pour permettre aux collègues de mieux se connaître, de partager et de développer des initiatives et travaux de recherche d’intérêt commun. Dans cette dynamique, nous centrons actuellement nos réflexions sur un projet d’ouvrage collectif en lien avec nos thématiques de recherche. On est ensemble !

Réponses des trois candidats

Source : https://theconversation.com/le-concours-dagregation-du-cames-un-modele-institutionnel-pour-lafrique-176280

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𝗔𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗹𝗲𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗥𝗲̀𝗴𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲𝗿 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝗹𝗮 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗮𝘂 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝘀La Direction en charge des Finances du Secrétariat général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur – CAMES, organise 𝗱𝘂 𝟴 𝗮𝘂 𝟭𝟯 𝗱𝗲́𝗰𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗮̀ 𝗭𝗶𝗻𝗶𝗮𝗿𝗲́ (Burkina Faso), un atelier pour la relecture du Règlement financier et l’élaboration de la toute première nomenclature des pièces justificatives de l’Institution. L’ouverture de cet atelier interne, présidé par M. Issoufou SOULAMA, Directeur des Affaires Administratives et Financières du CAMES, s’est tenue le 8 décembre 2025.Cet atelier s'inscrit dans la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement 2024-2028 du CAMES (PSDC 2024-2028) dont l'axe 1 est entièrement dédié à l'amélioration de la gouvernance du CAMES. Il s'agit donc pour cette activité, de réviser le Règlement financier du CAMES et d’élaborer la nomenclature des pièces justificatives de l’Institution en accord avec son nouveau système de gestion financière et comptable. Pour cet exercice, les membres du service financier du CAMES, des représentants des différents services de l’Institution, des personnes ressources venues notamment de la Direction Générale du Budget, de la Direction des Affaires Immobilières et de l’Équipement du Ministère de l'Économie et des Finances du Burkina Faso, ou encore du cabinet ayant réalisé l'audit financier et comptable de l'Institution sur la période 2019-2022, ont été conviés à participer à cette semaine d’analyse et de réflexions.Pour l’ouverture des travaux, M. SOULAMA, prenant la parole au nom du Secrétaire Général du CAMES, a rappelé le contexte et les objectifs de la tenue de l’atelier. Il est ainsi revenu sur l’enjeu des documents à analyser ou à élaborer pour la bonne gouvernance de l’Institution. « Derrière les textes que nous allons parcourir en détails, se cachent les fondements mêmes d'une bonne gouvernance. C'est notre boussole commune, le socle de confiance qui nous lie à nos États membres et à nos partenaires. », a-t-il ainsi signifié. Il a également indiqué que cet atelier constitue une opportunité de moderniser les outils, de les adapter à la réalité de l’Institution, de clarifier les procédures et ainsi renforcer la crédibilité de l’Institution.Le Directeur des Programmes en charge des Comités Consultatifs Interafricains, des Concours d’Agrégation, de l’Ordre International des Palmes Académiques, Pr Ali DOUMMA, a quant à lui, partagé aux participants des mots d’encouragement. Il a ainsi rappelé les grandes attentes de l’équipe de Direction pour cet atelier important pour la bonne gouvernance financière et la crédibilité de l’Institution. Une semaine durant, le Règlement financier du CAMES sera donc actualisé au regard des nouvelles réalités de l’Institution et une nomenclature des pièces justificatives, élaborée.www.lecames.org/atelier-de-relecture-du-reglement-financier-du-cames-la-gouvernance-financiere-au... ... See MoreSee Less
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𝗥𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 : 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗟𝗼𝗰𝗮𝗹 𝗱’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗠𝗺𝗲 𝗔𝗺𝗶𝗻𝗮𝘁𝗮 𝗖𝗜𝗦𝗦𝗘́ 𝗡𝗜𝗔𝗡𝗚Le Sénégal a accueilli du 10 au 21 novembre 2025, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), les épreuves en présentiel de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG) du CAMES. Cette organisation a été rendue possible grâce à la collaboration étroite entre le CAMES, le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et l’UCAD. L’engagement du Comité Local d’organisation présidé par Mme Aminata CISSÉ NIANG, Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP), a contribué fortement à la réussite de l’évènement. À la clôture de cette session, la Présidente du Comité Local d’organisation a accordé un entretien exclusif à la rédaction du Lundi CAMES. Elle y partage son appréciation de l’organisation, les défis rencontrés, les motifs de satisfaction et un message d’encouragement aux femmes souhaitant embrasser une carrière d’Enseignante-chercheure.Bonne lecture !𝟭. 𝗣𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿 ?Je m’appelle Aminata CISSÉ NIANG, Maître de Conférences Agrégée. Je suis privatiste, spécialisée en droit du travail. Je suis enseignante à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques depuis 2022.𝟮. 𝗣𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 ?J’ai été recrutée très rapidement après mes études, ici même à l’Université Cheikh Anta Diop. En dehors de l’enseignement et de la Recherche, j’ai présidé l’organe de régulation des médias que l’on appelait à l’époque le Haut Conseil de l’Audiovisuel, l’ancêtre du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA). Il s'agissait d'un mandat de 6 ans qui a renforcé mes capacités managériales et administratives. J’ai par la suite exercé deux mandats de Chef de département tout en continuant à enseigner.𝟯. 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗦𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 ?Beaucoup d’échos et de témoignages très élogieux, concernant l’organisation de cette 22ème Session me sont parvenus, et je dirais, sans aucune fausse modestie, que nous avons pu organiser ce Concours dans de bonnes conditions. Les Jurys comme les candidats ont travaillé dans de très bonnes conditions. Le défi de l’organisation a donc été relevé.www.lecames.org/retour-sur-le-concours-dagregation-sjpeg-du-cames-interview-de-la-presidente-du-c... ... See MoreSee Less
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𝗟'𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗔𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗤𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗲 (𝗧𝗿𝗮𝗶𝗻𝗜𝗤𝗔) 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦 – 𝗽𝗿𝗼𝗹𝗼𝗻𝗴𝗲́ 𝗮𝘂 𝟭𝟰 𝗱𝗲́𝗰𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱L’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD), la Conférence des Recteurs d’Université d’Allemagne (HRK), le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) et l’Université de Potsdam (UP), située en Allemagne, lancent un appel conjoint à candidatures pour la formation « DIES Training on Internal Quality Assurance (TrainIQA) » dans les États membres du CAMES. La formation s’appuie sur cinq modules distincts, organisés au tour d’un manuel1 et de contenus en ligne, utilisables de manière flexible :𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟭: Conception de systèmes efficaces de gestion de la qualité ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟮 : Outils et procédures dédiés à l’Assurance Qualité ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟯 : Assurance Qualité de l’enseignement et de l’apprentissage ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟰 : Gestion de l’information ;𝗠𝗼𝗱𝘂𝗹𝗲 𝟱 : Gestion de la qualité et ses liens avec l’Enseignement supérieur.𝗖𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗲́𝗱𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝘀𝗲́𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻Le dépôt de candidature s’effectuera exclusivement en ligne suivant la procédure ci-après, avant 14 décembre 2025. Inscrivez-vous sur www.afrique-qa.org/s/regafr26/fr.html en renseignant vos nom et adresse courriel.𝗧𝗲́𝗹𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝗿 𝗹'𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 : www.lecames.org/appel-a-candidatures-formation-sur-lassurance-qualite-interne-trainiqa-dans-les-e... ... See MoreSee Less
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𝗖𝗹𝗼̂𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗘́𝗾𝘂𝗶𝘃𝗮𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗗𝗶𝗽𝗹𝗼̂𝗺𝗲𝘀 (𝗣𝗥𝗘𝗗/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦)La 40ème session du Programme Reconnaissance et Équivalence des Diplômes (PRED) du CAMES s’est tenue en ligne, du 24 au 28 novembre 2025. Les travaux ont réuni les membres des trois Commissions d’accréditation autour de l’analyse de 203 programmes de formation, soumis par 49 Institutions d’Enseignement supérieur et de Recherche issues de neuf (9) pays de l’espace CAMES (Burkina Faso, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Mali, Niger, Sénégal, Tchad, Togo) et de la France. Le vendredi 28 novembre 2025 a abrité la clôture de cette session sous la présidence du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ.Cette cérémonie de clôture a réuni les membres du directoire du CAMES, le Président Coordonnateur général des Commissions, les Présidents des Commissions d’accréditation, les membres des Commissions d’accréditation et les membres du Secrétariat général du CAMES, en visioconférence. Elle s’est articulée autour de la lecture du rapport général de la session et des recommandations des travaux, ainsi que de l’allocution de clôture du Secrétaire Général du CAMES.Ainsi, le Président Coordonnateur général des Commissions, Professeur Amadou BOUREIMA, par ailleurs Président de la Commission II « Lettres, Sciences Humaines et Grandes Écoles », a présenté à l’assistance les détails des travaux qui se sont tenus en Commissions et en plénières, le long de cette semaine d’analyse et de réflexion. Pour chaque Commission, le Président Coordonnateur général a signifié les nombres des dossiers analysés, les avis favorables et défavorables émis par ces Commissions en s’appuyant sur les référentiels et les rapports des évaluations externes (évaluation des dossiers par les experts disciplinaires et visites sur site des panels d’experts). À l’issue des travaux de toutes les Commissions, sur les 𝟮𝟬𝟯 programmes de formations soumis, 𝟭𝟴𝟲 ont été approuvés par les experts réunis, soit un taux d’approbation global de 𝟵𝟭,𝟲𝟯%.Ce taux a été jugé satisfaisant par le Secrétaire Général du CAMES, Professeur Souleymane KONATÉ, qui dans son allocution de clôture, est revenu sur le travail abattu par les membres des Commissions. Il a par ailleurs réaffirmé l’engagement du CAMES à soutenir l’amélioration continue des systèmes d’Enseignement supérieur et de Recherche, notamment à travers la mise en œuvre des deux premiers axes de son Plan Stratégique de Développement 2024-2028.Cette cérémonie a également été l’occasion de présenter des recommandations émises par les différentes Commissions à l’issue des travaux, et précédemment présentées au Secrétaire Général du CAMES lors de la réunion bilan organisée avec les Présidents de Commissions, le 27 novembre 2025.En rappel, 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻, présentés lors de cette cérémonie, 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝘃𝗶𝘀𝗼𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝘀𝘂𝘀𝗰𝗲𝗽𝘁𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 jusqu’à leur transmission au Comité Consultatif Général (CCG), pour la vérification du respect des procédures. Ils seront, par la suite, soumis au Conseil des Ministres du CAMES, instance décisionnelle, qui procédera à leur annexion à la Convention de Lomé de 1972. Dès lors, les programmes de formation accrédités seront reconnus dans tout l’espace CAMES.𝗦𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝟰𝟬𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗣𝗥𝗘𝗗/𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦Les résultats sont répartis selon les catégories suivantes :- par type d’offre- par type de demande- par niveau d’étude- par Commission et par payswww.lecames.org/cloture-de-la-40eme-session-du-programme-reconnaissance-et-equivalence-des-diplom... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗲𝘀 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀-𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗖𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗝𝗼𝘀𝗲𝗽𝗵 𝗞𝗜-𝗭𝗘𝗥𝗕𝗢 𝗼𝘂𝘁𝗶𝗹𝗹𝗲́𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝗲 𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝗮𝘁𝗲𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜-𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦La journée du 𝟮𝟳 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱 a revêtu un caractère particulier au sein de l’Université Joseph KI-ZERBO de Ouagadougou. Les Enseignants-chercheurs et Chercheurs de cette Institution, candidats à la prochaine session des Comités Consultatifs Interafricains (CCI) du CAMES, étaient réunis dans le cadre d’une séance de formation pour une meilleure appropriation du montage des dossiers de candidature et une prise en main de la plateforme d’inscription aux CCI-CAMES. Cette séance de formation a été animée 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗖𝗜, 𝗣𝗿 𝗔𝗹𝗶 𝗗𝗢𝗨𝗠𝗠𝗔 𝗲𝘁 𝗠. 𝗚𝘂𝗶𝗹𝗹𝗮𝘂𝗺𝗲 𝗡𝗜𝗞𝗜𝗘𝗠𝗔, 𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗮𝘂 𝗖𝗔𝗠𝗘𝗦.L’ouverture de cette séance de formation a été présidée par Mme Emilienne OUATTARA, Vice-présidente chargée de la professionnalisation et des relations Université – Entreprise et modérée par Mme Christelle NADEMBEGA, Directrice des Relations Internationales et de la promotion des Enseignants. Cette ouverture sommaire a été articulée autour du mot d’ouverture de la Vice-présidente et du mot du Directeur des Programmes du CAMES.Ainsi, Mme OUATTARA, après avoir souhaité la bienvenue au Directeur des Programmes, au nom du Président de l’Université, a salué sa grande disponibilité. Elle a tenu à exprimer toute la gratitude de la communauté universitaire à l’endroit du Directeur des Programmes pour cet engagement pour le succès des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Elle a clos ses propos en exhortant les participants à une pleine concentration dans l’objectif final de réitérer le taux de 100%, habituellement enregistré par l’Institution.Le Directeur des Programmes, Pr Ali DOUMMA, prenant la parole à sa suite, a souligné l’intérêt du CAMES à accompagner les Institutions pour la promotion de carrière des Enseignants-chercheurs et Chercheurs. Il a relevé que ces formations entrent dans la mise en œuvre du Plan Stratégique de Développement du CAMES 2024-2028, dans lequel le renforcement des capacités tant des Commissions Institutionnelles Locales, que des candidats, tient une place importante. Il a donc réaffirmé la disponibilité du CAMES à toute Institution qui manifesterait le besoin d’organiser ce type de formations. Il a enfin annoncé le programme de cette séance de formation articulée autour de deux grandes parties : les éléments constitutifs du dossier de candidature pour les Comités Consultatifs Interafricains ainsi que l’évaluation en tant que tel, et la prise en main pratique de la plateforme E-CAMES d’inscription à ces CCI.www.lecames.org/les-enseignants-chercheurs-et-chercheurs-de-luniversite-joseph-ki-zerbo-outilles-... ... See MoreSee Less
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𝗥𝗲́𝘁𝗿𝗼𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚 : 𝗳𝗼𝗰𝘂𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝘂𝗿𝘆𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀Dans le cadre de la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), trente-sept (37) membres du Jury, éminents experts dans leurs différentes spécialités, ont conduit les évaluations des aptitudes pédagogiques, scientifiques et académiques des candidats des six Sections, aux fonctions d’Enseignants du supérieur. Ils ont mis leur expertise au service de ce processus, le long des trois épreuves du Concours : la première épreuve organisée à distance du 18 au 28 octobre 2025, les deuxième et troisième épreuves organisées en présentiel à Dakar, du 10 au 21 novembre 2025.Nous vous invitons à les découvrir à travers les albums des Sections. et les interviews accordées à la rédaction du Lundi CAMES. Ces interviews ont été l’occasion pour ces membres de Jury de partager leurs avis sur l’impact du Concours d’Agrégation dans la carrière d’un Enseignant-chercheur, les qualités attendues des candidats et des conseils pour les candidats et futurs candidats.Bonne découverte !www.lecames.org/retrospective-sur-le-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg-focus-sur-les-membres-d... ... See MoreSee Less
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𝗟𝗮 𝗥𝗲𝘃𝘂𝗲 𝗦𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗠𝗮𝘁𝗶𝗲̀𝗿𝗲 (𝗦𝗦𝗠) 𝗱𝗲́𝘀𝗼𝗿𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗶𝗻𝗱𝗲𝘅𝗲́𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗦𝗖𝗢𝗣𝗨𝗦Après son indexation par International Scientific Indexing (𝗜𝗦𝗜), la 𝙎𝙚́𝙧𝙞𝙚 𝙎𝙘𝙞𝙚𝙣𝙘𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙎𝙩𝙧𝙪𝙘𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙈𝙖𝙩𝙞𝙚̀𝙧𝙚 (𝙎𝙎𝙈) 𝙙𝙚𝙨 𝙍𝙚𝙫𝙪𝙚 𝙍𝘼𝙈𝙍𝙚𝙎 de la Conférence des Recteurs des Universités Francophone d’Afrique et de l’Océan Indien (CRUFAOCI), vient d’être intégrée à la base de données 𝗦𝗖𝗢𝗣𝗨𝗦.Cette reconnaissance marque une étape majeure : Sciences des Structures et de la Matière dépasse désormais le cadre régional et acquiert une véritable visibilité internationale. La revue enregistre déjà des soumissions en provenance de pays tels que l’Inde, l’Azerbaïdjan et le Kirghizistan, témoignant de l’intérêt croissant qu’elle suscite au sein de la communauté scientifique mondiale.𝗤𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗲𝘀 :- Journal : Sciences des Structures et de la Matière- URL : publication.lecames.org/index.php/mat- ISSN : 2630-1180 (Electronic)- DOI-Prefix : 10.70974/mat2630- Abstracting : Google Scholar; CrossRef- Indexing : International Scientific Indexing (www.isindexing.com/isi/); Scopus (www.scopus.com/sourceid/21101321974?origin=resultslist)- Frequency : At least 2 Issues /Year (Continuous publication)- Language : English; French.- Authors guidelines: publication.lecames.org/index.php/mat/about/submissions#authorGuidelines Editor-in-Chief: David BOA (E-mail: boadavid.sfa@univ-na.ci / boadavidfr@yahoo.fr; WhatsApp number: +225 01 51 06 49 42).www.lecames.org/la-revue-sciences-des-structures-et-de-la-matiere-ssm-desormais-indexee-dans-scopus/ ... See MoreSee Less
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Le CAMES
𝗟𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗱𝘂 𝟮𝟮𝗲̀𝗺𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗔𝗴𝗿𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝗝𝗣𝗘𝗚Au total, 215 candidats, tous Maîtres-Assistants du CAMES, ont pris part à la 22ème Session du Concours d’Agrégation des Sciences Juridiques, Politiques, Économiques et de Gestion (SJPEG), tenue en bimodale. À l’issue des trois épreuves d’évaluation menées par un Jury international composé de 𝟯𝟳 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀, 𝟴𝟲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁𝘀 — 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝟳𝟰 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝟭𝟮 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 —, ont été inscrits sur la Liste d’aptitude aux fonctions de Maître de Conférences Agrégé du CAMES, dans leurs spécialités respectives. Le 𝘁𝗮𝘂𝘅 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟰𝟬%, se révèle supérieur à celui enregistré lors de la 21ème session (32,21%), confirmant une progression notable des performances globales. Ce taux est ainsi le deuxième de l’histoire du Concours, après celui obtenu lors de la 19ème Session du Concours en 2019 à Ouagadougou, qui était de 41,22%.𝗗𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲𝘇 𝗰𝗶-𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀.. par genre ; . par Section ;. par Université ;. par Pays.www.lecames.org/les-resultats-definitifs-du-22eme-concours-dagregation-des-sjpeg/ ... See MoreSee Less
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